Blabla moins de 15 ans

Choix 2.

"-Vous restez ici, point. Lui lança Jenny.
-Non. Points de suspension."

La référence pas du tout spotted. + jerry.

Oui, oui, référence pas spotted.

Enfin, ça collait au contexte, donc je l'ai mis.

Sinon, content que ça t'ai plu. Qui fait le choix suivant ?

2, j'ai envie d'envoyer Michael au casse-pipe.

Ah. On a notre second vote.

Merci, PGM. Quelqu'un pour trancher ?

Ohhh, Alec a fait une petite fic' ! Je vais commencer à la lire.

Merci. Enfin petite... Euh...

• Fait le calcul.*

Accroches-toi, y'aura 104 chapitres. Mais c'est sympa de venir lire.

Désolé du retard.

Mmmmh... J'hésite. Je dirais choix 2.
Sweet !!

Pas grave. Merci pour ce vote, le chapitre 14 est en cours d'écriture.

Partie 2

http://www.youtube.com/watch?v=zAwP4KIivl4

La force du coup me fait tomber au sol. J'eus pour réflexe de lever mon arme, mais une main m'empoigna la gorge, et la lueur d'une matraque rayonna dans le brouillard. Soudain, une autre main tira la matraque en arrière.

"WOW ! Doucement, Dimitri ! T'allais tuer Jenny !"

Un visage me regarda. Un homme avec une griffure au front, matraque à la main, me fixait de ses yeux gris-verts. Il baissa son arme et se leva. Son visage prit une expression désolé.

"Bon sang, désolé, Jenny. Merci, Marie, une seconde de plus et je lui défonçais le crâne. Qu'est-ce que tu fous là ? Où est Pedro ?
- C'te con-là est à la station-essence. Grognais-je en me relevant. Merci de pas m'avoir tuée. Bon, tout le monde va bien ?
- On a paniqués quand vous nous avez abandonnés face à 50 de ces saloperies. La blessure de Marie s'est rouverte... Que dire de plus...
- Merci d'être venu, ce serait sympa. Ajoutais-je.
- Ouais, merci. rassures-moi, y'a quelqu'un avec toi, au moins ? Interrogea Marie, qui se tenait le côté.
- Y'a Michael, Christine et Arnold. attendez une seconde."

Je remarquais qu'Ernesto était posté un peu plus loin, sa hache dans les mains. Je sautais sur la pierre et me mit à crier :

"Christine ! Arnold ! Ram...
- Mais ça va pas bien ?! Me lança le policier en me tirant en arrière. La créature des marais est à quoi ? 300 mètres ? Peu importe, ne cries pas, tu vas l'attirer ! Et c'est justement ce qu'on tente d'éviter !
- Tu les as trouvés ! Sourit Christine, qui venait d'arriver.
- Mais c'est pas vrai ! Marmonnait l'Ukrainien. La ferme, tout le monde ! Bon, on va à la station. Où est votre voiture ?"

Un rugissement lointain nous interrompit. Marie avança.

"Ok, bon, on a intérêt à se casser, aller. Vite."

Nous nous mîmes à rebrousser chemin, mais nous avions toujours peur qu'un truc sorte de nulle part et morde l'un d'entre nous à la gorge, ce qui aurait été fatal. Mais le chemin se déroula tranquillement, et nous rejoignîmes Michael, qui était assis sur le capot.

"Putain ! Content de vous voir ! Cria l'Américain."

Je ne sais pas si ce fut le truc qui fit exploser la poudrière tout en tuant les gardes, mais tout à coup, qui sortit de derrière un arbre en gueulant ?

Le bunyip. Bah oui, autant nous faire chier, sinon c'est pas drôle. C'est évident !

"OOOOOOOOOOH PUUUUTAIN ! Paniqua Marie.
- DANS LA VOITURE ! VITE ! Signala Arnold."

Dans la précipitation, Michael s'installa au volant et démarra. Marie s'assit à sa droite, tandis que nous nous entassions à l'arrière.

"HEY ! POURQUOI ON LAISSE LE CARDIAQUE CONDUIRE ?! Fis-je remarquer.
- TA GUEULE ! Me répondirent en choeur Christine et mon ami Américain."

L'ancien pompier démarra. Le bunyip frappa le sol derrière nous. La voiture dérapa à cause du choc et heurta un arbre, mais il réussit à remettre notre véhicule droit. Ernesto et moi-même regardions la créature, qui nous poursuivait. Soudain, la voiture freina.

"OH NOM DE DIEU !"

Un rugissement retentit devant nous.

En face, un second monstre nous regardait. Il y avait plusieurs bunyips.

Notre conducteur voulut tourner, mais un phénomène d'aqua-planning se produisit. La jeep partit en sucette, avant que l'Américain, aidé par son amie française, réussisse à reprendre le contrôle. Les virages nous secouaient comme des pruniers. Même avec la ceinture, nous remuons.

Nous étions donc pris en étau, avec, en face, bunyip numéro un et de l'autre, bunyip numéro deux. Bunyip numéro un hurla, et courut vers nous.

"BORDEL DE ! MICHAEL, FAUT QUE TU..."

1)...FONCES BON SANG DE BON DIEU, FONCES !
2)...TOURNES A GAUCHE ! A GAUCCHHHHHEEEE !
3)...TOURNES A DROITE ! ALLEZ !
4)...T'ARRETES ! ON A AUCUNE CHANCE SUR LA ROUTE ! SUR LE BAS-COTE !

Bon. Prochain chapitre, une grosse révélation qui va arriver avec des sabots gros comme un bunyip. Bref. J'espère que ce chapitre vous aura intéressé et vous aura plus, et à bientôt !

C'est moi ou c'est plus court que d'habitude ?

Sinon j'hésites... 3 ou 2... Je dirais 2, depuis le temps que c'est le deux qui est validé, tout va bien. Bref, choix deux.

Oui, c'est un peu plus court. Sinon ça t'a plu ?

Et merci du vote.

Désolé du retard.

M'enfin j'trouve les choix cons, on va dans quel direction les gars ? Ca fait bizarre.

Enfin je suis du même avis que ACfan-, pour le moment avec 2 rien nous a posés problèmes (à moins qu'à la fin ça devienne une avalanche de morts et de fails ) enfin bref, choix 2

Oui c'est con comme choix mais l'effet papillon opère.

Les choix les plus cons sont souvent ceux qui posent le plus de problèmes, regardes l'hésitation d'ACfan-.

Et oui, te fies pas aux apparences, le choix 2 est peut-être pas celui qui vous conduira vers la bonne fin.

Enfin merci, PGM.

Bon bah alors j'arrêtes de choisir 2

ROFL.

C'est peut-être le choix 2, peut-être pas. de toute façon vous le saurez pas avant la fin de la fic, alors...

2!!!

Merci pour le choix, je vais aller écrire la suite !

Désolé du retard et tout ça.
J'avais direct lu la sweet mais avec les cours j'étais occupé (et je le suis toujours), je passe plus beaucoup sur jvc.

Sinon pour le choix j'en sais trop rien, on peut pas vraiment déterminer.

Allez je dis 1.

A quand la sweet ?