Bon, que est-ce qu'il se passe? Belzou?
Elle etait fatiguée
Tu rèste mon ange mais la , tu m'étonne de faire sa !
Re !
Donnez moi vos feuilles !
Lis les anciens messages Lilou !
Ons les a déjà posés!
Salut je suis de retour je reviens dans 10 min je vais me doucher
Ré Lilou
ok
Ah ok
20/20 tout le monde sauf Affranchir fleme de corriger
Affranchir -1/20
Pythagore, fils de Mnésarchos, serait né sur l'île de Samos (ou à Tyrrhénie, ou à Tyr, ou en Syrie, cf. Clément d'Alexandrie, Stromates, I, 62) vers 580 et mourut vers 490 (son acmé se situe dans la 60e olympiade, 540–537, selon Diogène Laërce). Contre toute évidence chronologique (un siècle d'écart), la tradition romaine en faisait le maître de Numa Pompilius, deuxième roi légendaire de Rome et tenu pour le fondateur de la religion romaine. L'historien Tite-Live réfute cette thèse dans son Histoire romaine I-18. Pythagore semble avoir eu deux enfants de Théano, pythonisse originaire de Crète : Arimnestos (qui fut peut-être le maître de Démocrite, cf. Porphyre de Tyr, Vie de Pythagore, 3), ou Télaugès, et une fille du nom de Mya (ou Arignotès). Il semble que ses enfants aient écrit des traités. D'après Timée de Locres (ibid., 4), cette fille était honorée « comme la Vierge des vierges et comme la Femme des femmes » et, après sa mort, sa maison devint pour les habitants de Crotone un sanctuaire de Déméter.
Pythagore voyagea en Égypte, fuyant le tyran Polycrate, où il fut disciple des prêtres, à Babylone, et fut peut-être en relation avec le chaldéen Zoroastre (Hippolyte, Réfutations de toutes les hérésies, I, II, 12). Il s'installa à Crotone, en Italie du sud, où il resta une vingtaine d'années. Son influence sur Crotone s'étendit de l'assemblée aux enfants en passant par les adolescents et les femmes qui venaient tous l'écouter. Mais son enseignement était soumis à une règle de silence. Il fonda son école à Crotone.
Cette influence à Crotone est l'occasion pour Porphyre de Tyr d'écrire une description sans doute idéalisée et romancée de Pythagore : « (…) les habitants de Crotone comprirent qu'ils avaient affaire à un homme qui avait beaucoup voyagé, un homme exceptionnel, qui tenait de la fortune de nombreux avantages physiques : il était en effet noble et élancé d'allure et, de sa voix, de son caractère et de tout le reste de sa personne émanaient une grâce et une beauté infinies. » L'école pythagoricienne était une secte philosophique, religieuse et scientifique, dont les disciples se conformaient à une philosophie de vie contraignante : le ponos. Une règle de vie que prescrivait Pythagore était le souci de la pureté et de l'abstinence du sang versé et de ceux qui la versent, et il était donc interdit de consommer la chair animale.
Il interdisait également de sacrifier des animaux dotés d'une âme. Il aurait également interdit la consommation de fève : « Abstiens-toi de la fève, abjecte nourriture, Je te répète ici l'ordre de Pythagore. » Ces interdits sont néanmoins contredits par plusieurs auteurs : Aristoxène dit que la fève était le légume habituel de Pythagore à cause de sa propriété laxative (Aulu-Gelle, Nuits attiques, IV, XI, 4.) ; il mangeait également des porcelets et des chevreaux. Aulu-Gelle indique, en suivant Aristote, que les pythagoriciens ne s'abstenaient en réalité que de certaines viandes.
Il semble que Pythagore ait également introduit de nombreux rituels importés d'Égypte, et qu'il acquit ainsi une grande renommée : les habitants de Crotone l'appelèrent Apollon Hyperboréen. Outre la fondation de l'école pythagoricienne, il serait à l'origine de la gamme musicale fondée sur le « cycle des quintes », et lui a donné son nom. Selon Isocrate (Busiris, 28–29), c'est lui qui introduisit la philosophie en Grèce, et qui inventa ce mot. Il aurait également introduit les mesures et les poids. Pythagore étudia les sciences mathématiques qu'il aurait apprises des Égyptiens, des Chaldéens (astronomie) et des Phéniciens (nombres et calculs arithmétiques).
Il aurait également appris l'art de faiseurs de miracles de Phérécyde. On rapporte d'ailleurs de nombreuses légendes sur son compte, faisant état de ses dons d'ubiquité, de sa jambe en or, etc. Ce caractère légendaire de la vie de Pythagore, qui suggère parfois l'usage d'artifices en vue de tromper, se retrouve également dans son entourage. En effet, l'un de ses anciens esclave, Salmoxis, passe pour avoir dupé ses concitoyens en tirant profit de la sagesse de Pythagore : il leur enseigna la doctrine de l'immortalité de l'âme, puis il se cacha dans un souterrain pendant trois ans en se faisant passer pour mort. Il réapparut, au grand étonnement de tous, et, dès lors, sa parole devint l'objet d'une véritable foi.
Vers la fin de sa vie, Pythagore s'enfuit pour Métaponte à la suite d'un complot fomenté en son absence contre lui et tous les pythagoriciens dont certains furent brûlés vifs dans une maison par les hommes d'un noble de Crotone, Cylon. Ce dernier voulait ainsi se venger du vieux Pythagore qui l'avait jugé inapte à suivre les enseignements de l'école. Ces persécutions conduisirent à la dispersion des membres de l'école pythagoricienne, et marquent le commencement du déclin de l'influence pythagoricienne en Italie, dont le dernier bastion fut Tarente, avec Archytas de Tarente. Pythagore serait mort à Métaponte, où il fut enterré, à l'âge de 90 ans.
Pythagore (en grec ancien Πυθαγόρας / Pythagóras) est un réformateur religieux et philosophe présocratique, qui serait né aux environs de 580 av. J.-C. à Samos, une île de la mer Égée au Sud-Est de la ville d'Athènes ; on établit sa mort vers 495 av. J.-C., à l'âge de 85 ans. Il aurait été également mathématicien et scientifique selon une tradition tardive. Le nom de Pythagore ou Pyth-agore (Pythagoras, en grec), étymologiquement « celui qui a été annoncé par la Pythie », découle de l'annonce de sa naissance faite à son père lors d'un voyage à Delphes.
La vie énigmatique de Pythagore permet difficilement d'éclaircir l'histoire de ce réformateur religieux, mathématicien, philosophe et thaumaturge. Il n’a jamais rien écrit, et les soixante et onze lignes des Vers d’Or qu'on lui attribue sont apocryphes et sont le signe de l'immense développement de la légende formée autour de son nom1.
Le néopythagorisme est néanmoins empreint d'une mystique des nombres, déjà présente dans la pensée de Pythagore. Hérodote le mentionne comme « l'un des plus grands esprits de la Grèce, le sage Pythagore »2 ». Il conserve un grand prestige ; Hegel disait qu'il était « le premier maître universel3 ».
D'après un écho marquant d’Héraclide du Pont, Pythagore serait le premier penseur grec à s’être qualifié lui-même de « philosophe4 ». Cicéron évoque l'anecdote célèbre sur la création du mot φιλόσοφος (philosophos) : « amoureux de la sagesse », par Pythagore :
« Par la même raison, sans doute, tous ceux qui se sont attachés depuis aux sciences contemplatives, ont été tenus pour Sages, et ont été nommés tels, jusques au temps de Pythagore, qui mit le premier en vogue le nom de philosophes. Héraclide de Pont, disciple de Platon, et très habile homme lui-même, en raconte ainsi l'histoire. Un jour, dit-il, Léon, roi des Phliasiens, entendit Pythagore discourir sur certains points avec tant de savoir et d'éloquence, que ce prince, saisi d'admiration, lui demanda quel était donc l'art dont il faisait profession. À quoi Pythagore répondit, qu'il n'en savait aucun ; mais qu'il était philosophe. Et sur ce, le roi, surpris de la nouveauté de ce nom, le pria de lui dire qui étaient donc les philosophes, et en quoi ils différaient des autres hommes.
Tres bien alors vous etes en perm' chuis plus prof
C'était pas long malheureusement
cool
Le prof m'a mis un 20 alors que j'ai rien fait