Bon, assez attendu, je mets la suite, sinon je ne pourrai pas faire encore 5 chapitres d´ici la rentrée.
Chapitre 8
La voix : Link, comme je te l´ai promis, je suis venu vaincre ta petite armée.
Mais moi, je ne participerais pas à ce combat.
Viens me rejoindre prés de la façade est. Nous combattrons seul là-bas.
Link : Hein ? Qui c’est qui m’à appelé ? Qu’est-ce qu’il à dit ?
Lyam : C’est pas à toi qu’il à parler, c’est au Chef.
Link : Ca veut dire que le chef ne participera pas la bataille ?
Lyam : Nan, je crois pas. Je crois qu’il va se battre seul avec l’autre là.
Gardan : Ganon !
Lyam : Ouais, c’est ça Ganon. Il vont se battre en duel, mas je sais pas pourquoi.
Gardan : Peut-être qu’ils ont un compte personnel à régler ?
Lyam : En tout cas, c’est la première fois que je vois les deux généraux des armées quitter le champ de bataille pour se battre.
Link : Et qu’est-ce qu’il se passe quand le duel se finit ?
Lyam : Qui sait ? En tout cas, c’est pas ce qui va arrêter ces bâtards.
Après ces mots, Link resta silencieux en y repensant.
Il comptait profiter de la bataille pour pouvoir voir son père.
Mais il ne sera pas là.
Ils seront seuls.
A ce moment, un grand bruit se fit entendre à l’extérieur.
L’ennemi lançait l’assaut.
Des cris inhumains parvenaient de l’extérieur du château aux oreilles de Link.
Apparemment, les Zoras parvenaient pour l’instant à maintenir les ennemis à distance.
Lyam : Tiens, c’est des nouvelles de la tour. Ils ont une approximation sur le nombre d’ennemis. Apparemment il y à environ 3000 Sakdoss qui se sont fait tuer par les Zoras. Mais en tout, il y à environ plusieurs millions d’êtres vivants.
Link : Et tout ce qu’il jette aux douves, c’est trois milles Sakdoss ? Il doit cacher quelque chose.
Lyam : Sûr qu’il cache un truc. Mais comment veux-tu que je le sache. Ah ! ça y est, les premiers Sakdoss se sont faits tuer par les Gerudos.
Link : D’où tu sais ça ? Le mec là-haut, dans le donjon, il observe la bataille et doit nous tenir au courant de tout ce qui se passe avec ces drapeaux. Là par exemple, il à levé le drapeaux jaune à côté du bleu ce qui signifie que les Zoras ne sont pas vaincus mais que les Gerudos attaquent quand même et… Qu’est-ce que c’est que ça ?
D’énormes flammes s’élevaient de l’extérieur du château, environ à hauteur des douves. Groshkadjif avait brûlé les douves en carbonisant tous les Zoras qui se trouvaient à l’intérieur.
L’homme du donjon baissa le drapeau bleu.
Lyam : Merde, ils ont finit trop rapidement avec les Zoras. Maintenant, ils seront trop nombreux face aux Gerudos.
Link : Qu’est-ce que cela change ?
Lyam : Ben du coup, si ils attaquent en nombre suffisant, ils pourront vaincre les Gerudos avant d’avoir passé la deuxième porte, et donc de se battre contre les Gorons. Ils se retrouveront alors…
Link : Seuls contre les Gorons…
Lyam : Et pas pris en sandwich comme on l’espérait.
Link : C’est très mauvais ça.
Lyam : Plus que tu ne l’imagines. Car alors, ils n’auront perdus qu’environ le tiers de leur armée, mais nous seront seuls contre eux.
A ce moment, Groshkadjif entrait avec son armée dans la première salle où ils furent très rapidement repoussés par les Gerudos.
Le Porte-drapeaux agita le drapeau jaune.
Lyam : Tiens voilà, les Gerudos ont remplis leurs missions. L’ennemi est repoussé et ils vont envoyer un assaut de masse. Ils sont faits comme des rats.
Link : C’est quoi ces flammes là-haut ?
Le soleil était haut, mais Link percevait des lueurs rouges qui flamboyaient.
Lyam : Où ça ? Je n’en vois pas.
Link : Là ! Argh !
Le soleil avait ébloui Link qui se cacha les yeux derrière ses mains.
Au bout d’un moment, une autre odeur de brûlé emplit l’air, portant aux narines des soldats un funeste message.
Ils n’eurent pas besoin de voir le Porte-drapeaux baisser le drapeau jaune pour le comprendre.
Les Gerudos étaient morts.
Les Gorons se battront seuls.
Ils étaient seuls…
… et morts.
Link : Que va-t-il se passer maintenant ?
Gardan : Maintenant ? Les Gorons vont retenir autant que possible l’ennemi, mais il arrivera un moment où ils ne seront pas assez. Et à ce moment…
Lyam : Ce sera notre tour de mourir.
Link marchait dans la cour.
Il savait qu’il allait mourir.
Il savait qu’il ne connaîtrait pas son père.
De l’autre côté de la porte, les bruits du combat des Gorons emplissaient l’air.
Soudain, un froid glacial se fit sentir. Link se retourna pour voir d’où venait ce froid et ce qu’il vit l’horrifia : dans toute la cour, tous les hommes et le Gerudos se plaquaient les mains sur les oreilles en tombant par terre.
Link entendait vaguement un cri aigu et strident, mais ce la ne l’oppressait pas.
Soudain, il se sait ni d’où, ni comment, il eût envie de crier un chant.
Un chant qu’il ne connaissait pas et qu’il n’avait d’ailleurs jamais entendu.
Il n’éprouva ce besoin que pendant quelques secondes, alors il chanta.
Il chanta cette douzaine de notes aussi naturellement que si c’était un air qu’il connaissait parfaitement et qu’il fredonnait souvent, mais il le cria avec une force qu’il ne pensait pas avoir et son cri s’entendit par-dessus le bruit de la bataille.
Son chant fit se relever les soldats par terre. Semblant se réveiller d’un rêve, ils secouèrent la tête et regardaient autour d’eux qui avait pu pousser cette chanson, ces treize notes qui changeait l’atmosphère :
" TINTITA, TINTITA, DOUDIDIDITADITAAAAA "
La nuit tomba et les cris césserent.
vivement la prochaine 
y´a 2 G à biggoron ! 
Pyronabot,padawan du créateur des critiques 
Sandy l´Elfe, Zeldaneuk