Paysage recouvert de blanche neige,
Aussi loin se prolongeait ma vision,
Si claire,soyeuse,émouvante,
Mais mortel,tel un poison glacé.
Ma présence ici restait sans réponse,
Par erreur?Etait-ce un piège?
Bien vite engourdit par le chant des anges,
La peur ou la folie pris mon coeur en un étau douloureux.
Je me sentait trahit,sidéré,
Je riais ou pleurais,
Mon coeur s'était peut être arrêté,
Mais pas de haine,pas si proche de la fin.
Des yeux qui m'observaient.
Des anges?
Non,le reflets moqueur ne trompait pas.
Prit au piège par soi même.Si pathétique.
On m'avait promis,
J'avais écouté,si enchanté,
Mais dans ce monde pourrit,
Aucune bouche n'est sincère.
Mais plus que tout,
La douleur,aussi physique et moral,
Perturbait mes sens,mon résonnement,
Je ne sais plut ce que je vois,ni ce que j’entends.
Oh toi,Agnès,très chère
En qui mon âme et mon esprit était si fervemment esclaves,
Pourquoi?
Tant de poison en un corps si frêle semblait si irréel.
Un dernier souffle,
Le désespoir qui s'éteint,
Le sang qui s'écoule de mes lèvres,
Mes mains violettes qui tombent sur le sol.
dsl,casse tout,mais t'a fin était bien Axel^^
OMG j'ai lus ton poème en même temps que j'écoutais "piano3"
Moi je n'avais pas vu ton poème .
Là, je l'ai lu ^^ et c'est vraiment triste. En fait, c'était peut-être pas une bonne idée de le lire juste avant la rentrée .
Nan j'aime bien sérieusement ^^!
bon aller depuis le temps j'ai écrit quand même des poèmes
alors les voila tous
On rêve tous d'être comme notre modèle
Mais si on ne peut être comme lui
Il ne faut tomber dans la dépression
Sinon on rejette son corps, ce que l'on est
Si tu est ainsi, écoute moi donc
Accepte qui tu es, embrasse-toi
Ainsi tu verras ce que tu deviens
Tu sera l'étoile de ton ciel.
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Derrière ce calme
Qui recouvre ma personne
Bouilli une rage
Une envie de meurtre,
D'exprimer ma haine pour
Ce monde haït
Et si elle explose
Seule une rage semblable
Pourra l’arrêter.
___
Dans mon cœur s'enfonce
La lame, froide et tranchante.
Morsure mortelle.
Mon souffle faiblit,
Me fuit dans un sifflement
La faux m'a frappée.
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There's a thirst inside me,
Not for water nor wine
But a thirst for blood.
Sweet and hot red fluid.
My fangs are sharp,
They'll pierce through your flesh,
Making you scream in pain.
What a beautiful music!
And you'll be no more
Than a rotten corpse.
A mordid proof
Of my bloodlust.
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Strapped to the table
Rusty chirurgical gears by your side
Needles filled with many poisons
It'll hurt a lot but don't worry
I'll cure you from your life.
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La longue plainte du violoncelle
Résonne dans la salle de l'opéra.
Le fantôme d'une femme manipule l'archet.
Les yeux fermés, elle se noie dans sa musique.
Subissant l'heureuse condamnation de la mort,
Elle attend un auditeur vivant en ce lieu abandonné.
Dans l'attente, elle joue, pour la poussière, pour les morts, pour elle.
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We are ready
Up to go through the night
Blasting music to kill the silence
We are living the
Ultimate thrill, the ultimate party
Bass shaking the ground, wubs getting us into a trance
We are living for it
Under the neon sky and flashing light we're free
Banging to the beat of the music
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Je veux quitter ce monde
Partir ailleurs
Chercher le vrai bonheur
Avant que meurt
La lueur dans mon cœur
Je veux quitter ce monde
Fuir l'horreur
De ce monde qui me fait peur
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Ville de lumière et de ténèbres
Ta beauté est déprimante
Tes bâtisses de pierres
Côtoient les abris en cartons
Tu t'élève vers le ciel
T'étend sous terre
Dans tes veines circulent
Des êtres déprimés, énervés, blasés
Qui dédaignent les étrangers
Se faisant de toi une peinture idéale.
Je ne veux revenir en ton sein.
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Je ne suis qu'un jouet
Figurine de bois
Jouant du violoncelle
Mais pour toi
Je suis ton ami
Jouant pour toi
Douces berceuses
Rhapsodies enflammés
Me donnant une vie
Qui ne m'était accordée
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Rien n'est pire que
Détruire ce qu'on à crée.
C'est la fin d'un monde.
C'est un coup de lame
Dans le cœur du créateur.
Un vide dans l'âme.
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Une petite figurine
De bois et de métal
Tenant dans sa main un violon
Une fois sa clé tournée
Le violon émet sa plainte
Douce mélodie pour
Les gens normaux mais grandiose
Symphonie pour mon âme
Car elle provient d'un être
Plus vivant selon moi
Que ces humains aux cœurs glacés
et voilà^^
vraiment beau...je pleure presque à chaque fois que je lit tes poèmes,méchant. J'adore^^
Le battement d'une aile,celle d'une hirondelle,
souffle inaperçu,perdu dans la neige tombant dru.
Sifflement éclatant,ouvrant le cœur des souffrants,
Naufragés victimes de la tempêtes hier encore en fête.
Espoir ailé et auréolé,une mélodie sacré est chanté,
Honnoré sont les mourrants,attendant l'heure fatal feigant d'être vivants.
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Dsl du double post,il y a eu bug
Tourne et chante et rit la jeune fille,
Joie dans chaque parcelle de ce frêle corps,
Souvenir radieux dans mon humble esprit,
La terreur et la souffrant ayant maintenant marqué ses traits.
Innocence,pureté,bonheur envolé,
D'une flèche transperçant le cœur de cet ange,
Guerre éclaté,menaçante, sanglante,
Infinie vengeance d'un crime sans merci
jolie tes poemes voca
Couloir vermeille,
La vérité veille
Et montre les prunelles
De tes yeux comblés de sel.
Le précipice
Où meurent les vices
N’est qu’une piètre illusion
Des hommes et leurs décisions.
La mer de sang
D’où coule le vent
Ramène tous ses morts.
Elle choisit le sort.
Tu mourras en elle,
Tu n’iras pas au ciel.
jolie!^^
Que Lucifer vous bénisse
Depuis longtemps j’essaie de faire comme toi.
Mais je vois. Consciencieusement, tu ne vois pas
Que t’ai-je fait de mal ? Pourquoi toutes ces larmes ?
On dirait que dans mes mains moites, j’ai des armes.
Pourquoi me considères-tu comme ceci ?
Pourquoi tous ces regards impénétrables, morts ?
Pourquoi je pressens que tu veux finir ma vie ?
Pourquoi suis-je la seule ombre à ton cœur en or ?
Les rues m’ignorent, je suis leur nouveau paria,
Réprimé et rejeté. Suis-je encore là ?
Je les sens qui sondent mon âme. Ténébreuse ?
A présent ils veulent m’offrir à la faucheuse.
Pourquoi suis-je le monstre qui hante vos nuits ?
Pourquoi celui qui troque soleil contre lune ?
Pourquoi mon esprit serait corrompu, sans vie ?
Pourquoi on dit qu’avec moi la vie devient brune ?
Solitaire à me promener avec le vent.
Ma solitude est aussi grande que les gens
Devant moi ainsi que leurs péchés et mensonges.
Alors le monstre devant vous se change en ange.
Pourquoi vous êtes le fardeau de cette Terre ?
Pourquoi chacun de vos pas souillent ce sol sain ?
Pourquoi les guerres et les corruptions vous enserrent ?
Satan ne vient pas vous recueillir en son sein ?
très bien aussi!
J'aime bien également !
superbes poemes pseudo
Nuit, toi qui est si sombre,
Si insignifiante à nos yeux,
Si bref et si inaperçu,
Au visage douteux, effrayant.
Toi qui abrite les pires crimes,
Toi qui cache les pires horreurs,
Toi dont le vent frai tue sans relâche,
Faisant de nouvelles victimes à chacune de tes apparitions.
Je voudrais te connaître,
Mieux que quiconque,
Te toucher, faire connaissance,
Et enfin savoir qui tu es.
Neutre
Tu ne fait pas de différence entre bien et mal s'il y a.
La solitude et le froid son tes uniques compagnons,
Tu ne connais rien de la chaleur de la vie qui fuit.
Apprend de moi et j'apprendrais de toi,
Ensemble nous avancerons,
Toi vielle de toujours et moi étoile filante,
Si vite séparé et pourtant à jamais unis.
Vraiment bien, Vocado ^^. Franchement, vous faites tous de superbes poèmes !
Viens à nous...
Comme à l'accoutumée, tu te languis
Goûter au blâme, à la saveur de la vie
De l'implication vaine à l'avidité, viens
Bercé dans le voile de peine, trouver les liens
Viens, viens nourrir notre paisible cœur
De tes jours prospères, viens, notre sauveur
Au nom du renouveau et du temps infini
Jusqu'à ce que tout se termine, Ô silence tari
Car sans ton amour, rien n'est notre vie
Rien que ce néant de rouille et d'oubli
Et plus que jamais, tout cela n'est qu'un jeu
Où les couleurs s'étaleront, tout comme les vœux
Tu ressens l'immuable trouble qui nous anime
Incertain dans nos choix, fuyant dans l'abîme
Nous voulons qu'après, aucun désastre ne demeure
Et qu'à jamais cesse de nous toucher, le malheur
Viens, viens nourrir notre cœur trompeur
De ta fortune de sensation et de ton ardeur
Surprise, agacement, excitation, chaleur, vice
Apprends-nous à danser sous les cieux d'avarices
Viens, viens nous aider à sauver nos jours,
Corriger le mal, permettre un détour
Car bientôt, surgira l'effroyable moment
Le démon à la robe noire, tu affronteras dignement
Tuer ou vivre, aveugle des choix liés
Plus que jamais, il ne te faut pas tomber
Là où le désir n'est plus qu'une privation
Et ton corps, un vestige de perdition
Et quand le monde triste brûlera
Et lorsque ton cœur se brisera
Ne fuis pas, ne nous abandonne pas
Nous apporter ton âme, tu viendras...
Ah, alors on se met à la poésie en plus?
Un très joli poème, j'adore!
Oui,très jolie!^^