Se connecter

Halo Reach

Sujet : [Fic] Rien n'est vrai,tous est permis
1
Wooahou
Niveau 10
04 octobre 2010 à 19:40:02

Et oui, il m'est venu comme beaucoup d'autres l'envie d'écrire une fiction. Ça faisait un moment que j'y songeais et j'ai enfin décidé de me lancer.

Je vous laisse donc avec comme début cette introduction :-p .

:d) Introduction :g)

Cela aurait du être une mission totalement ordinaire. Alors pourquoi cela n'a-t-il pas été ainsi ? Il ordonne, j'exécute. Dans les deux sens du terme. La cible a bien été neutralisée mais son regard me hante toujours.
Non, pas celui de ma victime. Le regard de sa fille. Jeune, quinze ans à priori, pourtant jamais aucun regard ne m'avait autant touché.
D'ordinaire, une fois mon but atteint, je tourne la page et je m'attèle à ma prochaine cible. Toutefois, je ne peux m'y contraindre. Ses yeux, curieux mélange de vert et de marron, me suivent où que j'aille.
Des yeux qui se sont embrumés, peu à peu, pour finalement lâcher leur précieux contenu qui s'est mit à couler avec une lenteur déroutante le long de ses joues.
Ses joues. Comme son visage, je ne pourrais en faire un portrait détaillé. Le fait est que j'ai été subjugué par ses yeux. Et la douleur dont ils irradiaient. Douleur dont je suis responsable.

Elle se trouvait au centre de la cour, le corps de son père se vidant de son sang dans les bras puis elle a relevé la tête. Pour me fixer. Je l'ai regardé bien plus que je n'aurais du, néanmoins, j'ai finis par m'évaporer.
Je suis redevenu invisible mais pourquoi ais-je toujours l'impression que ses yeux pèsent sur moi ? Le poids de la culpabilité, me répondrez-vous. Non, un assassin ne ressent aucune culpabilité. Les raisons qui ont poussé mon maître et donc qui m'ont poussé étaient on ne peut plus justifiées.

Abd Ar-Razak était à la tête d'un important trafic d'armes au sein de la ville de Jérusalem. Par son biais, les pires vermines pouvaient posséder une arme sans difficulté. En plus de cela, il était impliqué dans de multiples affaires douteuses. Je n'ai nul regret.
Au cours de mon enquête, j'ai appris qu'il comptait organiser le mariage de sa fille à un riche négociant, ce qui lui aurait ouvert d'autres voies dans son sombre commerce. Par mon intervention, elle ne sera pas obligée de se soumettre à ce mariage.

Je tente vainement de me convaincre que mon geste a été bénéfique pour sa vie, malgré tout ses yeux restent gravés en moi comme une cicatrice. J'ignore quoi faire, j'ignore où chercher des réponses, si réponses il y a.
Ceci est unique autant qu'inhabituel. Alors je vis avec. Je me contente de détourner mon attention le plus longtemps que je le peux mais lorsque je ferme les yeux, c'est elle que je vois. Je ne comprends pas. Et j'ai peur de comprendre.

Ceraste
Niveau 10
04 octobre 2010 à 19:41:48

J'aime bien, un poil plus long mais sinon pas mal + assasin's creed :bave:

Wooahou
Niveau 10
04 octobre 2010 à 19:42:20

Merci. :-)

Wooahou
Niveau 10
04 octobre 2010 à 19:44:39

D'autre commentaire s'il vous plait. :)

eniripza
Niveau 10
04 octobre 2010 à 21:38:25

J'aime c'est touchant mais un peu court dommage =) .
Continue =) .

GrandGland
Niveau 7
04 octobre 2010 à 21:43:04

C'est déjà sur le forum de AC: brotherhood

Wooahou
Niveau 10
05 octobre 2010 à 13:11:57

Chap 1 :)

Une vive lueur me force à ouvrir les yeux. Face à une aveuglante luminosité, je remue dans mes draps afin de trouver une position où le soleil ne m'agresserait pas. Dès que c'est chose faite, je rouvre mes yeux et parcours ma chambre du regard.
Bien décorée, avec des coussins et des tentures d'étoffes les plus chères, c'est sans doute ma pièce préférée. D'autant plus qu'il n'y a que moi qui est le droit d'y pénétrer. Mon refuge, en quelque sorte.

Dans un discret soupir, je m'assoie dans mon lit et m'étire avant de poser pieds à terre et de m'habiller. Avec des gestes rapides, j'enfile ma tenue, pour le moins singulière pour une femme.
Un pantalon rentré dans des bottes, une tunique avec par-dessus un habit, largement ouvert au niveau de la poitrine et fendu au niveau des jambes, maintenu à la taille par une ceinture.

Slimane me reproche sans cesse cet accoutrement mais je veux être toujours prête. Au cas où. Les belles robes et autres toilettes de luxe ne sont pas pour moi. Je m'avance vers le fond de ma chambre et me baisse au niveau du coffre qui s'y trouve.
Sans la moindre hésitation, je l'ouvre et sélectionne mes armes habituelles. Un petit poignard dans chaque botte, et une dague plus longue bien dissimulée sous mon habit.
Puis je me relève et me dirige vers le meuble près de mon lit pour y saisir mon épée. L'épée de mon père. Une magnifique arme blanche au bout légèrement recourbé. D'un mouvement expert, je l'accroche à ma ceinture et quitte ma chambre sans plus attendre.

A peine ais-je descendu les escaliers qui mènent à la cour intérieur que Slimane bondit sur moi :

- Madj Chakib veut te voir.

Je rencontre ses fiers yeux bruns tandis que je réponds d'une voix ferme :

- Je viens à peine de me lever ! Il attendra !

- Je te le déconseille Zohra. Il est de très mauvaise humeur.

Contrariée, je détourne ma tête vers la fontaine qui siège au centre de la cour et même son clapotis, pourtant si apaisant, ne parvient pas à stopper l'irritation qui monte à cet instant en moi.
Histoire de trouver la force en moi, j'inspire profondément et passe devant Slimane pour me rendre dans la pièce destinée à la réception de nos invités. Avec plus de fureur que je ne l'aurais voulu, j'ouvre la porte et m'avance vers Madj Chakib.

Cet homme, aussi imposant que vicieux, me fait face, les bras croisés sur sa large poitrine et me toise d'un air dédaigneux. De tous mes partenaires commerciaux, c'est celui que j'abhorre le plus. Derrière moi, Slimane referme la porte mais reste en retrait.

- Qu'y a-t-il Madj Chakib ? demandais-je, d'un ton sûrement un trop blasé.

- Ma commande est en retard. Ce que j'avais demandé n'a pas encore été livré et j'ai moi-même des délais à tenir, tu le sais.

- Bien sûr, mais si celui qui me fait parvenir les armes d'Arsouf à Jérusalem est retardé, je n'y peux strictement rien.

- Ton père respectait toujours ses délais, vocifère-t-il en décroisant ses bras pour pointer son index droit vers moi. Je me doutais que tôt ou tard, tu ferais une erreur. Une femme ne peut gérer une affaire de cette importance.

- Nous gérons cette affaire ensemble, intervient Slimane, et jusqu'à preuve du contraire, je suis un homme. Nous irons voir ce qui prend autant de temps et nous vous tiendrons au courant Madj Chakib, nous vous le promettons.

L'homme fait un geste de mépris avec son bras et observe durant quelques secondes le décor qui l'entoure.

- Nous allons régler cette affaire et tu auras tes armes aujourd'hui, lançais-je.

Madj Chakib reporta instantanément son attention sur moi et me dévisagea tandis que je poursuivis :

- Je m'en occupe tout de suite.

Il hoche lentement la tête en abordant un air peu convaincu mais finit par quitter la pièce. Une fois qu'il est partit, je me tourne vers Slimane, prête à me faire sermonner. Chose qui ne tarde pas à venir :

- T'es folle de promettre de telles choses ? Si ça se trouve, la cargaison n'a même pas encore quitté Arsouf !

- Dans ce cas, ce sera à nous de l'acheminer jusqu'à Jérusalem. Et de punir ceux qui ont mal fait leur travail.

- Ça, c'est mon domaine, rectifie-t-il en me souriant en coin.

Je le dévisage un instant puis me décide à sourire avant de quitter la pièce dans le but de prendre mon petit-déjeuner. De taille moyenne, une carrure élancée, des cheveux bruns courts, le teint basané, Slimane est en quelque sorte mon lieutenant.
Il est là pour les actions que je ne peux réaliser et sa présence reste réconfortante même si je n'oublie pas qu'il a travaillé pour mon père et donc toutes les sales besognes qu'il lui a confiées. C'est lui qui m'a tout apprit dans ce domaine.

Avant la mort de mon père, je n'étais qu'une petite fille sage, qui se contentait de répondre par oui ou par non et d'être belle. Mon père avait même programmé mon mariage à un homme tout aussi crapuleux que lui, dans le seul but d'entretenir et de favoriser ses relations avec lui.
Evidemment, je n'avais aucun moyen de protester et personne ne pouvait le faire pour moi. Ma mère est morte lorsque j'avais six ans d'une grave maladie qui a également entraîné mon petit frère à peine âgé de trois ans.

Une vrai tragédie pour mon père qui se retrouvait sans femme, sans descendant mâle et surtout avec une fille sur les bras. Comme j'ai regretté leur disparition …

Pourtant, un jour, tout a de nouveau basculé. Mon père a été assassiné. Violemment et sans aucune mise en garde. J'avais quinze ans à l'époque. A l'époque. C'est idiot de dire cela puisque ça c'est passé il y a presque un an.
Etrangement, j'ai l'impression que durant l'année qui vient de s'écouler, j'ai pris dix ans d'âge tant que je suis devenue mature et froide. Cet événement m'a à jamais transformé.

Cela s'est déroulé un soir d'été. Au crépuscule, plus précisément. Je ruminais à mon futur mariage, seule dans ma chambre, lorsque j'ai entendu des bruits de lutte dans la cour. Même si je savais que j'allais me faire disputer, je suis descendue à toute trombe, la curiosité étant la plus forte.
Ces instants là sont définitivement gravés à jamais dans ma mémoire. Je me souviens avoir vu un homme vêtu de blanc penché sur le corps de mon père, au sol. Totalement inconsciente de la situation, j'ai crié et j'ai bondis en direction de mon père.
L'assassin s'est immédiatement écarté et j'ai saisis le cadavre de mon père dans mes bras. Lorsque j'ai relevé la tête, j'ai fixé cet homme, celui qui venait de m'ôter la dernière chose qui me restait sur cette terre.

Bien sûr, son visage était dissimulé par un capuchon blanc et je n'ai pas pu le regarder droit dans les yeux mais cela ne m'a pas empêcher de le dévisager pour que ce souvenir me reste pour toujours.
Puis, il est partit. Telle une ombre, il s'est fondu au cœur des plantes de la cour et a disparu. C'est à ce moment que je me suis jurée de tout faire pour venger mon père. Mais désormais, au bout d'un an, je doute que ma méthode soit si brillante que je l'avais supposé …

Wooahou
Niveau 10
05 octobre 2010 à 13:41:43

:up:

pparlement
Niveau 22
05 octobre 2010 à 13:46:49

Hey, tu connais stillblood?

Tarkend
Niveau 8
05 octobre 2010 à 13:49:34

Faudra expliquer pourquoi il y a deux fois cette histoire , écrite par des joueurs différents ..

pparlement
Niveau 22
05 octobre 2010 à 13:52:04

CECI est la fic de psyko kaiin, que je connais, cette fic se trouve sur le forum ACBH, et c'est un plagia.

[Toutoune44]
Niveau 9
05 octobre 2010 à 13:54:12

Nan mais j'y crois pas là !
Cette fic a été faite par PsyKo-KaiiN, aujourd'hui KaaZer !
Ta pas honte de faire un plagiat comme sa ! Surtout que cette fic est finie maintenant :-((
T'es vraiment un boulet comme mec :nonnon:

TOPIC A LOCK

pparlement
Niveau 22
05 octobre 2010 à 13:54:51

Oui tu n'as aucun réspect.

PsyKo__KaiiN
Niveau 10
05 octobre 2010 à 13:54:57

https://www.jeuxvideo.com/forums/1-22575-60386-1-0-1-0-fic-rien-est-vrai-tout-est-permis.htm

C'est un honneur pour moi, que tu ais volé ma fiction, mais on va s'arrêter là :cool: :noel: .

[Toutoune44]
Niveau 9
05 octobre 2010 à 13:55:34
pparlement
Niveau 22
05 octobre 2010 à 13:55:53

Un nouveau Voleur dans ma liste de chasseur de fail, de vols, de DC.

_T5_
Niveau 10
05 octobre 2010 à 14:01:22

OMG LE boulet de plagiat :noel:

RC-1262-Scorch
Niveau 10
05 octobre 2010 à 14:04:05

chaud le mec on vas lui envoyer Nol ou les monsieur en blouse blanche :hap:

Nol-Akamee
Niveau 10
05 octobre 2010 à 14:05:28

M'envoyer ?

pparlement
Niveau 22
05 octobre 2010 à 14:07:57

Oui pour le "netoyer" de tout son déshonneur.

1
Sujet : [Fic] Rien n'est vrai,tous est permis
   Retour haut de page
Consulter la version web de cette page