Se connecter

Call of Duty : Modern Warfare 2

Sujet : [HS] Chapitres la souffrance de nos fils
1
TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 20:14:32

Je recréer le topic car le précédent à été lock donc même règles que l'ancien topic svp :

- Les commentaires se font ici :d) https://m.jeuxvideo.com/forums/1-18353-755990-1-0-1-0-hs-fic-la-souffrances-de-nos-fils.htm

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 20:14:54

Je vous rassure pour ceux qui seraient inquiets le style théâtre disparaitra dès la Partie 2.

Chapitre 1 : En enfer !
Partie 1 : Embuscade!

Je me suis souvent demandé..... Pourquoi toute cette souffrances...pour si peu ? De quel droit pouvons nous faire souffrir ? Les 10 commandements disaient " Tu aimeras ton prochain" aujourd'hui on l'a remplacé par "Tu feras souffrir ton prochain*. Tuer pour ne pas être tué, et on se dit civilisé....

  • Sifflement de balle*

Pvt. Miller : B*RDEL REVEILLE TOI JAKE ON SE FAIT ARROSER !!!

  • Je reprend mes esprits, tout est flou autour de moi*

Capitaine Kaine : ALLEZ JAKE ! PREND TON ARME ET RELEVE TOI !

  • Cheveux courts et bruns, carrure imposante, muscle ultra développés. Il a entre autre les yeux noirs et perçant, son air fier en ferait reculer plus d'un. Cet homme, c'est le capitaine Kaine, c'est lui qui nous a tout appris et qui nous a guidé jusque ici. Ce n’est pas le genre d’homme avec qui jouer aux cons. Calme et réconfortant dans toutes les situations, j'ai de la chance d'avoir été affecté à son unité.*
  • Je chope mon arme et reprend mes esprits au bout de quelques minutes*

Capitaine Kaine : Allez les mecs ont fait parti des Rangers abattez les ! Allez, allez !

  • Les balles fusent de toutes parts, je ne sais même plus où ont est et comment je me suis retrouvé par terre. Un picotement au niveau de ma cuisse m'intrigue*

Jake : MERDE ! Toubib !
Médecin : Je suis là qu'est ce t'as mec ?

  • Le médecin regarde ma jambe en émettant un rictus de dégoût.*

Médecin : Hé bah dis moi tu t'est pas raté !
Capitaine Kaine : Il a quoi ?
Médecin : Un fragment métallique dans la cuisse !
Capitaine Kaine : Tiens bon Jake Ok ! C'est rien !

  • Facile à dire... Plusieurs balles viennent se plantés dans le mur prés duquel j'étais assis*

Médecin : Putain ! On bouge viens !

  • Le médecin m'aide à marcher en prenant mon bras à son cou, il me fit asseoir prés d'une carlingue de voiture. Le médecin, c'est Mike, un gars que j'ai connu à l'entraînement, sympas mais pas très bavard, il n’est pas du genre à garder son calme dans des situations pareilles. Type caucasien, blond au yeux bleus, il se vante d'être le beau gosse de l'escouade, sa me fait sourire quand il nous sort ça*

Mike : On sera mieux ici, bouge plus !

  • Il sort ces ciseaux et m'injecte de la morphine. Vous faire retirer un bout de métal de la cuisse est la pire chose qui puisse vous arriver, on se demande si ils se sont pas gouré au niveau des doses de morphines. *Il me retire lentement le métal*

Mike : Putain, le métal t'as arracher des ligaments au passage, t'as une hémorragie… Bon tu sais quoi attache cette compresse à ta cuisse on a pas le temps là.

  • Une grenade roula vers moi sur un bruit métallique, c'est marrant comme la vie peut se jouer de nous, vous ne croyez pas ?*

La grenade explosa, hachant la voiture et propulsa plusieurs morceaux métallique et monticules de terre mélanger à des cailloux*

Capitaine Kaine : JAKEEE

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 20:15:15

Partie 2 : Un homme à terre.

  • c'est marrant comme la vie peut se jouer de nous, vous croyez pas ?*

Au milieu des balles, le capitaine cria mon nom. Une fois la fumée dissipée, Mike et le capitaine s'élancèrent dans le chaos apparent.
Le capitaine me secoua à plusieurs reprises, criant mon nom. Mike se tenait derrière lui tirant sur la milice en espérant abattre l'enf. **ré qui m'as fait ça.

Lorsque j'ai ouvert les yeux, le capitaine laissa paraître des larmes et appela Mike. Décidément la vie ne se lassée pas de moi.
- Alors il est réveillé, OK maintenant voyons voir ses....

Il s'arrêta net. j'haletais, ma respiration devenant de plus en plus difficile, Mais qu'est ce que j'ai ?
Le capitaine cria :
- MILLER ! APPELLE UN BLACKHAWK JAKE À UNE JAMBE !
- OK COUVRE MOI !

Hé merde, j'ai perdu une jambe, que vais je faire maintenant, rester dans un fauteuil roulant toute ma vie ? A écouter le capitaine sa n'as pas l'air grave, il me répéta sans cesse T'inquiète, tout ira bien, c'est une "égratignure".
Bizarrement, malgré le chaos ambiant je ne ressens ni douleurs, ni sensations. Mais pourquoi moi bon sang !
- Arrosez les ! Allez ne vous arrêtez pas de tirer ! Aboya le capitaine.

Je cherche Mike dans cette réalité semblable à un mauvais rêve. Je recommence à haleter et j'ai eu envie de vomir lorsque j'ai vu le Miller dévisagé par une grenade.
Mike est engagé avec un milicien dans un corps à corps acharné.
J'entends le capitaine me crier des choses incompréhensibles. L'hélicoptère est arrivé et Mike est mis à terre par un milicien, les autres le rejoignent et se mettent à le taper à terre, les coups de crosse fusent et je vois un milicien lui mettre une grenade flash dans la bouche.
A ce moment là je ferme les yeux et comme si la vie voulait me faire payer les vies que j'ai ôtées, je retrouve l'ouïe, le cri terrorisé de Mike, l'explosion de la grenade et un voile blanc se dresse devant mes yeux.
Le capitaine me tire par le harnais et me laisse subitement tomber. Je vois du sang couler sur le sol poussiéreux.
Un autre voile blanc s'étend devant mes yeux.

Est-ce vraiment terminé ?

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 20:15:33

Partie 3 : La dure réalité.

http://www.youtube.com/watch?v=lAtYoTLrxCU&feature=related

Je n’ai jamais crû en l’existence d’un Dieu, mais si il y en a un… je le supplie de m’aider, moi et mes camarades.
Bip…..bip……bip…….bip……bip
Le voile blanc se lève, mais où suis-je ? Quel est mon but ? Pourquoi la vie s’acharne t-elle sur moi ?
Bip…..bip….bip
- EMPORTE MOI AU LIEU DE ME FAIRE SOUFFRIR AINSI !
- Calmez vous monsieur vous êtes ici en sécurité, nous allons vous prodiguer les ….
- MAIS OÙ SONT LES AUTRES ?
- Il n’y avait que vous…
- NOOOON ! IL ETAIT AVEC MOI ! LE CAPITAINE ME TIRAIT PAR LE HARNAIS ! ET MIKE !

Je me suis levé, mais j’ai tout de suite était rattrapé par la dure réalité de la vie.

- Remettez le sur son lit vite !

Bip…..bip….bip
Emporte moi… ce monde n’est que malheurs et souffrances…. Je ne veux pas de cette vie ! J’ai tué trop d’homme ! J’ai perdu trop d’amis !

  • Flash-back *

Sa va aller t’inquiète pas !
Bon tu sais quoi je vais te mettre une compresse Ok ?
MILLER ! APPELLE UN BLACKHAWK JAKE À PERDU UNE JAMBE !

Trop de violence,

  • Flash-back*

Mike avec une grenade flash dans la bouche*

Bip…bip….bip…. …bip……..bip
Trop de péchés, le sang a trop coulé
Bip……..bip……….bip…….bip……………bip
Sur un chariot, j’ai entraperçue le cadavre de Kaine
Bip.........Bip……bip…..bip….bip..bip

- son rythme cardiaque accélère monsieur !
- Merde !
- Il entre en convulsion FAUT FAIRE QUELQUECHOSE !
- Donnez lui des calmants.

Vous ne m’enpécherez pas….de…partir….
Bip..bip..bip bip bip
biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip

Un voile blanc s'étendit devant moi....c'était fini....plus jamais, plus jamais je ne verrai de violence. La vie en avez fini avec moi et tel un détritus m'eut donné en plat de résistance à la mort. Envieuse de mettre fin à la vie des moins chanceux...

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:25:29

Chapitre 2 : Soleil sanglant.
Partie 1 : Spertnaz et Rangers
La musique qui vas avec :
http://www.youtube.com/watch?v=MkvQssPghR0&feature=related

Introduction :
Nous nous battrons sur les terrains de débarquement. Nous nous battrons dans les champs, et dans les rues, nous nous battrons dans les montagnes. Nous ne nous rendrons jamais !
Winston Churchill.

Hé bah putain si j’avais sût qu’un jour ce serait valable pour nous….
Je suis le Sergent Joyce… mon unité et celle du Sergent Foley avons été appelés pour récupérer un pilote d’hélico. Je peux vous dire qu’on en a mangé des balles ce jour là. Au départ, on pensés tous que le contrôle déconné quand il nous on annoncés que les russes avait parachuter leurs soldats sur les toit de toute la Virginie. Je peux vous dire qu’une fois sur place on faisaient moins les malins.

Moi et mon unité étions dans une jeep, guidés par le contrôle terrestre, l’unité de Foley était devant nous. Mack avait mis du R & B, quand j’y pense c’était vraiment un choix de merde.
Mack ? C’est mon meilleur pote avec Liam. Je ne vais pas m’attarder sur une description.
Ouais donc on a vu la jeep de Foley partir en fumée ! Boum d’un coup, on c’est tous demandé si ils avaient put se barrés, c’est la que l’enfer à commencer, mais c’était rien comparé à l’horreur à laquelle nous avons assistés :

La jeep explosa.
-Bordel, c’est quoi sa ?!
- VBTT !!!!
-Dégagez de là allez !

On a couru ce réfugier derrière un bâtiment je leur ai dis d’enfoncer la porte :
-ALLEZ RENTRER.
On a peine eue le temps de rentrer dans la baraque que les balles fusèrent.

J’étais à terre et les hommes se faisaient massacrer, les balles se plantèrent dans le mur et manquèrent de me toucher. Une grenade flash explosa devant moi. Je sentais que l’on me tabasser. J’en pouvais plus. J’entendais Mack crier, un coup de feu…puis plus rien, tout est resté horriblement calme.

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:25:45

Partie 2 : Les péchés du père.

Je suis dans la merde.
Quand je me suis réveillé j'ai eu l'impression d'un film d'horreur, mais je me suis demandé qu'est ce qui pouvait être pire que ce que je viens de vivre.

J’émet un rire glauque qui résonne dans toute la maison, la tête qui tourne, j'avance de quelques mètre avant de m'écrouler, juste devant le cadavre de Mack :

Entrez Allez !
J’entends Mack crier, un coup de feu puis... plus rien.

Faut que je me...haaa...que je me...concentre....putain Joyce analyse la ...situation....
je me relève et vais m'asseoir sur une chaise. Pendant 5 bonnes minutes j'ai regardé ce que l'on a fait à cette maison.
J'entend des pas...puis du Russe :
- Ho merde !

je me précipite alors vers le M4 de Mack et me cache derrière le bar. J'aurai jamais du y aller d'ailleurs... je retrouve Liam avec un bras en moins.
Une fois les russes passés je me précipite dehors, découvrant une vision tout aussi apocalyptique qu'irréelle. Les maisons s'embrasent et j'entends des coups de feu. Nan le contrôle déconné pas.... J'suis vraiment trop con putain !
Lorsque tout à coup l'alarme missile retentit... vous savez... cette alarme qui fait stresser et bah c'était elle sauf que là il n'y avait personne pour dire que c'était un exercice.
En regardant le ciel, j'ai faillit me faire dessus... un missile se diriger vers la ville, nucléaire ou non ? De toute façon j’étais foutu..... Après tout, la bêtise est humaine nan ?

Partie 3 : Evacuation !

L'erreur est humaine nan ?
Putain j'aurai jamais du m'engager ...
Je me perdait entre la raison et la folie. Lorsque j'entendis la voix du sergent foley dans mon talkie-walkie. Mais comment se fait-il qu'il ne soit pas détruit celui la ! :
-Joyce, Joyce tu me reçois ?
J'ai essayé de me débarrasser du lampadaire m'écrasant la jambe, sans succès ...
Je me préparais à rejoindre mes hommes.
....
-allez soldat, levez vous !
Dieu merci des soldats m'avait trouvé !
- allez dégager le lampadaire de là et plus vite que ça
Je fit la connaissance du lieutenant Black. Lui et ces hommes avez reçus l'ordre d'évacuer tous le survivants après l'explosion du missile.
- ha putain j’vais avoir du mal à marcher maintenant .S
- morphine ?
- heu...nan sa ira finalement.
Le lieutenant m'interpella et me demanda où j'étais censé me rendre :
- Je doit aller au Burger Town, lui dis je avec un air absent.
- Sans dec' ? Nous aussi !
- hé bah tant mieux...
Ma jambe allant mieux je montais sur le char le plus proche. Prochaine étape : le burger town
Plusieurs kilométrés étaient passés et c'est toujours la même chanson. Allez montez !
Tout était calme, les marines avaient mis un peu de musique pour ce détendre, lorsque soudain un sifflement retentit.

- MORTIEEEER !

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:26:02
  1. Partie 3 : Loup Solitaire.

Décidemment j’accumule les conneries… Mon équipe, la ville et maintenant le convoi !
Je scrute l’enfer environnant en espérant trouver un soldat allié… je ne vois rien à part des corps déchiqueter ! La route part en miette sous les obus, projetant de gros blocs de béton.
MON CASQUE ! Je l’ai perdu ! Bordel il faut que j’en trouve un !
Je rampe prés des blindés qui ont maintenant l’air bien ridicules, prés d’un VBTT je vois un casque, je peine à distinguer les lettres marquées avec un feutre noir. Un B …A….visiblement C…et un K. Je n’arrive pas à voir la 2 éme lettre.

« -Je suis le Lieutenant Black et vous ? »

J’ai décidemment l’impression de mener à la mort toutes les personnes que j’accompagne…

-ALLEZ ENTREZ !
-*Alerte Missile*
-Joyce, Joyce tu me reçois
-Allez montez, nous partons pour le Burger town !

Après un moment d’absence je constate que les tirs ont cessé.
Je peine à marcher et après quelque mètre je me rétame par terre, prés de moi, un ACR, par chance il possède un capteur cardiaque. Je n’en ai jamais eu un dans les mains et je me suis toujours demandé si cette merde marchait réellement.
Je fais le plein de matériels : grenade flashs, Semtex, Couteau de combat.
Ensuite je prends un Viseur holographique et un silencieux pour mon ACR.
Après avoir 3 pâtés de maison, je tombe sur une patrouille russe. Un frisson parcoure mon corps et je me jette dans l’herbe haute à proximité d’une piscine. Heureusement pour mon cul ils ne m’ont ni vu, ni entendu.
Pendant leur discussion un des soldats s’arrête pour fumer une clope. Son briquet est bien de fabrication russe puisqu’il n’arrive pas à l’allumer, ces camarades sont à 20 mètres de là. Je braque mon arme et prononce ces mots :
-Prends ça enfoiré de Ruskov !
Un claquement sec et discret émane de mon arme, laissant l’ennemi sans vie et s’écroulant tel un pantin désarticulé.
- Alleeez continuez…ne vous retournez pas !
Bordel, mais la mort tiens vraiment à moi ! Ils se retournent et ouvre le feu sur moi, je coure me réfugier dans les herbes hautes. Devant moi, des mottes de terres se soulèvent sous les balles ennemies.
-Il faut que je réfléchisse à un plan et vite ! Allez Joyce réfléchit putain !
Les russes continus à tirer. Subitement je ressens une douleur aiguë dans mon bras, comme si … HAAAAAA !
Je venais de m’en prendre une dans la jambe, un autre dans le bras et visiblement deux dans le torse.
Dans un élan d’énergie je sors ma Semtex, l’active. J’entends le son de la Semtex dans l’air. Puis une déflagration. Les coups de feu ont cessés et je rampe avec difficulté vers la route. Je vois un Russe se relevé, MERDE j’ai oublié mon ACR dans l’herbe.
Le Ruskov se précipite vers moi, sors son couteau…Puis un voile blanc se dresse devant mes yeux…..
J’ai échoué….

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:26:18
  1. Chapitre 3 : Washington en feu !

Partie 1 : La mort domptée.

J'ai échoué...
Maintenant je suis conscient de mon incompétence.
HAAAAAA ! Le voile blanc s'estompe laissant place à l'aube rougeoyante. Le couteau est planté et mon corps se vide. Le Ruskov a fait des entailles sur les flancs du couteau pour faire le maximum de blessures. Comme les allemands lors de la ...HAAA première... Guerre mondiale. Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi me sacrifier pour une cause qui me semble perdue ?
Mon Talkie-walkie émet un grésillement ....
....
Joyce , bordel tu me reçois ! Joyce
Je peine à distinguer ses mots car les coups de feu ont l'air de fusés de toutes parts.
...
CAPORAL DUNN !! SWORD ALLEZ AIDER LE CAPORAL À SE RELEVER !
...
Soudain et par la bonté du ciel, le russe se laissa distraire par le Talkie-walkie. C'est le moment !
Malgré la douleur je parviens à lui décocher un coup de genou dans le ventre et à me retourner sur lui. À ce moment là, le temps que le russe comprenne ce qui lui arrive, j'eus le temps de lui décoché plusieurs coups de poings dans sa sale tête.
À force de le frapper je sentais la peau de mes jointures s'arrachée.
En même temps je lui criais :
- Sale enfoiré ! Connard ! Je vais t'apprendre à frapper un ranger !
Lorsque que soudain, alors que j'allais lui mettre mon poing dans sa gueule, il décala sa tête et mon poing percuta le béton.
HAAAAAA ! PUTAIIIIN !
Je ne sentais plus mon poing et pendant que je fixais ma peau arrachée, le russe me releva, me baissa la tête et me mis un violent coup de genou, m'envoyant valdinguer sur le sol.
Une fois à terre je me tordis de douleur, mais lorsque le Ruskov se dirigea vers son M9, je pris un morceau de béton qui s'était retrouvé là à cause des explosions et le balança dans le dos du russe qui s'écroula par terre. Pendant ce temps là je me mis à ramper jusque l'arme. Malgré ma difficulté certaine à avancer, le russe ne s'était pas relevé. À force d'avancer je le dépassai.
J'y étais presque ! Mais c'était vraiment trop beau ! Il me saisit la jambe me tira jusque lui et me mis un coup de coude dans le bassin.
MERDEEEE ! AOOOW !
Involontairement du sang s'échappa de ma bouche.
Le russe se releva et me mis un coup de pied dans les côtes. Le Talkie-walkie grésilla...
- Joyce, c'est Foley, on est sur l'avenue Carlson près du Burger Town ! À toi !
...
Je scrutais les alentours, profitant de mes dernières secondes sur terre pour chercher un panneau qui indiquait le nom de la rue. Près d'une maison, j'ai aperçus un panneau : Avenue Carlson !
Le russe chargea le pistolet, j'entendis le cliquetis métallique de la balle dans le mécanisme.
Il murmura quelque chose en américain : Pour Zakhaev !
- JOYCE ! JOYCE ! MAIS REPOND BORDEL !
Le coup de feu retentit et un voile blanc s’étendit et mes sens furent paralysés.

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:26:39

• Chapitre 2 : Echec et mat.

-Joyce ! Joyce ! Bordel Caporal magnez vous b
- Je suis sur le coup !
- Appelez un médecin !
-TOUBIB ! Par ici !
Pourquoi la vie est elle courte est pitoyable ? Quel est notre but à tous sur cette terre ? Serait-ce pour mette les hommes à l'épreuve ? Autant de questions auxquelles je n'aurait pas de réponses.
J'entendais le Sergent Foley crier :
-Amener un défibrillateur vite !
Mes capacités sensorielles s'amenuisaient une à une.
Je ne voyais plus, je ne sentais plus.
On nous avaient bien bassinés avec ces histoires d'héroïsme que l'ont nous racontaient à l'entraînement.
Engagez vous, rengagez vous. Mon cul putain !
Si on s'engage, j'ai remarqué que c'était pour signet son arrêt de mort. Mais ça, je lai remarquer trop tard.
Deux médecins accouraient vers moi :
- Il a quoi ?
- ça se voit pas peut être. Répliqua Foley.
- Ok on dégage b
1....2....3 DEGAGEZ !
Je ressentis mon cœur se soulever avec mon corps.
-bordel sa a foiré !
Pendant quelques instants j'ai retrouvé la vue. Assez pour n'en voir que trop.
J'était a vifs, saignais de partout.
1....2....3 DEGAGEZ !
Encore une fois, les mêmes sensations, aussi désagréable qu'elle soit j'avais l'impression qu'on essayait
d'enlever mes organes.
Les médecins étaient au nombre de deux. Pendant que l'un pansait mes blessures, l'autre rechargeait le défibrillateur. C'était le dernier essai.
Un sifflement se fit et entendre et un morceau de béton de souleva près de moi. Sans aucune compréhension de la chose, je vis les Rangers lever leurs armes et ouvrir le feu.
Le Caporal Dunn criait :
- Mettez vous à couvert ! À couvert !
Des Hommes allèrent se cacher derrière un tronc, d'autres courraient pour sauter au dessus d'un muret pour se mettre à couvert.
Trois rangers tombèrent devant moi, projetés par une grenade, a moitié déchiqueter.
Je sentis que l'on me tirait. Foley et un médecin m'emmenèrent vers une maison.
Sur le coup je ne sentis rien, mais au bout de quelques minutes j’avais froid. J'étais touché, encore une fois.
Je pensais que la vie n'était que bonheur, mais plus le temps passe et plus je suis déçu. Toute la vie je me suis donné du crédit. Petit déjà, mes parents me prenait pour un enfant calme et modèle. En fait je me battais dans la cour et me faisait remarquer par les professeurs. Je suis qu'un raté.
Au lieu d'écouter mes parents j'ai fait que de la merde, je dit que je déteste les filles mais encore une fois je me donne du crédit, je me suis jamais vraiment investit par peur de me faire ba**er, j'ai triché sur ma vie et sur mes sentiments croyant rester vrai.

Une fois dans la maison le médecin sortit le défibrillateur et dit :
- C'est le dernier coup Sergent !
- Allez y !

Je passa en revue toute la vie, et ayant tout gâché je me dis : achevez moi qu'on en finisse, mais d'un côté j'avais peur de perdre la vie. Le temps passa lentement, les secondes étaient des heures et je vis chaque mouvement du médecin frottant les plaquettes.
1....
Pourquoi sommes nous aussi sauvages ?
2....
On dit qu'il faut nous inculquer les valeurs d'un Rangers à l’entraînement. Moi on m’a juste appris à buter quelqu'un à mains nues.
3....
J'ai peur de mes erreurs et de l'avenir.... Regardez moi dans les yeux et vous verrez que je suis qu'une baltringue....
Une troisième fois mon cœur se souleva, mais cette fois... Plus aucune sensations, tous mes sens étaient inopérant.

Échec et Mat.....

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:26:57

Chapitre 3 : Washington en feu !
Partie 3 : State of Emergency.

3ème régiment des Rangers.
Lieutenant Cameron "Kaine".

Cela faisait maintenant 3 heures que nous survolions le pays. Notre hélicoptère avait pour destination Washington D.C.
Moi je suis le Lieutenant Cameron Kaine, rapatrié d'Afghanistan suite à la perte de mon escouade. Là-bas j'y ai vu mourir tous mes hommes... De la où jetais je pouvais entendre les conversation entre pilotes :
-Echos 6 à Echo 41 ! Écho 6 à Echo 41 répondez.... On approche de la capitale ! Je répète on approche de la capitale ! Préparez vos hommes et suivez le protocole d'extraction.
- Reçu Echo 6 !

Un voyants Orange s'alluma et un tut à répétition se fit entendre, signifiant que l'on approchait de la zone de "turbulences".
- Hell-Dogs à Echo 41, tu me reçois !
- Reçu Hell-Dogs je vous reçois 5/5. A vous !
- Ici Hell-Dogs ont vas vous couvrir avec nos apache jusque qu'a la zone cible à vous !
- Reçu !

Le pilote m'annonça par oreillette ce que je vint d'entendre et je dis :
- OK ! Les filles ont approche de la "zone cible" vous connaissez le topo ! On vas chercher l'unité de Rangers coincé dans un quartier chaud de la ville et ont les ramènent ici ! Ouah ?
- Ouah ! S'exclamèrent t'ils en cœur !
- Ok vérifiez votre équipement !

Lorsque l'ont approcha de la ville, l'atmosphère fut tout de suite moins calme, dévoilant un Washington à feu et à sang. L'aube ajoutée à ce spectacle macabre, le tout donna un savant mélange entre beauté et hécatombe.
Le ciel était empli des tirs de D.C.A Américaines et les russes de faisaient parachutés sur la ville.
Les missiles Javelin et RPG se confondaient dans le ciel. Provoquant un tonnerre aérien.
Pour l'instant personne n'était touché et le pilote cria :
- 30 SECONDES !
- Ok les gars vous avez entendu ? 30 secondes.
Bon alors écoutez moi une fois à terre on avance en perroquet. Nils ?
- Oui mon Lieutenant ?
- Tu passeras en premier. James ?
- Oui Lieutenant ?
- Tu passes après Nils. Tyson, tu passes en 3ème
. Kyle 4ème et Kent en dernier. Je passerai devant !
- 10 SECONDES.
Dix secondes qui parurent interminable, entre l'enfer ambiant et la chaleur, on avait un aperçu du monde souterrain.
...
Je sentais chaque battement de mon cœur....
...
...
Mes hommes commencèrent à gigoter, d'autres
à tousser.
...
...
L'Hélicoptère abaissa son altitude et on entendus des sifflements obus dont les derniers venaient éclater en morceaux dans un bâtiment proche.
On descendais toujours...
...
Une période de silence s'étendit sur l'atmosphère.
- ALLEZ DÉGAGEZ ! SORTEZ ALLEZ ! ALLEZ !
- Ok les filles on file au bâtiment cible, on récupère nos petits copains et on rentre à la maison ! En avant ! En avant

- En avant !

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:27:19
  1. Partie 4 : Echo 1

Musique d’intro http://www.youtube.com/watch?v=gyASw-1KWyU
Soundtracks (pensez que les voix son les différentes équipes communiquant ensemble)
http://www.youtube.com/watch?v=dOmCyRo1_1c

- Allez mes demoiselles on va chercher nos petits copains et on rentre à la maison !
Nous progressions selon mes ordres, évitant au maximum les accrochages avec l’ennemi. Malgré nos précautions nous étions sous le feu à tous les coins de rues, la Spertnaz avait investit la ville mais la résistance américaine n’en était pas amoindrie.
Au bout de quelques minutes nous arrivâmes à un carrefour :
- Cherchez un panneau ! Nous devons nous repérer ! Leur ordonnais-je.
- Tout de suite Lieutenant !
Mes hommes s’éparpillèrent sur les lieux.
Au centre du carrefour il y avait une place s’étalant sur 20 bons mètres avec en son milieu une fontaine dont l’eau ne coulait plus.
Un Building surplombait le carrefour avec sur sa façade un écran géant diffusant en boucle la déclaration d’urgence du président.
Je réfléchissais à la façon d’accomplir notre mission le plus rapidement possible lorsqu’un de mes hommes m’interpella :
- Lieutenant ! Nous nous trouvons au 42th Market Street.
- Reçu ! Repérez nous sur la carte et informez le contrôle de notre position ! Dites leurs qu’on est sur les lieux de l’objectif !
- Tout de suite Lieutenant !
Le soldat se retourna et se brancha sur la fréquence du QG :
- QG ! QG ici Red Dog vous me recevez ?
- …
- QG vous m’entendez !
- …
- Lieutenant ! On ne capte rien ici !
- Trouvez un moyen de contacter le QG ! On à un objectif à remplir !
- Reçu !
Le soldat continua à essayer différents réseaux et fréquences pendant que le reste du groupe continuait d’inspecter les lieux. Je levai les yeux et aperçu un hélicoptère écrasé dans un des gratte ciel :
- Soldats ! Regroupement ! Criais-je.
Ils se dépêchèrent de se rassembler autour de moi dans un cliquetis d’armes et de bottes claquant sur le béton :
- Bon alors écoutez moi ! Vous vous souvenez du dernier endroit renseigné par l’escouade Echo ?
- 42th Market Street m’sieur !
- Parfait ! On nous avait aussi dit qu’il aurait un fumigène vert non ?
- Oui Monsieur !
- Je pense qu’elle s’est éteinte et qu’ils étaient à sec ! dit un autre.
- Je le pense aussi… Leurs répondait-je. Regarder cet Hélico’ perché dans ce building.
Mes hommes levèrent tous la tête et admirèrent avec effroi le terrible spectacle qui leurs rappelez les attentats du 11 septembre, en miniature.
- Ho putain… S’exclama un de mes soldats.
- Ouais tu l’as dit… Bon vous savez ce qu’il vous reste à faire ?
- Oui Lieutenant ! Répondirent-ils en chœur.
L’objectif confié à moi et mon escouade était de retrouvé l’escouade Echo prise au piége par la Spertnaz dans un Building du centre ville au 42th Market Street.
Mes hommes et moi s’engouffrâmes dans le bâtiment ou la faible lumière de l’aube peinait à entrer donnant un effet rayé.

- Go ! Go ! Go ! Leur répétais-je.
Une fois la totalité de l’équipe rentrée nous commencions à inspecter les lieux.
- Allumer vos torches !
- A vos ordres !
Nous fouillions le bâtiment étage par étage, cherchant désespérément la trace de l’escouade Echo ou même des Spertnaz.
Une heure plus tard nous nous retrouvions à l’étage du crash ou régnait un bruit de tension métallique, comme si quelque chose menaçait de tomber, le couloir où nous étions était assez grands pour faire passer les hommes deux par deux et donnait sur plusieurs bureaux.
- Rester sur vos gardes nous ne sommes pas seuls !
On arriva enfin sur le lieu du crash, l’hélicoptère avait dévoré la paroi du bâtiment s’engageant sur plus de dix mètres et laissant dépasser la queue. Nous étions tous dans nos pensées lorsqu’un craquement se fit entendre derrière nous avant que des hommes crient en Russe….

Ending
http://www.youtube.com/watch?v=MR56UVKk-t0&feature=related

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:28:04
  1. Partie 5 Signalétique d’extraction.

Musique d’ouverture http://www.youtube.com/watch?v=60sktPhEUwI

Musique d’ambiance http://www.youtube.com/watch?v=Vhdp14U2M_w&feature=related

Des hommes s’étaient placés derrière et nous parlèrent en russe. Le seul à pouvoir translater leurs parole en américain était Miller, il avait fait 3 ans d’étude de la langue russe avant de s’engager dans les rangers.

- Miller… Qu’est qu’ils nous veulent ?
- Qu’on lâche nos armes m’sieur…

Leurs F2000 braqués sur nous nous n’avions aucune option, de plus nous étions désavantagé du fait que nous étions de dos. Mes hommes regardèrent la ville par le trou béant, attendant avec anxiété ma décision.
Le capitaine russe s’impatienta, claqua des bottes en criant des choses en russe :

- Lieutenant ils vont nous tuer si on ne lâche pas nos armes !
- Attendez… Attendez… Je réfléchis à une éventuelle approche.
- Mais on n’a pas le temps ! On va se faire trouer !

Nos commanditaires n’attendaient plus que de presser la détente et de répandre du sang américain. Ils avaient placés leurs armes au niveau de leur tête leurs permettant de viser dans leurs viseur holographique. Je me risqua à me retourner, il n’y aucune réaction de la part de mes adversaires. Quelques secondes passèrent avant que le capitaine ne crie un dernier ordre :

- Lieutenant il vous demande d’obéir…
- Hum… Lâchez vos armes…
- Hé merde ! S’exclamèrent mes hommes un par un avant de lancer leurs SCAR-H et autre M4 au sol.

L’officier russe se permit un sourire, il avait le visage fin, probablement âgé d’une trentaine d’année il mesurait environ 1m70. Le camouflage de son uniforme était tigré rouge, camouflage semblable à celui de ces compatriotes. Il était équipé d’un casque noir surplombé d’une vison thermique rétractable.
Ce dernier lâcha un ordre en russe et ses hommes se saisirent de nous avant de nous envoyer dans le couloir. Celui-ci ne peut nous laisser passer qu’un par un. Le capitaine russe plaça ses hommes de manière à ce que la formation soit de un ranger pour deux spertnaz. Le couloir n’était que très peu éclairé, la majorité des néons ayant été endommagé.

Le couloir s’étendait sur une cinquantaine de mètre ponctué par des portes donnant sur les bureaux tous les cinq mètre.
La formation développée par l’officier russe ne permettait aucun contact entre prisonniers. La cadence de marche était moyennement rapide et les russes nous faisaient avancer à coup de crosse dans le dos. Nous n’étions pas menotté mais le moindre faux mouvement enverrait toute l’escouade six pieds sous terre.

Une fois arrivés au bout du couloir, le russe dirigeant la marche tourna à droite. Un autre couloir de cette fois ci vingt bons mètres s’étendait devant nos yeux, débouchant sur une cage d’escalier. La montée d’escalier était vive et ponctuée d’ordre incompréhensible pour la plupart de nous.
Après cinq minutes de montée le dernier escalier déboucha sur une porte en fer chauffé à blanc où une plaque en métal blanc indiquait « Sortie de secours ». Ce n’était pas un poignée mais une barre sur laquelle il fallait pousser pour actionner le mécanisme d’ouverture. Le russe la poussa donc et une vision apocalyptique s’étira devant nos yeux. Les bâtiments s’effondrait soulevant une quantité phénoménale de poussière, certains était en feu, d’autre, de la fumée s’échappait de leurs fenêtres. Le tout ponctué des missiles JAVELIN tiré depuis le sol ou des tirs de batteries anti-aériennes. Les russes envahissaient la ville par tous les moyens possible. Au dessus de notre tête leurs parachutistes tente des manœuvres d’atterrissage pendant que des renforts arrivent en VBTT et autres convois armés.
De notre position nous pouvions apercevoir à l’est de celle-ci, la maison blanche et le Washington Monument à l’ouest.

Changement de musique http://www.youtube.com/watch?v=THAVa19GdF8&feature=related

A la ceinture de l’officier russe je remarquais des bâtons fumigènes verts. Je pouvais m’en servir pour attirer l’attention d’un de nos hélicoptères.
Nous étions au même niveau que les russes, ceux-ci admirait la scène.
Je tapai sur la cuisse d’un de mes camarades et tous deux hochèrent la tête, au bout de quelques secondes tous comprirent.
C’est le moment !
Je couru me jeter sur le capitaine qui valdingua sur le bord de l’immeuble, je me trouvais au dessus de lui, enchaînant les coups de poings. Mes hommes ne mirent pas plus longtemps à désarmer ses frères.
Les techniques de combat et de domination étaient appliquées par chacun des soldats, aussi bien russes qu’américains.
Mon adversaire me pris à la gorge et me retourna en me claquant la tête contre le béton. Il sortit son couteau de combat et me le présenta. Un des deux tranchants était ciselé, permettant d’arracher organes et membranes en retirant la lame. Au moment où j’allais la recevoir en pleine poitrine je me saisis de son poignet et lutta de toutes mes forces pour l’empêcher de pénétrer mon être.
En tournant la tête j’aperçus les deux bâtons fumigènes et autour de moi aucune des deux factions ne parvenait à surpasser l’autre. Ils étaient très bien entraînés au combat rapproché. Mes forces me quittaient, je ne pouvais plus lutter. Il sentit ma faiblesse et força, je vit la lame s’enfonçait dans mon corps, faisant gicler des gerbes entière de sang allant tacher le sol. Les dommages étaient déjà énorme et s’il la retirée se serait fini, je sentis la lame remontée. Une douleur insupportable avant que je ne fusse aveuglé par un voile de lumières vertes.

Musique de fin http://www.youtube.com/watch?v=aj_rw8wcHfw

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:28:52
  • Partie 5 Signalétique d’extraction.

Musique d’ouverture http://www.youtube.com/watch?v=60sktPhEUwI

Musique d’ambiance http://www.youtube.com/watch?v=Vhdp14U2M_w&feature=related

Des hommes s’étaient placés derrière et nous parlèrent en russe. Le seul à pouvoir translater leurs parole en américain était Miller, il avait fait 3 ans d’étude de la langue russe avant de s’engager dans les rangers.

- Miller… Qu’est qu’ils nous veulent ?
- Qu’on lâche nos armes m’sieur…

Leurs F2000 braqués sur nous nous n’avions aucune option, de plus nous étions désavantagé du fait que nous étions de dos. Mes hommes regardèrent la ville par le trou béant, attendant avec anxiété ma décision.
Le capitaine russe s’impatienta, claqua des bottes en criant des choses en russe :

- Lieutenant ils vont nous tuer si on ne lâche pas nos armes !
- Attendez… Attendez… Je réfléchis à une éventuelle approche.
- Mais on n’a pas le temps ! On va se faire trouer !

Nos commanditaires n’attendaient plus que de presser la détente et de répandre du sang américain. Ils avaient placés leurs armes au niveau de leur tête leurs permettant de viser dans leurs viseur holographique. Je me risqua à me retourner, il n’y aucune réaction de la part de mes adversaires. Quelques secondes passèrent avant que le capitaine ne crie un dernier ordre :

- Lieutenant il vous demande d’obéir…
- Hum… Lâchez vos armes…
- Hé merde ! S’exclamèrent mes hommes un par un avant de lancer leurs SCAR-H et autre M4 au sol.

L’officier russe se permit un sourire, il avait le visage fin, probablement âgé d’une trentaine d’année il mesurait environ 1m70. Le camouflage de son uniforme était tigré rouge, camouflage semblable à celui de ces compatriotes. Il était équipé d’un casque noir surplombé d’une vison thermique rétractable.
Ce dernier lâcha un ordre en russe et ses hommes se saisirent de nous avant de nous envoyer dans le couloir. Celui-ci ne peut nous laisser passer qu’un par un. Le capitaine russe plaça ses hommes de manière à ce que la formation soit de un ranger pour deux spertnaz. Le couloir n’était que très peu éclairé, la majorité des néons ayant été endommagé.

Le couloir s’étendait sur une cinquantaine de mètre ponctué par des portes donnant sur les bureaux tous les cinq mètre.
La formation développée par l’officier russe ne permettait aucun contact entre prisonniers. La cadence de marche était moyennement rapide et les russes nous faisaient avancer à coup de crosse dans le dos. Nous n’étions pas menotté mais le moindre faux mouvement enverrait toute l’escouade six pieds sous terre.

Une fois arrivés au bout du couloir, le russe dirigeant la marche tourna à droite. Un autre couloir de cette fois ci vingt bons mètres s’étendait devant nos yeux, débouchant sur une cage d’escalier. La montée d’escalier était vive et ponctuée d’ordre incompréhensible pour la plupart de nous.
Après cinq minutes de montée le dernier escalier déboucha sur une porte en fer chauffé à blanc où une plaque en métal blanc indiquait « Sortie de secours ». Ce n’était pas un poignée mais une barre sur laquelle il fallait pousser pour actionner le mécanisme d’ouverture. Le russe la poussa donc et une vision apocalyptique s’étira devant nos yeux. Les bâtiments s’effondrait soulevant une quantité phénoménale de poussière, certains était en feu, d’autre, de la fumée s’échappait de leurs fenêtres. Le tout ponctué des missiles JAVELIN tiré depuis le sol ou des tirs de batteries anti-aériennes. Les russes envahissaient la ville par tous les moyens possible. Au dessus de notre tête leurs parachutistes tente des manœuvres d’atterrissage pendant que des renforts arrivent en VBTT et autres convois armés.
De notre position nous pouvions apercevoir à l’est de celle-ci, la maison blanche et le Washington Monument à l’ouest.

Changement de musique http://www.youtube.com/watch?v=THAVa19GdF8&feature=related

A la ceinture de l’officier russe je remarquais des bâtons fumigènes verts. Je pouvais m’en servir pour attirer l’attention d’un de nos hélicoptères.
Nous étions au même niveau que les russes, ceux-ci admirait la scène.
Je tapai sur la cuisse d’un de mes camarades et tous deux hochèrent la tête, au bout de quelques secondes tous comprirent.
C’est le moment !
Je couru me jeter sur le capitaine qui valdingua sur le bord de l’immeuble, je me trouvais au dessus de lui, enchaînant les coups de poings. Mes hommes ne mirent pas plus longtemps à désarmer ses frères.
Les techniques de combat et de domination étaient appliquées par chacun des soldats, aussi bien russes qu’américains.
Mon adversaire me pris à la gorge et me retourna en me claquant la tête contre le béton. Il sortit son couteau de combat et me le présenta. Un des deux tranchants était ciselé, permettant d’arracher organes et membranes en retirant la lame. Au moment où j’allais la recevoir en pleine poitrine je me saisis de son poignet et lutta de toutes mes forces pour l’empêcher de pénétrer mon être.
En tournant la tête j’aperçus les deux bâtons fumigènes et autour de moi aucune des deux factions ne parvenait à surpasser l’autre. Ils étaient très bien entraînés au combat rapproché. Mes forces me quittaient, je ne pouvais plus lutter. Il sentit ma faiblesse et força, je vit la lame s’enfonçait dans mon corps, faisant gicler des gerbes entière de sang allant tacher le sol. Les dommages étaient déjà énorme et s’il la retirée se serait fini, je sentis la lame remontée. Une douleur insupportable avant que je ne fusse aveuglé par un voile de lumières vertes.

Musique de fin http://www.youtube.com/watch?v=aj_rw8wcHfw
* Lien permanent

* TheRavenseagle Voir le profil de TheRavenseagle
* Posté le 10 mars 2010 à 00:20:17 Avertir un administrateur
* Partie 6 : Fraternité et réactions en chaîne.

La lame était plantée et la douleur que je ressentis était vive. Le bâton fumigène continuait de nous aveugler moi et le russe. Lorsque je bougeai mon bras droit celui-ci se trouva dans le vide. Une angoisse s’empara de moi, le moindre faux mouvement et je m’écrasai 40 mètres plus bas. J’entendais les pâles d’un hélicoptère qui approchait, quelques secondes après des soldats crièrent :

- Allez bougez vous les filles ! Occupez vous de celui là et prenez leur capitaine en otage ! Médecin ! On a un blessé amenez vous bordel !
- Tout de suite monsieur.

Une fois la vue retrouvée, je sentais que le médecin tentait de m’enlever le couteau du ventre :

- NON ! Criais-je avec autorité
- Mais…
- Il est ciselé ! N’y touché même pas !
- D’accord je vais essayer de vous le fixer.

Je détournai mon regard et vis le capitaine russe aux mains de deux marines, essayant de se débattre de leur étreinte il lâcha des injures dans sa langue laide et incompréhensible.
Le médecin finit sa tâche lorsqu’un soldat cria :

- A COUVERT !
( Musique d’ambiance http://www.youtube.com/watch?v=mtAUp_imq58 )

Tous se mirent à terre et le médecin me couvrit la tête, pendant ce temps là hélicoptère entama une descente mortelle vers le sol, son rotor arrière étant abattu, l’hélico’ tournait sur lui-même avant, le tout était couvert par un bruit strident émanant des hélices. L’hélicoptère tenta une dernière manœuvre avant de venir s’écraser contre un building.
Quelques minutes plus tard d’autres missiles suivirent venant se logés dans le bâtiment où nous nous trouvions :

Le Caporal responsable de l’équipe nous ordonna de descendre en vitesse :

- Allez bougez vous ! Bougez vous merde !

Le médecin arriva à me relever tant bien que mal et nous nous commencions notre course infernale dans le bâtiment donc les étages s’effondraient, le bâtiment n’allait pas tenir le éternellement. La cage d’escalier fut descendue en vitesse et les trainârds se firent emporter par le déchaussement de ce dernier. Le capitaine russe était devant moi, suivant Miller et le Sergent Tomasson :

(Changement de soundtrack http://www.youtube.com/watch?v=c_0Wi_J8LpM&feature=related)

- BOUGEZ VOUS ! ALLEZ AVANCER BORDEL DE MERDE ! LE BATIMENT NOUS TOMBE DESSUS !

Une fois dans les couloirs, tous entamèrent une pointe de vitesse et les trois premiers se firent écrasés par le béton qui tomber d’étages en étages ayant laisser un trou béant.
Le russe, moi et le Sergent coupèrent par un bureau nous emmenant dans un couloir parallèle à celui dans lequel nous nous trouvions. Nous étions contraint à sauter au dessus des bureaux pour éviter d’être ensevelis par les étages s’écroulant.
Les missiles continuaient à se logés dans le building.

Une fois dans le couloir nous continuâmes notre course effrénée contre la mort. Lorsqu’un mur s’écroula, nous forçant à brusquement faire demi tour.
Le couloir donné sur un escalier, il fallait l’atteindre avant qu’un trou ne se forme.
Le sol s’effritait sous nos pas et de la poussière émanait du plafond, provoquant des toux.
Une fois arrivés à l’escalier nous descendîmes les marches 3 par trois, derrière nous, les marches que nous venions d’emprunter tombèrent nous empêchant de progresser. Une porte donnait sur un énième couloir que nous empruntions. Nous prenions la première porte qui se présenta à nous et entrèrent dans le bureau où gisait l’hélicoptère de l’escouade Echo. Celui tomba au bout de quelques secondes entraînant avec lui la totalité du bureau, le Sergent et le capitaine russe atteignirent le pas de la porte lorsque je trébucha. Le sol s’effritait jusque céder :

- NOOOOOON !

Une main se saisit de la mienne et la tête du capitaine russe me regardait d’un air inquiet, me hissant jusque le rebord…

Ending http://www.youtube.com/watch?v=MR56UVKk-t0&feature=related

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:30:05

Putain le vieux fail naaaan ! le début de post d'avant est le chapitre 5 j'ai tout pris au lieu de ne prendre que le chapitre 6

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:30:24

Partie 7 : Arrivée inattendue.

Opening http://www.youtube.com/watch?v=60sktPhEUwI

Soundtrack http://www.youtube.com/watch?v=lAtYoTLrxCU&feature=related

Une main se saisit de la mienne et la tête du capitaine russe me regardait d’un air inquiet, me hissant jusque le rebord… Puis un sourire se dessina su le coin de ses lèvres, pendant qu’il me hissait il dit quelque chose en russe. Le Sergent demeurait perplexe et voyant la difficulté du russe à me relever, mit son M4 dans son dos et me saisit la seconde main, une fois relevé il me prit l’épaule, approcha sa tête et me chuchota :

- Reste sur tes gardes, il essaie d’abuser de notre confiance.
- Vous voyez le mal où il n’est pas Sergent.
- Bien, ne vous étonnez pas lorsqu’il vous plantera son couteau dans le dos ! Me rétorqua-il.

Je m’apprêtais à répondre lorsque le fracas d’un mur s’écroulant me ramena à la dure réalité, aussitôt nous nous élancèrent dans un énième couloir. Au bout de quelques secondes un trou béant creusé dans le sol obstruait notre progression. Le Sergent sortit alors un filin métallique et trois mousquetons de son sac, il accrocha ce dernier en vitesse et nous lança les deux autres en nous criant de se dépêcher. Le Sergent accrocha le filin avec un quatrième harnais à une barre d’acier rouillée et tordu. J’eus à peine le temps de vérifier la sécurité de mon attache que le Sergent s’élança dans le vide, nous emportant moi et le russe dans une chute vertigineuse qui me provoqua un haut le cœur.

Heureusement pour nous, le Sergent avait bien calculé son coup et le filin qui était légèrement trop court s’arrêta à quelques mètres du sol. Un craquement sourd me fit lever la tête et je vis le plafond s’écrouler :

- SAUTEZ ! Cria le Sergent en détachant le mousqueton.

Le Capitaine russe le suivi, je constatai avec horreur que le mousqueton ne voulait pas se détacher, à ce moment là je mis mes mains au dessus de ma tête et ferma les yeux, espérant ne pas recevoir un morceau de béton…
Je distinguais le claquement du béton s’écraser contre le sol et j’entendais le Sergent crier mon nom.
En ouvrant les yeux, je me rendis compte que j’étais baigné par la lumière du soleil, je pouvais voir la poussière ambiante vire voleter au gré des mouvements de l’air :

- Khaine ! Khaine bordel tu m’entends ! Hé ! S’égosilla le Sergent.
- Je n’ais rien ! Par contre le mousqueton ne veut pas s’ouvrir !
- Hé merde ! Bon… Ecoute, si tu es au niveau d’un couloir essaie de te balancer et de l’atteindre. Compris ?
- Je ne vois pas bien ce que cela va changer !
- Ferme là et fais ce que je te dis ! Rétorqua-t-il
- C’est moi le Lieutenant ici, connard… Pensais-je.

J’exécutai aveuglément les ordres du Sergent, je ne voyais toujours pas ce que cela changerais à ma situation mais il semblait sur de lui. Je me balançai alors de gauche à droite essayant d’atteindre le rebord du couloir le plus proche lorsque le filin descendit d’un coup et s’arrêta brusquement quelques mètres plus bas. Dix bons mètres séparaient ma position du sol. Cette fois-ci je me retrouvais entre deux étages :

- T’inquiète on est sur le coup ! Dit le Sergent.

Des cadavres gisaient prés d’eux et le Sergent s’empara d’un M41. Il visa au dessus de moi et ouvrit le feu, un trait orangé vola vers moi et fit sursauter :

- Fait gaffe merde ! Dis-je avec colère.
- Je gère j’te dis ! Relax ! Dit-il calmement.

Une deuxième balle file sous un trait orangé et se fourra dans le mur, le Sergent lâcha un juron avant de recommencer, cette fois ci la balle atteignit sa cible et le filin descendit avant de s’arrêter brusquement :

- J’y suis presque ! Tiens bon ! Cria t-il.

Il recommença et cette fois ci le filin céda, me faisant tomber de cinq mètres. Une fois à terre je me relevai lentement et entendit un bruit sourd provenant de l’extérieur, attirant nos regard vers le mur à notre droite. Quelques secondes passèrent lorsqu’une salve de balles déchiqueta le mur par morceaux laissant découvrir un hélicoptère positionné de façon à ce que le mitrailleur de gauche puisse tirer, un homme était accroché à une barre fixée au plafond de l’hélicoptère, il cria :

- Content de vous voir Lieutenant Khaine !

TheRavenseagle
Niveau 10
10 mars 2010 à 21:47:35

Bonsoir,

Suite à la réussite de la fiction je vais être un peu plus ambitieux dans le cas ou je compte faire un grande partie. Au programme escapade à travers le monde ( sans surprises) Véritable trame scénarisée et combat encore plus acharnés et violents. Ce chapitre rassembleras les 3 principaux protagoniste apparut jusqu'à présent ainsi que de nouveaux personnages. Aussi je compte améliorer mon style d'écriture en rendant les chapitres plus long et plus riches.
J'espère qu'elle vous plaira :-)

/!\ Veuillez ne pas poster de commentaire sur ce topic, je demanderais la suppression de ces derniers si c'est le cas et ceci dans le souci de faire un topic clair et concis. Vous êtes prévenus :) /!\

TheRavenseagle
Niveau 10
08 avril 2010 à 20:46:06

Bon je vous met un extrait de la fiction. Il se situe au milieu de l'intrigue et ne constitue pas un véritable spoiler :) J'espère que vous aimerez.
Hum concernant la fiction. Elle risque d'être plus que violente à certain moment vous le verrez lorsque je posterais les premiers chapitres. Donc je vous met en garde X)

Extrait de la fiction.
http://www.deezer.com/fr/#music/result/all/i%20can%20transform%20ya

Les marines s’étaient retranchés dans la capitale, attendant désespérément l’arrivée des VBTT. La situation devenait intenable et les Spetsnaz russe ne faisaient que gagner du terrain.
Les balles fusaient de toutes part, hachant les murs de plâtre. La ville n’était devenue qu’une ruine depuis le début de la guerre. La lumière du soleil commençait à faiblir, la nuit sera impitoyable.
Un soldat cria :

- CAPITAINE ! IL NOUS FAUT DES LUNETTES INFRAROUGE OU ON SERA MORT AVANT LE LEVER DU JOUR !
- JOHN CONTACTEZ LE QG DEMANDEZ LEURS UNE LARGUAGE D’URGENCE ! Répliqua le gradé à l’attention de l’officier de communication.
Ce dernier acquiesca et contacta l’état major. Le Lieutenant Shepard leva son SCAR-H et tua deux Spetsnaz qui tentaient de traverser l’allée.

Lorsque les balles les fauchèrent de multiples filets de sang giclèrent de leurs corps, tombant inertes dans une flaque d’eau.
Les marines tinrent leurs positions durant une trentaine de minutes mais lorsque les munitions manquèrent la panique commença à les gagner. Les Américains cherchaient désespérément une issu à cette situation et le Capitaine remarqua un bâtiment dont la façade était éventrée :

- SHEPARD ! Cria le responsable de l’unité, tentant de perçant le brouhaha de la guerre.
- -SHEPARD PUTAIN ! Cria t-il une seconde fois. Le Lieutenant ne semblait rien entendre. Le Capitaine chopa une pierre et la balança sur le casque de son subordonné. Qui lâcha une plainte :
- PUTAIN MAIS T’ES CON OU QUOI ?
- PAS LE TEMPS POUR SE FRITER SHEPARD ON DOIT DEGAGER DE LA ! VOUS ET VOS HOMMES VOUS PRENEZ LA 13éme ET VOUS REJOIGNEZ CE BATIMENT !
-
Le Lieutenant chercha le bâtiment et rassembla ses hommes avant de s’engager dans l’allée.
Les marines couraient de toutes leurs forces lorsque une dizaine d’entre eux s’écroulèrent sur le sol. Des claquements sourds se firent entendre et les marines tombèrent sous les balles.
La seconde partie du groupe continuait de courir et atteignirent le bâtiment. Shepard dégaina son AA-12 et s’engouffra à la tête de ses hommes dans le bâtiment. Ils montèrent les escaliers et déboulèrent dans un long couloir ponctué de portes. Les Américains ouvrèrent les portes une à une, découvrant à chaque fois des cadavres de civils criblés de balles :

- Putain maintenant je sais comment les Russes ont évacués la ville en deux jours…

Lâcha un Keirns en dépouillant les corps de tout ce qu’ils avaient de valeur sur eux. Il s’apprêtait à ressortir lorsque Shepard apparut sur le pied de la porte :

- Repose ce que tu viens de prendre. Ordonna le Lieutenant.
- Hein ? Ha ha je ne vois pas du tout de quoi vous parlez Lieutenant… Dit le marine en tentant de forcer le passage.
- Tu me prends pour un con là ou quoi ? Lâcha Shepard en agrippant Keirns par le col, le plaquant au mur par la même occasion.
- Et maintenant tu vas faire quoi hein ? Finit le gradé.
- Si tu me lâche pas je te bute connard… Le menaça l’ancien gangster.
Shepard baissa le corps de son soldat et lui décocha un coup de genoux dans le ventre avant de le faire trébucher sur le sol.
Le marine sortit vingt billets russes de sa poche avant de menacer son supérieur :

- C’est comme ça qu’on traite les pillards dans l’armée petit enfoiré. Allez dégage de là ou je t’exécute sur place. Gronda Shepard.

Keirns se releva et essuya le sang qui dégoulinait de sa bouche avant de sortir de la salle en regardant son supérieur de travers. Shepard saisis son oreillette et dit :

- Surveillez Keirns, si il vole quelque chose butez le.
- Affirmatif. Répondirent trois hommes… trois hommes sur une dizaine que comptait l’unité…

/!\ Ne postez pas de commentaires sur ce topic S.V.P ! /!\
Postez les ici :d) https://m.jeuxvideo.com/forums/1-18353-755990-1-0-1-0-hs-fic-la-souffrances-de-nos-fils.htm

TheRavenseagle
Niveau 10
18 avril 2010 à 21:44:18

Prologue - Chapitre 0 : un précepte à la guerre.

Prologue - Chapitre 0 : Un précepte à la guerre.

« L’ère humaine est ponctuée de guerre en tout genre, et ce, depuis les débuts de l’humanité. La souffrance des hommes ne se dissipera jamais. La technologie n’a fait que renforcer cette souffrance avec l’arrivée de la bombe nucléaire, en 2013 une grande crise toucha la majorité des pays développés et ruina beaucoup d’entre eux, laissant la place aux autres pays, moins développés. L’humanité reste au bord de la guerre et de la décadence humaine… L’avènement de l’homme ne saurait tarder. »

Les Etats-Unis, ancienne super-puissance mondiale, ce pays est maintenant dépassé par les évènements. Leurs forces stationnées aux quatre coins du globe ont été, pour la plupart, chassées. Il ne reste plus que quelques pays encore sous l’influence américaine. Une crise ayant frappée tous les pays développés à ruiner les Etats-Unis. Les américains ont dû demander de l’aide aux britanniques qui actuellement les ravitaillent et les soutiennent aussi bien économiquement que militairement. Grâce à ce soutien les Etats-Unis se sont relevés mais demeurent la cinquième puissance mondiale. Malgré toutes ses difficultés, l’armée américaine reste encore la plus puissante et la plus évoluée technologiquement. L’institut aéronaval d’Harvard, récemment créer travaille actuellement sur un avion supersonique lourd et de destruction massive. Les opérations de propagande sur « Le bienfait américains » se révèlent êtres catastrophiques.

La France quant à elle entre dans une époque de chaos, la démocratie actuelle de la VIéme république peine à gérer correctement le pays, la délinquance réelle à atteint un taux de 54 % et les gangs parviennent tenir tête aux forces de police et de gendarmerie en se fournissant en armes au marché noir tenu par les immigrés. Le gouvernement a de ce fait isolé les principaux foyers de délinquances dans des « Banlieues » qui sont dénuées de tous contrôles policiers.

L’Angleterre entre, elle, dans une ère de prospérité, ce pays s’est maintenant spécialisé dans l’import-export et domine le commerce mondial en s’appuyant sur une économie en béton. Pour ce qui est de la défense ou de l’attaque elle se repose sur une armée de plusieurs millions d’hommes prêts à donner leurs vies pour leur patrie. L’Angleterre est actuellement la deuxième puissance économique dérriére la Chine.

La Russie est au bord du coup d’état, le parti politique dominant actuel est le Narodnaïa Volia et compte faire du pays une dictature pure et dure. Une opération d’extermination des partis politiques adverses a déjà été lancée, le parti Narodnaïa Volia fit un attentat à la bombe sur le Kremlin et la faute fut rejetée sur les Communistes qui furent chassés du pays. Ce pays est la troisième puissance mondiale. Le parti Narodnaïa Volia est un parti anti-américain qui a promis de détruire ses « Impurs ».

La Confédération Anti-Américaine mondiale regroupe tous les pays régis par les groupes anti-américains, ils sont au rang de quatrième puissance mondiale. Ces pays possèdent la majorité des têtes nucléaires mondiales, fort heureusement ces têtes sont inactives et requiert l’aide de hauts rangs russes ou américains, car toutes volées. L’Iran et d’autres pays travaillent actuellement sur un « Super Ogive nucléaire ». Les paysans partisans de ce mouvement sont : le Canada, le Brésil, le Japon, l’Allemagne, la Grèce, l’Espagne et la totalité des pays Arabes et Africains.

La Chine, toujours sous le régime Communiste, a réussi le défi d’être reléguée au rang de première puissance mondiale en moins de cinq années et est ainsi devenue « LA » Superpuissance mondiale. Basée sur une forte économie et un régime sans faille, la dictature chinoise à concentrer tous ses efforts dans l’extraction du charbon et la recherche d’énergie renouvelable. Toute les sources de charbons épuisées, les chinois se basent maintenant sur l’extraction d’aluminium ainsi que l’uranium et le plutonium dont les filons sont extrêmement abondants sur la face nord du pays et ceci dans le souci de posséder plus de bombe nucléaire que la Confédération Anti-Américaine mondiale. Le peuple chinois, dont l’état d’esprit est similaire à celui des hauts dirigeants du pays, se montre particulièrement efficace au travail et se démène pour garder le pays au premier rang mondial.

Le Japon se remet lentement de la grande crise de 2013 et tente de combler les difficultés rencontrer par le pays à cause de la surpopulation et de la faible demande commerciale. La politique anti-américaine du Japon date de 1945, date à laquelle les deux bombes nucléaires de type A (Bombes à fissions) Jusque là caché, cet anti-américanisme s’accentua avec l’arrivée du parti impérialiste en 2012 qui prône le retour à l’impérialisme japonais pur et dur.
Le chef de ce parti politique Tian Xun se dit le nouveau « Sun Tsu » et a promis que les souffrance occasionnées par les américains en 1945 leurs seraient rendues.

L’Allemagne ou « République fédérale d’Allemagne » entre dans une ère nouvelle, l’arrivée au pouvoir d’un nouveau chancelier provoque un chamboulement dans l’organisation du pays. Le nouveau chancelier prône l’anti-américanisme et l’affiche à grand coup de campagne publicitaire et de propagande ultra prononcée. Le ministre de la propagande n’y va pas de main morte, ces affiches vont jusqu'à insinuer que le pays est en parti contrôlé par les américains. En 2014 le système politique du pays bascule dans la dictature immorale et violente. Les intellectuels susceptibles de révéler au grand jour les mensonges du gouvernement sont assassinés et les mouvements anti-gouvernementaux sont réduits au silence. Les forces de polices, omniprésentes et la police politique s’occupent de maintenir l’ordre. Le pays a basculé dans la peur.

/!\ Aucun commentaires autorisés sur ce topic et ce dans le soucis d'un topic clair et concis, merci de respecter cette règles quiest on ne peut plus simple :) /!\

Pour les commentaires c'est par là :d) https://m.jeuxvideo.com/forums/1-18353-755990-1-0-1-0-hs-fic-la-souffrances-de-nos-fils.htm

TheRavenseagle
Niveau 10
18 avril 2010 à 21:46:17

:up:

TheRavenseagle
Niveau 10
26 avril 2010 à 15:48:27
  1. Prologue – Chapitre 2

« Lundi 23 Mars 2014 -9h43- Bureau du premier ministre britannique. »

- Je ne peux pas accepter cela ! Cria le premier ministre britannique.
- Mais… Monsieur, nous ne pouvons plus nous permettre de soutenir les Etats-Unis... La situation devient catastrophique, Chaque jours, de plus en plus de pays se rallient à la Confédération… Dit l’inconnu.
- C’est hors de question ! Nous avons un contrat avec les Etats-Unis ! Ils nous soutenaient quand nous en avions besoin ! Maintenant c’est à nous de leur rendre la monnaie de leurs pièces !
- Mais… Monsieur…
- Je ne démordrais de ma décision ! Le coupa le premier ministre.

L’inconnu examina son bloc de donnée d’un air abattu pendant que le premier ministre tapa sa cigarette contre le cendrier en porcelaine qui était disposé sur son bureau. La lumière ornait la pièce par la baie vitrée derrière le premier ministre.

- Alors ? J’espère que vous avez des arguments plus convaincants que ceux présentés James car vous me faites perdre un temps précieux. Vous pouvez sortir si vous voulez. Dit l’homme d’état en retirant la cigarette de sa bouche, rejetant de la fumée au passage.
- Soit, mais sachez que la moindre erreur de votre part sera fatale. Répondit l’inconnu.
- Serait-ce une menace que vous interprétez ici ? L’interrogea le premier ministre.
- Non… Juste un avertissement quant à la menace que représente la Confédération Anti-Américains Mondiale… Affirma l’inconnu.
- Mais que cette « Confédération » aille au diable ! Je les emmerde tous autant qu’ils sont ! Vous pouvez sortir ! J’en ai plus qu’assez ! Cria le premier ministre qui s’était levé en frappant son bureau, la cigarette à la bouche. Un rictus de colère se dessinait sur son visage.

L’inconnu sortit de la salle, accompagné de gardes du corps qui reprirent place devant la porte menant au bureau du premier ministre. L’inconnu fit quelques mètres dans le couloir avant de d’activer discrètement une oreillette. Une voix synthétique dit :

- Connexion avec le gérant du réseau en cours, monsieur Taylor.

Après quelques secondes une voix grave se fit entendre dans l’oreillette et engagea la conversation :

- Alors Taylor… Comment s’est passée votre conversation avec le premier ministre ?
- Hé bien… A vrai dire il m’a clairement fait comprendre ses intentions… Répondit Taylor.
- Ha ? Hé bien, exprimez-vous ! Que vous à t’il dit ? Demanda l’inconnu.
- Il continuera à aider les Etats-Unis coûte que coûte, il ne démords pas de sa position. Raconta Taylor.
- Hum… Vous à t’il parler du « Projet 0 » ? Compte t’il le financer ? Demanda l’inconnu.
- Non, il ne m’a pas parlé du « Projet 0 » mais… Si cela un rapport avec les U.S.A il le financera sûrement... Répondit Taylor.
- Je pense que cela à un rapport avec eux mais mes sources ne sont plus… Vérifiables…
- Comment ça « Elle ne sont plus vérifiables » ? Demanda Taylor.
- Cela ne vous regarde pas monsieur Taylor ! Contentez vous de faire ce qu’on vous demande et vous en saurez peut être plus, compris ? …Bref j’essaierais de faire jouer mes relations chez la Confédération pour mettre la pression au gouvernement britannique. Nous allons devoir la jouer fine Taylor est-ce clair ? Ne mettez pas en danger le réseau et tout se passeras bien. Je vous avertirais quand j’aurais analysé la situation avec mes subordonnées. Bonne journée Taylor. Fini l’inconnus.

La connexion s’interrompu et Taylor continua son chemin.

« Lundi 23 Mars 2014 -10h21- Site d’essais de tir Roméo 7, Colorado. »

La base d’essais de tir Roméo 7, située en plein cœur du Colorado est la principale base spécialisée dans ce genre de pratique, là bas, sont testés et approuvés les derniers types d’armes et de munitions avant d’être utilisés sur le terrain par l’armée américaine. Le Commandant Sanderson, avec l’aide de scientifiques approuvés coordonnent et expérimentent les armes et munitions apportés. Ces munitions, sont transportées via transport aériens, et plus particulièrement par les AC-130 de nouvelle génération. Les armes quant à elle, car étant le plus souvent de nouvelles pièces d’artilleries sont transportées par transport terrestre.
Aujourd’hui, le Commandant Sanderson expérimentait de nouveaux obus de gros calibre consistant à enflammer la zone après impact et explosion de l’obus.

Le grondement sourd éprouvé par le canon projeta de la poussière sur plusieurs mètres, poussant les soldats à se retourner en se protégeant les yeux et les oreilles. L’obus perça l’atmosphère à une vitesse moyenne de 900 mètres/secondes. Vitesse tout bonnement hallucinante. Quelques secondes après l’obus percuta le sol et souleva un nuage de terre et de poussière à près de quarante mètres de hauteur avant de retomber sur le sol.
Le Commandant Sanderson après quelques secondes demanda d’un air dubitatif :

- Hé bien ? Le sol va s’embraser oui ou merde ?
- Patientez un instant Commandant, les agents de chaleur doivent rester en contact avec l’air pendant quelques instants afin que la fusion puisse avoir lieu. Répondit un scientifique qui tapait sur un ordinateur.
- Mais cela devrait….
- Commandant ! Regardez ! Cria un marine en tendant les jumelles tactiques à son supérieur.

L’intéressé prit les jumelles et regarda à travers avant de lâcher un cri de victoire. Le sol brûlait sur près de dix mètres, soit la totalité de l’aire de destruction. En effet, le principe des munitions incendiaire est de faire brûler la totalité de l’aire de destruction afin réduire au zéro absolus, toutes les chances de survie dans cette aire.

- Gabes ! Faites moi tout de suite un rapport sur le test effectués aujourd’hui, je veux que tout y soit consigné ! Ordonna Sanderson.
- Bien sûr, Commandant ! Répondit l’intéressé.

Le Commandant continuait toujours d’admirer les flammes purificatrices embraser le sol. Il lâcha les jumelles une fois les flammes éteintes par des soldats qui s’étaient rendus sur les lieux et demanda à son meilleur scientifique de tout lui raconter sur la conception de ce type de munition :

- Hé bien… C’est très simple Commandant. Nous devons introduire et connecter un moteur à fusion dans le corps de la base de la pièce d’artillerie, c’est ce moteur qui va transmettre les propriétés permettant l’embrasement de l’obus ensuite, la matrice de micro-fusion pourra entamer…
- Ouais ouais c’est bon j’ai compris. J’espère que l’on pourra au moins l’utiliser au Pakistan. Le coupa Sanderson
- Ne vous inquiétez pas Commandant, les munitions seront fonctionnelles d’ici deux semaines tout au plus. Affirma le scientifique.
- Dites ça à l’état major. Termina le Commandant.

1
Sujet : [HS] Chapitres la souffrance de nos fils
   Retour haut de page
Consulter la version web de cette page