Voilà, on sf m'a dit de changer le titre de mon topic, alors voilà :
Ezio ! Ezio !
Il reconnut la voix de crécelle de sa sœur, malgré qu‘il émergeait à peine de son sommeil. Il vit son visage apparaître entre les rideau du lit à baldaquin.
- Dépêche-toi, ça va commencer ! Dit-elle de son habituel air pressé et euphorique.
Sa sœur sortit en courant. Ezio avait du mal à ouvrir les yeux, ses paupières restaient collées.
Il enfila rapidement un habit décent, et descendit l’escalier.
De sa maison, il entendait des détonations, des pétarades, des cris de joie, la musique des luth ou encore des trompettes : c’était l’anniversaire du prêtre de la ville, Monseigneur Montenero.
Montenero faisait partie des personnes qu’Ezio détestait , mais que sa famille adorait. Etant membre de la noblesse de Venise, Ezio était forcé de se rendre à des banquets et autres fêtes entre riches, ce qui fait qu’il rencontrait le prêtre assez souvent. Ezio considérait le prêtre comme un hypocrite, un menteur et un profiteur, bref, une personne digne de se retrouver mort dans un des canaux sans que personne le pleure. Mais au contraire, tout le monde l’adorait en Italie, dont les parents d’Ezio.
Il prit son manteau et se rendit dans le centre-ville, par le chemin qui serpentait devant la villa.
la suite :
Un courant d’air fit voler son chapeau sur les pavés. Il allait se poser à quelques mètres du canal qu'il longeait. Il s’apprêtait à le ramasser quand soudain il sentit quelque chose, dans son dos. Il se retourna brusquement, la main sur sa dague, prèt à frapper. Mais il n’y avait strictement rien, le calme plat, pas une mouche ne volait : tout le monde était à la fête, pour honorer le prêtre Montenero. Tout ces gens qui allaient rendre visite à ce vieux bougre…Tous des hypocrite, des menteurs. Car Montenero, bien qu’aimé par les gens de façon superficielle, était très controversé à Venise : il avait une influence plus que certaine au Conseil ducal, qui gérait la ville.
Montenero avait versé d’importante somme d’argent pour construire des bateaux et renouveler les routes aux alentours de Venise, alors que beaucoup, dans le quartier pauvre, mourraient de faim.
Mais les citoyens allaient à la fête malgré cela, gardaient le silence : personne n’osait s’élever face au prêtre, et par conséquent, au Conseil ducal. Tous des menteurs… Et Ezio ne se serait pas privé pour le dire, s’il avait été plus âgé. Du haut de ses 16 ans, il n’aurait fait qu’attirer le malheur sur la famille, ce qu’il ne voulait à aucun prix. Mais malgré cela, il devait faire de grand effort pour se garder de faire des commentaires envers les dirigeants de la ville.
Inquiet malgré tout, ne sachant pas s’il y avait vraiment quelqu’un ou si son imagination lui jouait des tours, il ramassa son chapeau et suivit les sons des pétards et des instruments de musique.
Mais ce qu’il avait senti ne le quitta pas : c’était comme un bruissement de vêtement…Quelqu’un le suivait-il ? Pourquoi ? Pour ses pensées envers le prêtre ? Personne ne les ignorait dans la famille, mais tout le monde l’avait prié de garder le silence.
Quand il parvint à la conclusion qu’il avait été victime d’une vision, il entendit quelque chose, comme des pas pressés, de l’autre côté du canal qu’il longeait. Un homme vêtu de gris courrait sur les toits des maisons, s’accrochait à tout ce qu’il pouvait. Il se balançait d’une prise à une autre, comme un singe dans une bananeraie, sans jamais s’arrêter.
Cela n’avait duré que quelques secondes, c’était sûrement un saltimbanque ou un acrobate qui était arrivé en retard pour animé la fête. Cet homme l’amusait, le fascinait, et le terrifiait à la fois. Les gens en retard avaient toujours amusés Ezio quand ils se dépêchaient pour arriver le plus vite possible , et le moyen qu’avaient employé cet homme pour le faire encore plus.
L’agilité de l’homme-singe fascinait Ezio comme un petit enfant devant un feu d’artifice, mais il le terrifiait aussi, car l’homme portait un capuchon, baissé sur ses yeux. Pourquoi porter un capuchon si ce n’est si on a quelque chose a caché ?
Ses pensées se brouillant dans sa tête, Ezio continua son chemin, mais regardait plusieurs fois derrière lui.
non sa c'est le début moi je veux la suite du reste stp
Euuh..c'est le fruit de votre imagination,cette histoire ? Ou pas
Oui, c'est pour ça qu'il y a une balise [FIC]
D'ailleurs j'en écrirai bien une moi
Super flash-memory
- Je...je...
Les mots restaient coincés dans sa gorge. Il fixait le visage du prêtre,les yeux exorbités, nageant dans une mare de sang.
Les gardes s'apprêtaient à le transpercer avec leur armes tranchantes.
Dans un geste pitoyable, Ezio tomba au sol et, comme un animal acculé, vint se tapir contre le lit où gisait le prêtre...
Il tremblait, il avait peur. Il essayait de lutter contre cet horrible sentiment, mais il entendait ses dents claquer les une contre les autres. SOudain, sa main rencontra un petit objet metallique, un anneau. Il n'eut pas le temps de réfléchir car un des gardes levait son arme en criant : "Assassino !"
Mais un hurlement le stoppa net. Un homme ouvrit la porte de la chambre du prêtre. Il devait avoir la quarantaine, il était barbu, et richement habillé. Un sabre pendait à sa ceinture, et une magnifique bague, qui valait surement autant qu'une dizaine de chevaux, ornait sa main.
Il chuchota quelque chose à l'oreille d'un des gardes, puis se tourna vers Ezio.
- Tu es le fils de Santiago Auditore di Firenze ?
Ezio ignorait qui était cet homme, et déjà il lui inspirait un profond mépris.
L'homme répéta la question, plus fermement. Ezio restait cloisonné dans son silence.
- Ton silence parle pour toi, mon garçon... Emmenez-le !
Les gardes empoignèrent le jeune garçon en dehors de la maison. Il tenait toujours l'anneau en main...
A vous
Houlà houlà j'ai plein d'idée pour la suite là ^^
Ecriiiiiiis les ,, j`kiff
mi aussi je kiff a balle
Pas mal, j'aime bien
Une suite ?
Je m'emballe, je sais mais voilà, ça me prend comme ça je suis obligé d'écrire ^^
Il prit une grande bouffée d’oxygène en reprenant conscience. Il était tombé dans le coma apparemment, et il sentait une grosse bosse dans la région de sa tempe. Il était dans une sorte de bureau solidement accroché à une chaise par des liens affreusement serrés.
Il y avait une gigantesque bibliothèque à sa droite, débordant de livres et grimoires en tout genre, couverts de poussières. A sa droite, une porte… En face de lui, il y avait un grand bureau sur lequel des centaines de papiers avaient été jetés, précipitamment.
Il tenta d’identifier certains de ces papiers : la plupart étaient des enveloppes , encore scellés par un sceau de cire, formant un grand A stylisé. Il vit aussi un petit objet brillant au milieu du fouillis.
Il aurait aimé s’approcher davantage, mais ses jambes étaient aussi attachées à la chaise. Un homme entra : c’était l’homme qui lui avait demandé son identité, qui avait remarqué qu’il était le fils de Santiago.
L’homme ne dit rien, et tourna en rond autour d’Ezio, en le fixant droit dans les yeux, pour l’intimider.
Ezio soutint son regard…
- Tu es bien le fils de Santiago…
Il eut un rire forcé.
- Lui aussi se croit toujours au-dessus de tout le monde… Mais donc, mon garçon ! Parlons de ce qui s’est passé hier soir !
Ezio continua à fixer cet homme, et ne dit rien.
- Parce que tu ne dis rien, tu te crois fort ? C’est ça ? Non, tu n’es pas fort… Tu es arrogant ! Mais sache bien quelque chose mon garçon, tu n’es rien pour moi, rien de plus qu’un vers de terre, tout comme ton père.
Ezio rougit de colère : il ne supportait pas qu’on salisse le nom de son père, qui avait tant travaillé et tant souffert pour en arriver où il en est aujourd’hui. Emporte par ces sentiments, il cracha sur son vis-à-vis.
L’autre ne sembla pas spécialement outré de ce geste, et eut un rictus moqueur.
- Je m’appelle Fabrizio Abronanto, membre du Conseil ducal de Venise. Toi, qui es-tu ?
- Je suis Ezio…Ezio Auditore Di Firenze ! Et allez au Diable, vous et tous vos congénères !
- Di Firenze… Que viens-tu faire à Venise si tu vis à Florence ! ( NDLR : Firenze = Florence en Italien )
- J’ai suivi ma famille !
- Les affaires n’est-ce pas ?
Abronanto fit le tour de son bureau et alla s’asseoir sur la chaise posée derrière.
- Tu as attiré des ennuis à ta famille…d’énorme ennuis à cause de ce que tu as fait à ce brave Montenero. Tu en es conscient…Et de plus, ta famille n’était déjà pas vraiment aimée Venise par la noblesse, et Montenero était apprécie par celle-ci … De très gros ennuis, Ezio !
- Je n’ai rien fait, il y avait un homme qui …
- NON !
Le cri du duc avait apeuré Ezio. Abronanto s’était levé de la chaise et regardait Ezio d’un regard prédateur.
- Je ne veux pas de mensonges… Tu étais le seul dans la chambre au moment du meurtre, et de plus, on a retrouvé l’arme du crime où tu l’avais cachée…
Ezio n’en revenait pas … L’assassin, le vrai, l’avait piégé.
- Non, non c’est impossible ! Je venais d’arriver quand j’ai vu Montenero mort !
- Tu seras jugé dans deux jours pour ton crime, Ezio Auditore, profite bien de tes derniers jours !
- Je n’ai rien fait !
- MENSONGES !
Il avait giflé Ezio. Sa joue n’enflamma et sa colère redoubla d’intensité.
- Promettez-moi que rien n’arrivera à ma famille !
- C’est trop tard, Ezio … Ils payeront, sois-en certains…
Abronanto sortit de la pièce, et les gardes conduirent Ezio dans une geôle pourrissante au sous-sol de la maison. Qu’allait-il faire à sa famille… Il était jugé coupable d’un meurtre envers une des sommités de Venise… Qu’allait-il leur arriver ?
Je précise que mon histoire ne se base sur rien de vrai, il peut y avoir des anachronismes ou autre ...
Vous en pensez quoi pour l'instant ?
je kiff a balle vasi encore encore encore !!!!!!!!!!!!! stp
Ca sort comme ça !
Il eut la nausée en entrant dans le cachot. Il dut se retenir de vider le contenu de son estomac sur le sol peuplé de rat et de paille infestée de puces.
Il faisait horriblement sombre là-dedans. On ne voyait pas à 3 pas sans torche.
Le cachot, au plafond bas était constitué d'une dizaine de cellules de 5 mètres sur quatre, recouverte de paille et délimitée par d'épais barreaux de métal. De là où il était, Ezio ne voyait personne dans les cellules, personne de vivant en tout cas. En effet, il voyait un cadavre sale dans une cellules, couché sur le ventre, couvert de poussière et de saletés.
Les gardes le jettèrent précisément dans cette cellule. Il se fracassa le crâne sur un des barreaux et resta plusieurs minutes immobile se tenant la tête. Il aurait mieux fait de rester chez lui aujourd'hui... Rien ne serait arrivé s'il avait continué, il aurait pu continuer sa minable existence, sans avoir de problème.
- Tu veux de l'aide pour ta tête ?
Ezio eut un sursaut et un cri de terreur.
Dans cette obscurité, il n'avait pas vu l'homme adossé aux barreau. Malgré la pénombre, il distingua une barbe naissante sur le visage de l'homme, qui devait avoir environ le double de son âge.
Ezio se souvint soudain qu'il lui avait posé une question.
- Non, non, ça ira...Je ne sens déjà plus rien...
- Il faut faire attention avec ce genre de blessure, tu sais...
- Oui...je sais...
- L'homme qui tu vois là ( il fit un geste vers le cadavre à quelques pas de lui ), en a fait le frais. A peine arrivé, les gardes l'ont jétés contre les barreaux et il ne sait jamais relevé. C'était hier, et personne n'est venu le sortir d'ici. Personne ne nous fera sortir d'ici, tu sais... Au fait, je m’appelle Leonardo. Et toi ?
- Ezio…Auditore.
- Ravi de te rencontrer Ezio.
Leonardo semblait faire abstraction de l’endroit où il se trouvait, et qu’ils allaient bientôt…
- Oui, moi aussi…, répondit Ezio d’un ton désespéré.
Ezio se releva et vérifia la solidité des barreaux.
- ça ne sert à rien, petit, j’ai déjà essayé, on ne sortira pas d’ici par la force. Il faut utiliser quelque chose de plus …. Rusé !
Lentement, Leonardo sortit une petite gourde et un petit caillou brillant d’une poche secrète.
( Rectification du topic, finalement, je vais écrire l'histoire moi-même pour l'instant, car j'ai des supers idées et j'ai vraiment envie de les mettre dans ce récit... )
super continue, c'est intéressant
La suiiiiiiiiiiiiite
Vraiment ,, super Fic
Chapeau
Super fic
Je t'aimeeeeeeeeeee
[ou pas ]
niark niark
Gurdil
pour kan la suite ? moi j'attend lol
Bientôt t'inquiète c'est en cours de dévellopement, j'attend une nouvelle crise d'inspiration ^^
Merci pour vos commentaires, ça donne vraiment envie de continuer
écrit plus vite bon sang sa m'occupe en attendent AC 2 hi hi hihi plus vite
lol
eziodu44 --> calme toi voyons!
...
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