Maintenant on sait tous qu´une finale est belle seulement si elle est gagnée ! Je pense que raymond doit remettre son équipe fétiche pour ce matchsacxhant que l´italie va jouée comme nous avec une pointe -> toni ...
Zidane va soulever la cdm pour son dernier match 
Oui sa sera une très belle fin de carrière pour Zidane 
Allez les bleus 
On va gagner la finale ou pas ? 
oui on va la gagner 
Très beau match de l´équipe de France mercredi soir contre une équipe du Portugal que je n´aurai jamais imaginé aussi mauvaise joueuse, je crois qu´ils ont détroné les Italiens 
Zidane a marqué un but tout un symbole de la réussite dans cette coupe du monde en plus un penalty tout à fait justifié ou il ne fallait pas trembler 
Et la défense a encore une nouvelle fois été très solide avec un Lilian Thuram qui a réalisé un superbe match comme toute l´équipe d´ailleur.
Petit bémol la fin de partie ou à mon gout on sait laissé trop dominé et on peut dire qu´on a tous eu peur devant nos télés.
Mais de toute façon l´essentiel est bien là on est en final pour la deuxième fois de notre histoire et je serai vraiment très heureux si on pouvait rajouter une deuxième étoile sur ce beau maillot bleus 
07/07/2006
Foot - CM -FRA : Sagnol : «Déçu que ça s´arrête» 
Mercredi, il a fendu l´armure du défenseur coriace en fondant en larmes, drapeau tricolore à la main, suite à la qualification de la France pour la finale de la Coupe du monde. Willy Sagnol fait partie des sept hommes d´influence qui encadrent la deuxième sélection française à placer la barre si haut dans le tournoi suprême. Proche de Zidane et délégué en chef lors de la négociation des primes, il est peut-être même un peu plus que cela. Le joueur du Bayern disputera presque la finale à domicile. C´est un homme fier qui a répondu aux questions des journalistes à la veille du grand départ pour Berlin : fier de son groupe, de ses performances, de la façon dont il a réglé ses problèmes sans exploser. «Notre force est surtout d´arriver à retranscrire sur le terrain notre façon de vivre ensemble».
«Willy Sagnol, l´ambiance au sein du groupe a-t-elle changé ces dernières heures, à l´approche d´une finale de Coupe du monde ?
C´est la même depuis le 8 juin, date de notre arrivée. Les bonnes performances facilitent certaines choses, mais notre façon de vivre n´a pas changé. Il y a moins d´éventuelles prises de tête sur la façon de jouer, sur l´élan qu´il faut donner à l´équipe sur le terrain. On a trouvé la bonne formule et il faut tout faire pour continuer ainsi encore 90 ou 120 minutes.
Vous voulez dire qu´il y a eu des prises de têtes ?
Bien sûr. Quand on sort de deux nuls avant de jouer le Togo, on se dit forcément que tout n´est pas parfait. On a cherché les détails qui restaient à améliorer et on a trouvé la clé, la bonne formule, celle qui fait que chacun donne le meilleur de lui-même. Il y a eu des discussions collectives, il y en a toujours quand ça ne va pas. On a tout fait ensemble depuis le début, dans les bons moments comme dans les plus difficiles. Mais le groupe n´est pas scindé en deux ou trois. De même, il n´y a pas les joueurs d´un côté et le staff de l´autre. Tout le monde a tiré dans le même sens, avec parfois des idées différentes.
Cette clé, quand l´avez-vous trouvé ?
Le match du Togo (2-0), même s´il a été difficile à aborder - car on savait ce qui pouvait se passer - nous a libéré de plein de choses. Il nous a permis d´évacuer le spectre de la dernière Coupe du monde et c´était un poids plus important qu´on pouvait le penser. Ce n´était pas la peur de se faire éliminer, plutôt la peur de ne pas arriver à donner le meilleur de nos possibilités.
La phrase «On vit ensemble, on meurt ensemble». Qui l´a trouvée ?
Je ne sais pas mais elle résume bien le groupe et pas seulement depuis deux semaines.
Avant cette finale, la défense est-elle le meilleur atout de cette équipe de France ?
Nous sommes persuadés depuis le début que c´est la clef de notre succès. Notre force est surtout d´arriver à retranscrire sur le terrain notre façon de vivre ensemble. Aujourd´hui, on se rend compte que cet esprit de corps, ce respect des uns envers les autres sont des valeurs qu´on ne doit pas oublier dans le football.
Mais contre l´Italie, faut-il s´attendre à une finale fermée ?
Fermée, je ne sais pas. Mais ce ne sera pas comme un Brésil-Argentine amical, c´est clair.
Comprenez vous que les observateurs étrangers s´attachent au fait que le jeu de l´équipe de France n´est pas spectaculaire ?
Si on est vraiment observateur de football, on ne peut que saluer le jeu pratiqué par la France et l´Italie depuis plusieurs matches. Ce sont les supporters et les gens en retrait du monde du foot qui disent que ce n´est pas spectaculaire.
Michel Platini s´est exprimé en ce sens...
Michel Platini a été numéro 10 à une époque où le football était différent de ce qu´il est aujourd´hui. Le Brésil et l´équipe de France de 1986 avaient un jeu plus porté vers l´offensive que l´équipe de France actuelle, sans doute. Mais les équipes évoluent en fonction des époques.
Pensez-vous au fait que ce sont les dernières heures de Zidane en tant que footballeur ? Et le dernier match de Thuram et Makelele en équipe de France ?
On y pense forcément car des personnes extérieures au groupe nous en parlent sans arrêt. Si Zizou a réussi de si grands matches, c´est qu´il a su faire abstraction de ça. C´est le lot du sportif. Eux, ça les pousse certainement à finir sur la meilleure note possible. Mais il y a des joueurs pour lesquels ce n´est pas fini. Si on peut aider ces trois ou quatre joueurs à finir sur une note extraordinaire, tant mieux, ça voudra dire que ce sera pas mal non plus pour nous.
Pensez-vous parfois au moment où vous allez retrouver le monde extérieur ?
Oui et on ne le redoute pas, tous autant qu´on est. Nous sommes ensemble depuis le 21 mai et, sur ce point, on sera un peu déçus que ça s´arrête dimanche soir.
Sur le plan personnel, ça vous fait du bien de vivre autre chose qu´un tournoi galère (Sagnol était là en 2002 et 2004, où il s´était blessé) ?
Je ne pense pas avoir vécu de grosses grosses galères, comme l´étaient par exemple les non qualifications pour les Coupes du monde 1990 et 1994. C´était les vraies heures noires du football français. 1998 et 2000 ont changé la donne, il y a une autre attente. Gagner la Coupe des confédérations deux fois, ce n´est pas rien (2001, 2003). Les Allemands auraient adoré la gagner en 2005. Mais c´est vrai, un nouveau titre de champion du monde ferait du bien.
Jouer une finale en Allemagne, ça doit être assez spécial pour vous qui évoluez au Bayern ?
Ça représente beaucoup de choses, mais je ne veux pas que cette donnée prenne le dessus sur le fait de jouer une finale avec la France, dans un groupe où je me sens très bien. Peut-être qu´émotionnellement pour moi, c´est effectivement mieux de jouer l´Italie. Mais vous oublierez ce que j´ai dit si ça se passe mal».
07/07/2006
Foot - CM - ITA : «On ne stoppe pas Zidane !» 
«J´ai déjà joué contre Zidane mais je n´ai jamais eu à le marquer. S´il vient dans ma zone, il faudra bien sûr que je le prenne». Les Bleus, et en particulier leur n°10, sont prévenus : Gennaro Gattuso est prêt à semer le trouble dans l´entrejeu français. Le féroce milieu défensif de l´AC Milan, plus sobre dans ses interventions depuis le début de la Coupe du monde que lors des compétitions de clubs, estime à l´instar d´Alessandro Del Piero que les Bleus seront légèrement favoris : «Ils ont l´habitude de gagner, mais ce sera un match ouvert. (...) On n´a pris qu´un seul but sur la compéitition un but contre son camp. C´est la preuve qu´on est bien concentré.»
Zidane, Zidane... Ce nom revient comme un refrain dans les questions adressées à Gattuso depuis que Marco Materazzi l´a désigné comme le joueur chargé de limiter l´influence de «Zizou». «Pourquoi Materazzi ne se mêle-t-il pas de ses affaires ?, répond Gattuso en rigolant. On ne stoppe pas Zidane ! Ce n´est pas mon projet. Il a joué ses trois dernières rencontres à un très haut niveau. A 34 ans, j´espère qu´il arrive en finale avec peu d´essence dans le moteur... Il faudra que j´ai un peu de chance car le problème c´est que jouer contre Zidane est un peu comme jouer au Bunto : tu vois la balle, tu ne la vois plus, tu vois la balle, tu ne la vois plus !»
«Bien sûr, on ne peut pas me comparer à des joueurs hors-norme comme Zidane, poursuit Gattuso. Mais je suis heureux avec ce que Dieu m´a donné. Sur le terrain, je fais mon travail. Je sais faire quelques trucs, mais pas des trucs comme Zidane...». L´expérience parle, relativise et adouçit les propos. «J´ai atteint une certaine maturité», affirme-t-il, marqué notamment pas la défaite en finale de la Ligue des champions en 2005 face à Liverpool, alors que les Milanais ont mené 3-0. «C´était un cauchemar. Après la finale , on avait un mois de vacances et j´y pensais tous les jours.» Un précédent qui n´est pas sans rappeller la défaite de la Squadra Azzurra face à la France en finale de l´Euro 2000 avec une égalisation in extremis. Mais l´Italie n´avait pas à cette époque un Gattuso sur le terrain face à Zidane.
Voilà le maillot de l´EdF qui sera fabriqué dés dimanche soir en cas de grand bonheur 
http://www.enregistrersous.com/images/2/00e3a221f11bbe8c1f059d7b7fbfa470.html
ah oui, ca rend quand meme super
08/07/2006
Foot - CM - FRA : Les journaux, lus ou pas lus ? 
Officiellement, les journaux ne circulent pas dans le château d´Aerzen où les Bleus ont passé la Coupe du monde. Pourtant, le joueur et le sélectionneur ont toujours paru bien informé de tout ce qui s´écrivait sur eux après chaque apparition devant les journalistes.
Lilian Thuram, en cours de compétition, a expliqué que la situation n´était pas aussi tranchée. «Si vous voulez lire la presse, évidemment, vous la lisez. Ce n´est pas mon cas. Je ne vais pas changer à 34 ans, avait-il expliqué. C´est très personnel, comme attitude. Certains sont déstabilisés à la lecture des articles qui les concernent. D´autres ont besoin de voir qu´on dit du bien d´eux, ça leur permet d´être bien dans leur tête. Moi, je ne lis plus les journaux et tout est parti d´un OM-Monaco, quand j´étais jeune. J´avais trouvé que j´avais fait un très bon match. J´avais lu la presse pour essayer d´être encore plus content de moi. Et là, j´ai appris que j´avais été catastrophique. Depuis, j´ai fait toute ma carrière avec une appréciation très particulière de la chose. Sortir du terrain en ayant donné le maximum me suffit».
08/07/2006
Foot - CM - FRA : Départ pour Berlin à midi
L´équipe de France aura définitivement quitté son camp de base du Schlosshotel de Muchausen, à Aerzen, samedi en fin de matinée. Dans son bus bleu «Liberté, Egalité, Jules Rimet», la délégation française sera partie à 10 heures de cette luxueuse bâtisse où elle se sentait si bien pour rejoindre l´aéroport de Hanovre, à 60 kilomètres de là, en vue d´un transfert à Berlin en vol charter. Départ à midi.
L´arrivée est prévue à 12h50 à l´aéroport de Berlin-Tegel. Elle rejoindra ensuite son dernier lieu d´hébergement allemand, à l´Est de la capitale allemande, à une trentaine de kilomètres du Stade olympique où se déroulera la finale, situé lui tout à l´Ouest. A l´exception du sélectionneur et du joueur dépêché pour la conférence de presse, personne ne rejoindra le stade samedi après-midi, contrairement aux habitudes de toutes les équipes depuis le début de la Coupe du monde.
La FIFA a demandé à la France et à l´Italie de ne pas utiliser la pelouse du stade pour leur dernier entraînement. A 18 heures, c´est donc au Friedrich-Ludwig-Jahn-Stadio, à un jet de bus de son hôtel, que Raymond Domenech dirigera sa dernière séance de la Coupe du monde. Habituellement consacrée à une mise en place tactique, elle révèlera (ou pas) aux joueurs un changement d´orientation pour le dernier match.
Vendredi, ceux-ci ne semblaient pas douter d´une reconduction du 4-4-1-1 utilisé avec succès depuis les huitièmes de finale. «On a trouvé la bonne formule et il faut tout faire pour continuer à le rendre efficace 90 ou 120 minutes», a indiqué Sagnol. L´Italie, elle, aura suivi sa dernière séance d´entraînement dans son repaire de Duisbourg en fin de matinée. Elle ne rejoindra pas Berlin avant la fin d´après-midi, via un vol au départ de Dusseldörf à 18 heures.
On va vivre une deuxième finale de coupe du monde en 8 ans, qui l´eût cru franchement ?
Il faut savourer ses instants et surtout savourer les dernières minutes de jeu de Zidane, en espérant qu´il aura une "happy end"
oui c´est magique ce qui se passe en ce moment dans le foot français il fait en profiter et souhaiter la victoire de notre équipe
la france c´est l´équipe qui a le plus progrsser dans ce mondial
ouais c´est possible mais bon yen ki ont bien progressé aussi comme l´italie ou le potugal
allez les bleus on av la gagner
JOU J
L´HISTOIRE EST EN EUX
L´équipe de France va tenter de reprendre le titre de championne du monde remporté en 1998 et perdu en 2002, ce soir à Berlin contre l´Italie (20 heures). S´il soulève le trophée brassard au bras, Zinédine Zidane quittera le métier en légende éternelle.
Zidane, le «meilleur joueur des vingt dernières années»
Un risque de malentendu plane sur la finale de cette XVIIIe Coupe du monde : qu´elle soit réduite à ce que Zinédine Zidane pourra en faire, lui, le «meilleur joueur des vingt dernières années» (Lippi). La France n´est plus seule. Le monde a l´air de pousser pour voir le numéro 10 jouer une dernière partition, en fantasmant sur un France-Brésil-bis. L´idée est dans l´air que Zidane mérite une sortie de seigneur et que la France doit battre l´Italie au moins pour ça. Que le bonhomme ait réussi à faire coïncider son dernier instant de footballeur avec une finale de Coupe du monde dit à peu près tout sur lui. Une victoire, brassard au bras, huit ans après son doublé contre le Brésil (3-0), lui vaudrait une envergure historique dont personne ne peut encore soupçonner l´épaisseur. La simple idée qu´il réussirait ce pari inouï, à 34 ans, sans précédent comparable, fait de cette finale un match à part.
Mais le football est un sport collectif : un titre de champion de monde est en jeu. La France en a goûté la succulente saveur il y a huit ans. L´idée qu´elle peut déjà le reprendre est très impressionnante. D´habitude, c´est le Brésil, ou l´Argentine. Tel est le sens de l´oeuvre que doit achever la plus belle génération jamais enfantée par le pays de Jules Rimet et de Georges Boulogne. Il faut bien l´appeler génération Zidane (voir ci-contre). Dans son sillage, il y a les autres, qui n´étaient pas là «avant». Gallas, Sagnol, Abidal, Malouda, Ribéry, Makelele aussi. Surtout, leur reconnaître leur dû : c´est une équipe qui s´est hissée en finale, une vraie, avec son identité et ses souvenirs propres. L´Espagne, le Brésil, le Portugal : il faut plus d´une bande de grognards mal entourée pour accrocher un tel tableau de chasse. Ils n´ont pas été les accompagnateurs du talent de Zidane, quoiqu´il arrive, même si un symbole fort réunit les deux histoires : la France aura retrouvé en 2006 les trois derniers adversaires de son chef d´oeuvre de l´Euro 2000 et un Brésil associé à jamais, à son corps défendant, au rêve du 12 juillet 1998.
L´Italie attend ce titre depuis 1982
L´histoire, cependant, appartient à tout le monde, même aux Italiens. Championne du monde en 1934 et 1938, à l´époque trouble où le stade olympique fut édifié par la volonté d´Hitler, puis en 1982, date de son dernier trophée, la Nazionale peut devenir l´équipe la plus titrée derrière le Brésil. L´Italie n´en peut plus de rater les derniers matches (1994, 2000) et de voir sa route stoppée par la France (1986, 1998, 2000). Il faut aussi prouver, à l´heure où la justice italienne révèle un Championnat faussé, que le Calcio se joue, derrière les Alpes, avec de grands joueurs. Le parcours italien est moins exemplaire que celui de la France, mais le contenu de sa demi-finale contre l´Allemagne (2-0 a.p.) est la garantie d´une effroyable difficulté. Zidane saura anticiper. Il est devenu un champion quand sa trajectoire a croisé, il y a dix ans, celle de Marcello Lippi. L´actuel sélectionneur italien a autant dirigé Zidane qu´il l´a admiré. Il connaît trop le jeu pour oublier que les grands matches appartiennent aux grands joueurs. C´est mécanique : le sort de la finale est en partie suspendu au niveau de jeu, ou de génie, de Zidane. Derrière «vivre ensemble ou mourir ensemble», c´est l´autre phrase-clef des Bleus. Sagnol, vendredi : «Nous avons Zidane et eux ne l´ont pas.» C´est injuste, mais il est difficile d´en sortir. Car, demain, Zidane, ce sera fini.
A RETENIR
LES EQUIPES PROBABLES
ITALIE : Buffon - Zambrotta, Materazzi, Cannavaro (cap.), Grosso - Camoranesi, Gattuso, Pirlo, Perrotta - Totti - Toni. Entr. : Marcello Lippi
FRANCE : Barthez - Sagnol, Thuram, Gallas, Abidal - Vieira, Makelele - Ribéry, Zidane (cap.), Malouda - Henry. Entr. : Raymond Domenech
SIX POUR LE DOUBLE
Outre Zinédine Zidane, ils sont cinq joueurs français à pouvoir remporter une deuxième fois la Coupe du monde, dimanche. Il s´agit de Lilian Thuram, Fabien Barthez, Patrick Vieira, Thierry Henry et David Trezeguet, dont chacun pressent d´ailleurs qu´il peut jouer un rôle face à des défenseurs italiens qui le craignent beaucoup. Pour l´instant, seuls vingt joueurs ont remporté deux fois la Coupe du monde. Les deux plus récents sont Cafu (BRE, 1994-2002) et Ronaldo (BRE, 1994-2002). Pelé est le seul à l´avoir gagnée trois fois (1958, 1962, 1970).
BUFFON POUR UN RECORD
Le gardien italien pourrait battre dimanche le record absolu d´invincibilité en Coupe du monde. Il lui suffit de rester inviolé pendant les 65 premières minutes. Le record actuel appartient à son compatriote Walter Zenga, qui n´avait pas été battu pendant 517 minutes en 1990. Buffon, lui, n´a encaissé aucun but depuis la 27e minute de son match contre les Etats-Unis (1-1), le 17 juin à Kaiserslautern.
