Tous les hommes sont prêt à l'attaque qui va avoir lieu.
Nous pouvons voir en contrebas les soldats se préparer.
Vers 10h ils se ruent vers nos positions appuyer par leurs 2 canons.
Instantannement notre mortier et notre gatling entrent en jeu. La cinquantaine d'hommes qui nous attaquent sont a découvert et subissent de lourdes pertes.
D'après leurs uniformes deparaillés et leurs armes vieillissantes ces hommes ne sont que des conscrits.
Soudain c'est la débacle, le reste des soldats voyant qu'ils se font tailler en pièce se replient, laissant leurs officiers se faire massacrer.
Cela fait maintenant 1 heure que je suis retrancher dans l'infirmerie. Le bombardement ne s'est pas arrêter nos hommes sont donc refugier dans les bâtiments pour subir le moins de pertes possibles. Il ne reste que 3 hommes pour surveiller.
Pour la premiére fois depuis longtemps je peux enfin parler a Lucy.
Vers 12h je pars en observation a la falaise.
Une centaine de nouveaux venus sont en bas, l'uniforme impecable, les baïonnettes polies et près a monter a l'assaut.
Je repars en courant pour positionner mes hommes.
Lorsque tout est en place les soldats ont déjà entamés leur progression au pas redoublé.
Le mortier et la gatling entament leur macabre mélodie. La seule réaction des soldats est seulement de progresser au pas de course pour réduire le plus rapidement la distance qui les séparent des rochers, seul rempart de cette immense montée a découvert.
Ces gars-la sont des pros.
Soudain le tir de mortier s'arrête et les 2 servants arrivent en courant quelques secondes plus tard. Ils n'ont plus de munitions.
Luis leurs ordonne d'aider les servant du canon a déplacer celui-ci de manière a bombarder les rochers derrière lesquels les soldats sont maintenant abrités.
J'envoi une bouteille incendiaire sur un rocher et les 2 hommes derrière prennent instantanément feu. 3 soldats se ruent a leur aide mais ils sont fauchés en quelques secondes.
Une pluie de balle m'oblige a me mettre a couvert.
Lorsque je me relève les soldats ont avancés de plusieurs mètres, certains sont même encore a découvert. 2 d'entre eux tombent sous mes balles.
Soudain 2 tirs de canon éclate sur notre ligne de front. Je suis souflé par lexplosion.
Après quelques secondes je reprends mes esprits. J'ai perdu mon arme.
Je constate avec effroie que les soldats nous chargent baïonnette au canon.
Je dégaine mon couteau et constate que la plupart de nos hommes de replient, surpris par cette attaque.
Un officier, sabre au clair me saute dessus. Je me baisse prestement et le sabre passe a quelques centimètres au dessus de la tête.
Je saute vers ses jambes et nous roulons sur le sol.
Mes poings s'abattent en même temps sur son visage puis je lui tranche la gorge.
Votant leur officier gisant a mes pieds 2 hommes plein de rage me charge. J'évite le premier, qui emporté par son élan tombe a la renverse. Le second est plus prudent. Il essaye de m'embrocher mais je devis sa baïonnette du plat de la main et d'un violent coup de tête je fais éclater son nez, j'enfonce ensuite mon couteau entre ses côtes puis récupère son fusil.
Je me retourne prestement et envoi une balle en plein dans le front du premier assayant.
Devant moi les soldats adverses commencent a former une ligne pour chargé ce qui reste de notre position.
Je me repli la ou la majorité de mes hommes sont placés et j'apercois avec joie notre canon en position.
La course me parait interminable, autour de moi la terre s'envole sous les balles.
A la grande surprise j'arrive vivant, quelques secondes après mon arrivé le canon ouvre le feu ainsi que tout les hommes restants.
Après 3 coups de canon l'ennemi se replit.
Nous avons ramassés tout l'equipement ennemi que nous pouvions.
Nous ne sommes plus que 17 mais chacun d'entre nous possède un excelent armement.
Hélas il ne reste que 2 boulets pour le canon.
L'ennemi quant a lui a perdu une quarantaine d'hommes.
Je ne pense pas qu'ils reattaque ce soir, pendant que 5 hommes montent la garde les survivants vont se coucher.
