J'ai commencé à écrire la suite.
( 100ème commentaire )
Yeeah !
moi je dis: tremblement de terre ... vite la suite !!!
Un jour Lilice finira sa fic. Un jour ^^
Oui elle sera finie un jour... ou pas ^^
J'ai juste pris une pose, une pose de plus de deux mois ^^
Mais bon elle sera finie un jour... un jour certain comme disait mon prof de maths ( je me comprends XD )
Le pire c'est que j'ai commencé à écrire depuis longtemps mais je suis bloquée.
Je met la suite qui était sur baka fic depuis longtemps ^^
Chapitre 6 :
La mine tremblait de plus en plus fort et des roches se détachaient du plafond.« On devrait se dépêcher ! Criais-je.
-Alors… ça doit être une force invisible mais puissante, s’énervait Julia qui ne trouvait pas.
-Mais bien sûr, le vent ! Pensa Denny.
-Ventio ! Hurla Will. »
Aussitôt, la mine s’arrêta de trembler et un passage apparut au mur. Nous pénétrâmes alors dans cet étroit tunnel.
« Will ?
-Oui, qu’est-ce qu’il y a Chelsea ?
-Comment as-tu su qu’il fallait crier la réponse ? Et tu es vraiment douer en latin ! »
Il se mit à rougir, ma remarque semblait l’avoir mis mal à l’aise :
« Euh… ça m’est venu comme ça… et… oui, j’ai fais plusieurs années de latin… »
Nous marchâmes dans le tunnel quand nous arrivâmes à un croisement :
« On prend quel chemin ? demanda Denny
-Je propose qu’on se sépare, proposa Will.
-Et regardez ici ! »
Je désignais du doigt le mur, un message était gravé dessus :
« Ire via veriatis et iustitae. »
« C’est encore une énigme, cela veut dire : choisissez le chemin de la justice et de la vérité. »
Julia se précipita, bousculant Denny et moi qui étions devant elle.
« Encore une énigme ? Oh, j’arrive ! Alors… c’est évident ! Il faut aller à droite ! Le chemin de la justice et de la vérité, c’est quoi ? C’est le droit chemin !
-L’énigme est écrite en latin.
-Et alors ?
-En latin, le mot juste est très différent du mot droit qui veut dire l’inverse de gauche.
-C’est un piège, il faut donc aller à gauche, en concluais-je
-gochia ! Hurla Will. »
Le passage de gauche s’éclaira, confirmant qu’il était le chemin à suivre, nous l’empratâmes donc.
Nous marchâmes, et plus loin nous touvâmes une autre énigme sur le mur :
« Ego servare aliqua proprietas, ego potest intrave vel ne relictis, ipse capti in torquem quod postest non aperire. »
« Cela veut dire : je préserve les biens, je permets d’entrer ou empêche de sortir, moi-même prisonnière d’une chaîne que je ne peux ouvrir.
-Oh, encore une énigme ! S’excita Julia, alors… euh…
-Une clé ! Clavia ! S’écria Will.
Une clé apparut aussitôt dans ma main.
« Comment se fait-il que la clé apparaît dans ta main, pourquoi pas nous ? S’interrogea Denny.
-Sans doute parce que c’est à moi que les lutins ont confié cette mission, au faite, je pensais que tu ne nous croyais pas ?
-Quand j’ai vu le parchemin, les énigmes, le passage qui est apparut, la lumière dans le tunnel et maintenant la clé dans ta main, je suis obligé de vous croire… »
Nous continuâmes d’avancer, quand, soudain, un bruit se fit entendre.
« C’est un enfant… un enfant qui sanglote, observa Julia.
-Continuons d’avancer, proposa Denny. »
Nous avançâmes encore, et, bientôt, nous aperçûmes un enfant. Dés qu’il nous vit il se sauva en courant.
« Hé ! Petit ! Nous te voulons pas de mal, l’appela Will. »
Mais l’enfant continuait de courir, il ne semblait pas nous écouter. L’enfant avança jusqu’à un cul-de-sac, et, tout à coup, une grille se referma derrière lui. Il se retrouver emprisonné, tandis que nous nous retrouvions de l’autre côté. L’enfant s’assis et la tête entre ses mains, pleurait de plus belle.
« Il faut l’aider, s’inquiéta Julia.
-Moi je dis qu’on devrait rebrousser chemin, insista Will. »
J’ouvris mon sac et en sortit le parchemin que nous avions trouvé en arrivant.
« Qu’est-ce que tu fais ? M’interrogea Denny.
-Le parchemin fait mention de quatre « qualités » : la sagesse, la confiance, la bonté et la réflexion. Nous avons fait preuve de réflexion en résolvant les énigmes, maintenant, il faut faire preuve de bonté en aidant cet enfant.
-Oui, mais le parchemin mentionne aussi la sagesse dont nous ferions preuve en évitant de se fourrer dans la gueule du loup, répliqua Will. »
Je m’avançais vers la grille qui retenait l’enfant prisonnier.
« Aidez moi à soulever cette porte grillagée ! »
Julia et Denny s’avancèrent vers moi pour m’aider. Malgré tout nos efforts, nous ne réussîmes pas à soulever cette « porte ».
« Mais Will ! A quoi tu joues ! »
Will râla mais vint tout ne même nous aider, à quatre nous y parvenions presque mais ce n’était pas suffisant. Au bout de plusieurs minutes d’efforts nous abandonnâmes et partîmes nous assoir par terre, plus loin, essoufflés.
« Nous n’y arriverons jamais, se plaignit Julia.
-Je vous avais dit qu’on n’aurait mieux faite de rebrousser chemin, c’était un piège, partons !
-Mais nous n’avons quand même pas fait tout ça pour rien ! »
Je gardais le silence pendant que les autres se plaignaient, je préférais réfléchir. Je savais qu’il fallait aider cet enfant mais comment, mais comment ? Je m’arrêtais… quelque chose sur la porte avait attiré mon attention… la voilà notre solution !