Voila voila, une fic fraiche pour un forum frais. J'espère qu'elle vous plaira.
Chapitre 1 : Le massacre de Pelf
Bonjour. Je m’appelle David. J’ai 16 ans, je suis brun, yeux verts, vie tranquille… J’habite un petit village paumé nommé Pelf. On a un charmant décor à côté de chez nous, un asile appelé Nouvelle Aube. Personne ne s’y aventure, car personne n’a le droit de s’en approcher. Bah, j’aime pas les hostos, alors un asile… J’ai eu une méchante grippe y a un mois. Depuis, je fais sans cesse le même cauchemar, je suis dans une sorte d’asile, il y a une voix qui parle de manière incompréhensible… Et je me réveille en sursaut, me retrouvant peu à peu dans le noir. Quand j’en parle à ma mère, elle répond que c’est un « effet de ma convalescence ». Merci maman, mais sa fait 3 semaines que je peut marcher bouger courir normalement, sans avoir mal à la tête. Mon père, lui, semblait intéressé, mais blaguait souvent dessus aussi, me disant qu’on va allé à Nouvelle Aube pour me faire soigner. Le cauchemar. Puis vint l’hiver, et son blanc manteau de neige. Je suis un vrai poète décidément. Son blanc manteau disais-je et ses blizzards. On ne voyait pas à plus de deux mètres par la fenêtre. Je lisais un Stephen King tranquillement installé dans un fauteuil, quand j’entendis des cris. On aurait pu les classer en trois catégories, douleur, peur et…animal. Mon père étant chasseur, prit le fusil accroché au mur, le chargea, et fonça vers la porte, nous intimant de rester à la maison. Il ouvrit la porte et sortit de la maison, étonnamment calme. Ma mère avait l’air nettement plus angoissée. Les cris semblant se rapprocher je partis vers la cuisine prendre un couteau, puis revint au salon, m’asseyant dans un fauteuils, couteau de chasse de mon père dans la poche arrière. Les cris semblaient se rapprocher. Puis ma mère m’appela.
-David! Monte à l’étage. J’arrive.
Je vis clairement ce qu’elle essayait de faire, mais ne commentait pas. Elle regardait par la fenêtre l’air anxieuse. Je montais donc à l’étage, le tout sans murmure. Les cris étaient de plus en plus proches, et la majorité était à présent animales. Quand on les entendit. Les coups de feux du fusil de mon père. Je pris le couteau, près à tout. J’eus raison. J’arrivais en haut de l’escalier quand j’entendis la porte s’ouvrir en grinçant. Des bruits de pas précipités. Pendant un instant, je pensais que c’était mon père qui revenait, et je rangeais le couteau dans ma poche. Inutile de vous le dire je pense, mais j’ai eu tort. Ma mère poussa un hurlement, puis il y eut un bruit de mastication, et elle s’écroula par terre. Je dévalais les escaliers en courant, sans trop savoir ce que je faisais, et vit un spectacle répugnant. Ma mère, par terre, en train de se faire bouffer vivante. Elle hurlait plus, elle était au dessus de sa.
Suppper continue !
C'est bien mon intention
si tu avais plus dévellopé ca aurait été mieux mais bon c'est super déja et bonne continuation !
Merci bien Pour ce qui est du développement j'attendais de voir si sa plait. Si sa déplaisait, inutile de continuer cette fic faite plus pour les autres que pour moi.
exellent need sweet !!
Bon voila l'intégrale du chapitre 1, plus long, plus beau, plus comme cité ci-dessus. Vous avez déjà lu le début.
Chapitre 1 : Le massacre de Pelf
Bonjour. Je m’appelle David. J’ai 16 ans, je suis brun, yeux verts, vie tranquille… J’habite un petit village paumé nommé Pelf. On a un charmant décor à côté de chez nous, un asile appelé Nouvelle Aube. Personne ne s’y aventure, car personne n’a le droit de s’en approcher. Bah, j’aime pas les hostos, alors un asile… J’ai eu une méchante grippe y a un mois. Depuis, je fais sans cesse le même cauchemar, je suis dans une sorte d’asile, il y a une voix qui parle de manière incompréhensible… Et je me réveille en sursaut, me retrouvant peu à peu dans le noir. Quand j’en parle à ma mère, elle répond que c’est un « effet de ma convalescence ». Merci maman, mais sa fait 3 semaines que je peut marcher bouger courir normalement, sans avoir mal à la tête. Mon père, lui, semblait intéressé, mais blaguait souvent dessus aussi, me disant qu’on va allé à Nouvelle Aube pour me faire soigner. Le cauchemar. Puis vint l’hiver, et son blanc manteau de neige. Je suis un vrai poète décidément. Son blanc manteau disais-je et ses blizzards. On ne voyait pas à plus de deux mètres par la fenêtre. Je lisais un Stephen King tranquillement installé dans un fauteuil, quand j’entendis des cris. On aurait pu les classer en trois catégories, douleur, peur et…animal. Mon père étant chasseur, prit le fusil accroché au mur, le chargea, et fonça vers la porte, nous intimant de rester à la maison. Il ouvrit la porte et sortit de la maison, étonnamment calme. Ma mère avait l’air nettement plus angoissée. Les cris semblant se rapprocher je partis vers la cuisine prendre un couteau, puis revint au salon, m’asseyant dans un fauteuils, couteau de chasse de mon père dans la poche arrière. Les cris semblaient se rapprocher. Puis ma mère m’appela.
-David! Monte à l’étage. J’arrive.
Je vis clairement ce qu’elle essayait de faire, mais ne commentait pas. Elle regardait par la fenêtre l’air anxieuse. Je montais donc à l’étage, le tout sans murmure. Les cris étaient de plus en plus proches, et la majorité était à présent animales. Quand on les entendit. Les coups de feux du fusil de mon père. Je pris le couteau, près à tout. J’eus raison. J’arrivais en haut de l’escalier quand j’entendis la porte s’ouvrir en grinçant. Des bruits de pas précipités. Pendant un instant, je pensais que c’était mon père qui revenait, et je rangeais le couteau dans ma poche. Inutile de vous le dire je pense, mais j’ai eu tort. Ma mère poussa un hurlement, puis il y eut un bruit de mastication, et elle s’écroula par terre. Je dévalais les escaliers en courant, sans trop savoir ce que je faisais, et vit un spectacle répugnant. Ma mère, par terre, en train de se faire bouffer vivante. Elle hurlait plus, elle était au dessus de sa.
Je courut vers ce qui était en train de se repaître de son corps quand j’aperçus enfin son agresseur. Du moins, ce que c’est. Une espèce d’homme, quoique, ce qu’il en reste plutôt. Son ventre laissait une vue de la formidable anatomie humaine, par une coupure verticale. L’un de ses poumons, inexorablement, allait tomber, car détacher du reste du corps. C’est ses os qui le retenait. Quand il me vit, ma mère, qui avait pour seul crime attendu son mari anxieusement, n’était plus de ce monde. C’est dégoutant de dire sa, mais j’avais pas le temps de me préoccuper d’elle, ni d’avoir peur. Ce zombie fonçait vers moi à la vitesse d’un vieillard, c’est à dire, très lentement, mais il n’y avait pas d’autre issue que la porte qui se tenait derrière lui. Je courut vers lui, lui décocha un coup de poing et fit une grimace de dégout, en quelques secondes. Merci, miss Adrénaline. Les raisons de la grimace étaient les suivantes : primo, sa peau et sa chair était flasque, molle, mon poing c’était enfoncé dedans. Secundo : sa mâchoire vola à travers la pièce, pour finir son baptême de l’air sur le mur, ou elle explosa, arrosant ledit mur de sa présence. Le cadavre ambulant recula en titubant, puis revint à la charge. Si ces saloperies sont immortelles, c’est pas la joie. Je brandis mon couteau, et lui coupa le bras droit, puis, continuant sur ma lancée, détacha le poumon et les intestins, en un coup. Yes, plus dix points, bonus combo. J’étais bien décidé à le dépecé quand il s’effondra par terre, dans un grand bruit de…Ben comme un cadavre en putréfaction pardi. Il se décomposa en une seconde, sous mes yeux ébahis. Quand on bute ces créatures apparemment, elle se décomposait jusqu’à redevenir poussière. Ce n’est qu’après que je me rendis compte que ma mère était morte. Vraiment morte. Qu’elle reviendrait plus. Je me mis à genoux et lui ferma les yeux. Et me mis à chialer comme un môme. Sa y est, cette femme qui m’a mis au monde, qui m’a élevé, n’était plus. C’était vraiment injuste. Une fois la crise passé, je remarquais que si moi je suis vivant, c’est par chance. La porte grande ouverte aurait pu laissé passé n’importe qui, et j’étais pas en état de me battre contre des morts qui d’après moi avait également eu mon père. Le chasseur par excellence, celui qui m’a appris le mot courage, dead aussi. Spear, famille de combattant, avait perdu Joe. Que de belles raisons de vivre ici. Non, c’est pas marrant, mon père s’appelle bien Joe, mais notre famille est loin d’être combattante. Il y a bien cet oncle, William, mais d’après ce qu’on m’a dit, c’est Nouvelle Aube qui le soigne. Il doit être à l’abri de tout ce veinard.
le signe que je met toujours quand ca me plait :
Donc ton personnage serait le neveu de william interessant tout ça !
Ouais, le neveu de ce bon William... Ce William, ce héros, qui nous laisse des lettres du paradis. Pour moi c'est une idole, fallait que je le mette dedans.
S'cusez moi pour le double-post, je prévenais juste que le deuxième chapitre est en cours.
cool ta fic!par contre essaye d'aérer un peu plus ton texte
Justement, le deuxième chapitre est plus aérée pour être plus agréable à lire...
j'ai hâte alors !
Hé hé, devant des commentaires positifs, je ne peut que continuer ce chapitre.
Le voila...Le seul...l'unique...le tant attendu chapitre 2
maintenant.....suite!!!!!! !!!
enfin....dés que tu peux quoi
Ouais...M'y attelle dès demain...Ne ratez pas les formidables aventures de David...Et de???
super continue !
trop bien suite