Bon, par contre j'ai fait ce que je pouvais, mais il est presque aussi long qu'un de mes chapitres normaux
je post demain soir après le taff, flem de corriger ce soir.
Épilogue...
Mason Shepard...
2ans après les évènements passé sur la station Astridius...
Vaisseau USM Souls...
Le vaisseau était presque vide, seul quelques-uns des meilleurs soldats de l'humanité se trouvant à bord.
-Shepard le vaisseau se trouve à moins de 20minutes de la station, nous sommes près à débarquer.
-Dites aux hommes de se préparer, j'arrive tout de suite.
Mason se retira dans ces quartiers avant de contacter un personnage mystérieux.
-Sa fais déjà 2 ans, tu es sur de ton coup ?
-Je te l'ai déjà dit, dans ce genre de situation aucune de mes infos ne sont fiable à 100%.
-D'accord, je vais pas tarder à débarquer. Alors, t'en pense quoi de Paris ?
-C'est sympa, les gens ne font attention a personne et il est facile de trouver des infos, de l'argent ou... des cibles.
Après une courte conversation l'alarme du vaisseau retentis...
Débarquement sur la station Typhon dans 5 minutes
-Mon équipe va débarquer, je te laisse.
-Amuse toi bien... enfoiré.
-C'est toujours un plaisir de parler avec toi.»
Mason arrêta la conversation et ce mis en tenu de combat, il sortit du vaisseau en 1er.
Ces troupes le suivirent sans faire de bruit.
Depuis la destruction d'Astridius, Mason avait été déclaré sauveur de l'humanité. Il avait retrouvé ces fonctions d'origines et avaient les poches remplies de pognons lui permettant d'avoir toujours la meilleure technologie et les meilleures troupes à son côté.
La plupart de ces compagnons déclaré mort et il avait perdu contact avec presque tous les survivants qui se battaient avec lui.
Mason traversa le couloir sans faire de bruit d'un pas lent, il ouvrit la porte donnant sur une grande salle, des cadavres se trouvaient a terre criblé de balles.
-Des pirates...
-Vous pensez qu'ils sont encore la ? Nous n'avons pas repéré de vaisseaux.
Se mettant a genou devant le corps de plus proche Shepard en récupéra ces rigs...
-Il est mort il y a moins d'une heure, mais nous sommes tout proche de la sortie, resté sur vos gardes c'est surement un piège.
L'escouade fouilla tout le périmètre, mais il n'y avait rien d'autres que des corps.
-Monsieur il y a un problème...
-Je vous écoute...
-Aucun des corps n'a été pillé ce ne sont certainement pas des pirates.
Un bruit sourd provint de l'entrée.
-Putain de merde ils ont détruit notre vaisseau !
-Fais chié c'est un putain de piège !
Soudain les portes menant au reste de la station s'ouvrit et des dizaines de soldat en armure rouge couvert de marques blanches se déployèrent. Mais les troupes de Shepard s'étaient déjà mise à couvert.
Les deux camps s'échangèrent de nombreux tirs et les ennemis tombèrent rapidement sous l'efficacité de l'escouade.
Mason récupéra les rigs de plusieurs des mercenaires et reconnus des symboles unitologues.
Il contacta son contact en lui envoyant ces données.
-Re, ce ne sont pas des pirates je me trompe ?
-Putain Shepard tu sais comment te foutre dans la merde.
Désolé j'ai aussi bossé hier soir
Y a des fautes
Sinon, bon chap' dans l'ensemble
J'avais des fautes soulignée en jaune et je savais pas comment les corriger
Se cache derrière son bouclier d'escuse
Ouh, c'est mal
Sinon, sympa petit épilogue (sauf les fautes ), mais ça s'arrête un peu dans le feu de l'action pour un épilogue, sachant qu'il y a pas de suite
Ah oui et "Il contacta son contact", j'sais pas, ça fait un peu "monter en haut", t'vois?
Sinon, je postes mon épilogue ou j'attends demain pour qu'il y ait un peu d'espace?
si ton épilogue est plus cours qu'un de tes chapitre et bien avec mon épilogue sa fais un chapitre entier
Ben, disons qu'il fait à peu près deux pages d'OpenOffice, et que ma moyenne de chapitres normaux est de 2 pages et demi à 3 pages...
c'est cool j'ai mis une page d'open office allez post
Bon, ok
Je relis
(M'en voulez pas si c'est pas fameux, la 3ème personne et moi... )
Matt.
Spatioport de la station Calormène
17h45
Deux ans après.
La foule arpentait le spatioport, chacun cherchant son vol pour quitter la station, ou une navette pour rentrer à leur domicile. Assis sur un banc, à l’écart, Matt guettait deux hommes qui discutaient aussi naturellement que possible devant une grande baie vitrée. Il avait laissé tomber la combinaison de Prometheus pour mettre des vêtements normaux, et donc moins voyants. Néanmoins, le pistolet était toujours cachée dans son étui, hors de vue. N’ayant pas encore passé de détecteurs, l’arme n’avait pas été repérée.
Puis, enfin, les deux cibles se déplacèrent. Ils se dirigeaient vers un escalier qui descendait vers l’aire d’embarquement. L’agent les suivit des yeux, avant de se lever à son tour. Il accorda un bref regard par l’immense fenêtre, derrière laquelle on distinguait une petite navette qui attendait patiemment son chargement.
Deux rails coulissèrent pour se placer en-dessous, et l’emmener dans un hangar. Seber observa le mouvement du vaisseau, avant de descendre à l’opposé des deux hommes. Une porte menait aux toilettes pour hommes, et il s’y engouffra, avant de la verrouiller derrière lui.
Après avoir vérifié qu’il n’y avait personne, Matt agrippa les bords d’une des plaques d’aération, ces énormes plaques qui auraient plus leur place dans des usines. En déposant l’attirail de métal, son regard glissa dans l’ouverture sombre du conduit. L’espace d’une seconde, une forme s’agita dans l’obscurité, avant de se jeter sur lui. Il recula d’un pas et détourna la tête, quelques gouttes de sueur perlant sur son front. En frissonnant, il se hissa dans le boyau, et entreprit de replacer tant bien que mal la plaque de ventilation, qui ne fonctionnait plus.
Cette ‘’panne’ ne tarderait pas à être signalée, mais restait à voir s’ils trouvaient ça suffisamment important pour aller voir tout de suite. L’agent avança lentement dans le conduit, sachant qu’il ne faudrait que quelques mètres pour atteindre sa destination.
De la lumière filtrait à travers une nouvelle plaque. Après avoir vérifié que personne ne se trouvait dans la pièce et coupé cette ventilation, il la décrocha difficilement, et la fit glisser à l’intérieur du conduit. On entendait un sifflotement tranquille, mais il n’y prêta pas attention et se laissa tomber.
En descendant, sa veste s’accrocha malencontreusement à la plaque, l’entrainant avec lui. Il la réceptionna avec difficulté, mais le lourd morceau de ferraille tinta brutalement sur le sol. Le sifflement s’arrêta brusquement, et des pas affluèrent dans le couloir.
Matt se plaqua en vitesse le long du mur, au moment où un ouvrier entrait. L’agent ne lui laissa pas le temps de franchir la porte, au risque d’alerter d’éventuels collègues situés derrière. D’un coup de canon sur la tempe, l’homme s’effondra sur le sol, un filet de sang s’échappant de la blessure.
« Désolé mon vieux... »
Seber l’écarta d’un coup de pied, avant de franchir la porte, qui menait sur un couloir désert. Il s’arrêta l’espace d’une seconde, le temps de regarder l’ouvrier inconscient et le conduit d’aération. Après un nouveau frisson, il pianota sur le tableau de commande et verrouilla le vestiaire.
S’il n’était pas devenu un tueur aussi froid qu’Erikson, son ancien coéquipier sur Astridius, les évènements de la station avaient fait de Matt un homme légèrement instable et qui ne parvenaient pas à se décrocher du passé. La destruction de la station avait anéanti tout ce qui restait de sa vie et, bien que Prométheus lui en avait offert une nouvelle, ces souvenirs restaient à jamais gravés dans sa mémoire.
Il suivit le couloir, sachant parfaitement où il allait. La porte qu’il cherchait était bien évidemment verrouillée, mais il s’agissait d’un panneau de commande parfaitement banal. Arrachant une partie du boitier, il connecta les deux fils d’un petit appareil portable sur les commandes, et l’hologramme passa au vert. La porte coulissa sans problème.
Le chargement se faisait automatiquement, et il était bientôt terminé. Dans quelques minutes, le vaisseau serait ramené sur la piste, et ses deux pilotes pourraient prendre leur place. Une unique caméra de surveillance planait en cercle autour de la petite navette. Rien de plus simple à éviter.
Profitant du fait que l’engin passait derrière le cockpit, l’agent se faufila entre deux conteneurs pour monter dans la cale. Chacune des caisses portait un logo parfaitement innocent, mais ce qu’elles contenaient l’était beaucoup moins. D’autres éléments d’un ènième projet traqué par Prometheus.
Néanmoins, son travail était juste de ramener la cargaison, rien d’autre.
Inconfortablement installé dans un coin, il attendit la fin du chargement, et les portes de la soute se refermèrent. Le vaisseau commença à bouger, puis des voix se rapprochèrent. Un chuintement le prévint de l’ouverture du cockpit, juste derrière le mur où il était plaqué.
« Bon, cette fois on va pouvoir y aller, dit une voix grave, étouffée. »
« Ouais. T’as vérifié que tout est ok ? Interrogea l’autre homme. »
« J’ai regardé tout à l’heure. Aucune raison qu’il manque quoi que ce soit. Et si c’est le cas, ils regretteront d’avoir égaré un de nos colis, ricana le premier. »
« Ouais, j’irais quand même jeter un œil quand on sera loin d’ici. Ce spatioport me stresse, j’ai l’impression que ces cinglés de terroristes sont partout en ce moment. »
« Pas de panique, on va décoller. »
Des voix métalliques résonnèrent dans le cockpit, incompréhensibles. Néanmoins, il devait s’agir d’une autorisation car, peu de temps après, les deux pilotes enclenchèrent les propulseurs avant de décoller. Matt ressentit une légère secousse, puis le vaisseau prit de la vitesse. L’agent sortit l’arme de son étui, s’assurant qu’elle était chargée.
Au bout de quelques minutes, les deux cibles échangèrent de nouveau quelques paroles.
« Ca y est, on est loin maintenant. »
« Ok. Je vais aller jeter un œil à l’arrière. Manquerait plus qu’un ouvrier ai décidé de venir fouiner et qu’on l’ai embarqué. »
Les lèvres de l’ancien garde de station s’étirèrent en un sourire sans joie en entendant ces paroles. L’homme allait trouver bien plus qu’un simple ouvrier. Par-dessus le ronflement des propulseurs, les pas du pilote se firent entendre, claquement sourds. L’agent se redressa, arme braquée vers la porte.
Le panneau coulissa en silence.
Alors même que l’ombre de sa proie s’étalait à peine sur le sol de la soute, un unique tir lui transperça le crâne, aspergeant une partie de son siège. Le second pilote poussa un cri de surprise et essaya de se détacher de son siège, trop lentement. L’assassin poussa le cadavre en arrière avant qu’il ne s’effondre sur le sol, et abattit le second homme. Il s’affaissa mollement sur l’une des consoles de commande.
L’agent de Prometheus poussa le corps et s’installa. Avec un bref regard sur l’étendue infinie devant lui, il dévia la trajectoire de la navette.
*
Cela faisait quelques heures que la navette avait été ramenée à bord de la station spatiale de Prometheus, et elle était déjà déchargée. Un autre agent s’était chargé de l’emmener dans un autre système, afin d’éviter la présence d’une éventuelle balise, avant de la détruire.
Matt était assis sur son lit, fixant le vide à travers la baie vitrée.
Cette mission avait ramené de mauvais souvenirs à la surface. Avant d’être définitivement engagé dans l’agence, il avait passé plusieurs mois en isolation pour s’assurer qu’il ne représentait pas un danger. Les premières semaines avaient été ponctuées de cauchemars effroyables et de crises de folie. Peu à peu, les effets du séjour sur la station Astridius s’étaient atténués, et il avait enfin pu rejoindre Prometheus.
Deux ans après, il n’en restait plus grand chose. Mais ces souvenirs avaient tendance à ressurgir de manière plus que désagréable. Le son de l’holocom le tira de sa rêverie.
« Agent Seber ? »
« Ouais... Vous voulez quelque chose monsieur ? »
« Je sais que vous rentrez juste de votre mission, mais nous avons des renseignements importants. »
« A quel sujet ? »
« Le projet DELTA. La personne en question se trouve à Paris, et nous voudrions que vous vous en occupiez. »
« Encore un projet secret hein... dit-il d’un ton sans réplique. Et pourquoi moi ? D’habitude, c’est surtout pour du détournement de matériel... »
« Eh bien, l’agent Erikson étant attribué à cette mission, nous pensions que vous iriez mieux tous les deux. »
Erikson... L’ancien écrivain devenu un tueur froid. Une histoire palpitante, mais ce nom faisait surtout partie des quelques éléments capables de faire jaillir le passé.
« Entendu. Il y a autre chose que je dois savoir au sujet de cette mission ? »
L’homme s’enfonça davantage dans son fauteuil. Il avait l’air de réfléchir aux éventuels détails qu’il aurait pu oublier. Mais d’une certaine manière, il avait aussi l’expression de quelqu’un qui hésite sur s’il doit ou non dire quelque chose. Finalement, il se pencha en avant, croisant les doigts au-dessus du bureau.
« Non, Seber. Il n’y a rien. »
si j'ai bien compris tu dois tuer K avec l'écrivain ?
Pauvre K qui est au milieu de tout, la chaine qui nous relie tous alors que c'est le personnage le plus discret
Non, on va pas aller buter K
On va juste aller "recruter" quelqu'un
Ensuite, je ne connais pas les détails de la mission, je devais juste faire le lien pour que mon perso rejoigne celui de Help
Y reste plus que Seb.
que vous vous en occupiez. »
sa me fais penser a que vous le butiez
Au pire, relis le dialogue de l'épiloque de Help, ça t'aidera peut-être à comprendre
ouai je vais refaire sa je pense.
Hum dites juste pour être sure, a pars moi qui a survécu officiellement a Astridius ?
Bonne question, sachant que Help et moi sommes engagés dans Prometheus, que K faisais partie de la SCT et que Zeff est pas censé exister...
K a très bien pu se faire passé pour un mort
par contre vu qu'il est très discret...
voila quoi