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Assassin's Creed : Brotherhood

Sujet : [Fic] Assassin's Creed: Legend
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_FoxMcCloud_
Niveau 10
06 décembre 2010 à 20:02:51

Milan, 7 Janvier 1362.

Le soleil... il se faisait rare sous ses nuages menaçant. Les habitants de Milan n'avait pas l'air de s'en soucier. Les tailleurs amadouait les clients, et les docteurs vendaient différents remèdes. Les gens du royaume étaient nombreux dans la ville, ce qui facilitait le travail de filature, et Alphonso Ildebrando en profitait. Il fallait savoir que cet homme n'était pas un simple homme de la société, c'était un Assassin. Une capuche recouvrait la majeure partie de sa tête. Sous celle-là, on apercevait des yeux noisettes et un début de barbe, ainsi qu'une légère cicatrice à la joue droite. L'homme était brun avec des sourcils très fins. Une ancienne épée sicilienne était rangée dans son étui, ainsi qu'une dague. Ses protections de bras recouvrait une lame digne des assassins et une arbalète était acrochée à son dos. Il était vétu de blanc, et un plastron et des épaulières le protégeait. A chaque fois qu'Alphonso posait son pied à terre, un petit nuage de poussière s'élevait du sol de la ville. L'assassin suivait une cible: Biagio Monaldo, un espion qui livrait des informations capitales aux templiers.
Alphonso se trouvait derrière un petit groupe de villageois qui, par chance, allaient exactement là où Biagio se rendait. Après que ce dernier se fit escorter par deux énormes gardes protégés par des armures qui semblaient indestructibles, l'Assassin jugea bon de laisser tomber la marche pour l'escalade. Dans une ruelle à l'écart des regards, il s'agrippa sur le rebord d'une fenêtre et en moins de temps qu'il ne faut pour s'asseoir, il se trouvait déjà sur le toit en brique rouge d'une maison, et avait une vue parfaite sur l'espion qui se rendait à son lieu de rendez-vous.
Alphonso avait une vue parfaite. L'endroit était dégagé. Seul quatre gardes, dont deux positionés sur les toits, gardaient un oeil sur Biagio. Ce dernier venait d'engager la conversation avec un autre homme, un messager. L'assassin descendit de son poste d'observation et se méla une nouvelle fois à la foule, avant de finir sa course sur un banc, à l'ombre du soleil qui tentait de percer les gros nuages. Alphonso avait une ouïe extrémement développé et parvenait à percevoir quelques mots de la conversation.

-Donne cette lettre il tuo capo a Milano, rapidamente, dit Biagio en tendant la lettre. Je sens que l'on nous espionne. Et ensuite...
-Fottiti bastardo !

Ces hurlements couvrèrent la fin de la phrase de Biagio et ce dernier s'apprettait à s'en aller. Les deux gardes escortèrent le messager. Alphonso se leva et balaya l'endroit des yeux. Il avat reçu l'ordre de l'assassiner sans témoin, et il devait garder un oeil sur la lettre qui venait de changer de main. Alphonso prit la direction de Biagio, le suivant depuis une distance convenable. Il lançat une poignée de florins, se qui destraiya les gardes un moment. Tous les habitants se précipitèrent pour ramasser l'argent. Alphonso se mit en retrait, sortit son arbalète et tira. La flèche vint se planter dans la nuque de Biagio. Dans l'agitation, les gardes perdirent tout contrôle et cela facilita la fuite de l'assassin, qui pourchassait à présent le messager, qui venait de sortir du quartier. Alphonso regardait sa cible depuis un toit. On entendait les hurlements du forgeron qui annonçait ses articles et les vantardises des tailleurs sur la qualité de leurs produits. Alphonso n'avait pas beacoup de temps pour agir. Il sortit une deuxième fois son arbalète, et fit du premier garde sa deuxième victime. Des cris d'horreur s'élevèrent de toutes part ! Le deuxième garde se pencha pour examiner la scène. Dans un tintement imperceptible, l'assassin sortit sa lame, sauta du toit et planta sa favorite dans le cou du garde. Des "Assassino" s'élevèrent parmi la foule. Le messager, éffrayé, pris ses jambes à son cou. Alphonso le poursuivait à présent. En un rien de temps, son poursuivant le plaqua au sol. L'assassin ressortit sa lame et la planta dans le sol poussiéreux.

-Donne-moi cette lettre ! ordonna Alphonso.
-Quel lettre ?
-Celle que Biagio Monaldo ta donné, strappo !

Avant que le messager ne puisse dire quelque chose, Alphonso mit la main dans une des poches de son manteau de soie, et en ressortit une lettre marquée d'un sceau.

-Pitiez, messere ! Ne me tuez pas ! implora le messager.
-Va ! dit Alphonso en jetant le messager.

J'éspère que ça vous a plu, même si je sais que ce n'est qu'un début :) N'hésitez pas à critiquer ou donner des conseils :ok:

panckakes_bis
Niveau 10
06 décembre 2010 à 20:07:57

C'est très bien :ok:

_FoxMcCloud_
Niveau 10
06 décembre 2010 à 20:39:06

Merci :rouge:
Personne d'autre ?

_FoxMcCloud_
Niveau 10
07 décembre 2010 à 16:08:59

:up:

CYRIL23
Niveau 8
30 décembre 2010 à 19:15:42

pas mal :ok:

continu comme ça :)

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