Mati quand tu aura fini tu pourra poster toute la fic en entier
Dsl souble post mati je veu pas t'enerver mais j'ai tous rassembler
Personnages :
Herobrine
Guldy
Les autres mineur
Prologue :
Depuis neuf heures maintenant, Herobrine et les autres mineurs s'acharnaient sans relâche sur la pierre, à la recherche de trésors, sous l'oeil impitoyable de Guldy, le chef mineur. Tout le monde minait en silence, le brisant seulement pour signaler la présence de ressources. Quelques fois, lorsqu'il s'agissait de diamants, Herobrine se taisait et, veillant à ce que personne ne le voit, se baissait pour le ramasser. Alors qu'il venait de cacher un troisième diamant, il entendit des bruits de pas vers l'entrée de la grotte et il se retournait, en même temps que les autres. Un messager arriva, murmura un « Bonjour ! » à peine audible aux mineurs et se tournait pour discuter avec Guldy. Après un bref instant, il repartit, et Guldy cria alors aux mineurs :
-La nuit est tombée ! Vous ne pourrez pas rentrer chez vous ce soir ! Cela signifie (il haussa le ton pour couvrir les protestations des mineurs) cela signifie que vous allez rester ici et continuer à miner !
-Mais nous minons depuis midi ! Nous merritons bien une pause ! Cria Herobrine avec les autres.
-Ne discute pas Herobrine ! Aucune pause ! Vous travaillerez jusqu'au lever du jour, et vous reviendrez à midi pétantes !
Ils continuèrent de miner, tous pensant quelle serait la meilleur façon de tuer Gulty.
La réponse se trouvait juste sous leurs pieds.
A force de miner, l'un deux faillit tomber dans une gallerie naturelle. Mais ce n'était pas n'importe quelle galerie : éclairant à l'aide d'une torche, ils virent tous ce qu'ils redoutèrent : un donjon de Creepers. Prenant leurs courage et leurs pioches à deux mains, ils creusèrent un escalier juste à côté et entrèrent dans le donjon. Les creepers tombaient sous les coups de pioches, leurs « pshhhhh... » se répercutant en écho, mais ils mourraient avant d'avoir eu le temps de reculer. Une fois tout les creepers tués, ils posèrent une, puis deux, puis trois torches autour du donjon. Avant d'avoir pu poser la quatrième,un creeper apparut, et, avant qu'ils aient pu faire un jeste de plus, il explosa.
Tout n'était que chaos, poussière et roche. Herobrine était ensevelie sous un amas de rocher, de gisements de fers et de charbons. Alors qu'il se dégagait péniblement, il prit conscience de quelque chose : tous étaient morts. Tous, sauf lui. Alors qu'il allait remonter, il entendit une voix l'appeler faiblement.
-Herobrine... Herobrine..
Il se retourna, et vit Gulty allongé, le suppliant de venir. Il s'agenouilla auprès de lui, et dût se pencher pour comprendre ce qu'il disait :
-Il faut... Il faut que tu aille à... à TingTown.. Préviens-les... La fin est proche... Tu est notre seul espoir... Herobrine, promet-le moi...
Herobrine hésita pendant quelques secondes, puis il se releva et dit à Gulty :
-Je vous le promet.
Chapitre 1 :
Herobrine remonta lentement vers la sortie de la mine. Une fois à l'extérieur, il remarqua qu'il faisait sombre, puis il se rappela qu'il faisait nuit. Il devant donc redoubler de prudence. Tout comme avec le donjon, il prit sa pioche, prêt à s'en servir comme une arme. Il fît un pas, deux pas, puis trois, et avança lentement, au taquet, prêt à attaquer la moindre chose qui bougeait. Un buisson remua alors près de lui. Surpris, il s'arrêta, et fixa stupidement le buisson, intrigué, baissant sa pioche.
C'est alors qu'un homme, à peu près la trentaine, l'air misérable, les cheveux mi-longs crasseux, d'énormes cernes sous ses petits yeux perçants, il tenait devant lui un arc, prêt à décocher une flèche entre les yeux de Herobrine. Ce dernier sursauta à la vue soudaine de ce misérable, manquant de lâcher sa pioche. L'homme dit alors d'une voix faible, en baissant son arc :
-Herobrine ? C'est bien toi ? Où sont les autres ? Tu est autorisé de sortir ?
Il lui posait trop de question. A cela ce rajoutait la morts de ses compagnons, sa surprise à la vue de l'homme et l'inquiétude de la nuit. S'en était trop. Il empoigna fermement le manche de sa pioche, et s'approcha, l'air menaçant, de l'archer, qui avait soudainement l'air inquiet.
-Herobrine ? Qu'est-ce qu'il y a ? (Herobrine prit sa pioche à deux mains) Que... Quelque chose ne va pas ? (Il la leva au-dessus de sa tête) Que... Arrête !Herobrine ! Où sont les autres ? A l'aide !
-Ils sont tous morts, répondit calmement Herobrine d'une voix sombre qui ne lui ressemblait pas.
Sa pioche s'abattit dans la tête de l'archer. Herobrine l'arracha, la releva et frappa cette fois dans la nuque. Il répéta cela jusqu'à ce qu'il se soit complètement défoulé ; jusqu'à ce que les hurlements de l'homme s'évanouirent dans la nuit.
Herobrine s'arrêta alors. Il repris soudainement ses esprits, et ce rendant compte qu'il venait de tuer quelqu'un, écarquilla les yeux de terreur. Il marcha, ne pensant plus au danger, se répétant, comme pour s'en convaincre :
-Tu t'es laissé emporter, Herobrine, tu ... Tu as... Tu as tué quelqu'un... Tu... Non, c'est faux, c'est une hallucination, il n'y avait personne... Sinon j'aurais du sang sur moi... Et je n'en ai pas...
Mais c'était, hélas ! vrai. Il était épuisé. Il arriva alors devant les portes de la ville de Thern. Un garde lui posa alors exactement les même questions que l'archer. Herobrine ne lui répondit pas, et le garde, croyant sans doute qu'il était trop épuisé pour parler, autorisa les autres gardes à ouvrir la porte. Herobrine le remercia dans un faible murmure, et pénétra dans la ville. Il marcha lentement, à la recherche d'une auberge. Une enseigne grinça alors au-dessus de sa tête : Il recula et lu « Auberge du sanglier égorgé ». On lui avait dit que c'était une auberge miteuse, mais il entra et demanda une chambre pour la nuit. Il dormit paisiblement.
Chapitre 2 :
Au lever du jour, Herobrine était déjà réveillé. Il savait ce qui allait se passer : Aujourd'hui commençait son périple vers TingTown. Il se leva lentement du lit sur lequel il était assis et se tourna pour regarder à la fenêtre. Dans la ferme en face, un homme dont il ne connaissait pas le nom, à la grande barbe et au front dégarni, rouspétait déjà sur ses cochons et ses vaches. Herobrine se retourna, n'ayant même pas l'ombre du rire qu'il avait d'habitude en voyant cet homme, prit le contenu de son coffre ; quelques pièces, sa pioche, un pantalon bleu, un T-shirt cyan, des chaussures noires, usées et pleines de boue, et ses 3 diamants.
Il ferait sombre, à Thern, si il n'y avait pas de lampadaires. Plusieurs hommes courageux étaient partis dans un endroit, personne ne savait où, via un portail, et en revenaient chargés d'une poussière brillante, qui, une fois fondue et assemblée, formait une pierre luminescente. C'est cette pierre qu'on avait accroché aux poteaux et qui servaient d'éclairage à la ville.
Herobrine marcha d'une pas énergique vers sa maison, pour prendre le reste de ses affaires. C'est alors qu'on homme l'interpella dans son dos. Lorsqu'il se retourna, il reconnu le propriétaire du « sanglier égorgé ». Il avait un air sournois, menaçant.
-Vous ne m'avez pas payé, je me trompe ?
-....
-J'ai aussi remarqué que vous aviez volé quelques diamants à la m...
-Comment le savez-vous ? demanda Herobrine d'un ton brusque, Vous avez fouillé mon coffre ?
-Je n'ai pas pu m'en empêcher, dit l'homme avec un sourire en coin, un homme aussi bizarre tel que vous...
Herobrine empoigna fermement sa pioche, et, comme pour l'archer, la leva au-dessus de sa tête.
-Qu'est-ce que vous faîtes ? Arrêtez ! Au secours !!!
L'homme prit les jambes à son cou. Herobrine courut, voulant rattraper ce tavernier malhonnête. Il le vît alors s'arrêter dans un coin, juste devant lui, et veiller à ce que Herobrine n'arrive pas. Ce dernier s'approcha dans son dos et lui dit, aussi calmement qu'il pouvait :
-Je te vois...
L'homme se retourna et pâli. Il devint blanc comme un linge lorsque Herobrine releva sa pioche au-dessus de sa tête. Herobrine le frappa alors dans la jambe. L'homme hurla, mais Herobrine s'en fichait : un horrible rictus recouvrait son visage. Il planta la pioche dans le dos du tavernier, répétant cela jusqu'à atteindre la tête où il s'acharna pendant un bon bout de temps. Cela fini, il enterra le corps, se fichant qu'on puisse le voir, car une petite partie de lui-même savait qu'il ne reviendrait peut-être pas de son voyage. La poursuite l'avait presque amené jusqu'à chez lui. Il ria doucement et, ouvrant la porte de sa maison, murmura :
-C'est plutôt marrant au final...
Chapitre 3 :
Dès que la porte fût refermée, Herobrine se précipita à l'étage. Il ouvrit le coffre à côté de son lit et y pris son épée. Il sortit dans sa cour, remarqua qu'il commençait à pleuvoir, et dit aux cochons :
-Je ne vois même pas pourquoi je vous ai gardés...
Et il tua chacun des cochon avant de prendre leurs côtelettes. Il alla dans la cuisine et fît cuire le tout, avec une patiente qu'il n'avait pas d'habitude. Lorsque chacune des côtes de porc fût cuites, il vérifia qu'il ne lui manquait rien, rangea le tout dans son sac à dos et sortit.
Il pleuvait à verse maintenant dehors, la lueur des lampadaires éclairait faiblement les chemins. Il tourna à l'angle de la rue, marcha, se concentrant sur les gouttes d'eau qui coulaient sur son visage, et arriva à la gare. Il acheta avec peu d'or qu'il avait un ticket pour TingTown; espérant que ce qu'il lui restait serait suffisant pour le reste de son voyage. On lui conseilla de prendre quinze morceaux de charbon, dix étaient suffisants, mais on ne sait jamais.
Herobrine s'assit dans le wagon, se tourna tant bien que mal et posa un charbon dans le moteur du wagon de derrière, qui ne servait uniquement à pousser le wagon où était assis Herobrine. Alors qu'il sortait de la gare, Herobrine fût de nouveau accueillit par la pluie, mais cette fois, le chant du tonnerre l'accompagnait, reposant Herobrine des évènements passés. Dès que le « train » commençait à ralentir, il déposait un nouveau morceau de charbon.
Alors qu'il venait de poser le cinquième, il ressentit une énorme secousse, et il se sentit tomber : Un énorme trou interrompait les rails. La chute paraissait sans fin.
Soudain, le wagon atterrit dans un grand fracas au fond du gouffre. Le wagon se retourna et Herobrine atterrit sur le sol, et se prit le wagon dans la tête.
Lorsqu'il se réveilla, il remarqua qu'il faisait nuit. Il s'inquiéta : Les zombies, squelettes, creepers et araignées allaient envahir le gouffre. Il partit à droite et hâta le pas. Il entendit alors une explosion derrière lui, il se retourna et vît un squelette s'envoler et exploser contre la paroi. Herobrine sortit alors sa pioche, creusa un peu dans la paroi et se fabriqua un lit. Il referma l'ouverture avec la pierre qu'il venait de miner, posa une torche et s'endormit.
Le lendemain matin, il fût réveillé par le chant d'un coq, immédiatement suivi par l'explosion d'un creeper. Il avait déjà mal à la tête, mais il devait continuer sa route. Il sortit et continua à marcher. Ce gouffre aurait bien une fin !
Alors qu'il commençait à perdre espoir, il entendit une vache, un cochon, un coq, tout cela à la fois. Il étaient à la surface, il s'en approchait. Il sentit qu'il grimpait une pente douce.
Une heure plus tard environ, le soleil lui fît mal aux yeux : Il était sortit du gouffre. Mais le soleil se couchait. A l'horizon se dessinait une ferme. Sans réfléchir, il se précipita là-bas. Il faisait déjà nuit lorsqu'il arriva. Il toqua : Aucune réponse. Il réessaya : Toujours rien. « Ou les propriétaires dorment, ou il n'y en a tout simplement pas. » pensa-t-il. Il ouvrit doucement la porte, et entreprit d'allumer toutes les bougies de la ferme avec sa seule torche.
Il était épuisé, à bout de force, et lorsqu'il se coucha dans un lit miteux ( qui était quand même le plus propre de la ferme ) il s'endormit immédiatement.
Il était sauvé.
Sa m'énerve pas t'inquiète
Sinon c'est que c'est long déjà
Pour mettre ca dans une blibliothèque bonjour l'affaire.
Sinon
PS: Introduit des screens de bâtiments (la maison d'herobrine, des fermes, des gares...ect) ce serait vraiment sympa.
Bonne idée, mais après la "surprise" est gachée
Fais des chapitres plus longs, comme l'avait dit Arcko, n'hésite pas à rallonger les descriptions.
Non mais quand on connait déjà des bâtiments qui n'ont plus rien à cacher.
sweet
Hip.
Pour poster ton texte il mon meme demander un mot de passe telement c'est long . Mais quand on lit sa va tout seul alors je suis pour que se soit plus long. +1. Et si tu veux je peu poster sa tou les 2ou3 chapitres pour faciliter la lecture
"il atterrit sur le sol" (chap.3, l.22) est un pléonasme : on atterrit forcément sur le sol
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Les chokobons c'est trop bon !
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Mouais.
Moui c'est vrai
c'est sur que si il attérit au plafond... sinon, géniale ta fic continue comme ça
Ca coule là!
need la fuc*ing sweet
Désolé, vous allez sûrement me tuer Mais demain je pourrais pas faire de suite, je suis malade
Mais je serais toujours présent sur le forum !
Sweet /