Batterie , guitare , basse
911tabs est génial comme site
Trop genial meme
MySongBook pour tablatures Guitar PRo c´est génial
Héhé je vais jouer chez mon guitariste cet aprem
Je vais encore me péter le dos à porter mon ampli 120 watts...
Ampli de combien ? T´ulises 1/100ème de sa puissance
Oui je n´utilise pas sa puissance à fond c´est sur sinon l´immeuble s´effondre! Mais il était en promo donc je me suis dit tant qu´à faire, autant tout de suite en prendre un puissant ^^
Quelle marque ton amplis ? Tu l´as payé combien ?
Psymon_Alex Etait............
A Merindol, ce week-end (27 mai) aura lieu un concert trés sympa .
Il s´agit de la première du "festival des musiques actuelles" : 4 groupes vont jouer au moins 30 min chacun.
Moi et mon groupe on est "Harmonic Generator" et on passe en premier. on fait du rock et on se demerde pas mal surtout avec notre petit gratteux de 14 ans qui envoi trop !!
Aprés, il y a Inano, un groupe de fusion instrumentale, j´ai hate de voir ce que c´est...
Puis "Paradoxe", du rock frenchy trés sympa et qui bouge!!
Et enfin, SOMA, tete d´affiche au registre plutot rock-neo-hard (...), mais ils sont pas mal connus et ils peuvent ramener du monde donc c´est cool !!
Voila, avis aux amateurs de bon son (ac/dc seront présents spirituellement, ainsi que les guns et aérosmith)
P.S. : Mérindol est vraimment un village paumé. Si vous voulez des précision sur le lieux exactes, demandez, je suis la pour ca !! !
bonne chance a vous et en effet j´aimerais des explicatons sur merindol
Ouiii
J´ai mon atricle sur le blog de Lando
Youkiiii !!
C´est votre premier concert ?
En tout cas bonne chance... Va falloir envoyer...
C´est quelle genre votre truc ?
Haricots ==> désolé j´étais parti! Alors c´est un behringer et je l´ai payé dans les 300€
Ah ^^
Complement mais,
Il y a des joueurs de warhammer?
Salut a tous.
roi-sorcier : ouais, j´ai une armée d´orques qui prenet la poussiere...
missnao : t´as demandé ou, pasque j´aimerais bien avoir le mien aussi.
slashguns , vous jouez depuis combien de temps...enfin ...ca fait combien de temps que tous ceux de ton groupe on commencer la musique ?
Ok ok, le prob, c´est que j´ai pas reellement de bonne photo de moi, attends, je cherche...
Tiens Lando :
Moi
http://img130.imageshack.us/img130/6060/dscn22740dg.jpg
et moi bébé
http://img130.imageshack.us/img130/8658/dscn22970qa.jpg
(Oui j´etais deja tres laid a cet age)
Par une belle matinée ensoleillée, nous avons décidé d’aller pique-niquer sur les bords du lac de Constance. Après une journée très agréable, vers 18h30, nous avons pris le chemin du retour car la route était longue. Mon fils à mes côtés se sentait bien, il chantait. Le paysage était vraiment somptueux dans cette région, et le soleil couchant donnait une couleur irréelle aux arbres. J’étais tellement absorbée par ma contemplation que je n’ai pas remarqué le niveau de la jauge d’essence.
Tout à coup, le moteur toussota et cala. La nuit était tombée, il n’y avait pas âme qui vive à des kilomètres à la ronde, j’étais folle de rage ! Je pestais et tempêtais quand mon fils me fit remarquer que peut-être il faudrait prendre le jerrican et la torche dans le coffre et essayer de trouver de l’essence. Sentant que mon attitude était négative, je me ralliai à son idée. Prenant mon courage à deux mains, j’attrapai le jerrican, la torche et nous voilà partis tous deux à la recherche d’un peu d’essence. Je détestais cette nuit noire, il n’y avait même pas de lune. J’avais peur, comme les enfants ont peur du noir. Des drôles de bruits s’échappaient de cette forêt, à chaque instant je regardais derrière moi songeant que quelque chose allait m’attaquer. Je jetai un coup d’œil vers mon fils pour me rassurer, il avait l’air serein. Alors, je me sentis mieux, mais cela ne dura pas, car une bestiole poussa un hurlement strident qui me fit dresser les cheveux sur la tête. Je maudissais cette panne et j’avais hâte de trouver de l’essence. Soudain, j’aperçus une lueur dans le lointain ; à demi soulagée, je me dirigeai vers cette faible lumière ; il y avait donc quelqu’un dans cette immense forêt. En chemin, je me dis que cette lueur était étrange. Quand je fus tout près, l’explication de cette bizarrerie me sauta aux yeux : un spectre apparemment féminin flottait à cinquante centimètres du sol. Ça y est, j’étais folle ! Mickey me ramena à la réalité quand il poussa un cri terrifié. Mon sang se glaça au moment où j’entendis une voix d’outre-tombe me demander de l’aide. Mickey et moi nous nous mîmes à courir comme si notre vie en dépendait mais plus on courait, plus cette chose nous suivait en répétant :
« Aidez-moi, aidez-moi. »
Tout à coup, elle disparut, mais nous nous enfuîmes toujours comme des fous tous les deux. Je faillis m’évanouir en me cognant contre un homme qui devait être le garde forestier de la région. Il me saisit par la taille pour m’empêcher de tomber.
« Mais enfin que vous arrive-t-il ? »
Je répondis en bafouillant :
« J’ai vu un fantôme, là, dans la forêt, elle me suivait en demandant de l’aide. »
Le garde forestier était devenu aussi blanc que le spectre que j’avais vu l’instant d’avant.
« Vous êtes folle, il n’y a rien là-bas », balbutia-t-il.
« Soyez poli avec ma mère, monsieur, je vous prie, je l’ai vu moi aussi », s’indigna mon fils.
« C’est votre imagination qui vous joue des tours, quelle idée de se promener en forêt la nuit ! »
« Nous ne nous promenons pas, nous sommes en panne d’essence. »
« C’est bon, je vous emmène remplir votre jerrican, je vous déposerai ensuite à votre voiture, après, je vous conseille à tous les deux d’aller dormir. »
Après quelques kilomètres faits dans un silence de mort, nous fûmes de retour auprès de notre véhicule. Mickey se chargea de remplir le réservoir pendant que j’allai m’installer au volant. Je cherchai à mettre le contact de la voiture quand mon attention fut retenue par l’apparition subite du fantôme ; le garde forestier était devenu vert de peur. L’esprit leva une main diaphane et pointa un doigt accusateur vers le garde :
« Vous, soyez maudit, assassin ! »
Se tournant vers moi, elle m’expliqua qu’elle était militante écologiste et qu’elle voulait dénoncer l’homme à la police, pour trafic de bois. Celui-ci, pour la faire taire, l’avait purement et simplement supprimée et enterrée quelque part dans cette gigantesque forêt. Une autre peur m’envahit : celle de mourir. Elle fut justifiée quand, assise derrière mon volant, je jetai un coup d’œil devant moi. Je vis le garde forestier sortir son arme de son étui et s’approcher du côté chauffeur de la voiture, l’air décidé à nous faire subir le même sort qu’à sa première victime. Mickey s’était glissé à mes côtés pour me rappeler que je détenais dans la boîte à gants l’arme de service de mon mari. Je m’en saisis discrètement. Quand il fut à côté de la portière, je tirai, le blessant mortellement. Il s’écroula.
Soulagée, je repris la route, déterminée à aller avertir les autorités de l’incident. Une fois en route, il me sembla entendre un merci reconnaissant. Machinalement, je répondis :
« Y a pas de quoi. »
Quand nous arrivâmes en ville, je me mis en quête du commissariat. Je le trouvai coincé entre la boutique d’un teinturier et celle d’un marchand de jouets. J’entrai dans le poste de police et demandai à parler à un commissaire. On me fit patienter, enfin je vis arriver un homme corpulent qui portait une chemise tachée de sauce. Il écouta mon histoire avec attention mais l’expression qui s’était dessinée sur son visage m’avertit qu’il me prenait pour une folle.
« Voilà ce que je vous propose, je vais vérifier votre histoire, ensuite, on en discutera », me répondit-il sur un ton mielleux.
Je le vis passer dans le bureau voisin et téléphoner à quelqu’un. Un quart d’heure plus tard, deux infirmiers de l’hôpital psychiatrique de la région venaient me chercher pour m’emmener à l’asile. Je me rebellai car Mickey restait dans la voiture, j’avais très peur pour lui. Le commissaire me dit de ne pas m’inquiéter, qu’il s’occupait de tout. Après une nuit passée dans cet endroit sinistre où les malades hurlaient toutes les cinq minutes, on me présenta au médecin de l’établissement :
« Monsieur, je tiens à vous préciser que vous me détenez illégalement, je suis américaine, je dépends de la loi américaine, j’ai un fils de dix-sept ans qui se retrouve seul dans un pays étranger. Je ne suis absolument pas folle, je sais ce que j’ai vu. Est-ce trop difficile pour vous d’imaginer que quelqu’un mort dans des circonstances aussi dramatiques puisse devenir un fantôme pour réclamer justice ? Je veux sortir d’ici immédiatement ! »
Après d’innombrables renseignements pris auprès d’hommes de loi, le médecin décida qu’il fallait me relâcher. Mais la phrase qu’il lâcha au moment de ma sortie m’informa sur ce qu’il pensait de ma santé mentale :
« Je vous conseille vivement de consulter un confrère quand vous serez de retour dans votre pays ! »