Tout simplement magnifique Xavier !
C'est beau, c'est bien écrit, c'est prenant c'est..c'est... C'est génial !
Y'a pas a dire, c'est vraiment super
Donc aucun rapport avec Transformers, mais t'inquiète c'est quand même génial !
Merci à vous tous pour vos jolis commentaires, ça me touche vraiment.
Et ça fait super plaisir.
Bref, je posterais le chapitre 1 Lundi normalement.
derien c'est normal ici
Lundi...
T'as raison, je sais pas vous mais j'ai lu 10 fois la chapitre 0
Pourquoi attendre si longtemps ?
Pour nous rendre cinglés et abrutis d'impatience !
bref, laissons ce topic en paix, faut pas non plus que ça devienne un bla-bla par pur respect de l'auteur
C'est toi qui dit ça après ce que tu as fait à la fic de SilverWolf
justement
sauf que c'est Captain Foufoune qui s'est énervée pour rien.
Tu ferai mieux de ne pas parler, toi. et Silverwolf a eu raison de s'indigner
ZE DAY
Bonsoir à tous les amis, je m'excuse de mon retard, j'ai eu une journée assez chargée. Mais ne vous inquiétez pas, je n'ai pas oublié de vous faire part de mon chapitre 1. bonne lecture !
PS : je voudrais avant tout vous informer que ceci n'est que le chapitre 1, il est donc normale qu'il soit moins intéressant car je vais vous présenter le personnage ect, ceci étant dit on reprendra de plus belle une fois les présentation terminée ! le prochain pavé sera Jeudi.
[PARTIE 1]
Chapitre #1 :
Natan feinta sur le côté, fit passer le ballon dans son dos, le reprit plus au ras du parquet avant de pivoter pour bloquer de l'épaule le joueur qui le marquait depuis le début du match.
Le type, un grand costaud qui lui rendait au moins trente centimètres, tenta de franchir le barrage en force. Natan se baissa, l'esquiva sans peine et se dégagea. Il se déplaçait avec une rapidité sidérante, le ballon collant à sa main comme s'il état un prolongement de son corps.
Natan partir en drible vers l'aile droite puis repiqua vers le centre. Il avait déjà inscrit douze paniers pour son équipe, mais cela ne suffisait pas. Les autres avaient encore un point d'avance et le match s'achevait dans une poignée de secondes. Trois défenseurs se précipitèrent, lui interdisant de pénétrer dans la raquette. Natan chercha ses partenaires des yeux. Aucun n'était en position de shoot. Il s'y attendait.
Arthur, le seul qui, selon Natan, jouait de manière potable et aurait pu le soutenir dans une contre attaque éclair, était marqué de très près. Il tenta de décrocher mais, malgré la passe parfaite de Natan, la pression défensive était trop forte et il ne réussit pas a se saisir du ballon qui fur intercepté par un joueur adverse.
Natan comprit que la partie était perdue. L'équipe de Stanislas allait se contenter de faire circuler le ballon, jouant la montre, jusqu'à ce que l'arbitre signe la fin du temps réglementaire. Si au moins ses équipiers s'étaient mobilisés, il y aurait eu un espoir, mais ce n'était pas le cas et il ne pouvait pas gagner le match à lui tout seul ! Il redescendit en défense afin d'éviter que le score se creuse, et c'est à cet instant qu'il la vit.
Maud.
Assise dans les gradins !
Il étouffa un juron.
Depuis le temps qu'il espérait qu'elle assiste à une rencontre, il fallait que ce soit celle où son équipe perdait. La honte ! Sa stratégie de séduction, mise en place depuis des semaines et qui commençait juste à porter ses fruits, s'effondrait.
Non. Il y avait encore une possibilité. Il n'aimait pas faire ça, il savait qu'il le regretterait, mais la situation était exceptionnelle et justifiait une entorse à ses résolutions. Maud était la. S'il voulait la séduire... Alors qu'un joueur de l'équipe adverse faisait une passe longue à un de ses partenaires , Natan bondit.
Haut.
Très haut.
Plus haut que quiconque dans le gymnase aurait jugé humainement possible de bondir.
Il attrapa le ballon. Dans le même mouvement, il vrilla son buste, tira. En arrière. Sans regarde sa cible. Le ballon s'envola, décrivit une courbe parfaite et s'engouffra dans le panier à plus de vingts mètres de là.
Il n'avait pas touché le panneau et à peine frôlé le filet. À cet instant précis, l'arbitre siffla la fin de la rencontre. Il ne s'agissait que d'un match opposant deux groupes de lycéens. Le public, composé de familles et de jeune venus soutenir leurs copains, n'était pas très nombreux, pourtant la victoire providentielle de l'équipe de Natan engendra un impressionnant vacarme. Des cris s'élevèrent, saluant l'exploit du jeune pivot de Marie-de-France, tandis que les supporters de Stanislas le huaient.
Natan, a moitié enseveli sous ses partenaires en liesse qui scandaient son nom, réussit a tourner la tête vers les gradins. Il capta le regard de Maud et un grand sourire fendit son visage lorsqu'il découvrit la flamme d'admiration qui y brillait. Puis ses yeux revinrent sur le terrain. Il nota la mine stupéfaite de ses adversaires et leur air incrédule. Il capta une bribe de conversation entre deux joueurs, suivit leurs doigts qui désignait la trajectoire du ballon...
- Merde, murmura-t-il dans un souffle.
Il s'était encore fait remarquer.
- J'en reviens pas !
L'eau de la douche, brûlante, ruisselait sur la tête d'Arthur, mais il ne semblait pas s'en apercevoir. Il dévisageait Natan avec une expression qui ressemblait fort à de le vénération.
- J'en reviens pas, reprit-il. Je n'ai jamais vu ça !
- Un coup de chance, tempéra Natan. Rien de plus.
- Arrête, tu joues comme un pro. Ils ont de sacrés basketteurs à Stanislas. Avant que tu arrives, ils nous mettaient la pâtée à chaque rencontre, et toi, tu te balades sur le terrain comme si tu matchais contre un gars en scaphandre !
- Tu exagères.
- Pas du tout ! Dis-moi, Nat...
- Oui ?
- Tu es sur de ne jouer au basket que depuis un an ?
Natan hésita. Pour s'offrir quelques secondes supplémentaires de réflexion, il entreprit de savonner ses cheveux noirs qu'il portait assez longs, insensible à la mode exigeante que les garçons de son âge soient rasés ou presque.
- Alors ?
Natan se mordit les lèvres. Il n'avait jamais menti lorsqu'il avait affirmé n'avoir jamais mis les pieds sur un terrain de basket avant le début de la saison...
... Il avait juste omis de préciser qu'il lui fallait en moyenne une semaine pour maîtriser un sport et guère plus d'un mois pour atteindre le niveau professionnel.
Quel que soit le sport !
Il le savait, il en avait essayé vingt-trois.
- Je t'assure, vieux. J'ai touché mon premier ballon de basket lorsque je suis arrivé à Montréal, il y a 8 mois.
Arthur poussa un sifflement admiratif.
- C'est incroyable. Et tu n'as que seize ans... Je suis certains que ces types au premier rang étaient la pour toi. Ils ne t'ont pas quittés des yeux.
- Quels types ?
- Deux hommes en costume noir, c'étaient sûrement des recruteurs, peut-être même pour une équipe des States. Tu ne les as pas vus ?
Natan éclata de rire.
- Non, et c'est peut-être pour ça que je suis bon. Je regarde ce qui se passe sur le terrain, moi, pas les gens sur les gradins.
- Sauf quand les gens en question sont roulés comme un top model et s'appellent Maud, se moqua Arthur.
- Tout juste, vieux ! s'exclama Natan en saisissant sa serviette. D'ailleurs, j'ai beau apprécier ta compagnie, je te quitte. Juste au cas où la Maud dont tu parles aurait la bonne idée de m'attendre à la sortir du gymnase.
Les joueurs de l'équipe avaient suivie la conversation. Il lancèrent sur les charmes de Maud quelques blagues douteuses que Natan préfèra ignorer. Il finit d'enfiler ses vêtements et se précipita vers la sortie. En dépit de ses assertions, Maud n'occupait désormais plus ses pensées.
Il partait - fuyait aurai davantage convenu - de crainte qu'Arthur ou un autre de ses copains ne lui pose une question à laquelle il serait incapable de répondre.
Une question piège.
Il n'aurait pas été inquiet si quelqu'un n'avait pas, justement, détesté ce genre d'histoire.
Quelqu'un que Natan n'avait aucun envie de décevoir.
Quelqu'un qui ne lui pardonnerait pas cette nouvelle incartade.
Son père.
C'est un peu moins captivant que le prologue, mais ça reste super bien écrit
J'ai déjà hâte d'être à Jeudi
Melheuresement Nest_OP on va surement devoir attendre un peu avant que ça ne redevienne aussi captivant, le temps qu'il présent le/les personnages et tout c'est dommage
Le prend pas mal Xavier, c'est normal, c'est quand même bien écrit et construit pour une description
Ça reste tout de même intéressant, mais ça manque des palpitations qu'il y avait au début
Sinon j'attends tout de même avec grande impatience la suite, c'est vraiment du beau travail que tu nous donnes ici Xavier
C'est vrai
Une fois la présentation des personnages terminée, j'espère que ça vaudra le coup
On a pas de soucis à se faire là dessus je pense
Bon, arrêtons de poster et attendons Jeudi impatiemment
Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien les amis.
Bref, je vais vous éclaircir sur certains points :
- Déjà, la présentation des personnages ne va plus durer très longtemps, une fois qu'elle sera finie je vous promet un récit qui suit la même trame que la prologue, vous verrez.
- Le prochains "pavé" sera Samedi ou Dimanche, cela dépend de ma progression dans le reste de la fic.
Ceci étant dit, j'espère que ce chapitre 2 vous plaira, bonne lecture !
[ PARTIE 1]
Chapitre #2 :
Maud ne l'attendait pas à la sortie.
Natan, qui s'en doutait un peu, se contenta de hausser les épaules.
Maud n'était pas facile à séduire, de nombreux garçons du lycée l'avaient appris à leur dépens. Qu'elle ait assistée au match était déjà remarquable. Le reste viendrait plus tard...
Il se mît à marcher d'un pas rapide. Le vent qui soufflait depuis une semaine sur Montréal en provenance de Laurentides n'avait pas encore apporté de neige, mais cela ne tarderait pas. Il était glacé et la température ne devait pas dépasser un ou deux degrés.
La ville se préparait à l'Hiver. Les plantes étaient emmaillotées dans des bâches isolantes pour les protéger de la neige des souffleuses, des plaques antidérapantes étaient fixées sur les marches des immeubles et les trottoirs étaient débarrassés des obstacles qui risquaient de gêner le passage des déneigeuses.
Natan était arrivé avec ses parents au mois d'Avril, quelques semaines avant que le Printemps n'impose au Québec le vert comme couleur dominante, et il lui tardait de retrouver la blancheur des paysages qui avait pansé son vague a l'âme lorsqu'il avait atterri à l'aéroport Trudeau.
Ce blanc qui l'avait déjà fasciné sur le sommet du Kilimandjaro durant son séjour en Tanzanie ou, plus récemment, dans les plaines Ukrainiennes alors qu'il résidait a Kiev après un énième déménagement. Natan avait cessé de compter le nombre de fois ou il avait changé de maison, de ville, de pays ou de continent pour suivre son père pris par son travail de consultant en macroéconomie internationale.
Conséquences de cette existence nomade, il parlait couramment cinq langues, avait arpenté plus de cites étrangères que bien des explorateurs, mais ne possédait aucun attache, aucun ami digne de ce nom. Plus grave, le sentiment que sa vie était vide s'aggravait de mois en mois. Seule restait la neige. Et le paix qu'elle lui apportait quand elle tombait et recouvrait maisons et paysages.
Non, ce n'était pas tout a fait exact. Il y avait le sport aussi. Cette faculté qu'il détenait de percevoir l'espace et les trajectoires, de pousse son corps au-delà des limites communément admises, de le contraindre à des exploits étonnants. Lorsqu'il bougeait ainsi, il était heureux, il se sentait entier. Il aurait pu devenir un champion dans n'importe quelle discipline. Si seulement...
Un coup de Klaxon excédé le tira de ses pensées alors qu'il traversait un chemin de la Côte-des-Neiges. Il courut jusqu'à trottoir opposé et adressa un signe d'excuse au conducteur qui avait freiné pour l'éviter. Il reprenait la route lorsqu'il remarqua deux hommes en costumes sombre qui marchaient derrière lui. Malgré le froid, ils ne portaient pas de manteau, et les chapeaux à larges bords qui les coiffaient paraissait plus adaptés à un pays tropical qu'au Canada en Novembre.
Leurs yeux étaient cachés par des lunettes de soleil qui leur mangeaient la moitié du visage. Cet accoutrement n'était toutefois pas assez étrange pour attirer véritablement l'attention. Natan les aurait oublié sitôt après les avoir repérés s'ils ne s'étaient pas arrêtés brusquement. Ils le fixèrent un bref instant, échangèrent un regard et firent demi-tour.
C'étaient peut-être les types en costume dont lui avait parlé Arthur, Natan aurait en revanche mis sa main au feu qu'il ne s'agissait pas de recruteurs. L'esprit plus libre, il les aurait suivis, par curiosité plus que par méfiance, mais la bourde qu'il avait commis pendant le match le tracassait. Si son père en entendait parler...
Natan n'avait aucun envie de déménager une fois de plus.
Il longea l'université de Montréal puis le parc avant de redescendre vers le quartier de ville Mont-Royal. Il habitait une vaste maison en pierre taillée et bois clair qui avait provoqué les sifflements admiratifs de ses copains, pourtant issus de famille aisées, qui fréquentaient comme lui un des deux lycées Français de Montréal.
Natan aurait été incapable de définir avec précision en quoi consistait le travail de son père, mais il savait qu'il gagnait très bien sa vie. En comparaison, le travail de sa mère, experts en assurance auprès d'une multinationale, bien qu'il lui permette de toucher un très confortable salaire, avait presque rang d'activité bénévole.
L'argent ne fait le bonheur. Une formule rebattue dont Natan s'était emparé lorsqu'il avait été en âge de comprendre que sa vie n'était pas normale. Un compte en banque ne remplacera jamais un sourire et, si ses parents gagnaient des millions et pourvoyaient largement a ses besoins matériels, Natan s'était souvent senti en manque d'affection.
Du plus loin que remontaient ses souvenirs.
L'éducation qu'il avait reçu, et qu'il continuait a recevoir, était tout entière tournée vers la performance scolaire et l'excellence intellectuelle. Des cours particuliers, des répétiteurs, la volonté affichée de faire de lui un garçon parfaitement a l'aise dans les milieux les plus brillants de la planète, mais peu de baisers, peu de tendresse.
De l'amour, sans doute. Discret.
Trop discret.
Natan se mît à courir à petites foulées. Il n'était pas pressés, pas vraiment, mais courir - il l'avait découvert très jeune - lui permettait de faire le ménage dans sa tête, de chasser les pensées sombres qui gâchaient ses journées. Courir était la discipline par laquelle il avait prit confiance de sa différence.
Il avait six ans et le prof de sport de l'école qu'il fréquentait à Melbourne avait été sidéré de découvrir qu'il pouvait courir une demi-heure a bonne allure, sans le moins essoufflement. Persuadé d'avoir mis la main sur le futur champion qui embrasserait les stades, il avait convoqué les parents de Natan.
Trois jours plus tard, ils avaient déménagés.
Natan avait commencé à comprendre.
Lorsqu'il poussa la porte de sa maison, il faisait nuit. Il n'y avait personne. Ses parents l'avaient prévenu qu'ils rentreraient tard ce soir-la. Encore une de ces réceptions qui donnaient a Natan l'impression d'être orphelin... Suivant les consignes de sa mère, la cuisinière avait mitonné a son intention un risotto et des brochettes de poisson qu'il n'avait qu'à réchauffer.
Il préféra se préparer un hot-dog qu'il avala en jetant un œil distrait a ses cours. Obtenir de bons résultats ne lui avait jamais demandé beaucoup de travail.
Il s'installa ensuite devant la télévision et passa la soirée a zapper de chaînes en chaînes jusqu'à tomber sur un film qu'il jugea assez intéressant pour le regarder jusqu'à la fin. Il était minuit lorsqu'il se glissa dans son lit. Il s'endormit en pensant à Maud et à ce qu'il lui dirait le lendemain, quand il la retrouverait au lycée.
Le bruit que firent ses parents en rentrant le tira du sommeil. Le réveil lumineux sur sa table de nuit indiquait deux heures et demi. Natan s'enroula dans ses couvertures. Il refermait les yeux lorsqu'une curieuse sensation se faufila jusqu'à sa conscience. Non, plus qu'une sensation. Une certitude.
Il se leva et s'approcha de la fenêtre.
Il neigeait.
De lourds flocons d'Hiver qui tombaient a la verticale et masquaient les lumières de la rue.
Natan se surprit à sourire avec béatitude.
Enfin !
Il s'empara de ses vêtements, s'habilla le plus silencieusement possible puis enfila sa parka. Le fenêtre n'émit qu'un discret grincement puis il l'entrebâilla.
Il attrapa la gouttière et se laissa glisser au sol avec l'agilité d'un chat. Il avait pratiqué la gymnastique dans un club de Dublin lorsqu'il avait neuf ans, et son entraîneur lui avais promis un avenir brillant... Juste avant qu'il ne déménage. Une fois dans le jardin, Natan ouvrir les bras en grand et leva la tête vers le ciel.
Des flocons s'écrasèrent sur son visage, si froids qu'ils en paraissaient irréels. À peine froids.
Magique.
Il devait neiger depuis un bon moment car un voile blanc couvrait déjà les plantes, le sol et les constructions, gommant le relief et adoucissant les angles. Natan enfonça ses mains dans ses poches et se mît en marche, l'esprit et le cœur léger.
Il arrivait dans la rue lorsqu'un souffle titanesque le frappa entre les épaules, le projetant a terre avec une violence inouïe. Un grondement sauvage s'éleva dans son dos et la nuit fut soudain chassée par une lumière blanche éblouissante. Une vague de chaleur déferla sur Natan, lui arrachant un gémissement de douleur. Lorsqu'elle fut passée, il se redressa sur un coude.
Se retourna...
De sa maison, il ne restait plus qu'un cratère fumant.
C'est un peu long
sérieusement, ce n'est peut-être qu'un sorte de description de personnage mais au moins tu as su y installer de bonnes choses
spoiler
les deux hommes en noir et la maison qui explose
fin du spoiler
Bref, en tout cas j'ai maintenant vraiment vraiment envie de lire la suite, tu as réussis à me faire aimer cette fic