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Assassin's Creed : Revelations

Sujet : [FIC] Vengenza Divina
10
Ludovico_Orsi
Niveau 10
05 décembre 2011 à 17:41:25

Merci. C'est cool y a plein de nouveaux lecteurs.

(Ceci n'est pas un :up: caché)

misterdodo
Niveau 8
09 décembre 2011 à 17:11:08

le but lorsque l'on écrit une fic longue en plus c'est de fournir rapidement, et de ne pas faire attendre le lecteur 1 mois entre chaque épisode

:rire: :rire: :rire: je rigole bien sur, c'est juste pour faire un peu vivre le topic

Ludovico_Orsi
Niveau 10
11 décembre 2011 à 15:01:22

désolé j'ai vraiment pas beaucoup de temps pour écrire mais je fait au plus vite

(non ceci n'est pas un :up: caché)

Ludovico_Orsi
Niveau 10
13 décembre 2011 à 17:54:56

Que tout les dieux soit loués j'ai fini en esperant que ça vous plaise

Chapitre 12
Valencia, el envenenado

-Tu pourrais préciser un peu, dit Adelina, parce qu’un nouvel ami ça ne nous aide pas beaucoup.
- Pardonnez-moi. Mon nom est Alfredo Martinez, c’est moi que Fernando vous a recommandé.
-Pardonne notre approche mais ces derniers jours ont été très éprouvant, dit Fédérico en lâchant le manche de son épée.
-C’est tout à fait normal. Bienvenido a Valencia, ou du moins ce qu’il en reste, dit Alfredo avec un regard las.
-On peut savoir ce que tu fais dans cette ville ? Demanda Valentino qui se retenait de voler un des objets dorés qui trainaient sur le bureau.
-Je vole avec quelques amis à moi. Mais ceci sera bientôt terminé. Le nouveau seigneur a décidé d’éradiquer les voleurs, les prostituées, les mercenaires et tous les autres. C’est la raison de votre présence ici vous devez m’aider à rétablir notre puissance à Valence.
-Et pourquoi ferait-on ça ? demanda Fédérico. Non parce que franchement on a une personne à retrouver.
-Je sais sur qui vos foudres veulent tomber. C’est justement cet homme qui influence notre seigneur. Je vous promets que si vous nous aidez on vous rendra l’appareil.
-Qui ça « on » ? Et puis qui est cet homme ? Demanda Adelina presque à bout de nerf.
-Chaque chose en son temps. Beaucoup trop d’hommes mauvais polluent, cette ville. C’est du donnant, donnant. Quand vous aurez tué tous les soldats ennemis vous aurez vos infos.
-Non, tu nous donneras une info à chaque tête sur ton bureau, trancha Fédérico d’une voix qui imposait le respect.
-Perfecto, allez vous reposer. J’aurai des noms à vous donner dés demain. Esperanza vient ici ! Hurla Alfredo.

Une jeune femme d’une trentaine d’années aux longs cheveux bruns et à la peau mate entra dans la pièce et leur fit un large sourire. Elle les scruta de ses yeux vert émeraude avant de leur faire signe de la suivre. Elle était habillée comme Alfredo avec une toge de mendiant. La dénommée Esperenza portait par contre des bottes en cuir dans lesquelles se dessinait la forme de deux couteaux. Le bâtiment était très sobre. Le couloir était parqueté de bois et des escaliers les menèrent dans les combles du bâtiment. Un jeune homme de 17 ans était allongé et dormait sur un drap de fortune. Trois autres draps dans le même style étaient étendus au bout de la pièce. Esperanza leur donna trois autres couchettes et ils allèrent se coucher.

LE SOIR

-Alfredo qu’est ce qui a bien pu te passer par la tête, dit un homme se tenant sur un toit de Valence par ce temps de pluie.

L’homme se nommait Manuel. C’était l’un des hommes d’Alfredo, c’était surtout celui qui était chargé de l’espionnage et par conséquence tous les emplacements désagréables lui revenaient. Par exemple, il se trouvait actuellement sur un des toits du quartier riche sous une pluie battante à attendre que ces cibles veuillent arriver. Manuel fixait en ce moment une des tours de Valence. Il était juste au dessus d’un étage ouvert d’ ou on voyait la cloche qui servait aux moines à annoncer les heures. Manuel resta comme ça une demi-heure avant de voir enfin ces cibles débarquées.
Il y avait en tout huit hommes. Aucun ne ressemblait à l’autre. On voyait bien qu’ils étaient tous issue de milieux différents. Manuel n’en revenait pas. Alfredo l’avait envoyé identifier les cibles mais ils étaient tous tellement connus que c’en était ridicule. L’espion savant lire sur les lèvres, il n’avait pas besoin d’entendre la conversation.

-Des nouvelles de la guilde des voleurs ? demanda l’homme à la capuche.
-D’après mes infos vos cibles sont arrivées en ville mais impossible de savoir qui les a accueilli.
-Aucun d’entre vous ne le sait ? demanda l’homme qui semblait présider la réunion.

Personne ne bougea donc il repris de sa voix grave.

- Attrapez-le, dit il avant que tous les autres ne sautent sur les toits et se mettent à courir vers Manuel.

Manuel ne chercha même pas à comprendre avant de se mettre à courir. Un des hommes le rasa d’abord de prêt avec un couteau mais il le neutralisa d’un coup de pied dans le ventre. L’espion décida de descendre dans la rue pour être moins repérable. Un ennemi habillé en ecclésiastique tenta de le tuer avec un crucifix qui le frôla d’un millimètre mais Manuel lui mit un coup de poing dans le ventre ce qui laissa le moine sur place. Notre ami descendit dans la rue et continua de courir jusqu’à ce qu’une femme ne tente de lui lancer un couteau dans le dos qui lui coupa un cheveu. La cible décida de contre attaquer avec une bombe fumigène qui laissa la femme dans le brouillard. Manuel était sur le point de s’échapper dans une cachette secrète quand un coup de feu retentit, notre ami reçu une balle. L’espion tomba par terre et commença à se vider de son sang. Un rire sanglant traversa la place plongée dans l’ombre. Manuel sombra lentement, se laissant emporter par la mort, conscient qu’il avait fini sur une victoire.

LE LENDEMAIN

-Bien dormi, lança Fédérico en voyant son frère se réveiller.
-J’ai déjà fait mieux, répondit Valentino avec une tête de déterré.
-Viens Adelina est déjà levée et Alfredo nous attend en bas.

Ils descendirent les marches qu’ils avaient monté la veille et trouvèrent Alfredo dans son bureau. Adelina était déjà assise dans un des fauteuils.

-Holà mi amigo, s’exclama Alfredo en les voyants entrer.
-Alors tu as tes noms ? demanda Fédérico pour éviter de perdre du temps.
-C’est justement ce dont on discutait. Mais disons qu’il y a eu des problèmes, dit Adelina.
-Quel genre de problèmes ? demanda Valentino qui sentait sa journée mal commencer.
-Mon espion est mort, annonça tristement Alfredo. On avait reçu une info sur une réunion de toutes les taupes avec leur patron. J’avais mis mon espion sur le coup mais il a été tué d’une balle.
-Toutes mes condoléances. Et a-t-il pu nous laisser un message ? demanda quand même Fédérico à tout hasard.
-Si. Il a tracé un nom en lettres avec son sang. « El mercatore de muerte », dit Alfredo assez peu enjoué.
-Le marchand de mort. Et c’est sensé désigner quelqu’un ça ? Demanda Adelina sceptique.
-Oh oui et pas n’importe qui. Ca désigne Mahir andalous. Le maître du marchais noir de Valence et le plus gros vendeur d’armes de la région. C’est donc lui qui nous empêche de faire passer des messages par le marché, dit Alfredo d’un ton songeur.
-C’était donc ça votre problème ? demanda Fédérico qui à vrai dire ne comprenait toujours pas l’origine du problème d’Alfredo.
-Je te réexplique. Notre seigneur étant souvent demandé à la cour d’Aragon ces derniers temps, il confit son pouvoir à un de ses conseillers. Pour éradiquer toute menace notre nouveau seigneur a placé des espions partout. Petit à petit, des voleurs sont emprisonnés, des mercenaires sont pendus j’en passe et d’autres. On a bien tenté des révoltes ou autres mais impossible de faire circuler l’information sans qu’ une tonne de gardes ne soit réquisitionnés pour nous arrêter. Tout ça à cause d’une poignée d’hommes qui nous poignarde dans le dos.
-Donc tu veux que l’on tue ces espions pour que vous puissiez inverser la tendance ? demanda Adelina pas très joyeuse.
-Si, en échange bien sur d’informations sur vos ennemis.
- Où pouvons-nous trouver cet homme ? demanda Valentino pour gagner du temps.
-Faites votre enquête du coté du marché. Les marchandises même illégales se vendent quand même là bas.

Les Lazaro reprirent leurs armes et partirent donc pour le marché. Ils sortirent dans la rue qu’ils trouvèrent noire de monde. Des gens de la classe la plus basse criaient, pleuraient et riaient. Ils traversèrent deux rues où tous les immeubles aux façades décrépies étaient montés les uns sur les autres. Ils finirent par immerger sur une grande place où les boutiques très classes aux façades colorées des bourgeois, côtoyaient les étalages en bois des commerçants plus pauvres.

-Comment pouvons nous faire pour trouver là dedans un homme que nous ne connaissons pas ? s’exclama Valentino en poussant la foule qui commençait vraiment à être suffocante.
-Il faudrait qu’on trouve un travailleur du marché noir peut être, proposa Fédérico sans grande conviction.

Ils firent plusieurs fois le tour du marché sans rien trouver avant de s’apercevoir de quelque chose d’étrange. Adelina, qui s’était assise sur un banc pour surveiller les allés et venues des commerçants, n’arrêtait pas de voir des gens entrer les mains dans les poches à l’intérieur d’un magasin et ressortir avec un sac sur le dos. Elle voulut appeler ses frères mais ils étaient allés inspecter des rues plus lointaines et Adelina dût se résoudre à agir seule. Elle fit le tour du bâtiment et escalada la façade arrière à l’abrit des regards jusqu’à une fenêtre ouverte au deuxième étage. L’ainée des Lazaro rentra dans ce qui semblait être une salle de rangement. Toutes sortes d’objets étaient entreposées là type bouteilles de vin, vêtements, bracelets et autres. Par contre, si on ouvrait une caisse on trouvait de la poudre et des armes, aucun doute ce magasin cachait un trafic d’armes. Adelina sortit de la pièce et se retrouva dans un couloir avec d’un côté une seule porte et de l’autre un escalier . Adelina descendit les escaliers en bois et se retrouva dans une sorte de comptoir. C’était le hall d’entrée car la porte en face du bureau donnait sur le marché où se trouvaient les Lazaro quelques minutes plus tôt. La pièce était assez sobre. Il y avait un meuble au milieu de la pièce qui comptait seulement quatre tiroirs, deux armoires dans le fond mais elles étaient fermées à clé.
La pièce étant vide Adelina se mit à fouiller les tiroirs du comptoir. Le premier était rempli de pièces et de bourses. Normal pour un magasin, le second tiroir quand à lui contenait un pistolet à poudre. Bon on peut toujours dire que le gérant était un peut parano mais le troisième tiroir révéla une arme des plus bizarre. Le manche était bien celui d’une lame mais elle était droite jusqu’à la moitié puis elle se décalait de quelques centimètre et se recourbait . Adelina reconnue l’arme. C’était un khopesh, une arme égyptienne utilisée par la garde rapprochée du pharaon. Etant certain que Fédérico apprécierait le cadeau elle rangea l’arme à sa ceinture avant d’ouvrir le dernier tiroir. Il contenait une lettre marquée d’un sceau inconnu en cire rouge. Adelina prit aussi la lettre et voulut sortir mais la porte de derrière s’ouvrit. Un homme d’une cinquantaine d’années en vêtement noir et à la chevelure noire entra dans la pièce.

-Qui êtes- vous ? demanda l’homme à Adelina.
-Vous qui êtes vous ? répondit Adelina en sortant le pistolet du tiroir.
-Il me semble avoir posé la question en premier, dit l’homme avec une certaine assurance.
-Il me semble que c’est moi qui tiens une arme, répondit Adelina sans se dégonfler.
-Je ne suis que le gérant de cette humble échoppe de souvenirs, répondit le marchant avec un accent arabe mêlé à un accent espagnol.
-Donc les tonneaux de poudre à l’étage c’est purement décoratif ? Ne me prend pas pour une idiote je cherche une personne et tu peux m’aider.
-Qui donc ?
-Ton supérieur celui que l’on nomme el mercante de muerte.
- Ecoute-moi petite, dit l’homme avec un léger rire, je préfère encore me prendre une balle que de me faire attraper par lui pour trahison. Alors tire tout de suite où va-t-en.

Adelina mit l’homme en joue mais à ce moment un enfant entra dans la pièce en appellant son père. Oui, son père, l’homme sur qui Adelina pointait un fusil. Elle essaya mais ne réussit pas à appuyer sur la gâchette. L’homme fit quelque pas doucement vers elle.

-C’est fini petite, pose ça, dit l’homme en faisant encore un pas.

Adelina essayait, mais tuer comme ça, un homme devant son fils était impossible pour elle. L’homme se trouvait maintenant à coté d’Adelina. Il mit une première main sur l’arme tout doucement, puis tira d’un coup sec, elle partit des mains de l’ainée des Lazaro qui tenta de réagir mais l’homme la mettait déjà en joue.

-Désolé ma puce mais une enquête contre mon maître n’est pas possible ça nous couterait trop, dit l’homme en visant la tête d’Adelina.

Cette dernière ferma les yeux en attendant son funeste destin. Elle attendit un peu puis un coup de feu retenti.

SUSPENS…

Ludovico_Orsi
Niveau 10
13 décembre 2011 à 21:57:30

je vais lire ok

misterdodo
Niveau 8
13 décembre 2011 à 22:01:29

mouais, un peu moins bien que d'hab, car il m'a fallu un peu de temps avant de tout me remémorer.

j'attend de voir la suite, car pas trop d'action sur ce passage

Ludovico_Orsi
Niveau 10
13 décembre 2011 à 22:05:19

merci du com. Je lirais ta fic demain parce que j'ai vraiment pas trop de temps ce soir (rugby a la télé)

misterdodo
Niveau 8
13 décembre 2011 à 22:17:44

j'ai laissé un com pour ta fic :honte:

misterdodo
Niveau 8
18 décembre 2011 à 21:11:28

à quand la suite :question:

misterdodo
Niveau 8
21 décembre 2011 à 21:33:25

des survivants sont recherchés sur ce post, alerte, il y a quelqu'un ?

Ludovico_Orsi
Niveau 10
23 décembre 2011 à 19:33:22

Coucou les gens. postais juste pour dire que comme j'ai que trois lecteurs (et encore même pas sure) je stop cette fic et je la continue sur un sur un autre forum. J'en profite pour m'amélioré encore. Pour ce qui veulent c'est là

https://m.jeuxvideo.com/forums/1-27597-3838-1-0-1-0-fic-vengenza-divina.htm

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