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Assassin's Creed : Revelations

Sujet : [FIC] La lame Bouddhiste
TheLocustKiller
Niveau 6
26 février 2012 à 18:52:37

La suite, la suite!

Dadadadada
Niveau 10
29 février 2012 à 19:22:10

Ça a tardé mais la voilà!! LA SUITE

Chapitre 30 : Retrouvaille

Nous entrons dans le hall. Il était si rayonnant, chaleureux. Ce n’est plus q’un couloir plein de poussière, brulé un peu de partout, comme si les ravisseurs croyaient qu’en faisant bruler des parcelles de mur ils découvriraient une cachette. Dommage ce n’est pas dans cette pièce. Nous enjambons les décombres pour atteindre l’escalier central qui domine le hall. Je me souviens du nombre incalculable de fois où je m’amusais dans les couloirs que nous atteignons maintenant. Je revois ma sœur Otsuru assise à côté de moi lors de mon dixième anniversaire. Quelle nostalgie. Nous arrivons enfin dans le bureau de mon père. Nous rentrons, un étrange sentiment demeure dans cette pièce. Je regarde Kotka et me dit que l’impression vient de moi.

« Là. Dit-elle. La brique.
-Effectivement, la voilà. »

Je pousse cette dernière. Un mécanisme s’enclenche et le fond de la cheminée s’ouvre. Nous entrons dans la salle secrète. Plusieurs lampes sont disposées dans la salle et nous les allumons. Après une minute, la cheminée se referme.

« On la rouvrira plus tard, me dit Kotka. »

Nous cherchons un indice, ne serait ce qu’une bribe. De nombreux livres sont dans les étagères. Plus aussi mystérieux les uns que les autres. Au centre se trouve une table. Enormément de parchemin sont parsemé de part et d’autres de cette dernière. En les regardant de plus près. Il s’agit de langage crypté. Je n’arrive pas à déchiffrer ce qu’il y a d’écrit. Je me penche pour mieux voir. Après quelques minutes j’abandonne et me relève. Kotka a un livre dans la main qu’elle lit.

« Vien voir, me dit elle.
-Qu’est ce dont ?
-Une sorte de journal de ton père. Tien »

Elle me passe le livre que j’ouvre à une page au hasard.

« 10 juin 1492,

C’est le dixième anniversaire de mon fils. Il devient de plus en plus grand et robuste mais il n’est pas encore assez sage pour tout lui dévoiler. Un jour il saura et deviendra le meilleur des assassins. Je tarde à le voir à l’œuvre.
Ezio m’a confié qu’il partait pour Rome pour affronter le nouveau pape Alexandre VI, alias Rodrigo Borgia. Selon ses dires, il serait en possession du sceptre... «

… Je tourne quelques pages.

4 décembre 1496.

Enfin ! J’ai découvert qu’il y aurait un temple enfuit sous Jérusalem qui abriterait la clé du temple du mont Doi Inthanon. Il abriterait la légendaire lame bouddhiste. Si je la trouve, cela nous donnera la victoire à coup sûr… »

Je tour encore des pages.

« 9 juin 1503.

Demain c’est l’anniversaire de mon fils. Et je ne pourrais pas être présent. Ni Orihime.

Taka. Si jamais un jour tu lis ces mots, sache que je regrette. Je suis atteint par une maladie. Enfin… Je dirais plutôt de l’effet secondaire de la lame. Il est dit que seul le prophète peut l’utiliser et, finalement, je ne suis pas ce « prophète ». Quiconque touche la lame sans en être le véritable possesseur mourra dans d’atroce souffrance.

Oui Taka. J’ai trouvé la lame. Elle est toujours là haut, dans le temple.

Je me consume.

Chaque jour qui passe est un fléau. La douleur passe de mes muscles aux articulations.

J’ai donc planifié ma mort avec la Volpe. Je préfère mourir en faisant avancer l’ordre. Je n’aurais pas supporté être enfermé dans une chambre à hurler de souffrance.

Ne lui en veut pas, il n’a fait qu’obéir à mes ordres.

J’ai une requête, mon fils. Trouve la clé du temple qui est caché dans MA salle, et détruit la lame. Ce qui résulte de son utilisation n’est que ténèbres et chaos. Personne ni même le prophète doit s’en emparer, car si jamais un jour elle venait à tomber entre de mauvaises mains, le monde connaitra sa destruction.

J’aurais tant voulu être à tes côté, la détruire avec toi mais ma bêtise l’a emporté sur ma raison.

Dit à Orihime qu’elle peut enfin l’ouvrir. Dit lui que c’est un cadeau d ‘adieu

Je t’aime mon fils. »

Les larmes venaient d’elle-même. Les derniers de mon père auront été finalement pour moi. Pourquoi… pourquoi ne m’en a t’il pas parlé avant !!
Kotka me pris dans ses bras. Elle m’embrasse.

Je reprends enfin mes esprits.
« Pourquoi a-t-il dit « MA salle ». Je demande
-Pour désigner celle-ci, non ? me répond-elle, étonné de ma question qui lui semblait stupide.
-Hmm. Cette salle, ma mère la connaissait. Mon père n’aime pas trop partagé. Je pense qu’il … Qui est là ?! »

La porte de la cheminée s’ouvra. Deux hommes entrent et nous font face. Je les reconnais. Leurs casques flamboyant reflètent les bougies allumés. On ne peut ressentir que de la peur au simple regard sur leurs silhouettes. Ils sont entraînés, c’est certain. C’est le meurtrier de Un. Un Renégat. L’autre aussi d’ailleurs.

« Ils nous ont suivi Taka.
-Pas suivi ma chère. Simplement conseillés. »
Je reconnais cette voix.
« Tu es.. Non ce n’est pas possible.
-Pourquoi cela ne le serait il pas Taka. Lança l’homme.
-Il nous a dit que tu étais mort. »
Il finit par enlever son casque. Puis avança dans la lumière. Il nous regarde avec un air violent et malsain. Puis Kotka Lança :
« UN ?!! »

Dadadadada
Niveau 10
01 mars 2012 à 19:24:01

Chapitre 31 : Dilemne

« Oui, c’est moi. Dit Un. En chair et en os.
-Cela veut dire que Kyo, est un traitre !! Je lui dis.
-Kyo ? Qui est ce ? Demande-t-il. C’est le nom qu’il a pris en attendant ?
- Je m’en doutais bien, lance Kotka. Cela m’a fait bizarre qu’il ne soit pas plus attristé que ça.
-Et la Volpe ? Je l’interroge.
- Je n’ai pas pu me résoudre à le tuer. Ni l’autre d’ailleurs. Je les ai fait enfermer.
-Enfoirer !! On va te défoncer la gueule !! crie Kotka, hors d’elle. Quelles sont vos vrais noms !!
-Nous n’avons aucun nom. Répond-il calmement, comme si cela était une évidence. Nous avons été éduqués pour ne rien ressentir, aucun lien, aucun sentiment, juste-du-meurtre.
-Des Ninja. Je dis. Je croyais que vous n’attaquiez que dans l’ombre. Hors vous vous présentez face à nous volontairement.
-Oui, malheureusement nous n’avons pas pu mettre la main sur cette clé. Alors nous avons pensé qu’il fallait qu’on t’emmène ici et que tu la trouve pour nous.
-Mauvaise nouvelle face de mammouth, réplique Kotka. On ne la pas trouvé.
-Peut être, dit il. Mais je pense que Taka saura trouver la réponse. Sinon ta mère mourra. »
Je me lance sur lui pour le tuer mais :
« Tututut. Dit-il en remuant le doigt. Si tu me tue, ta mère mourra aussi. « Kyo » attend que je lui envoie un message. Si dans une semaine il n’a rien reçu…Couic. »
Il mime un geste autour du cou.
« Je serais toi, dis je. Je prierais pour que je n’aie pas une opportunité de te tuer. Croie moi, à ce moment là je n’hésiterais pas.
-Me voilà rassurer !! Dit-il. Et maintenant cherche. »

Ce n’est pas croyable. Me voilà coincé. Comment vais-je m’en sortir. Je commence mes recherches. Je suis sûr de trouver la réponse dans le journal et les parchemins.

Au fil du temps je m’arrête sur une page où mon père à énoncer tous les critères que doit vivre le prophète : - Revenir d’entre les morts ; - Voir la personne que l’on chérie le plus mourir ; - Tuer la personne qu’on haït le plus au monde et enfin être le seul à pouvoir voir la lumière dans les ténèbres. C’est bizarre. Tout porte à croire que le prophète doit n’avoir que des mauvais sentiments. Mourir, tristesse, haine mais le dernier serait plutôt : clairvoyant. Peut-on rester dans la lumière après avoir vécu autant de souffrance ? C’est un test à mon humble avis. Le faite de rester dans la lumière malgré ça nous fait prendre les bons choix. Toujours les bons choix.

Je continue mes recherches, Kotka aussi. Les heures passent et nous n’avons toujours pas trouvé le moindre indice. Le contraire m’aurait étonné venant de mon père. Voyons voir. Il a dit « MA salle » ça voudrait dire qu’il est le seul à pouvoir y allez. Non à y être allez jusqu’à présent.

« Par simple curiosité, vous avez faire quoi du corps de mon père. Je demande.
-La Volpe voulait l’enterrer mais Cesare a demandé à le brûler. Il ne reste que des cendres. Pourquoi cette question ?
-Parce que justement je ne l’avais pas posé jusqu’à maintenant. »
Ils me regardent tout les deux avec un air suspicieux et l’autre renégat murmure dans l’oreille de Un. C’est inaudible. Mais Kotka, à mon grand étonnement, semble avoir compris et tente de me faire comprendre ce qu’il se passe. En vain. C’est alors qu’une idée me vient en tête. C’est trop énorme pour marcher. Tout le monde me regarde. Etonné de ma subite prise d’élan dans les pages. Et c’est alors que je m’écrie :
« J’ai trouvé !! »
Kotka, après avoir appris ma nouvelle, sort un couteau et le lance sur Un. Il l’esquive mais ce fut son acolyte qui le prit dans son bras. Je ne comprends pas pourquoi elle a fais ça mais je lui fais confiance. Je me lance sur Un dans un duel épée/lance. Kotka se rue sur le deuxième adversaire.

Un est trop fort. Je parviens à parer ces coups mais cela m’essouffle. Il faut pourtant que je trouve sa faille. Il me frappe, une, deux. Trois fois. Il ne m’a frappé qu’avec le bout rond de sa lance. Je me relève et le charge. Je saute sur lui. Je le fait reculer et le balance sur la table qui cède sous son poids. Je reprends mon épée et je le plante. Il esquive et me frappe dans la cuisse avec son poing. Il a failli me casser la jambe. Mon dieu quelle force. C’est alors qu’on entend un crie. Kotka vient de tuer son adversaire. Elle saigne au bras et au visage mais rien de bien sérieux. Un en profite pour m’assener un coup au visage qui me fait valser et je finis par tomber par terre. Il actionne un bouton et sors de la salle en courant. Nous lui courrons après tant bien que mal. Dans le couloir il se retourne et nous fait face.
« C’est ici que cela se termine mes enfants. Je renonce à vous garder en vie !!
-Arrête de te la jouer papy, lance Kotka. »
On s’élance sur lui. Il brandit son épée et pare chacun de nos coup et nous fait tout les deux tomber. Il me plante sa lame dans le bras mais Kotka la frappe dans son genou qui, à présent, forme un angle bizarre. Il hurle. La douleur doit être intense.
« Je croyais qu’on t’avait éduqué à ne rien ressentir, Monsieur j’me la pète un peu trop. Dit Kotka, Fière de sa phrase. »
Un tente de la transpercer mais je le repousse avec ma jambe encore valide. Il fut projeter à plusieurs mètre, manque de tomber dans les escaliers Le temps qu’il se relève Kotka prend la lance de l’ennemi et moi mes couteaux de lancé. Il se relève et fut étonné de recevoir en même temps les deux armes. Sous la puissance il recule un peu. On est tiré d’affaire. Enfin, c’est que je pensais il y a 2 secondes. Un retire la lance et nous fonce dessus avec sa jambe tordu. Je ne peux plus bougé. Kotka dévie la lame à temps. La lame me coupe la joue et il finit par mourir à mes pieds.

-Darkgunner
Niveau 10
01 mars 2012 à 19:32:54

Super :bravo:

Dadadadada
Niveau 10
03 mars 2012 à 13:33:31

Chapitre 32 : Visionnaire ?

Nous restons dans la même position pendant plusieurs minutes, regardant Un allongé devant nous, comme s’il allait se relever.
Kotka rompt le silence :
« Tu perds trop de sang !
-Amène moi à dans la cuisine, je lui dis. Il y a un compartiment soin. »

Elle m’aide à me relever, puis nous allons dans la cuisine en bas des marches. Je m’allonge sur la table pendant qu’elle me soigne et je repense à tous ça. Tout ce qui s’est passé. Un et Deux avaient ils toujours été corrompu ? Qui les dirigeaient ? Les templiers ?
Soudain :
« Pourquoi on la tué merde ?!! Kyo va tuer ma mère !!
-Non. Dit-elle. Kyo n’est pas au courant qu’Un était là. J’ai entendu son second lui demander « Quand est ce qu’on envoie la lettre pour que Kyo prenne les assassins en otage ».
-D’accords !! C’était du bluff. Je dis, soulagé.
-Complètement, serre les dents.
-AIIIIE !! Mais ça fait mal bordel !!
-Chochote, dit-elle avec un sourire.
- Il faut qu’on aille à Rome. Je dis, songeur
-Pourquoi ?
-Il faut que j’aille voir Otsuru. Je ne l’ai pas revu depuis six ans, il est grand temps qu’on la reprenne.
- Elle est avec La sœur d’Ezio non ? Elle est en sécurité là bas.
-Je sais mais, elle ne doit pas rester plus longtemps sans sa famille. »

Et c’est ainsi que nous repartons à dos de chevaux en direction de Rome. Avec nos blessures nous mettons plus de temps. Mais au bout de deux semaines nous arrivons à bon port. Cela fait si longtemps depuis la dernière fois où on est venu. On était partie aussi vite que lorsqu’on veut échapper à une bête sauvage.

Nous passons devant le panthéon, la fameuse cachette doit être vide à l’heure qu’il est. Nous nous n’arrêtons pas. Nous continuons notre embardé jusqu’à la Rose fleurie de Claudia Auditore.

Sur la route nous nous cachons tant bien que mal des gardes qui patrouillent plus que d’ordinaire. Il se passe quelque chose. Ils seraient au courant de notre venue que cela ne m’étonnerai même pas. C’est alors qu’on entend une conversation :
« Que se passe-t-il encore ? Dit un garde à un supérieur.
-C’est encore arrivé, quelqu’un s’est introduit dans nos quartiers pour nous volé. Répond-il.
-Qu’ont ils volé ? Se demande le garde
-Un livre. Mais pas n’importe lequel.
-Quel livre ?
-Le livre de Niccolo Polo.
-C’est pas vrai !! On l’avait si bien caché !!
-Il faut croire que non. Mais cette fois on l’a vu !!
-Qui l’a vu ?
-Rodrigue. Il l’a vu volé au dessus de lui.
-Volé ? Comme.. un oiseau ?
-Exactement. Enfin c’est ce qu’il a dit. L’individu est jeune et doit mesurer 1m50 à tout casser.
-Un nain ? Un enfant ?
-Je ne sais pas mais, il est très en colère. Il a décidé de punir deux trois personnes en guise d’avertissement.
-Il est cruel ce Leandros. »

Leandros ? Il est à Rome ? Merda ! Je ne suis pas en état de le poursuivre. Qui est cette personne qui a volé ce livre qui m’a l’air si important. Niccolo Polo… cela me dit quelque chose. Ce n’est pas cette homme vénitien qui à donné naissance à Marco Polo le célèbre explorateur.

Cette idée me trotte dans la tête jusqu’à qu’on arrive à la Rose fleurie. Nous entrons.
« Bonjour, dit une femme très peu vêtue. Que puis-je faire pour vous noble seigneur
-Certainement pas nous coller. Répond Kotka qui lui lance un regard dévastateur.
-Nous venons voir Claudia. Je dis à la bonne femme.
-Ah ! Oui je vois qui vous êtes. Madame vous attend dans son bureau. A l’étage, troisième porte à droite. »
Nous montons l’escalier. Je ne regarde que le sol et il faut que je me tienne à cette règle sinon Kotka va me tuer si je jette un seul regard ailleurs. Nous arrivons devant la porte qui s’ouvre devant nous.
« Entrez, dit Claudia. Je vous attendais.
-Comment savez vous que nous arrivions ? Demande Kotka
-J’ai des yeux partout ma chère. Dit-elle en souriant. Je suis au courant de votre présence depuis Venise.
-C’est un honneur pour moi de faire votre connaissance. Je lui dis.
-C’est un plaisir partagé. Répond Claudia. Je suppose que vous êtes venu pour voir Ezio.
-En partie. Je suis venue ramener Otsuru.
-Désolé Taka. Je ne peux pas faire ça. Dit-elle.
-Pourquoi donc ?
-Ezio l’entraîne depuis maintenant 2 ans sans relâche.
-Elle n’a que 11 ans. Pourquoi l’entraîner ?
-Mon frère à ses raisons que nous ignorons tous. Il est venu un matin en me disant qu’elle devait être entraînée car le monde pourrait très bien lui tombé sur les épaules un jour.
-Le monde ? Tant que ça ? Comment peut-il le savoir ?
-La pomme d’éden Taka. La pomme. Lance Claudia. C’est avec cette pomme qu’il a su que Cesare se libèrerais. Et c’est avec pomme qu’il a su que ta sœur sera un grand assassin. Plus forte, plus sage que lui.
-Qu’a-t-il vu ? Demande Kotka. A vous entendre on jurerait qu’elle va sauvez le monde.
-Je vais vous dire ce que je sais. En 1492, un certain Christophe Colomb à découvert de nouvelle contré. En 1505, un an avant sa mort, il est venu voir Ezio en lui disant qu’il fallait que la vérité éclate. Ezio le croit. La pomme a révélé sur le Codex la carte du monde, et il voyait clairement des contrées inconnues jusqu’à présent. Il a vu dans la pomme qu’elle partira dans ce « nouveau monde » et elle rencontrera des tribus qui nous rejoindront dans notre confrérie.
-Il a vu si loin ? Je dis, complètement perdu.
-Oui. Donc, quand je t’entends dire « il faut que je ramène Otsuru ». Je ne peux pas m’empêcher de dire que non, elle ne partira pas avec toi. Elle a plus grand potentiel que toi, que moi, qu’Ezio même. En deux ans elle a appris ce qu’on apprend en dix ans.
-C’est elle n’est ce pas, commence Kotka. Cette personne qui volé le livre de Niccolo Polo dans les quartiers des templiers.
-Oui ! C’est elle.
-Elle n’a que 11 ans !! Je grogne. Comment peut on la laisse faire ça. C’est dangereux !!
-Mon cher Taka. Dit Claudia. Tu ne mesure pas la maturité et la force de ta sœur. Elle n’a plus 11 ans ! Du moins pas à mes yeux.
-Je veux la voir !

_destroyers_
Niveau 10
03 mars 2012 à 15:18:28

J'ai 4 chapitre à rattraper, ralala :hap:

Bon, je m'y met, mais je sais pas si je pourrai commenté maintenant :)

TheLocustKiller
Niveau 6
03 mars 2012 à 16:03:32

Toujours aussi bien :ok:

_destroyers_
Niveau 10
03 mars 2012 à 19:10:30

"Quelque chose l’a tourmente."
la :oui:

"Je l’a regarde"
la :oui:

"Je dis"
dis-je sonne mieux je trouve

C'est vraiment bien, le rebondissement est très bien fait, le suspens était là, c'est vraiment bien :oui:

Dadadadada
Niveau 10
06 mars 2012 à 19:34:29

Chapitre 33 : Il est là !!

« Bien sur, dit Claudia. Suivez-moi. »
On sort du bureau pour revenir dans le grand hall. On prend l’escalier et une fois en bas, toujours en regardant le sol pour ne pas me faire gifler par Kotka, Nous prenons une porte qui nous fait descendre au sous sol via un autre escalier.

Nous arrivons à nouveau devant une porte. Nous pénétrons dans une salle arrangée pour l’entrainement. La salle est plus grande que toute la surface de la Rose Fleurie. On entend le bruit de quelqu’un qui fait des efforts. La voie d’une fille.

C’est Otsuru, j’en suis sûr ! J’accours vers la source du bruit. Je passe un angle de mur et me retrouve devant une vitre. Elle est là. Les yeux bandés. S’entraînant à je ne sais quel exercice, dans cette espace vide et peu éclairé.

« Regarde bien Taka, dit Claudia. »

Je me concentre pour voir ce qu’il va se passer. Soudain. Deux assassins munit de bâton arrivèrent dans la petite salle où est Otsuru. Ils ne font aucun bruit. Je n’ai jamais vu ça. C’est comme s’il flottait au dessus du sol. Soudain le premier saute dans sa direction pour lui assener un coup dans la tête mais elle esquive et lui pris un de ses bras, le fait passer au dessus d’elle pour finalement l’abattre au sol dans un terrible fracas. C’est un Ippon seoi nage, pour sûr. Le deuxième, au moment où le premier heurte le sol, profite du bruit pour sauter lui aussi sur Otsuru.

Il abaisse le bâton très vite et elle esquive au dernier moment. Elle le frappe au torse de trois coups et un autre sur le ventre. L’assassin, à sa grande surprise se retrouve paralysé. Le premier se relève et disparait dans la pénombre.

Otsuru affute ses sens. Elle reste immobile. Soudain elle prend le bâton de la main de l’assassin statue et le lance dans un coin. On entendit un bruit de quelque chose qui tombe par terre.

Claudia allume ses bougies et à l’aide miroir, fait étinceler la salle où Otsuru est. Je n’en crois pas mes yeux. Elle a maîtrisé, du haut de ses 11ans, deux assassins entraîné. L’un est paralysé, l’autre K.O.

« Otsuru, appelle Claudia. Tu as de la visite.
-Taka !! S’exclama-t-elle, en enlevant son masque. Tu es enfin revenu. Cela fait longtemps que je t’attends. »
Elle s’approche. Je peux mieux la voir à présent. Elle a grandi d’au moins cinquante centimètres. De longs cheveux bruns, les yeux bleus comme ma mère. Elle est devenue une très belle fille. Elle me prend dans ses bras.
« Je te présente Kotka, une assassin comme nous.
-Oui je la connais, dit-elle. Ezio m’a parlé d’elle. Une recrue de Rome.
-Exact, répond Kotka. Mais je ne suis plus une recrue. Je suis maintenant une assassin de premier ordre.
-Plus fort que les deux assassins que j’ai combattu ?
-Je pense oui. Taka aussi. Dit Kotka en m’adressant un sourire.
- C’est sympa de me rendre visite. Vous allez restez ?
-Non Otsuru, dis-je. J’aurai aimé t’emmener mais Claudia ne veut pas.
-Quand bien même elle aurait dit oui, je ne serais pas venu, je ne suis plus une enfant. Ezio m’a dit que j’aurais une belle destinée et que je devais m’entraîner dur pour réussir. Ce n’est pas à vous de décider ce qui est bon pour moi.
-Je te rappelle que tu n’a que 11ans. Tu es encore une enfant.
-Qu’est ce donc ? Me lance-t-elle. L’âge ? Juste un nombre. Ce n’est qu’une prison qui m’interdit d’affronter des ennemis trop forts.
-Hmmm, Si tu a le cran de me parler sur ce ton, alors je n’ai rien à dire. Mais n’oublie pas que ton enfance t’a été volée.
- Les assassins de Masyaf apprenaient leurs boulots à partir de 11 ans. J’ai simplement deux ans d’avance.
-Si tu le dis. Dis-je, déconcerté. »

Une femme entre dans la pièce.
« Madame !! Dit-elle essouffler.
-ET bien ? Répond Claudia. Que se passe-t-il ?
-C’est votre frère madame. Il arrive. Mais il a de nombreux hommes sur son dos.
-Taka, Kotka, Otsuru. Aboya Claudia. Aux armes, nous devons l’aidé. »

Nous accourons dans les ruelles de Rome. La femme nous amena jusqu’à un endroit. La rue est droite et s’étend très loin. Une rue étroite et ensoleillé, que demander de mieux.
« Claudia, Kotka, Otsuru. M’écrie-je. Montez sur les toits. A mon signal vous sautez sur l’ennemi. »
Elles s’exécutent. J’entends les bruits de chevaux qui abondent dans notre direction. Soudain je le vois. Sur sa majestueuse monture blanche. En tenu, d’un noir triomphant et d’armure salit par le combat. Derrière, une trentaine de garde lui chevauchent après. Nous ne sommes pas assez nombreux. Je lance deux fumigènes devant moi. Ezio comprend tout de suite ce qu’il se passe. Une fois dans la fumée il saute sur la gauche, s’agrippant à une poutre qui sort d’une maison.
« SAUTEZ !!!!! »
Je les vois sautez en aveugle dans la fumée. Des hurlements s’échappent. La bataille fait rage. Ezio me fait signe de rester en retrait de la fumée et il se jette dedans. Deux ennemis sortent dans ma direction. Aveuglé par la fumée et je les transperce à l’aide de mes doubles lames secrètes. Trois sortent à nouveau. L’un se rue sur moi. Je l’esquive et lui plante ma dague dans le dos. Le deuxième, à la vue de son coéquipier tué, cours sur moi, et essaye de me transpercer. Je décale le mort que je porte pour m’en servir de bouclier. Le troisième se jette lui aussi dans la bataille. Les deux m’assenèrent de coups régulier et synchroniser. J’esquive plusieurs tentatives, et le moment propice arriva. Je transperce à la gorge du deuxième. Je le fait marcher de façon a ce que mon pistolet soit aligné avec le troisième.
PAAAANNNN !!

Plusieurs minutes passèrent. Les hurlements s’estompent en même temps que la fumée. Une montagne de cadavre se présente devant nous. Claudia est blessée à la jambe mais rien de bien grave. Otsuru, souriante se rend compte qu’Ezio est bel et bien là.
« Ezio !!! Tu es de retour.

TheLocustKiller
Niveau 6
06 mars 2012 à 20:21:57

Ouais du fight! :banzai: Sinon, encore un chapitre mieux que les précédents avec quelques petites fautes mais rien de bien graves :)

Dadadadada
Niveau 10
06 mars 2012 à 20:52:24

EN me relisant c'est vrai que je n'ai pas fait gaffe à deux trois faute

_destroyers_
Niveau 10
06 mars 2012 à 21:25:38

C'est génial, continue :ok:

BobLeDezingueur
Niveau 10
07 mars 2012 à 17:56:22

T'est satisfait de lui et pas de moi destroyer :snif2:

Nan, ta fic est géniale dadada.

_destroyers_
Niveau 10
07 mars 2012 à 20:20:33

Sauf que toi, quand je t'ai vu, je me suis juré de râler éternellement jusqu'à ce que tu me sortes un chapitre parfait :hap:

-Darkgunner
Niveau 10
07 mars 2012 à 20:44:40

BobLeDezingueur Voir le profil de BobLeDezingueur
Posté le 7 mars 2012 à 17:56:22 Avertir un administrateur
T'est satisfait de lui et pas de moi destroyer :snif2:

:d) Comme je le dit toujours, il faut rendre à César ce qui est à...*demande* hum César :hap:

Sinon Continue Dadada :ok:

_destroyers_
Niveau 10
12 mars 2012 à 21:55:48

Que se pasa da*5 ? :( t'est en vacances? Travail? Glande?

Dadadadada
Niveau 10
14 mars 2012 à 17:42:34

Oui j'étais au chomage mais j'air retrouver du boulot il y a deux semaines du coup j'ai moins le temps. J'vous prépare ça ce soir

Dadadadada
Niveau 10
14 mars 2012 à 19:08:25

Chapitre 34 : Tête à tête furstrant

C’est lui. Ezio Auditore. L’homme de la peinture chez l’ami de mon père. Il n’est pas grand, mais il est vraiment imposant. On sent qu’il a frôlé la mort. On ressent ces victoires dans chacune de ses cicatrices. Son regarde est calme mais décidé.

« Eh bien Taka, dit Ezio. Qui aurait cru que tu serais un bon chef d’équipe !!
-Je n‘ai fait que suivre mon instinct. Je lui réponds.
-C’est ça mon garçon. Réplique-t-il, d’un air enjoué. C’est ça qui fait la différence entre un combattant mort et un combattant vivant. La stratégie ne sert à rien si on est bête. Réfléchir, voilà un mot qui résume notre confrérie. C’est notre libre arbitre qui nous régies. Mais bien sur il faut savoir aussi se battre. Finit-il en faisant signe du regard le tas de mort.
- C’est un honneur de vous rencontrer. Je lui dis en m’inclinant.
-Ne dis pas de bêtise, dit il en me relevant. On s’est déjà vu. Mais tu n’étais qu’un gamin.
-Vraiment ?
-Bien sur. Et toi. Tu dois être …
- Kotka !! Coupe-t-elle.
-Oui…Bien sur. Dit-il en la regardant, suspicieux. Ne restons pas là. D’autre garde vont sûrement arriver. »

Nous courrons jusqu’à la Rose Fleurie. Claudia nous fait monter dans son bureau. Ezio enlève son capuchon. Il a des cheveux blanc mais n’en reste pas moins charismatique. Je suis plutôt attiré par Kotka. Elle a coupé soudainement la parole d’Ezio que je m’en pose des questions. Allait il dire un autre nom ? Pourquoi l’avait il regardé d’un air interrogateur. Tout cela n’est clair, mais je ne forcerait pas Kotka a m’en parler. Elle me le dira elle-même.

« Bene. Dit Ezio en s’asseyant. Enfin du repos.
-Quels sont les nouvelles ? Demande Claudia.
-Eh bien, Cesare est mort de ma main. Ses hommes ne l’ont pas apprécié et m’ont coursé.
- Haha on a bien vu, lance Otsuru en rigolant.
- Taka, dit Ezio. J’ai été désolé d’apprendre la nouvelle sur ton père. C’était un homme de grande valeur. J’avais beaucoup d’estime pour lui.
- Je le pense aussi. Mon père était finalement quelqu’un … de très … mystérieux je dois dire.
-Je t’écoute mon ami. »

Je me lance dans mon récit. Comment cela est arrivé. Ma rencontre avec Esla. Mon arrivé en Grèce. Mon retour à Rome. Notre voyage jusqu’à Masyaf. Nos diverses batailles. Notre découverte et cette trahison.
« Hmmm. Marmonne Ezio, songeur. Claudia apporte la moi.
- Tout de suite, répond-elle. »
Elle sort du bureau et après cinq minutes, elle rentre. Une lettre à la main. Non ouverte.
« Qu’est ce donc ? Demande Kotka.
-Ceci mes chers confrères. Est la lettre que m’a donnée Takezo. Il me l’a donné en me faisant promettre de ne l’ouvrir que lorsqu’il mourrait.
-Ouvrez là. Je dis, décidé. S’il vous plaît.
-C’est ce que je vais faire. »
Il l’ouvre. Il lit. Une fois terminé il me regarde, et me dit :
« Cette lettre est une mine d’or. Sauf que ce n’est pas de l’or qui l’intéresse, et nous intéresse.
-La lame, dit Kotka. N’est ce pas ?
-Oui. Selon ses indications. Il y a aurait un tombeau qui est transmis de génération en génération depuis … 300ans. Il se trouve en terre sainte et abriterais de nombreux secret. D’après ce que j’en lis. Il y aurait une salle qui n’appartient qu’à une seule personne à la fois. Et il semblerait que l’ancien propriétaire soit..
-Mon père ! S’écrie Otsuru
-Exactement. Répond Ezio.
- Mais alors.. ! Dit Kotka, choquée.
- Oui Kotka, lance-t-il. Le nouveau propriétaire n’est autre que..
-Moi.. Dis-je. Alors c’est là bas que serait notre clé.
-La fameuse clé du sanctuaire.
-C’est tout ce que dis la lettre, demande Otsuru.
- Il y a une deuxième partie. Mais elle m’est réservée. Claudia ? As-tu pu t’emparer du livre des Polo ?
-C’est ta protégée qui l’a récupéré.
-Eh bien !! Dit il en regardant Otsuru, surprit. Tu me surprendras toute ma vie je pense.
-Héhé ! Fait Otsuru pour toute réponse, en rougissant.
-Bien. Dit Ezio. Laissez-moi avec Kotka s’il vous plaît.
-Pourquoi ?! Dis-je.
-On a à se parler. Il me défie du regard, pour que je n’insiste pas. »

Une fois tous sortie, Ezio entame la conversation :
« Tu n’as pas à avoir honte de qui tu es tu sais.
-Je mène ma vie comme je veux. N’essaie pas de me faire la morale.
-Je ne fais la morale à personne. Simplement. Si tu t’évertue à te mentir. Comment arrivera tu à ressentir..
- Un bonheur ? Coupe-t-elle. Je le partage avec Taka.
-Peut être. Mais il ne sera jamais véritable tant qu’il ne saura pas la vérité. Il se doute de quelque chose.
-Par ta faute !!
-Je pensais que tu étais prête.
-Non. Je ne le suis pas ». Elle met un temps d’arrêt, comme si elle réfléchissait. « Pas encore.
- J’espère que tu ne m’en voudras pas.
-Pas le moins du monde. Tu as bien fait. Ma mère reposera en paix à présent.
-Nul doute que tu aurais préféré le faire toi.
-J’ai beau avoir tué plein de gens. Ca n’en reste pas moins mon père. Je n’aurais jamais pu le tuer. Même si je le voulais.
-Hmm. Le jour où tu te décidera à le partager. Avec quelqu’un d’autre que moi.
-Je ne l’ai jamais partagé avec toi. Tu l’a découvert.. C’est tout. Sans cette pomme. Tu ne saurais rien.
-Et tu tremblerais de peur dans ton coin en redoutant le jour où je l’apprendrais.
-C’est arrivé. Et tu ne m’a pas tué… enfin il s’en a fallu de peu.
-On ne ment pas à la pomme. C’est pour ça que je ne t’ai pas tuée. Finalement c’est a cause d’elle que je sais et grâce a elle que tu es… ici.
-Cette conversation est terminée ?
-Elle n’a jamais commencé. N’est pas ?...
Kotka sourit et se dirige vers la porte. Appuie sur la poignée et Ezio finie sa phrase :
-Mlle Aurora Borgia.

TheLocustKiller
Niveau 6
14 mars 2012 à 20:11:36

Mais c'est pas possible ça, ils sont partout les Borgia ou quoi?
Sinon, toujours aussi bien :ok:

_destroyers_
Niveau 10
14 mars 2012 à 21:22:02

Quand y en a plus, il y en a encore :hap:
Tu travail dans quoi?

Sujet : [FIC] La lame Bouddhiste
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