Toujours aussi bien
On sent le chapitre a vérité, ouais
Chapitre 39 : Tombeau
Je suis Machiavelli à travers le souterrain et nous arrivons dans une grande salle
Machiavelli m’explique que Frédéric, Louis et François, trois évadés, sont arrivés une fois que je suis parti. On a réussi à s’en sortir et partir. Je lui explique qu’un homme est au courant que deux assassins sont peut être dans les parages. Je lui dis qu’il a su tout ça juste en regardant les cadavres. Pour finir je lui parle de la conversation que j’ai entendue par rapport à cette Ligue de Cambrai.
« Hmm, marmonne t-il l’air pensif. C’est bien embêtant en effet.
-Il faut que je réussisse à suivre cet homme et essayer d’établir un plan de sabotage de leurs troupes. Dis-je.
-Il s’appelle George d’Amboise. Un conseiller du roi.
-Ce Louis XII. Est-il un templier ? Demande-je.
-Sûrement, mais ce n’est pas un mauvais roi. J’ai l’impression qu’il ne vaut pas embobiner le peuple. Prend garde Volpe. Il joue peut-être un double jeu.
-Peut-être mais je dois prendre le risque. Une fois que j’aurai suffisamment d’information, nous rentrerons dans nos contrées.
-Hélas mon ami, commence Machiavelli. Je crains de ne pas pouvoir rentrer maintenant.
-Pourquoi ? Je demande, interloqué.
-Il est de mon devoir d’apprendre à ces jeunes le credo des assassins et de monter un siège, une confrérie.
-Ici ? En France ?
-Oui. A la base les assassins viennent de Terre Sainte non ?
-Oui bon d’accords. Mais quel danger y a-t-il ici ?
-Tu le fais exprès là ?! Dit Machiavelli, choqué. Où les a-t-on rencontrés et pour quels raisons étaient-ils en prison ?
-Les templiers ont tendu un piège, c’est vrai.
-Je pense que ces hommes veulent se venger. Mais une tel motivation n’est pas bonne, je dois les convaincre d’être patient. Nous allons donc construire avec les moyens du bord les bureaux ici. Nous accepterons des missions pour enrichir notre cause…
-Doucement mon ami, je te rappelle que je ne suis pas bon en calcul et prévision.
-Dans ce cas va mon ami, repose toi et pars demain. Et que la vérité guide ta lame. »
Je passe la nuit dans cette grotte improvisé en repaire.
Le lendemain au soir.
Je dis au revoir à Machiavelli et m’en vais pour Paris. Je dois trouver cet homme et le suivre jusqu’à que j’en apprenne plus. Il fait nuit noir. Il est important que personne ne me repère.
Je marche pendant une bonne demi-heure et je la revoie. Paris. Je m’approche de la ville de plus en plus. Rentrer va être difficile car il n’y a pas de foule mais je fais confiance en mes talents d’assassin. J’escalade une maison pour prendre de la hauteur. Je scrute. Là bas, le gros bâtiment ça doit être le palais du roi. Les quartiers de ma cible doit être par là bas. Je saute de toit en toit.
Aucun garde ne surveille les toits. Mais je pense qu’ils finiront par le faire.
Après quelques enjambées je me retrouve face au palais, sur le toit d’une maison. Il y à environ 10 mètres de rue. Impossible de sauter pour ainsi dire. Il va falloir que je trouve un moyen d’entré à l’intérieur.
Terre Sainte, Juin 1509.
Nous y voilà enfin. Voilà un mois que l’on navigue. J’aurais trouvé le temps long si Kotka n’avait pas été là. On à passer le temps ensemble sur le bateau à se préparer aux éventualités. Je dois dire qu’elle est bourrée d’imagination. Bref, nous voilà dans les gorges de la Terre Sainte. Selon les plans, le tombeau devrais se trouver dans cette montagne à 1000 mètre au dessus de nous. On peut dire que mon père n’a pas cherché plus bas.
« Il va falloir monter tout ça ? Demande Kotka, désemparée.
-Hélas oui mon amour. Réponds-je, aussi attristé qu’elle.
-J’exige… une pause… »
Et c’est ainsi que nous nous retrouvons assis dans la terre au pied d’une montagne qui n’attend que nous pour la grimper. Nous nous reposons une bonne heure. Nous avons beaucoup parlé du prophète et de la façon dont il faudra utiliser la lame mais, rien ne nous prépare vraiment.
Nous commençons donc l’ascension à travers les chemins dessinés dans la montagne. La route est large au début mais le dédale qui s’en suit nous fait redouter le pire. Nous passons la journée à monter. Et une fois en haut, nous nous retrouvons devant une porte de pierre. Une immense porte qui se confond avec la montagne.
Kotka s’approche de la porte et constate quelque chose.
« J’ai comme l’impression qu’il faut une clef…
-QUOI ?!! Dis-je surpris. Mais…
-On n’a pas la clef …
-Attend... il y a forcément un moyen de l’ouvrir, mon père en aurait parlé sinon.
-Tu veux dire un truc d’assassin quoi.
-Oui, parfaitement. »
Je scrute au millimètre près les contours de la porte.
Rien. Mais rien de rien. Pas la moindre petite encoche, ou mécanisme qui pourrait ouvrir la porte.
« Euuh… mon amour, dis-je, en redoutant sa colère. Je crois qu’il va falloir redesc…
-IL EST HORS DE QUESTION QUE JE ME RETAPE LA MONTER SI ON TROUVE CETTE ***** DE ***** DE CLEF !! Hurle-t-elle en frappant avec le pied la porte. Elle hurle aussi par la suite pour le geste qu’elle a commis. Soudain.
BOUM, BROUUUUUUUUUUUMM !
« C’EST UN TREMBLEMENT DE TERRE??!! Dit Kotka.
-JE CROIS PLUTÔT QUE CE SONT LES CONSEQUENCES DE TON COUP DE PIED ! »
La porte subit un éboulement qui la fait ouvrir, et qui casse complètement l’encadrement. Le tombeau de mon père fut ouvert par la destruction. Kotka, en se sentant coupable, dit :
« C’est pas ma faute !!
Si c'est ta faute!
Sinon, je pense pas que le "demande-je" soit une bonne idée enfait
Faut savoir!!! xDD
Chapitre 40 : Haute voltige
L’entrée est ouverte. Un petit couloir sombre se trouve juste derrière. Nous avançons prudemment. Nous faisons quelques pas et nous nous retrouvons devant un précipice en pente moyenne. On ne voit pas le fond.
« Que crois tu qu’il y au fond ? Demande Kotka.
-J’espère qu’il y a la clef. Dis-je, en essayant de me rassurer.
-Il va falloir glisser le long ? Demande-t-elle à nouveau.
-Sûrem.. Mais.. »
Kotka me pousse.
« AAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaa…………
..
….
……………..
….
..
- Mon amour ? Dit-elle, pas très rassuré tout d’un coup. Est-ce que tu vas bien ?
…
………
…
-Oui…. Dis-je, d’un air accusateur. Attend un peu que tu descendes.
-Oh non chérie, tu ne me frappe pas hein ? Répond-elle, effrayé.
-Bon d’accords. Descend maintenant.
-O.K. YOUHOUUUUUUUUUUUUUUUUUU. Crie-t-elle comme si elle ne s’était jamais autant amusée. Et après une minute de glisse :
-AAAh ! C’était trop bien !! On recommence ? AÏEUUH !! T’avais dis que tu me frapperais pas !!
- L’assassin est rusé ma chère !! Je réplique fier de moi.
-Ouais ouais ouais, on verra qui sera rusé si on dort ensemble ce soir.
-Cela ne me touche même pas !! »
Nous avons atterris dans un fond extrêmement plat. Nous passons une très grande porte ouverte. La salle qui suit est petite. Deux mètre carré je dirais. Les murs montent à plus de dix mètres. Une simple échelle taillée dans le mur en face nous permet de nous hisser au dessus. Nous grimpons. Une fois en haut nous pouvons enfin admirer la grotte. C’est gigantesque. La grotte doit avoir un plafond à plus de cent mètres au dessus de nous. Mais nous ne devons pas trop nous réjouir. Je ressens le pire ici. Un très mauvais pressentiment. Les murs sur lesquelles nous sommes montés forment un U. Pas très large. Mais maintenant je vois où est la clef. En me penchant un peu je peux voir un dédale d’escalier pour descendre vingt mètre plus bas dans une espèce de cône à l’envers. Le diamètre du trou au point le plus haut doit être d’une cinquantaine de mètre, et au fond il doit être de cinq mètres pas plus. Je me retourne et vois une corde. Une corde ici? Cela ne peut qu’être celle de mon père. Mais pourtant, en la regardant de plus près, elle ferais plus de deux fois la profondeur du trou.
« Hmmm, ça sent le piège.
-Je ne sens rien moi, dit Kotka en rigolant.
-On va faire quelque chose. Dis-je. Il faut trouver quelque chose bien plus lourd que moi, mais que tu pourras pousser pour me remonter.
-Tu veux dire, dit-elle. Que tu vas descendre tout seul en bas ? C’est bien ça ?
-Exactement. Mon instinct me dit qu’une fois que j’aurai la clef il faudra se barrer en vitesse.
-D’accords compris. Mais il y a un hic.
-Il n’y a pas de « truc » sur lequel on peut accrocher la corde.
-Regarde mon chéri. Il y a deux poulies là. »
Effectivement. Il y a deux poulies sur le mur horizontale sur lequel nous sommes, dans un angle chacun, en face l’un de l’autre.
« Si j’ai bien compris, la corde fait à priori, vingt mètres.
-C’est exact, je réponds.
- Et le trou ici fait à peu près vingt mètres.
-C’est encore exact.
-Et il n’y à rien sur lequel on peut accrocher une corde.
- Où veux-tu en venir ? Je demande, impatient.
-C’est à moi de descendre. Dit-elle comme si c’était un ordre.
-Pourquoi ça ?
-T’es plus lourd que moi mon chéri. Et ose moi dire le contraire pour voir.
-AAAAH ! J’ai compris. Tu veux que je me jette derrière, dans le trou par lequel nous sommes montés.
-Tu compris vite dis moi. Dit-elle en souriant. »
On s’attache tout les deux. Elle commence à descendre par les vieux escaliers tournant à l’intérieur du cône. Elle descend doucement, prudemment comme si chaque marche pouvait s’effondrer. Elle continue de descendre, mais au bout d’un moment, elle se retrouve face à plusieurs mètres entre la marche où elle est et la prochaine marche. Elle se trouve juste en dessous de moi.
« Attend un peu, Dis-je en remontant de la corde pour la faire tendre. Je vais te soutenir quand tu vas courir sur le mur. »
Et c’est ce qu’elle fait. Elle s’élance et elle marche sur le mur, soutenu par ma seule force. Elle finit par atterrir sur la marche et continue sa descente. Plusieurs minutes après, même confrontation, sauf que cette fois elle est en face. Je décide donc de la faire projeter d’un bout à l’autre. Encore soutenu par ma seule force elle se retrouve à une dizaine de mètres au dessus du sol. Elle vole. Sa réception fut un peu brutale mais nous gagnons plusieurs minutes de réflexion.
Elle finit par arriver enfin en bas.
« Elle est là !! »
J'ai eus du mal à visualiser l'endroit, ton "U" m'as embrouillé
Mais finalement j'ai vue ce que tu montrai, et c'est diablement pensé
En gros ça ressemble à ça =D
http://imageshack.us/phothoto/my-images/196/aaawvv.jpg/
Bien de le mettre après s'être casser la tête?
Ouais c'est comme ça que je l'imaginai, mais où tu vois un U?
Un U ou un C à l'envers tout dépend comment tu vois le truc
Tu pouvait pa dire un O?
Ou )O
Je suis ton conseil destroy. J'ai fait un long chapitre mais, je ne le mettrai pas tant que je n'aurais pas plus de lecteur. Donc soit j'ai plus de lecteur, soit l'aventure s'arrête pour moi^^.
Vite, faut que je fasse de la pub
S'il te plaît dadadada, n'arrête pas. Fais le au moins pour ceux qui te suivent, même s'ils sont peu. Regarde, ce pauvre destroyer, livré à lui même, dis toi que pour lui, c'est une fic de moins à critiqué, et crois moi, il en souffrirait.
Continue!
ptdr. C'est pas faux ^^
tu ne dois pas t'arreter si tu aimes ta fic n'arretes pas
CONTINUE
Deux minutes plus tard.
Je n’ai plus d’air. Je commence à perdre conscience. Kotka à plus de poumon que moi. Si mes calculs sont exacts elles devraient pouvoir nous sortir de là. Je perds conscience.
…
…
…
« Où suis-je ? »
Oui, où suis-je ? C’est tout blanc. A l’infini. Suis-je mort ?
« Quel est la vrai définition de mort selon toi ?! Dit une voix qui résonne de partout.
-Qui est là ? Dis-je, un peu effrayé. Qui êtes vous ?
-Selon les cultures je porte plusieurs noms. Certains m’appellent « Dieu » d’autre …
-Encore vous ?!! Je vous rappelle que vous vous êtes déjà présenté. Zeus c’est ça ?
-Je préfère Tinia, dit-il. C’est comme cela que vous nous appelez. Vous les assassins.
-Je suis donc bel et bien mort ? Et Kotka ?
-Je te le redemande mon cher ami ! Quel est pour toi la définition de la mort ? Redemande-t-il.
-Je pensais que vous me le diriez. A vrai dire je ne me suis jamais penché sur cette question.
-Il serait temps pour toi de te la poser.
-La mort c’est : Un autre monde. Une deuxième vie ? Un endroit où tout est calme et sérénité.
-Ce n’est pas ce que tu pense au fond de toi. Lance-t-il comme s’il perd patience.
-Oui. La mort n’est néant. Souffrance et tristesse. Où suis-je dans ce cas là ?
-Ceci est mon espace. Pour toi il pourrait s’appeler « Les portes du paradis, ou de l’enfer », moi j’appelle cela, le néant aux questions. C’est ici que les personnes viennent quand ils se croient morts.
-Je ne suis donc pas mort ?
-Je ne sais pas. C’est un espace entre la vie et la mort. Es tu mort ? L’aimeras-tu ? Mourrait tu pour ne plus endurer toutes cette souffrances ? Cette tristesse ?
-Je viens de dire que la mort n’est faite que de ça. Je ne souhaite pas mourir.
-Personne ne souhaite mourir. Pas même un templier. Mais ton destin est lié à leur destruction, mais aussi à la tienne.
-Oui oui je me souviens. Sauvez le monde ou le conduire à sa perte.
-Seulement. Il en est un qui échappe à notre vision. Cette femme à un destin entremêlée assassin/templier. Elle peut très bien t’aidé à vaincre, ou à mourir.
- Qui est-elle ?
-Tu la connais déjà »
« Réveille-toi bon dieu !! Hurle Kotka, en pleurant.
-Blurps, bluu, AAAAAAAAaaaaaa. Je prends une grande inspiration. Blurps !! »
Kotka serre dans ses bras. Comme si plusieurs années s’étaient écoulées durant ma perte de connaissance. Mes yeux s’habituent à la lumière. Nous somme à l’entrée du temple.
« Que s’est-il passé ? Je demande.
Cinq minutes plus tôt.
Taka ? Non !! Ne meurs pas !! Je m’approche de lui et l’embrasse pour lui donner un peu d’air.
Soudain. La porte s’ouvre. Nous sommes happées par l’aspiration du trou. Je me rappelle maintenant que la sortie donne sur une grande falaise. Si la puissance de l’eau nous éjectent dehors nous somme foutu. Je prends la main de Taka et nous partons tout les deux dans la pente où nous avons glissé une heure auparavant. Je vois de la lumière. Il faut vite que je m’accroche quelque part. Ma main glisse un peu de partout. Je n’y arrive pas !! C’est mort !! KEUUF !! Qu’est ce qui me retient ?? La corde !! Elle est restée accroché à l’échelon. Quelle chance. La courant s’affaibli. Je peux enfin respirer. Je prends une grande inspiration. J’ai bien cru que nous allions mourir.
Je tire Taka plus loin et j’écoute son cœur.
…
…
…
BOUBOUM……
…
BOUBOUM
« Réveille-toi bon dieu !! Hurle Kotka, en pleurant.
"l’échelle de utilise toute ma force"
Explication?
Sinon, ben c'est bien écoute, j'ai pas grand chose à dire à part que si t'arrête ta fic, ben je la suis plus
D'un côté c'est logique. Si j'arrête ma fic plus personne ne la suivra Mdr.
À la place de de tu met et