Chapitre 3 : Bouleversements.
Lorsque je me suis réveillé, tout me semblais étrange, mon cœur battait de plus en plus vite, la chaleur montait en moi, et pourtant j'avais froid, il faisait noir dans la pièce où je me trouvait, c'était la nuit, d'une fenêtre je pouvais apercevoir les étoiles et la Lune.
Quand je me suis levé, le parquet craquelait, il y avait des cafards et des scorpions dans les coins, face à moi il y avait une table que je pouvais distinguer grâce à la lumière de la Lune.
Je pouvais voir que la cabane était très sale, et cassée. Après quelques minutes d'observation, je me décidait à sortir, à ma plus grande surprise, j'étais dans le désert, il n'y avait absolument rien autour de moi, que du sable, et du sable, seule une cabane se trouvait au beau milieu de se désert. Plus j'avançais, plus je fatiguais. Après plusieurs heures de marche, le soleil commença à se lever, mais toujours rien à l'horizon, il faisait de plus en plus chaud, j'avais faim, soif, j'étais fatigué, je n'en pouvais plus. Si je pouvais me suicider à ce moment là, je le ferais. Au bout d'un moment, je n'avais même plus assez d'énergie pour continuer à marcher, alors je tomba d'un coup sur le sable, et commença à m'endormir.
Le lendemain, je m'étais réveiller dans un lit dans une tante, au milieu d'un village arabe. Une personne était en face de moi, il semblait être le chef de la tribu.
-Ah, vous vous êtes enfin réveillé. Dit-il. Sans nous, vous n'auriez pas pu vous réveiller, vous êtes vraiment l'homme le plus chanceux de la terre.
-Chanceux vous dites ? Je me suis quand même réveillé dans une cabane abandonnée au milieu du désert, et vous me dites que je suis chanceux ? Laissez moi rire tiens...
-Non, enfaite quand je disais chanceux, je voulais parler du fait que vous êtes dans votre pays natale, Yazane. Me dit-il souriant.
-Co-Comment connaissez-vous mon nom ?
-Nous sommes nous aussi des assassins, et moi je suis le Maître-Assassin du Liban si tu veux savoir. Mon nom est Moham Moussab.
-Moussab vous dîtes ? Je connais un Karim Moussab, il est aussi un Maître-Assassin et s'est fait capturer par les Templiers au port de Beyrouth.
-Je sais, c'est mon frère...
Au même moment, deux Assassins entrèrent dans ma tante. L'un deux baissa sa capuche, puis le second, et ont dit tous deux en même temps :
-Yazane !!
-Daniella, Anthonio ! Que faites-vous là ? Demandais-je, surpris de les voir.
-On allez tout de même pas te laisser tout seul, mi amigo ! Dit Anthonio.
Daniella se dirigea vers moi, me prit dans ses bras et me chuchota à l'oreille :
-Si tu savais comme je suis heureuse de te revoir, Yazane.
-Mais...Mais comment vous en êtes vous sortit ? Et mon père, que lui est-il arrivé ?
-Eh bien c'était pas très difficile à vrai dire, ton père a fait une erreur impardonnable lorsqu'il est repartit de la cabane où il t'as laissé, il est retourné à Rome essayer de tuer tous les Maître-Assassin, et il s'est fait prendre. Quand on l'a torturer pour savoir ou tu étais, eh bien au moment de nous le révéler, il s'était évanouit c'te p'tite nature.
Moham prit la parole :
-Puis lors d'une de mes petite balade dans le désert avec ma troupe, nous t'avons trouvé et ramené ici. Ecoute mon petit, ton père à trahit l'ordre des Assassins, il sera jugé à Rome, devant tous nos frères pouvant nous rejoindre. Son avenir dépendera de la décision des cinq Maître-Assassins, dont moi. C'est pourquoi nous devons partir immédiatement.
Et c'était sur ces paroles que je repris mes équipement ramenés par Daniella et Anthonio.
Arrivés à Rome, ou plus précisément au QG des Assassins, je retrouvait mon père avec les fers aux mains.
En passant à côté de lui, je le regardait droit dans les yeux, et lui cracha au visage.
-Traître ! Lui dis-je.
-Mon fils, ce n'est pas ce que tu crois, ils t'ont menti, ce n'est pas moi qui t'ai planté une lame dans le dos. Me disait-il tout paniqué et en pleurs.
-N'écoutes pas ce qu'il dit, ce n'est qu'un fourbe, un menteur, un traître ! Disait un des chefs.
-As-tu oublier ton enfance, tout ce dont je t'ai appris ? Pourquoi aurais-je fais cela si c'était pour te mentir, et trahir ta confiance ?
Sur ces paroles, je baissais les yeux, et mon semblait vide, j'avais des regrats par rapport au passé, j'avais l'impression d'être manipulé par tout le monde.
Après trois minutes écoulées, le jugement commença.
-Vous, Joakhim El-Mouhabib, mari de Solanna El-Mouhabib, et père de Yazane El-Mouhabib, avez trahit l'ordre des Assassins, alors que vous étiez vous-même un Maître-Assassin, vous êtes condamner à l'exil dans votre tombeau où vous y mourrez. Avez-vous quelques chose à dire ?
-Non. Dit sèchement mon père.
-Très bien, vous serez exilé dans votre tombeau conçu pour l'exil d'un Maître-Assassin. Demain à l'aube, vous partirez en direction du Maroc, et enfermé dans ce tombeau pour y mourir, par la suite.
Plus tard dans le soir, Hakim est venu me voir pour me dire quelque chose d'important.
-Yazane, j'ai des informations qui pourraient bien te paraître étranges, mais qui pourraient bien sauver la vie de ton père.
-Vas-y, racontes moi tout Hakim.
-Alors voilà, comme je suis un Maître, j'ai le droit d'accès aux information secrète, et il est dit dans certains archives, que lorsque j'étais au Liban, les autres Maîtres complotaient quelque chose contre toi et ton père. En vérité, s'il t'as planté sa lame secrète dans le dos, c'était pour te protéger, et t'emmener loin de tout ça car le Grand Maître des Assassins, Giulio Sobretti, est un Templier, comme tous les autres Maître-Assassin. Et c'est lui qui à refusé de voir Daniella, la descendante d'Ezio Auditore, être promue au rang de Maître-Assassin. Il a accusé ton père de trahison et l'as condamné à l'exile parce qu'il à l'intention de l'interroger dans son tombeau pour savoir où se trouve la pomme d'Eden que tu portes avec toi, c'est pour cela qu'il te l'a donné avant de disparaître.
-Alors il faut absolument aller sauver mon père !
-Attends, ce n'est pas tout... Disait-il très doucement.
-Qu'est-ce qu'il y a d'autre ?
-Eh bien, c'est ta mère, tout le monde croyait qu'elle était morte lors d'une de ses missions, mais en vérité, c'était Giulio. Le Grand Maître-Assassin lui-même...
A ce moment là, je n'arrivais plus à respirer, mon cœur se serrait, j'avais mal au ventre, si je ne connaissais pas mère, et si mon père allait mourir, c'était à cause de la même personne se faisant passer par l'homme exerçant le bien. Il fallait que je l'arrête.
-Il faut que nous allions libérer mon père avant qu'il ne parte pour le Maroc.
-Oui mais comment contes-tu faire ? Sa cage est surveillée par des Assassins entraînés pour ce genre de situation.
-Oui, mais nous le sommes encore plus, ils n'auront même pas le temps de réagir qu'ils seront déjà mort.
-Non, il ne faut pas les tuer, ce sont des innocents, c'est Giulio et les autres Maître-Assassin les coupables.
-Très bien, alors nous les assommerons juste.
-Comme tu veux. Finissait Hakim.
Le soir, nous avions conçu un plan très simple pour libérer mon père. Il consistait à faire semblant de passer devant les cages, d'assommer les gardes, et de libérer mon père.
Après l'avoir libéré, nous devions partir d'Italie pour trouver un endroit où le cacher. Nous avions décidé de l'emmener où tout à commencer, c'est à dire chez nous, en Syrie. Lorsque nous étions arrivés chez moi, je me suis souvenu que mes amis, Karim et Salima, allaient sûrement bientôt se faire exécutés, et nous avions peut-être le temps d'arriver sur place pour les sauver. Hakim était de tout cœur avec moi étant donné que c'était son frère.
Lorsque nous avions prit la route, un groupe de bandits nous interpella, ils étaient une bonne dizaine, moi je n'avait pas encore reçu d'entraînement intensif, mais pour Hakim qui était Maître-Assassin, c'était un jeu d'enfant.
Il enchainait les victimes, un couteau de lancer par là, un coup de lame secrète par ici, le combat se termina en quarante secondes.
Arrivés à Beyrouth, c'était une autre histoire, les Templiers remplissaient les rues de toute la ville, et cette fois-ci ça ne serait pas aussi facile que précédemment, c'était des Templiers, et non des bandits.
Mais les Templiers n'étaient le seul problème, comment allions-nous trouver nos deux équipiers ?
Hakim avait des amis à Beyrouth, qui seraient prêts à tout pour l'aider car ils leur devaient la vie.
-Viens, allons à l'auberge. Me dit Hakim. Je connais quelqu'un qui pourrait nous aider.
Une fois que nous étions arrivés à l'auberge, une personne se trouvant au bar se retourna et cria :
-Hakim ! Mon ami !
Il le prit dans ses bras et dit :
-Quel plaisir de te revoir. Mais que fais-tu ici, tu sais que les Templiers sont partout dans la ville ?
-Oui mon ami, je sais, mais j'ai besoin de tes services de voleur.
-Tiens donc, depuis le temps que je rêvais de te rendre un service. Que faut-il que je fasse ?
-Il va falloir qui tu distraie les gardes devant la prison pour que mon ami est moi puissions libérer non équipiers. Expliqua Hakim très rapidement.
-Pff, trop facile. Répondit le voleur. Hé les gars, venez, on va enfin pouvoir aider notre sauveur !
A ce moment là, toutes les personnes se trouvant à la taverne se levèrent et nous suivirent vers la prison.
C'était le soir, la température était basse, certains oiseaux volaient encore, la Lune était cachée par des nuages gris, Hakim et moi étions sur les toits, attendant le signal des voleurs.
Les voleurs fonçaient tous les uns après les autres avec leurs armes levées vers les gardes, le signal était donné, plus aucuns gardes ne pouvait nous barrer la route. A l'intérieur de la prison, des Templiers faisaient leurs rondes de garde dans les couloirs. Hakim tira une, puis deux flèches empoisonnée sur les deux Templiers. Après quelques gigotements, ils moururent simplement empoisonnés. Je pris les clés sur le corps d'un garde, et libéra nos deux confrères.
-Qui.. qui êtes-vous ? Demanda Karim très fatigué.
-Karim, c'est moi, Yazane, je suis venu avec ton frère Hakim vous sauver tous les deux.
-Ya...Yazane ? Quelle joie de te revoir !
-Oui, nous avons pas le temps là, d'autres Templiers vont se ramener, filons d'ici avant de nous faire prendre et coupé la tête.
Je pris Salima dans mes bras, on nous courons vers les toits, la tâche n'était pas simple avec quelqu'un dans les bras. Arrivés en haut d'une maison, Salima se réveilla, en me voyant, un sourire magnifique apparu sur ses lèvres. Elle se mît debout, et dit :
-Yazane, je n'en crois pas mes yeux, tu es venu nous sauver ! Puis elle posa délicatement ses lèvres contre les miennes. Je t'aime Yazane ! Me dit-elle.
-Nous devons partir, nous allons nous faire remarquer ! Ordonna Hakim.
Nous courûmes en directions du port, cette fois, aucun bateau ne nous attendait mais nous n'avions pas le temps de négocier. Je poussa le commandant dans l'eau, détacha la corde, et nous étions partis pour l'Italie, tuer Giulio.
Le voyage durera plusieurs semaines, Salima et moi étions devenus très proches, très très porches. Arrivés au port de Rome, Giulio nous attendait.
-Salutations, mes amis. Dit-il tout en pointant un fusil en ma direction.
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alors ? Bien ?
En effet, même que je vis sur un iceberg dans la maison de pain d'épice 
nan, sérieusement c'est bien même si j'ai un peu de mal avec tous les personnages mais sinon ton histoire est vraiment sympa à suivre. Continues comme ça