Ma mission est de sauver un noble de son fils, fervent serviteur des templiers.
Je m'avançais avec détermination dans ces rues que je connaissais si bien. Une colère froide m'avait envahi... Vu, mon passé, je ne pouvais accepter qu'un fils veuille tuer son père.
Si on m'avait chargé de ramener le petit noble vivant, on ne m'avait rien dit à propos de ses gardes et amis... Je me promis de tous les éliminer.
Je connaissais de nom ma cible. C'était un débauché, un fréquentateur de tavernes et de bordels. Je n'aurai aucun mal à récolter des informations à son sujet.
Je rentrais donc dans une taverne célèbre et alla voir le patron.
En quelques minutes, j'appris que ma victime étaient souvent accompagnée par trois gardes du corps, qui étaient devenus au fil du temps des amis fidèles.
En prenant l'adresse de l'un d'eu sous prétexte de louer ses services, je sortis dans la rue enténébrée par la nuit tombante.
Ils seraient probablement quatre pour assassiner le Noble... il me fallait réduire ce nombre pour éviter une confrontation qui jouerait en ma défaveur.
Je repérais la maison du premier garde. Il devait cuver dans, son lit, et sa fenêtre était ouverte... Parfait !!
Je gravis les quelques mètres me séparant des volets et m'introduisis dans une pièce sombre sentent des relents d'alcool.
Ma cible se tenait vautrée dans son lit, et ronflait de manière sonore.
Un chuintement à peine audible dans le noir... Je plongeai ma lame secrète dans le cou du garde.
J'entrepris alors de fouiller la chambre. Quelques florins récompensèrent ma recherche et, plus important, une lettre datée de ce jour.
"Antonio, présentes-toi sur le pont central demain à 18h00. J'y serai avec nos deux amis... Nous accomplirons notre devoir !"
La chance semblait me sourire! malheuresement, je ne connaissais ni le nom, ni l'adresse des deux autres gardes.
Tant pis, j'irai d'abord cueillir le fils.
Avant de me rendre chez lui, je passais chez un médecin et dépensa les florins du garde pour acheter du chloroforme.
La maison dans laquelle il vivait avec sa famille m'apprit l'étendue de leurs finances...
En rabaissant ma capuche, je m'approchais rapidement du garde en faction devant la porte.
"Bonsoir, messire. Antonio requiert le jeune seigneur pour un problème urgent... Il m'a dit de lui dire "je ne serai pas là demain" ..."
Bien que le garde ne semblât pas très convaincu, la mention du prénom du garde le fit rentrer pour réveiller son jeune maître.
Ce dernier apparut devant moi en livrée simple, les yeux cernés et l'haleine puante.
"Qu'est ce que c'est que ce foutoir?! Conduit moi tout de suite chez Antonio, laquais !"
Charmant... l'éliminer m'aurait vraiment procuré une intense satisfaction. Au lieu de quoi, je l'emmenais chez Antonio, où je l'endormis avec le chloroforme.
Je le ramenais ensuite à la guilde sur mon épaule. Je comptais sur sa mauvaise réputation pour passer inaperçu. Je parlai même avec un soldat en me pleignant de devoir ramener ce débauché à son père.
Je pouvais considérer ma mission comme conclue. Les gardes se disperseraient probablement en constatant l’absence de leur guide...
Et pourtant, je n’étais pas satisfait. Pour moi, il y avait encore quelque chose à faire.
Je rédigeai une lettre anonyme à l’adresse du père, lui expliquant la situation et les intentions de son fils. Si c’était un homme intelligent, il vérifierait par lui-même la véracité de mes dires et ne fréquenterait plus les templiers.
J’allai prendre un peu de repos avant de conclure cette longue mission...
Le lendemain, j’allai attendre les deux homme sur le pont. Je les vis arriver ensemble. Ils marchaient côte à côte et étaient équipés pour le combat. Dès qu’ils me tournèrent le dos, je m’approchai du premier et le tua grâce à ma lame cachée. Le deuxième se retourna vivement. iL dégaina son épée, je fis de même et nous croisâmes le fer.
« un petit vicieux, pensais-je ». Il avait une bonne technique, nous étions à peut près à égalité.
Cependant, il avait un défaut majeur. Il attaquait toujours selon le même schéma et avec le même rythme. Une erreur fatale... En anticipant son mouvement, je l’embrochai d’un mouvement fluide.
Il était temps de partir. Ne me souciant pas de la légère estafilade que j’avais récoltée à la main gauche, je montai à une échelle et me dirigeai vers la maison du père. Heureusement, le garde de la porte n’était pas le même ! Je lui donnai la lettre et partis rapidement en me fondant dans les ombres du soir.
pour ta mission je te la donnerais après que tu es compris et fait tous ce que je t'ai dis.
c'est court... tu devrai prendre exemple sur les mission qui se trouve sur les pages précédentes. tu gagne 400 florins(300+100=400) et 1pt pour une de tes compétence et 1pt pour ta comp. spé. 
