• il y a des templiers dangereux qui se communiquent grace à un messager, intercepte ce messager pour voir ce qu'ils se disent
syncro 100%: tue le messager, et uniquement lui
Déviation: 2
Force: 1
Résistance: 1
Vitesse: 3
grimper:1
Argent : 1600
Épée, dague, lame secrète
Je ne savais ni à quoi il ressemblait, ni où il était. Mais je devais le trouver.
Il allait probablement être à cheval… ou sur les toits… Peu de personnes se promenaient à cheval, alors si j’en voyais un, c’était mon premier suspect. Je décidai de monter sur la plus haute tour de Moscou. J’ai eu beaucoup de difficulté, mais j’ai trouvé un nouveau truc pour escalader plus rapidement. Malencontreusement, un garde, au loin, m’aperçut en train de monter la tour. Mon maître m’avait prévenu de tuer le moins de personnes possible, alors avant qu’il ne me vise avec son arbalète, je changeai de côté de la tour, étant hors d’atteinte de mon chasseur. Je réussis enfin à monter, mais mon poursuivant pouvait maintenant m’atteindre. Il me visait, mais au lieu de me tirer, il cria : « Alex, c’est l’assassin qui nous cherche, je te le laisse ! » Comment le savait-il ? Je n’en ai aucune idée. Soudainement, un homme à capuche habillé de vert apparut, en face de moi. Il venait de sauter d’une autre tour plus basse jusqu’à celle-ci, et l’avait escaladé très rapidement. Le dénommé Alex avec une dague en main, sauta sur moi en m’attaquant. J’ai eu tout juste le temps d’éviter qu’il me redonnât un autre coup. Cette fois-ci, j’ai eu le temps de sortir ma dague et de bloquer son attaque. Il poussait ma dague contre mon visage. Je retenais de toutes mes forces, mais il était beaucoup plus fort que moi. Comment battre un adversaire, plus agile et plus fort que soi, avec un garde qui te vise avec une arbalète ? Juste avant que ma propre dague atteigne mon visage, le garde tira sur le pied d’Alex, qui s’effondra sur le toit. Je retirai sa capuche pour découvrir son visage. Je remarquai que je connaissais la personne, c’était Alexander Zabski, un de mes anciens amis assassins, lorsque je travaillais avec Klak. Nous avions tous les deux été promus au rang d’assassin, mais nous nous étions séparés. Je retirai ma capuche pour qu’il me voie aussi.
« Klik !
- Alex, tu as trahi les assassins.
- Non, c’est lui, l’homme habillé en garde, Gabriel. Nous étions ensemble, nous devions envoyer un message pour les templiers, mais je suis un espion. Je suis du côté des assassins. Nous allions brûler le message.
- Pourquoi m’avoir attaqué ?
- Nous savions que les assassins allaient envoyer un homme nous éliminer, et je voulais protéger mon ami. Du moins, je croyais qu’il était mon ami, mais c’était bel et bien un templier… tu dois intercepter le message, Klik. C’est un signal d’attaque. Si tu ne tues pas le traitre, les templiers vont nous attaquer, et nous ne sommes pas prêts pour cela.
- Je vais m’occuper de lui, et je vais revenir te chercher. »
J’étais sur la plus haute tour de Moscou, donc je pouvais vois de mon emplacement, Gabriel, en train de sauter sur les toits en s’éloignant de plus en plus. Je fis de même, je sautais de toit en toit dans sa direction. J’étais considérablement plus rapide que lui, et le je le rattrapai en seulement une dizaine de minutes. Je commençais à être fatigué, mais lui l’était depuis longtemps. J’étais juste en arrière de lui et nous courrions toujours sur les toits. Tout à coup, il prit son arbalète et faillit me tirer dans le pied. Nous tournions en rond dans la ville, nous revenions à notre point de départ. J’étais très proche de lui, mais je savais que si je sautais pour le tuer, il pourrait facilement éviter. Il avait toujours son arbalète en main et se préparait encore à tirer. Il ne pouvait pas me manquer, j’étais trop proche. Ma vie était en grand danger, je ne devais pas fuir, ce serait risquer la vie de milliers d’assassins. Mon seul espoir était de courir plus rapidement, pour pouvoir sauter sur lui sans aucune chance de déviation. Mais la fatigue prenait le dessus. Gabriel se préparait à tirer, quand tout à coup, le messager reçu une dague qui lui transperça la main, lui fit lâcher son arbalète et perdre l’équilibre sur un des toits sur lequel il s’écroula. Il criait de douleur. Je l’avais reconnu, c’était la dague d’Alexander. Je pris le message dans la poche de Gabriel. Je le déchirai en plusieurs petits morceaux, et les jetèrent dans le vide. Je retournai le garde, qui était face contre terre. Il pleurait.
« -Des dernières paroles?
- Va te faire foutre »
Je lui plantai ma lame dans la gorge, étant ainsi sûr qu’on n’entende pas parler de moi. Je rapportai Alexander à son village, et retourna au mien. Mission accomplie.
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tu gagne 900f et 1pts de compétence