Art

je suis entrain de le remater...

mon pere m'avais emmené le voir au ciné a sa sortie, j'avais 8ans

Tiens bah j'en ai parlé dans ma "critique" de District 9
J'ai vu les deux avec Price et celui de Cronenberg, mais j'ai pas confiance en la suite, la femme qu'a un bébé mouche non merci...

Tiens bah j'en ai parlé dans ma "critique" de District 9
J'ai vu les deux avec Price et celui de Cronenberg, mais j'ai pas confiance en la suite, la femme qu'a un bébé mouche non merci...

Ah mince

j'ai aussi vu le Price et celui de Cronenberg le Price a très mal vieillit…
par contre le cronenberg est assez fun (la fin ultra gore )

Ça t'as sans doute rappelé un chef d'œuvre qui vient de sortir

(l'appel du post m'empêche d'aller me coucher)

oui dès

qu'il perd son ongle j'ai fait "BRANNNNNDOOOONNNNN MOOUUUUUCHHHHHE" et j'ai ris comme un con tout seul

Tu attises ma colère

Bon, cette fois bonne nuit grand fou

bonne nuit mon chéri d'amour

You and me , for toute la vie

bon tu vas au lit là

J'ai enfin vu cette oeuvre culte des années 80, grâce aux conseils de Blazco.

Ce qui m'a d'abord étonné dans ce film, c'est la simplicité scénaristique dont fait Cronenberg. Les péripéties sont assez rares, car Cronenberg prend son temps pour raconter son histoire, et la métamorphose du héros (qui est parfaitement gérée par l'acteur). Psychologiquement c'est un réussite totale dans la métamorphose du héros, d'autant qu'on peut y voir plusieurs niveaux de lecteur (article intéressant dans Wikipedia). Ce qui m'a étonné également c'est le côté très gore, et très malsain. Je m'attendais pas à me prendre un tel choc, les effets spéciaux sont géniaux.
Une oeuvre à la fois simple et très riche, doté d'une grande histoire, d'une grande mise en scène et qui refuse le manichéisme pour laisser place à la réflexion.

C'est ce que j'appelle une réussite ! 4/5

Tout à fait

Putain les fautes

De goût ouais, tu en fais deux cette semaine

Très bien tout ça

C'est justement un des Cronenberg que j'aime le moins avec ExistenZ, bien loin derrière Dead Ringers, Videodrome et Naked Lunch. En cause, une psychologie des personnages en carton pâte remplie de stéréotypes et des dialogues qui volent bien bas en raison d'un aspect grand public très assumé, et parfois très agaçant.
Pas un mauvais film cependant, seulement un film très moyen.

Grand public ?

Ouais faut faire plus d'un mètre cinquante pour aller voir ce film.