Et bien je me desespère, aucun fan de Jean Luc Godard pour m´expliquer ce film qui m´a enormément frustré et ma remis en question de part sa réalisation et sa mise en scène enfin bref.
Synopsis:
Ferdinand (Belmondo) a retrouvé Marianne une femme qu´il avait jadis aimé. Ce couple anarchiste est passionné d´art parcoureront un chemin parchemé de vente d´arme illicite de meurtre et autre Hold-up tout aussi illégal.
Donc si quelqu´un pourrait m´expliquer le message que Goddard a désiré transmettre ça serait sympas
Y a pas de "message".
ce film est une oeuvre d´art, pas un discours merde.
Tu m´enlèveras toujours les mots de la bouche toi...lol
Très beau/bon film.
une oeuvre se suffit à elle même.... mais bon quand meme, pourquoi ce film est un Très beau/bon film, et pourquoi l´érige t-on comme un si belle oeuvre d´art ?
Le sens du beau, ici, est lequel ?
A l´envers.
mouarff
Petit clin d´oeil de Kitano à ce film dans "Jugatsu" (voir affiche des deux films)
Dans au clair de la lune aussi.
Sans oublier la sucette française.
Mon oncle s´appellait Pierrot en hommage au film. Il est né avant mais ses parents ont attendu que le film sorte pour lui donner un prénom (avant il en avait pas).
Des parents avant-gardistes, dommage que ce se soit perdu avec les générations.
gros up! J´adore ce film et je suis en train de préparer un exposé dessus pour mon cours d´anglais! donc, si vous avez des trucs qui vous ont marqué, interpellé, dites le moi, je ne voudrais pas passer à coté d´éléments importants du film auquels je n´aurais pas pensé!
Venez parler de ce film, je mettrais mes premières analyses dans la semaine si j´ai du temps!
(ce film est très dur à cerner, on ne peut le conditionner dans un plan! Tant mieux nous dirait Godard, car le principal thème du film est justement une critique de l´emprisonnement de la politique, la culture et l´économie françaises, influencées par le mode de vie américain!)
Tu pourrais parler de Fierrot le Pou, de M. Kassovitz pour élargir ton sujet...
Ah si je m´attendais à ça...un super bon film,même si la dernière partie(enfin une dernière partie)s´essoufle un peu.C´est le genre de film qu´on doit revoir en lui trouvant de nouvelles choses.
La réalisation est fantastique,les voix-off,le montage,cette façon de jouer avec le cinéma,d´être dans le film,en dehors...tous les Godard sont-ils comme ça?
Non... après Week end ca change beaucoup, c´est plus de la vidéo que du cinéma. Vraiment d´exellents films, le Mépris, une femme est une femme, masculin féminin, bande a part etc... rien est à jeter mais Pierrot le Fou est une sorte de film somme, il y avait une phrase qui faisait le speech du film en reprenant tout les titres de ses films antérieurs a 1965.
Hé hé salut homer,ça faisait longtemps.
Bah ce soir je vais pitêtre me mater "A bout de souffle".
Pas beaucoup de messages
Je viens de le voir et j'ai vraiment était subjugué de bout en bout par ce magnifique film.
Pour tout dire je n'attendais pas beaucoup du film après l'immense déception que m'avait generé la vision du Mépris.
Pierrot le Fou est une oeuvre forte et poétique dominée par les interprétations mémorables de Jean-Paul Belmondo et Anna Karina, Bebel en tout cas trouve le rôle de sa vie.
Non mais c'est vrai, c'est juste excellent toute cette poésie qui se dégage du film, l'utilisation des couleurs, en particulier le bleu et le rouge, la mise en scène de Godard et ses plans sublime sur la mer, et les voix off.
J'ai surtout ressenti ce film comme un vent de liberté, certains moment paraissent complètement surréalistes et loufoques au premier abord, la cavale des deux personnages principaux est presque une rêverie à la recherche du bonheur. C'est également un film sur l'art, Pierrot le Fou abonde de références sur la musique, la peinture et surtout la littérature.
Si vous avez envie de vous évader pendant 1h40 alors Pierrot le Fou est fait pour vous.
Je voudrais terminer le film en citant Belmondo dans le film:
« Nous sommes faits de rêves et les rêves sont faits de nous »
Chef d'oeuvre !!!
5/5
Bon faut vraiment que je le mate celui là
Je confirme il faut que tu le vois
Faudrait peut être que je commence Godard.