bonjour tout le monde j'ai un ami qui fais sa premiere fic (que j'adore tres bon scenario... )
je l'ai aidée à meublé, aéré, coriger, et enlever toutes les fautes de repetition ect...
mais le scenario, les perso (je suis dedans vous verez un couillon appeller guillaume sa seras moi )... tout sa c'est lui qui l'a fais et je trouve sa magnifiquement bien fais
c'est un thriller et... j'en dirais pas plus
1er chapitre : Sans retour...
Ca fait déjà trois heures que je suis partis de Paris, j'ai été invité à une sortie organisée par des joueurs de rabbit doubt, là je me retrouvais loin de la grande ville, de la population et de tout airs pollué, c'était la campagne, les vaste plaine et les villages fermier presque abandonner, le bus roulas près de quatre heures et le voyage parut presque interminable...
A vrai dire je ne suis pas ici de mon plein grès, si mon colocataire ne m'avait pas forcé à y aller, soi-disant que ça me ferait du bien de sortir, que c'est bon pour mon morale, tu parles...
Vers les environ de huit heures les organisateurs nous on dit qu'on allait faire une halte à un hôtel pour se reposer, on s'était arrêté au milieu de nulle part en pleine forêt.
L'hôtel avait vraiment une sale gueule, il semblait délabré de l'extérieur mais, était bien plus spacieux, les organisateurs alla voir le maitre d'hôtel pour la réservation durant ce temps on était allé dans la salle a mangé pour diner.
Comme d'habitude je me suis mis seule dans un coin sombre, c'est alors qu'une fille s'approcha, elle était grande, avait des cheveux noirs, les yeux d'un bleu plus profond que l'océan, elle se nommait Rei Azama.
Elle était japonaise mais, parlait couramment le français. Elle restait la devant moi sans dire un mot quand elle se décida à parler.
- Salut.
Je ne dis rien durant un moment, je me sentais mal à l'aise, à l'ai-je la rejeter comme les autres ou lui adresser la parole, finalement je tournas la tête et lui dit :
- Quesque tu me veux ?
- Rien, je t'ai remarqué, tu n’es pas très causant dit-moi ?
- Non je n'aime pas trop parler.
Je garda la tête tourner, je n'avais pas envie de croiser son regard, mais sans savoir pourquoi je tournas quand même la tête et c'est là que j'ai vu qu'elle était vraiment mignonne, mais comme à mon habitude je ne rougis pas.
- Comment t'appelles-tu au-faite. Me dit-elle.
- Heu... John Apser... et toi ?
- Rei Azama.
Je ne pouvais détacher mon regard de ses yeux comme si j'étais envoûté.
Je me sentais gêner. Elle avait toujours ce petit sourire aux lèvres. Idiot comme j'étais je ne décrocha pas un mot.
Alors que j'allais enfin avoir le courage de prononcer un mot, un cri sourd se fit entendre. Je me sentis bizarre, tout tournais autour de moi mes yeux ce recouvrais d’un brouillard noir progressif, ma force diminua à une vitesse folle, et à ce moment je tomba au sol.
Que s’est-il passer, que fais-je ici... Ce sont les seuls pensé qui me vienne à l'esprit. Je ne me rappelle que du crie et de la salle envahit par la fumée et voilà que je me trouve ici dans cette pièce dont je ne connais pas. À ma première impression je dirais une cuisine mais, je n'en suis pas encore sur, je regardais autour de moi, il fessait plutôt noir et mes yeux mire du temps à s'adapter. J'étais bien dans une cuisine, et la première idée qui me vis à l'esprit fut de vérifier les tiroirs à la recherche d'une arme, je ne savais pas pourquoi mais, ma conscience me disait de prendre une arme avec moi. À ma grande surprise les tiroirs était vide, pas de couteaux de boucher ou d'objet qui pourrai me servir. Je me reposa à terre. À observer la cuisine.
Je me suis réveillé avec deux autres personnes. À priori je suis le premier à être réveillé du moins je le pense vu que quand j'ouvris met yeux nous n'étions que trois, un anglais qui était plonger dans sa musique, tout ça lui semblait bien égal, et une fille, elle était venu avec son frère, elle était française.
- Ou somme-nous ? Fut les premiers mots de la fille.
- Je n'en sais rien. Dis-je
- Hmm... Elle tourna la tête vers moi puis fit le tour de la pièce avec sa tête.
- Mais que s’est-il passer ?
- Je n'en sais rien.
- HAAA... MON PORTABLE, IL A DISPARU. Cria-elle
Dans un moment pareille penser à son portable, je trouve sa pitoyable. Je me redressa et lui dit :
- À première vue nous sommes dans une cuisine et mon portable aussi a disparu, mais le plus important pour l'instant s’est de savoir ce qui s'est passé. Dis-moi quelle est la dernière chose donc tu te rappelles ?
- Heu... et bien... Si je me rappelle bien, il me semble avoir vu une bombe qui éjectai du gaz et des gens qui ce m'était à tousser après plus rien, le noir.
- C’est bien ce que je pensais. Du gaz soporifique. Dis-je.
- Mais on va faire quoi maintenant ? demanda la fille.
- Je ne tiens pas à rester ici plus longtemps, moi je me casse, je ne resterai pas ici une minute de plus !
- HEY ! Attend moi.
- Alors dépêche-toi. Je ne tien pas à trainer un boulet compris ?
- Heu... D'accord.
J'avais remarqué une porte dans la pénombre, je m'avançai d'un pas décidé.
La fille derrière moi attrapa mon bras et me dit.
- Au faite comment tu t'appelles ?
- john Apser.
- Ha et moi ses Marie Rendarc
J'ouvris la porte, la fille étais derrière moi et l'anglai qui semblait nous suivre mais, à son rythme. Nous entrâmes dans la salle à manger, tous était dévasté dans la pièce. Les fenêtres étaient barricadées, elle était illuminée par les rayons de la lune, ces dernier passaient à travers les planches de la fenêtre.
Les chaises étaient renversées, démembré, saccagé de même pour les tables. Les types qui ont organisé ça se sont donnés les moyens pour nous mettre dans un état de peur, je sentais que mari tremblait, elle serait fort mon bras. L'anglais quant à lui il était impassible. Tout ça lui semblait bien égal. Ont avançâmes dans les débris du mobilier.
Tout cela me semblait si familier, c'est comme si je revoyais mon passer, la peur m'envahissait, je craignais de voir surgir de nulle part un fantôme de mon passer. D'un pas alerte nous nous dirigeâmes vers la porte qui mène dans le hall.
Mais cela ne fais que de commencer...