Ben si, je passe souvent pour aider les joueurs. C´est les autres qui passent plus. Donc j´attends pour poster la suite de l´histoire. Ici du soleil sur l´est, 23°, enfin un bout d´été.
hello Blue, vas y balance l´épisode,on préviendras tout le monde
A rajouter à la fin de l´épisode 24 :
Perdu dans le flot fulgurant des vaisseaux, dont certains explosaient déjà après s’être percutés, confortablement installé dans un vaisseau en forme d’os, Poupy glapissait des aboiements rythmiques aigus entre Dolly et Glady slurpant intensif des langues son pelage ébouriffé d’extase.
L´épisode 25 sur la prochaine page.
vi, toujours aussi lubrique le Poupy, alors ou en est-on
tu as récupérer le site de Fine
Plus de news de Fine et pas de site, pas d’emails des autres, préviens-les, sinon tendinite au bras droit, trop écrit au stylo, la crampe de l’écrivain, donc repos du bras qqs jours, je tape avec l’index gauche, attention si vous utilisez une pommade ou un gel anti-inflammatoire, cherchez des infos sur le net avant, risques graves d’allergies si exposition au soleil, j’avais un tube neuf de neuriplège, direct la poubelle, ça fait peur !
http://sante-az.aufeminin.com/w/sante/n1979/news/creme-neuriplege-c-est-du-passe.html
Et n’achetez pas chinois, vu un reportage hier, les pyjamas s’enflamment près des radiateurs, les jouets ne sont pas aux normes, peinture au plomb nocive notamment, surtout pas de dentifrice chinois, il contient du glycol, un épaississant utilisé dans l’anti-gel de bagnoles, les stocks sont retirés du marché, bref, vive la tisane de peyotl, j’avais vu un reportage sur les chamans, notamment un chaman d’Amazonie, 70 ans, il en buvait régulier et pétait la forme ! Soignez-vous aux plantes ! Oui, Nergal, la bière c´est bon, ça contient du houblon ! Bon, je blague, déconnez pas avec l´alcool, j´ai un copain à l´hosto depuis 2 mois déjà, il lui reste 30% de foie, ponction de 5 à 7 litres de toxines toutes les semaines. Oui, Fifi, j´ai arrêté les tournées dans les bars. Trop dangereux. Je picole à la baraque !
tien je te remet les sites de Fine:
http://www.unautremonde.c.la/
http://finefleur.musique.com/r1033/LA_BODEGA_LA_PATATE/
et oui elle en deux, pas étonnant qu´elle ne ne puisse etre partout :merci-ok:
OK, je te remercie !
Finefleur vous présente tous ses meilleurs voeux pour 2008
Nergal vous a laissé l´adresse de mon blog et de mon site.
C´est là que l´on me retrouve le plus souvent
De gros bisous à vous tous !
Fine
Episode 25
Barnaby s’excitait devant son micro, de la bave ruisselant sur son menton :
— Incroyaaaaable !… Le vaisseau des deux Terriennes Finefleur et Fuchsia quitte son couloir de vol en tournoyant sur lui-même !… Il percute le vaisseau des Alpha Centauriens, qui s’écrase dans la poussière des anneaux !… Siiiidééééraaal !… Quelle manœuvre stratégique époustouflante !… Elles sont eeeextraaaa-ooooordinaiiiiires !… Ne vous inquiétez pas pour les Alpha Centauriens, nous les reconstituerons à partir de leurs molécules d’ADN !… Une minute !… Oui ?… Faaaabuuuulooouuussss !… On me dit que le standard croule sous les appels !… Des offres de mariage venues des quatre coins de l’univers !… Tout le monde veut épouser les deux Terriennes !…
Fuchsia plaqua le plat de sa botte sur le ventre de Finefleur et la propulsa en avant.
— Putiiin ! Fifiii !
Finefleur roula sur le sol et s’encastra dans un coin de la cabine, légèrement sonnée.
Puis elle s’empara du manche et redressa le vaisseau.
— Tu déconnes avec ta love story à la con ! T’as qu’à trouver cette BB-rella et tu lui éclates sa petite tronche de pouffe ! Hein ?
Elle se retourna. Loucha Finefleur qui fixait le vide. Cette dernière articula d’une voix rugissante :
— Ouais, BB-rella !… Couiiiic ! Rapproche-toi de leur vaisseau, je vais lui dégonfler ses lolos siliconés !…
— Peut-être après la course, ce serait plus indiqué, non ?
— Naaaaan ! Maintenant ! Grrrr ! Et Blue je lui désintègre les coucounettes ! Aaaarfffff !
Le vidéophone s’éclaira et Barnaby apparut sur l’écran.
— Salut les fiiiilles ! Vous êtes les vedettes du prochain LOVE ME SPACE, l’émission qui trouve toujours le copulateur idéal ! Vous avez déjà 358 089 demandes de mariage, dont 10853 milliardaires ! Le choix sera difficile !
Barnaby resta encore quelques secondes figé dans un sourire de pub dentifrice au fluor avec des rayures bleues translucides dans la pâte dentifrice blanche, et l’image s’effaça.
— Ben tu vois, dit Fuchsia, 10853 milliardaires ! Comparé à Blue qui n’a jamais de fric et veut pas bosser ! Laisse-le tomber et menons la grande vie !
Fnefleur s’était rassise sur son siège. Elle fixa Fuchsia et crachota d’une voix sombre, tombale :
— Jamais ! Je l’épouserai, il bossera, et on aura des gosses, au moins six.
Fuchsia préféra ne pas répondre. L’image de Blue poussant un landau avec un marmot braillant fit trembler ses petits neurones roses. Quand elle visualisa Blue avec six marmots braillant, ses petits neurones roses explosèrent comme des bulles de bubble-gum.
Barbierella boudait sur son siège, les bras croisés. Elle envoya d’une petite voix sèche :
— Si je te plais pas, dis-le tout de suite !
— Mais nooon, que je répondis, une transpiration dégoulinant dans mon dos, mais je voudrais pas que Fifi le prenne mal. C’est une fille fragile, hyper sensible… Tu comprends, sur Terre elle avait fait des projets…
— J’m’en fous ! Ici on est dans l’espace ! Et ton seul projet, c’est moi !
— Euh, oui, euh…
Barbierella me cibla avec ses grands yeux remplis d’étoiles. Un sourire, oscillant entre le candide et le coquin, poudra son visage comme un fond de teint Dior. Tout en elle respirait le luxe étincelant et la sensualité candide. Une perfection féminine surhumaine dans la plastique physique. Finefleur, elle, dégageait une touchante naïveté, imprégnée de ce charme inégalable qui caractérise la blonde attitude. Non, je n’ai pas dit débilité.
Barnaby apparut sur l’écran du vidéophone.
— Bluuuue, après la course nous vous proposons de participer à LOVE ME SPACE, l’émission qui trouve toujours la copulatrice idéale, des femmes des quatre coins de l’univers veulent vous épouser.
— Grrrr ! cracha Barbierella. Dégage ! Blue est à moi !
— Euh, bafouilla Barnaby avant de disparaître.
Elle me décocha un regard incendiaire.
— Et je t’interdis d’y penser, même en rêve !
— Mais… je sais même pas de quoi il s’agit…
— Tant mieux ! C’est rien que des pétasses excitées par leurs vulvox !
— Vulvox ?
— Oui, sur Terre vous appelez ça des vibros.
— Hein ? euh… glurps…
Chris léchouilla du bout de la langue le goulot de la canette et lapa la dernière goutte de Storm. Un rot caverneux s’éjecta de son gosier.
— Ça c’est ce que j’appelle vivre, hein Mamie ?
Recroquevillée sur son siège, Mamie était sortie de sa transe. Elle baragouina :
— Dis, Chris, c’est normal, ce bidule devant ?
— Hein ? Quel bidule ? Tu veux parler de ces lueurs ?
— Oui, on fonce droit dessus.
Soudain la voix informatique du conseiller de navigation chanta dans le poste de pilotage :
— Attention, orage solaire, prenez une pilule de Real !
Chris s’étonna.
— C’est quoi, cette pilule ?
— Ah oui ! dit Mamie. J’avais lu ça dans manuel. Je crois que c’est contre les palpitations du clitoris.
— Ah ouais ? s’exclama Chris. Je suis pas contre. Envoyez les radiations solaires !
La canette vide posée sur le tableau de bord prit la forme d’un phallus.
Chris poussa un cri de surprise. Suivi par un cri de satisfaction, quand le phallus grandit et ondula vers elle. Le dernier cri fut un cri d’épouvante mêlé à un cri de jouissance, quand les dents pointues du phallus, apparues dans l’orifice, se plantèrent dans son cou.
Mamie déboucha le tube de Real trouvé dans un réceptacle sous le tableau de bord. Les pilules s’envolèrent avec des petites ailes translucides.
— Ooooh ! fit Mamie.
Et le tube se transforma en phallus.
Robbie tenait droit le cap, quand ses zieufs aperçurent l’orage solaire.
— Messieurs, dit-il d’une voix forte dans le micro, nous allons traverser un orage solaire…
Dans sa cabine, Persée subissait l’étreinte synthétique de la robote. Ses jambes bioniques nouées autour de la taille du Terrien, elle agitait frénétique son fessier composé du dernier processeur « 1000 reptations seconde ».
Venu du haut-parleur mural, la voix de Robbie s’égrenait dans l’air :
— Il serait préférable de cesser toute activité et de prendre une pilule de Real, qui bloquera toute hallucination causée par les radiations solaires…
Persée ouvrait et fermait ses yeux, savourant les secousses orgasmiques. Entre deux fermetures de yeux, donc pendant une ouverture, il vit le visage de la robote se déformer. Les globes oculaires enflèrent. La bouche s’élargit. Les dents s’allongèrent. La langue jaillit de la cavité buccale, fourchue, épileptique.
Persée poussa un cri d’horreur, et se trémoussa dans tous les sens pour se libérer de l’étreinte.
Dans l’autre cabine, Jo s’était plaqué le dos conte le mur, le kiki ramolli par la frayeur. Devant lui, la robote se transformait en araignée. Quatre bras et quatre jambes s’agitèrent bientôt dans un twist endiablé.
La bouche s’allongea, élastique, comme une trompe, et goba le kiki dans un slurp visqueux.
Dans sa cabine, Persée luttait contre une moule gigantesque, faisant tous les efforts du monde pour ne pas finir aspiré par l’orifice vorace et gluant.
Les antennes du casque clignotant ping-pong, Reekoo louchait sur l’écran 21 pouces du pc portable posé sur le tableau de bord. Le bout de son index glissait sur le carré tactile avec frénésie. Il déformait avec le curseur le visage holographique de Mélusine.
— Wouarf ! Je vais te recomposer le portrait façon alien femelle, et je te diffuse sur le Sideral Net.
La voix du pilote informatique tonna dans la cabine :
— Orage solaire en vue, prenez une pilule de Real !
— Craignos, crachota Reekoo.
Il s’empara d’un tube dans la poche gauche de sa combinaison et avala une pilule.
Son vaisseau pénétra dans les tourbillons de lumière. Des secousses parcoururent la carlingue.
— Bordel ! gueula Reekoo, en essayant d’allonger le nez de Mélusine.
Soudain son visage holographique s’anima.
— Coucou petit avorton cosmique, dit Mélusine.
— Hein ? qu’il s’exclama. Comment est-ce possible ? Les radiations solaires ? Impossible, j’ai pris une pilule !
La tête de Mélusine sortit de l’écran, les yeux exorbités, les dents menaçantes.
— Arrête ! cria Reekoo en appuyant sur le bouton ON/OFF du portable pour l’éteindre.
Il appuya plusieurs fois sans succès.
La tête de Mélusine mesurait un mètre de diamètre et se balançait à vingt centimètres du visage de Reekoo plaqué sur son siège, les membres tétanisés, les doigts crispés dans le cuir des accoudoirs.
— Je vais te dévorer le cerveau ! Miam, quelle bonne goulache sanguinolente ! Je vais me régaler !
Sa langue s’était allongée et avait pris la forme d’un grand décapsuleur avec des pointes, qui descendait lentement vers le crâne du jeune video gamer extra-terrestre.
— AAAUUU SSSEEECCCOOOUUURRRSSS ! hurla-t-il.
Dix larves grises, molles et baveuses glissaient sur le corps nu de Karl, en laissant des sillons poisseux sur sa peau.
— Oh ouiiii ! gémit-il. Encore ! Encore !
Talée sur son siège aux commandes du vaisseau, Ourse avala sa pilule de Real, enclencha le pilotage automatique et fila à l’arrière du vaisseau. Elle découvrit Karl allongé sur le sol, en train de gigoter au ralenti, un sourire débile sur les mâchoires.
Les dix Petits Gris étaient assis en cercle autour de lui.
— Quelle hallucination collective excitante ! qu’ils chantèrent en chœur.
Ourse retourna dans le poste de pilotage.
— C’est bon, au moins j’aurai la paix.
Elle s’enfonça dans son siège et sursauta.
Le manche venait de s’allonger avec une terminaison protubérante turgescente tournoyante de vulvox.
Mélusine trembla d’extase sur son siège, les yeux rivés sur l’orage solaire.
— Pas de Real ! Je veux communier avec toutes les énergies de l’univers !
Des trompes agitées d’éléphants blancs apparurent dans l’air.
— Ô grand Ganesha ! Je suis ta servante soumise ! Offre-moi le nirvana du mandala de l’amour !
Derrière son siège, roulés dans une grosse poule de poils, avant l’orage solaire :
Poupi : Wouap… wouaaaaaap…
Glady : Wouap… wouap… wouap…
Dolly : Wouaaaaaaaaaap… wouap…
Pendant la traversée de l’orage :
Poupi : Miaouuuuuuu… miaouuu…
Glady : Miaou… miaou… miaou…
Dolly : Miaouu… miaouu… miaouuuu…
Barnaby tripota ses doigts, un sourire de ravissement intense sur les dents.
— J’ai vraiment eu l’idée du siècle ! Remplacer les pilules de Real par des fausses sans aucun effet ! La course n’en sera que plus passionnante ! Harf harf harf !
retour en force Blue me demande comment ça va finir, en attendant je te souhaite une bonne année
je vois que ça ne s´arrange pas ici
2007, c´était paraphysiquementpsychodéphasé mais 2008 promet !! !
Contente de revoir tous les acteurs (dans la saga, parce qu´en réel, beaucoup de monde a disparu... )
Blue et pour ta carte
J´espère mon mariage en 2008 avec toi bien sûr
kiss et plein de bonnes choses pour toi.
(PS : je n´ai pas eu de sex-toy à Noël )
Coucou les amis! Je crois que je vais avoir un peu de lecture ^^
http://www.mensup.fr/usbwine/?act=insc&mp=USBWINE&o=92&p=61
Reekoo meilleurs voeux !!
Blue un petit cadeau de fiançailles pour toi
bonne nuit
cool je suis toujours logguee personne me piquera mon speudo c un des plus vieux du site .. Ourse va bien elle aussi .. je vous souhaite une joyeuse annee comme mon reveillon .. mais pas le meme lendemain .. ces vieux on se refais pas ..
Meilleurs voeux à toi Chris et à Reekoo
un plaisir de vous revoir
up parce que phantom le vaut bien
Pour le moment j'ai pas trop le temps de faire la suite, mais dès que je peux je poste.
Enfin un super orage hier soir vers 23h30, des tonnes de flotte, la foudre qui se crashait comme dans Tomb Raider 1, quand les momies elles explosent.
cool je le dis a Ourtse .. elle va etre contente , enfin debarrassee de son curé ..
Ouf ! Je vais pouvoir retourner chez moi !
rien de neuf alors?