Dwarf Fortress

Mais pas à l'eau+magma

http://www.fichier-rar.fr/2014/11/26/region8/

Tiens, d'ailleurs, voilà la save de mon monde. Les tombes sont juste un peu au Nord-Ouest. Je me suis un peu renseigner, et j'ai cru comprendre que absolument toutes les Forest Retreat sont occupé soit par les humains, soit par les Goblins, et ce depuis des lustres, et il force les pauvres elfes à fabriquer des arcs à la chaîne (en fait je sais pas, mais je suis rentrée dans une maison et y'avait que des Bowyer). Ainsi, les seuls elfes libres sont une bande de bandits (enfin je crois vu que je suis un lieutenant) qui vivent quelque part dans ces tombes, sauf que je les ai pas trouvé vu que c'est super grand.
Donc si vous voulez jouer à Robin des Bois et aller venir au secours des opprimés, la porte est ouverte

Ils résistent mais ils sont quand même poussé par le courant, non ? Donc avec de la chance ça les poussent dans la lave et après pouf, obsidienne, coincé là jusqu'au jugement derniers, ça peut marcher

Ca, c'est si le démon tombe dans la lave avant que l'eau ne la touche.
Donc, mieux vaut les inonder de magma d'abord, puis ensuite balancer l'eau.

J'avais vu le truc du Dwarven checkboard mais j'ai pas trop compris comment il fallait faire tomber la lave et l'eau en même temps

Ah, oui, le checkboard. Il faut d'abord faire tomber la lave, puis en interrompre le débit; enfin, il faut faire couler l'eau.

Perso, je préfère commencer par un bon vieux cave-in des familles, et je réserve l'obsidienne pour la suite.

Hmm.. Malheureusement, Glaze Dagger vire graduellement à la guerre civil (Impossibilité de rangé la moindre piéce sans renversé l'ordre publique) et l'abscence d'armée (Suite a des actes de types nécrotiques en conjonction avec un excés de confiance de ma part qui ressemblerait à ca : http://static.muscu.com/wp-content/uploads/2014/06/300-2.jpg) font que le lieu n'est plus propice au dépucelage.

J'ai eu une idée... wait for moar

Gar Thogor, ou Le Puit des Demons est en construction.

Oh?

"Mon entraînement est finit, ça y est. J'ai retourné cette tortue dans tout les sens possibles pendant des semaines, et je lui ai lancé tellement de cailloux qu'on pourrais construire un château avec. Ou une tombe. Mon père, Minaro, n'est pas revenu de son voyage dans l'Est. Les Gobelins l'ont sûrement eu. Mais qu'importe les gobelins, ce ne sont pas eux, le problème. Le problème, ce sont ces humains qui réduisent mon peuple en esclavage. Et moi, Nemo Corps-de-Feuille, dernier représentant du clan portant si bien son nom des "Dernières Brindilles" (si l'on enlève le chef, qui se terre dans une des tombes et la Grande Prairie sait laquelle), je jure de libérer les elfes de l'Ouest du joult des Hommes. Je n'aurais de répis tant qu'un elfe fabriquera un arc pour ces pourritures. Bien sur, après plusieurs siècles de ce traitement, certain se sont habitué et me détesterons mais qu'importe. Je serais la lumière dans l'Obscurité. Je serais le Fléau des Hommes. Je serais la main qui frappe. Je serais la colère des Eldars. Je serais un Elf Marines, et je ne connaîtrais pas la peu... Bon, cette tombe me fait vraiment flipper, allez hop ! je file !

Après une demi-heure de marche, j'arrive à la première Retraite Forèstière. Anciennement Omomithe, aujourd'hui Grondejeu. Ces noms humains sont si ridicule. Je m'approche d'un "Arbre Fonderie" (comprendre: Usine à Arc pour petit Elfes plus exploité que ceux du père Nöel). Je vois par terre un nain mort, un elfe terrifié et un humain agonisant. Je suppose que l'Homme a voulut s'en prendre à l'Elfe et que le Nain s'est interposé. Je n'ai rien contre les Nains. Ils se terrent dans leur montagnes, et y reste, ruminant leur rancune sans envahir leurs voisins. Je ramasse l'épée du Nabot, (je sais bien que ce n'est pas très éthique, ces armes en métal, mais je ne fais pas affronter le monde avec une épée en bois, aussi sacré soit le Sylvestre), et achève la pourriture humaine.
Puis je me dirige vers le centre de la ville, et trouve un Arbre Mairie. Avec un Administrateur (comprendre: Collabo') dedans. Je monte, lui explique mon point de vue sur les humains, puis lui apprend gentiment que c'est moi qui dirige ici et le jette de l'arbre. Il essaye de s'enfuir en clopinant. Je lui jette une pomme dans la tête. Il s'effondre. Je le regarde dans les yeux, puis l'achève. Une bonne chose de faite. En partant, je donne le titre de seigneur à un marchand Elfe qui passait par là. Il a l'air ravit. Espèrons qu'il change sa politique vis-à-vis des humains, ou je serais obligé de le retrouver et de le mettre en pièce.
J'enchaîne plusieurs villes ainsi, massacrant les soldats humains et les collabos, donnant le titre au premier venu, mais tout cela de rime à rien.
(une administrateur qui s'apprête à apprendre à voler)

Il y en a trop. Beaucoup trop de ville, d'humain, de gens. Le temps que je libère toutes les villes, les premières seront déjà retombées sur le joult de l'ennemi. Je décide avec mes deux camarades nains recruté dans une des villes de partir vers l'Est, vers les villes humaines, pour tuer le Fléau à la source. Cependant, nous aperçevons sur le chemin une Retraite bien plus grande que les autres. D'après une carte que j'ai trouvé sur un garde mort sur le chemin, il y aurait un Arbre Maison au centre de l'endroit. Je mit rend.

Argh, c'était un piège ! Le garde mort avait dû être mit là exprès pour m'attirer à cet endroit. Il n'y a rien d'autres ici qu'une vaste pleines, et plein de soldats Elfes !

A vus de nez, ils doivent être une vingtaines ! Fichu abrutit ! Je ne suis pas l'ennemi, bandes de cons ! Ils vous empoisonnent l'esprit ! Mais les belles paroles ne suffisent pas à les arrêtés, et bientôt je suis au coeur de la mêlée et subit une grêle de coup. Heureusement pour moins, à part un Lancier, ce ne sont que de pauvres recrues et leur attaques ricochent contre mon armure. Mais ils font quand même mal. Si ça avait été des archers, je ne serais sûrement plus là pour en parler. Bref, suite à une série d'esquive, je m'extirpe de la mêlée pendant que l'un de mes camarades est mit à terre et se fait violemment tabassé et que l'autre prend ses jambes à son coup. Je décide de faire de même. Je grime dans l'arbre le plus proche. Certaines recrues essaie de me suivre. Je les attrapent un par un et les lancent par dessus mon épaule. Après plusieurs chute douloureuse, ils décident d'abandonner et d'aller plutôt poursuivre le deuxième nain. Je reste caché un long moment. Quand je descend, je trouve mes deux amis mort. Je rengaine mon épée. Ça ne change rien. J'irai vers l'Est seul. Je part, laissant de la prairie qu'un amas de corps et de sangs. J'ai un peu de peine pour les jeunes gens que j'ai tué. Mais je n'ai fait que me défendre. Les humains leur ont pourrit le cerveau avec leurs idées. C'est eux les responsable. Je les tuerais tous."

Moi, Nemo Corps-de-Chêne, je me suis fait avoir comme un idiot. J'avais traqué un humain pendant de longue heure. Quand je l'ai rattrapé et que j'en ai finit avec lui, je me suis rendu compte, trop tard, que la nuit était tombée... J'ai prier la Grandre Prairie de m'épargner, mais je n'ai pu y échapper. Après une demi-heure de marche dans l'obscurité, j'ai commencé à entendre ces affreux caquètement. J'ai profiter de mon incroyable vitesse pour grimper dans l'arbre le plus proche. Je l'ai ai attrapé un par un, les ai lancés dans le vide, au pris de mes dents et de nombreux bleues partout sur mon corps, et, à chaque ouverture je montais plus haut. Puis, ils ont arrêter de monter. Je n'entendais même plus leur caquètement. J'ai cru que peut être ils se regroupaient plus loin et que je pouvais profiter de l'occasion pour m'échapper. C'était un piège. Evidemment. J'ai bien essayé de me battre, mais c'était vain. J'ai alors réussit à monter dans un autre arbre. La bataille fut plus rude encore, mais ils me laissent tranquille pour l'instant. J'ai du mal à respirer. La nuit va être longue...

LA SUITE!

Je commence à avoir soif... Et moi qui n'avait pas de gourde... Faite que le jour tombe vite, par pitié...

Pfffffffffffffffffiiiiou...
J'ai jamais été autant si soulagé de ma vie... Plus jamais ça !
Je me suis caché dans une ancienne maison et je me repose quelque heures. Ensuite, je chercherais des compagnons pour le voyage. Plus jamais, les Bogeyman ! Plus jamais !

Il me semble que les caquètement est en fait un enchainement d'insultes que les bogeymens te balancent à la gueule.

Je hais ces bestioles.

FLASH INFO: Suite au récente battu organisée par le gouvernement pour trouver l'endroit où se cachent "ces enfoirés de Bogeymen le jour", les organisations écolos auraient protester contre ces "violences inutiles envers de pauvres créatures" qui, je cite, "ne cherche peut être qu'un peu d'amour". Le groupe de militant vert a disparu cette nuit sans laisser de traces, après avoir passer la nuit dans la forêt. Le président a déclaré ce matin : "C'était inévitable".

Comment bien cuisiner, les giroles ? 10 conseils infail...

Si seulement on pouvait les ressusciter

Après une longue marche, j'arrive en vue de la Capitale des Hommes du Sud.

En chemin, on se fait attaquer par un Crocodile de Mer. Je ne sais pas ce qu'il fout là. De toute façon je le tue. J'ai assez entendu de rumeur sur les Crocodiles de Mer pour me permettre d'en laisser un en vie (en consultant le mode Legends, j'ai vu que les crocodiles sont des putains de balaises. J'en ai pris deux au hasard: 62 et 43 kills chacun. Donc 90% de Trolls).

J'arrive dans la ville. Je rentre dans le donjon.

OoooooOOOoOOoOoooooh Putain ! Toutes la noblesse de cette putain de civilisation d'esclavagistes réunit au même endroit ! Je vais tous les mass... Non, il me faut un plan d'attaque, ils sont bien trop nombreux, je ferais mieux de... Oh et puis merde...

Tous morts. Bon débarras. Mais un épéiste m'a blessé au pied. Je ne peux plus me lever. Je crois qu'ils ont enfin finit par m'arrêter, finalement. Je ne peux plus continuer mon combat. Je ne fais pas retourner chez les Elfes pour une seule béquille, surtout que je ne peux plus nager. Et bien, je renvoie mes gardes du corps chez eux, je ferme les portes du Donjon, et je ne les ouvrirais plus jamais. Après tout, ces humains sont de plutôt bon bâtisseurs. Je vais me reposer ici un moment, au milieux de tout ces corps mutilés, ça me rendra content...