The Last of Us

Ah!!! Y'en a UN qui a trouvé le clin d'oeil!

Je suis presser la suite on veux la suite sinon greve de la faim... et je vais faire une crise cardiaque(cardiak ) bon ok

je suis en train de bosser dessus!

J'avais oublié que l'on s'était déjà croisé
Mais je me rappelle maintenant, le porteur volant très sympathique à lire

Exact! InFamous 2ème du nom!

Hop hop hop!! Il est là. Il est beau. Il est tout chaud!

Voici le Chapitre 4! Comme d'habitude, lâchez vos comms!

Bonne lecture! Enjoy!

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Chapitre 4 : Rencontre

29 Janvier. 17h06.
J’ai commencé à explorer les environs immédiats du motel. Quelques voitures abandonnées, clés sur le contact. J’ai fouillé les chambres à la recherche de trucs qui pourraient nous être utiles. On peut dire que je suis chanceux. J’ai trouvé une deuxième lampe-torche dans le bureau du gérant. C’est un modèle militaire. Légère et petite. J’ai aussi trouvé une arme de poing. Un Ruger modèle P345, dans sa boîte de rangement, avec notice et kit de nettoyage. Le tout fourni avec une boîte de balles calibre 9mm. J’en ai compté 127. La boîte pouvait contenir 250 balles. On dirait que le gérant aimait se servir de son arme. En parlant de celui-ci, j’ai trouvé son cadavre, un vrai cadavre, mort, qui ne se relèvera pas. Il s’est pendu dans les chiottes de son bureau. Pas de lettre d’adieu, rien. J’ai refermé la porte en le remerciant pour son arme. En continuant les fouilles dans les chambres voisines, j’ai trouvé une radio de survie à ondes courtes, le genre de modèle qui se recharge manuellement à l’aide d’une manivelle rétractable. Très pratique par les temps qui courent. Y’avait un distributeur de bouffe au deuxième étage. Barres chocolatées, chips, quelques canettes de soda. C’est toujours ça de gagné. Pas de zombies pour le moment. Je dois réfléchir aux suites de notre voyage. Liam m’a demandé s’il reverrait sa mère. Elle lui manque, ça c’est certain. Je dois avouer que je suis inquiet pour elle. La contamination a sûrement atteint Miami à l’heure qu’il est. J’espère qu’elle va bien…

30 Janvier. 12h04.
Liam et moi, on est sorti tous les deux ce matin. Je sais que ça lui a fait du bien de prendre l’air. Il m’a demandé pourquoi il n’y avait pas de monstres ici. Je lui ai dit que je n’en savais rien mais qu’il fallait mieux se montrer prudent. Je me suis armé du Ruger, et Liam de sa batte de baseball. Celle-ci a fait ses preuves, si on peut dire. La nuit dernière, j’ai entendu des bruits bizarres. Une bestiole devait être en train de renifler dans les parages, peut-être à la recherche de bouffe ou je ne sais quoi d’autre. Aucune trace ce matin, ni de cette chose, ni de macchabées. C’est rassurant et déroutant. On dirait que le monde s’est arrêté de tourner, de « vivre ». Une fois la balade finie, on est rentré dans notre chambre et j’ai verrouillé la porte. On est en sécurité ici.

1er Février. 8h00.
Hier en fin de soirée, on a entendu du bruit dehors. Un bruit de moteur, qui s’est arrêté, suivi d’une porte qu’on claque. Au moins, cette personne était en vie. Les morts ne conduisent pas. Et heureusement ! Je me suis risqué à jeter un œil par la fenêtre pour voir de quoi il en retournait. Il y avait une femme dehors. Elle semblait faire les cents pas et parler toute seule jusqu’à ce que je vois une masse sombre sortir par la fenêtre côte passager. Un chien. Un gros chien. Il est venu vers elle et s’est assis à ses pieds en remuant la queue. Elle l’a serré dans ses bras puis elle s’est dirigée vers le bureau du gérant. J’ai dit à Liam de ne pas bouger de la chambre et de verrouiller la porte une fois que je serais dehors. Je sais pas pourquoi j’ai décidé d’aller à sa rencontre. Toujours est-il que je me suis armé du Ruger, que j’ai planqué dans la ceinture de mon pantalon. On est jamais trop prudent, surtout par les temps qui courent. Je me suis avancé vers le bureau en m’annonçant. Sa réaction a été immédiate, elle a crié de la laisser seule et son molosse, que j’ai identifié comme étant un beauceron, s’est mis devant elle, comme une barrière infranchissable entre elle et moi. Je lui ai dit que je ne lui voulais aucun mal, que mon fils et moi étions arrivés ici depuis quelques jours. Elle m’a regardé, puis a dit à son chien - qui s’appelle Sam – de se coucher. La bête s’est exécutée sans broncher. Je lui ai demandée son nom et d’où elle venait. Elle m’a répondu que Raleigh, la capitale de la Caroline du Nord, était aux mains des morts, et que son voisin avait essayé de la bouffer. Je l’ai invitée à se joindre à nous. Elle a accepté tout en restant méfiante.

Liam était heureux d’avoir un peu de compagnie. Sans compter qu’à moi aussi, ça m’a fait du bien de voir une personne en vie. Le chien, Sam, est un croisement beauceron-berger allemand. Un sacré chien. Son poil couleur noir et feu, et son regard noir ont un effet dissuasif certain. Je lui ai donné de la viande séchée et un bol d’eau pour le mettre un peu en confiance. Quant à la survivante, elle s’appelle Allison. C’est une jeune femme, brune, qui ne doit pas avoir plus de 25/30 ans (c’est impoli de demander son âge à une dame, pas vrai ?), de taille moyenne. Une mademoiselle Tout-le-monde en somme…

Elle m’a raconté comment elle a fui Raleigh alors que l’Armée et la Garde Nationale bouclaient la ville, quartier après quartier. Des cas de la maladie se sont déclarés près de chez elle. Son voisin, qu’elle dit bien connaître, était sorti afin d’acheter de quoi tenir quelques jours quand un clodo l’a mordu à l’épaule. Il est venu frapper à sa porte, du sang coulant à flot de sa blessure. Elle lui a fait un pansement, mais il était brûlant de fièvre. Elle lui a dit de s’allonger sur le canapé en attendant qu’elle appelle les secours. Il s’est mis à convulser puis s’est arrêté de respirer. Elle est restée un moment à le regarder, choquée. Puis il s’est remis à bouger, péniblement, en grognant. Sam a aboyé et ça a permis à Allison de sortir de sa torpeur. Son voisin a ouvert les yeux, des yeux laiteux. Puis s’est levé avant de marcher comme un pantin vers elle. Sam s’est interposé en aboyant et grognant, le poil hérissé sur toute la longueur de la colonne vertébrale. Elle a gueulé à son voisin de ne pas s’approcher. Peine perdue. Le mort - car c’est ce qu’il était à ce moment là – a avancé droit sur elle. Elle l’a repoussé mais l’autre n’a rien lâché. Elle a finit par mettre la main sur le premier truc qui lui tombait sous la main : le combiné du téléphone. Elle l’a frappé à maintes reprises, jusqu’à ce qu’il arrête de bouger. Suite à ça, elle a paniqué. Elle est montée dans sa voiture avec Sam puis a foncé sans s’arrêter jusqu’au motel qui nous sert de maison, à Liam et à moi. Je lui ai donné de la nourriture et de l’eau, et lui ai dit que si elle le désirait, elle pouvait s’installer dans la chambre d’à côté. Elle a accepté. Elle s’est endormie vers 4h du matin, mais a eu le sommeil agité. Cela se comprend après ce qu’elle a vécu.

Je vais aller me faire un brin de toilette et commencer à planifier la suite des évènements. A plus tard journal !

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Ps : @ Sango Tu me diras si j'ai bien respecté les critères du personnage que tu m'as donné!

Superbe suite. Par contre je vais directement dire un petit quelque chose qui me gêne personnellement, comme ça ce sera fait, c'est que les deux derniers chapitres ont un petit quelque chose de plus romancé et long - sachant que je préfère la façon dont tu as rendu les premiers paragraphes, de façon essentielle mais juste.

En fait j'ai un peu moins l'impression de lire un journal, sur ce dernier chapitre. MAIS après tout le gars a quand même sans doute vécu les 2-3 semaines les plus éprouvantes de sa vie, ce serait un peu normal qu'il s'épanche en écriture, donc c'est aussi bien. Je ne sais pas quel est le mieux, en tout cas c'est dit. Je lirai la suite de toute façon

Et bien merci Sun. C'est vrai que les deux derniers chapitres sont moins "tranchés" qu'au début. Je ne m'en étais pas vraiment aperçu. Merci de me le faire remarquer!

Je corrigerai ça dans les futurs chapitres, car maintenant que tu me l'as dit, ça me "choque"! J'espère te compter parmi les habitués de ce topic!

Fais surtout comme ça te plait toi

Ha, enfin la suite
Toujours aussi bien, que du positif, cependant, je rejoins l'avis de Sunshine en ce qui concerne le journal: En effet, la description de Alison est certe, très intéressante, mais je trouve que tu as mit trop d'information d'un seul coup... Je ne vois pas vraiment d'autre manière de t'expliquer cela, j'espère que c'est compréhensible
M'enfin bon : c'est que mon avis mais le reste est niquel
A quand la prochaine suite ?

Je me suis arrangé pour ne plus faire de déplacement. Donc la suite la semaine prochains!

Toi, tu seras certainement un bon écrivain ! J'attends la suite !

Je te remercie! La suite, la semaine prochaine!!

HS : C'est mon anniversaire aujourd'hui... 26 ans!

C'est pas bien de le dire soi-même, après on est obligé de le souhaiter ...

Bon anniversaire

Joyeux anniversaire
( Le jour de ma fête, curieuse coïncidence )

Bonne fête Mat(t)hieu!!

Bon anniversaire, à vous deux !

Merci