Petite question pour m'aider si vous en avez la réponse:
Je crois savoir, mais je vérifie quand même; A notre époque, Goldoa était déjà gouverné par Deginshea non ?
Merci d'avance pour la réponse =)
Yep, deinshea était déjà là lors du grand cataclysme et de la guerre entre les deux divinités. Après coté date ça doit faire 600 ans avant le RP, lors de FE10 la déesse est réveillée vers 700 ans si je me souvient bien.
Mon épée acier j'peux pas la prendre dans mes réserver ?
Kratos : Mission Bonus II
-Bon. Il est temps que je prenne mon entraînement en main.
Kratos se leva, en silence, et sortit de sa chambre, lame accrochée à sa ceinture. Il avait laissé sa longue lame sur son lit, de toute façon elle était cassée. Il se glissa hors de sa chambre, et, avec la discrétion d'un rêve, sortit de la Forteresse. Il emprunta la Voie Rapide et atterrit chez Johnny, vers une heure du matin. L'établissement était bien sûr fermé, et il dut entrer par la porte de derrière. Il eut la bonne surprise en entrant de tomber directement sur Lucy, qui semblait avoir du mal à dormir.
-Kratos ! Quel bon vent t'amène ?
-Moins fort. Je suis pas censé être là. J'ai besoin de ton aide.
-Ah bon ? Et pourquoi un vaillant mercenaire épéiste sans peur et sans reproche aurait-il donc besoin d'une jeune mage inexpérimentée sachant à peine balancer des boules de feu ?
-Arrête, tu vas me faire rougir ! J'aurais justement besoin de ta maîtrise des boules de feu.
-Tiens donc... LE grand mercenaire épéiste voudrait-il devenir un mage ? La pratique de la magie est difficile, son apprentissage long et ardu. Je ne te le conseille pas.
-Même avec ça ? Demanda-t-il en dégainant sa Clé des Arcanes.
-Ooooh ? Attends, file-moi ça.
Elle saisit l'épée, la mit sur une table de l'auberge déserte, et alluma la lumière. Elle s'assit et examina la lame sous toutes ses coutures.
-Cette arme te permettra de griller des étapes... Toutefois si tu n'as pas l'énergie magique nécessaire, elle aura sur ton corps des effets secondaires très néfastes.
-De quel genre ?
-Je ne sais pas exactement. Les textes parlent de corruption du corps et de l'esprit, de perte de l'esprit, de destruction du corps... Cette lame est à double tranchant. D'un côté elle permet de maîtriser des magies surpuissantes, non sans apprentissage bien sûr, mais de l'autre, plus tu utilises des sorts puissants, plus ton corps en souffrira.
-... J'vais prendre le risque.
-Qu'est-ce qui ne va pas ?
-Qu'est-ce qui te fait croire que quelque chose ne va pas ?
-Venir chez un ami à une heure du matin pour apprendre à faire de la magie au risque d'en mourir, ou pire, c'est pas normal pour un être humain. Et puis il y a ce regard bizarre...
-Disons que je me suis rendu compte à quel point j'avais à apprendre de l'escrime.
-On a toujours à apprendre. Bon, si tu y tiens vraiment... Tu as un tome ?
Kratos glissa sa main sous sa cape, et en sortit un tome de feu.
-OK, viens, on sort. Johnny serait pas content si on faisait cramer son auberge.
Une fois dehors, Lucy expliqua à Kratos ce qu'il n'avait pas lu dans le bouquin, et ils s'entraînèrent à la pratique. Elle corrigeait ses défauts, et il progressait vite et bien, bien qu'elle ne comprenait pas pourquoi il utilisait sa main gauche pour jeter des sorts et jamais l'autre. Il en était tout simplement incapable. La Clé des Arcanes oblige l'utilisateur à faire de la magie de la main gauche. Ils s'arrêtèrent à l'aube, et Kratos rentra à la Forteresse après avoir remercié son amie. Son tome était caché bien au chaud sous sa cape. Et il était prêt à servir.
Kratos : Mission Bonus II Finie !
Est-ce que ce serait possible que je sois équipé de a Clé des Arcanes ET de mon tome Feu ?
Ah je me demandais comment tu allait justifier ton apprentissage de la magie, c'est une bonne trouvaille surtout que tu ne pourras pas t'en servir tout le temps à cause des effets secondaires... Après ton perso commence peut être à devenir trop puissant. Moi je m'en fout tant que tu ne te met pas à tout cramer .
Par contre tu commence vraiment à ressembler à Kratos avec un perso hybride: à quand l'exphère, la lame foudroyante et l'immortalité?
Arawn J'y viens, j'y viens, laisse-moi le temps . Oh, si, je vais me servir de la magie. Et puis je vais devenir un démon et tout détruire !
En attendant...
Kratos Mission VII
-Un réseau d'esclaves Laguz... OK, je vais récupérer des informations.
Il quitta la Forteresse et passa par la cour, ressassant ce que lui avait dit Mélodie. « Vilky et Adam-chou »... Et lui ? C'était Kratos. Juste Kratos. La brute solitaire. Pas de petit surnom affectueux. Juste Kratos. Mais ne l'avait-il pas mérité ? En menaçant la jeune femme, en s'affichant comme froid et distant, n'était-ce pas lui qui avait mis de la distance entre lui et les autres ? Et qui en souffrait le plus au final ? Les autres, entourés de leurs amis mercenaires, ou lui, seul au milieu de la foule ?
-Pfff... Crétin.
-Pardon ? Lui demanda un noble qui faisait le trajet en sens inverse, visiblement courroucé.
-C'est pas à toi que je parlais, mais si tu te sens visé, il y a forcément une raison, rétorqua Kratos sans cacher sa mauvaise humeur.
-Oh ! Je ne tolèrerai pas cette insolence de la part d'un mercenaire !
-Écoute vieux c'est ton problème. Si tu veux te battre je préfère t'avertir que t'as aucune chance. Alors dégage de mon chemin si tu veux pas que ta lignée s'arrête à ton nom.
-La famille royale en entendra parler, promit le noble en continuant son chemin.
-Ça me fait une belle jambe, grommela le mercenaire en poursuivant sa route.
Il parvint bientôt à Melior, escorté par sa mauvaise humeur et ses idées noires. Il se présenta aux portes du palais. Il se fit rejeter. Il entra par une fenêtre de derrière. Il rit du nombre de miliciens et de leur capacité à percevoir le danger. Il aurait pu tous les égorger sans qu'ils ne s'en rendent compte, mais là n'était pas sa mission. En plus de dix ans, le château n'avait pas changé, et il trouva sans mal la chambre de la princesse. Il entra sans frapper, et tendit sa mais gauche vers un mur, dans lequel il envoya une boule de feu, avant de la tendre vers les gardes qui se jetaient sur lui, lance en main.
-Plus un geste, ordonna-t-il. Ou alors vous finirez sur la table ce soir.
-Kratos ? S'étonna la princesse. Mais qui te permet d'entrer dans ma chambre sans prévenir ?
-Moi, et ça me suffit. J'ai besoin d'infos, et je les aurai. Les gardes, vous dégagez.
Il leur désigna la porte d'un geste autoritaire, le bras gauche toujours tendu, et, forcés d'obéir, ils sortirent. Kratos ferma la porte d'un coup de pied et s'assit sur le lit.
-Quand tu vas sortir de cette salle, tu vas prendre toute la milice du château sur le visage.
-Merci de m'offrir la permission de sortir par la fenêtre.
-Tu as une façon bien étrange d'interpréter mes paroles.
-Si je ne capte pas tes sous-entendus, qui le fera ?
-... tu n'auras plus le droit d'approcher du château.
-Oui, je te promets que je serai discret la prochaine fois que je viendrai te voir.
-... bon. Qu'est-ce que tu me veux ?
-Des renseignements. Il paraît que tu es fiancée à Camus.
-Oui. Et ? Tu es encore jaloux, après toutes ces années ?
-Non. Je m'informe, c'est tout. Dis-moi ce que tu sais du trafic d'esclaves laguz qui sévit dans Criméa.
-Rien.
-Je t'ai demandé de me dire ce que tu savais.
-Et je t'ai répondu ce que je savais.
-Non. Tu as répondu que tu ne savais rien. Donc tu m'as menti. Comme tu m'as menti pendant trois ans.
-Qu'est-ce que tu racontes ?
- »Tu pourras toujours me faire confiance, Kratos », imita-t-il d'une voix volontairement trop haute. Il aurait suffi d'une voix pour que ma Déchéance soit reportée, pour qu'il y ait un procès. Une voix contre. Une objection. Plus que camus, pus que Jirall, plus que mes parents, c'est sur toi que je comptais. Tu n'as pas bougé le petit doigt quand j'ai été traîné loin de toi, tu n'as pas bougé le petit doigt quand les portes de la noblesse m'ont à jamais été fermées. Je t'ai fait confiance, Elincia.
C'est peut-être la plus grosse erreur que j'ai fait de toute ma vie.
-D'accord. Je vais te dire ce que je sais, répondit-elle, tremblante, les larmes aux yeux. Des centaines de personnes sont impliquées, que ce soit pour garder, transporter, nourrir, laver, vendre ou acheter les esclaves. Des centaines de personnes de partout. De la noblesse, du tiers-état, et même du clergé. Des avocats de renom surveillent étroitement ça, pour défendre les esclavagistes en cas de pépin. Juste Phénix, par exemple.
-Je le connais, lui. Corrompu jusqu'à la moelle, mais c'est un vrai génie au tribunal. Continue.
-Les esclaves sont stockés dans les caves de quelques nobles, et dans les pièces dites sacrées des églises. Personne ne peut y accéder sauf les prêtres, ce qui les arrange bien. Ils sont ensuite convoyés vers Daein, bien que le gouvernement l'ignore, puis passent vers Hatary pour rejoindre Begnion, où ils sont vendus. Ils veulent à tout prix éviter Sérène, dont le gouvernement s'oppose formellement à ces pratiques jugées barbares. JE ne peux que leur donner raison, mais je ne peux agir.
-C'est out ce que tu sais ?
-... Oui.
-Bien. Merci.
Il se retourna, s'approcha de la fenêtre, l'ouvrit, enjamba le bord, et, asséna, en un coup de grâce dévastateur :
-J'aime beaucoup Criméa. Le climat y est agréable, les paysages sont beaux, les gens y vivent assez bien... Dommage que la princesse soit totalement indigne de confiance.
Il sortit, et rejoignit la Forteresse, où il fit son rapport à la belle Mélodie, avant de lui proposer à nouveau son aide pour la paperasse.
Kratos, Mission VII Finie
Juste Phénix traduction de Phoenix Wright non ?
Un peu ouais.
J'aime bien semer des clins d'oeil ici et là.
On peut encore s'inscrire
Turik Seido (nomade terrestre), cavalier mal sellé.
25 écus, arc en fer avec flèches.
Mission 2 : Pas mal pour cette mission tu étais, une grotte de feu tu dois maintenant rechercher. À l’ouest de Sérène son entrée tu pourras découvrir, y entrer tu devras te restreindre de. À l’exploration par après tu participeras. Récompense : 15 écus.
Mission 1 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-27833-1328-11-0-1-0-jeu-la-compagnie-de-mugill.htm#message_1678
Turik marchait le long du chemin, en pleine forêt de Sérène. Il admirait le paysage magnifique, les arbres majestueux qui se dressaient tout autour de lui. Bizarrement, il n'y avait aucun héron. Peut-être qu'ils n'aimaient pas trop la compagnie des humains, où bien à cette heure matinale, il était tout simplement en train de dormir...Qui pouvait le dire ?
A peine rentré à la forteresse des mercenaires, Turik s'était vu confier une nouvelle mission par Mélodie, la patronne. Il devait aller explorer une grotte "de feu". Qu'avait-elle voulu dire par là ? Il n'en savait rien. Autant aller vérifier. Il avait quand même pu remplir son carquois de toutes nouvelles flèches, car avec les six vieilles qui lui restaient, il n'aurait pas tenu longtemps face à un prédateur...
Au fur et à mesure qu'il avançait dans la forêt, la température augmentait progressivement, mais c'est à la fin de son trajet qu'il sentit vraiment la différence. Devant lui se dressait la montagne séparant la forêt de Sérène et Goldoa, le pays des dragons. Il avait atteint la chaîne des montagnes.
"Quand tu seras au bout du chemin de la forêt, continue vers le sud en longeant les montagnes. Tu dois trouver l'entrée de la grotte de feu, et explorée de fond en comble cette dernière. Tu trouveras peut-être des choses intéressantes. Attention à ne pas te perdre, c'est un vrai labyrinthe."
Turik relisait une fois encore l'ordre de mission. C'était bien sa veine...Attention à ne pas se perdre. Avec un sens d'orientation comme le sien, il avait toutes les chances d'y rester.
Il continue sa route le long de la montagne, comme indiqué. Le relief était assez rude, et l'archer avait du mal à avancer correctement parmi les rocher acérés et les crevasses cachées. Il lui sembla qu'un temps infiniment long passa jusqu'a ce qu'il trouve enfin ce qu'il cherchait.
Un immense trou dans la roche, s'enfonçant dans les entrailles ténébreuses de la montagne.
La chaleur qui s'en dégageait était déjà très forte. La grotte devait sûrement mener à une sorte de volcan souterrain.
Le jeune commença prudemment son avancée. Pour l'instant, il suffisait de suivre le tunnel, rien de bien difficile. Le relief semblait moindre dans cette partie-là, ce qui permit à Turik d'avancer assez facilement. La chose se corsa lorsque trois possibilité de chemin s'offrir à lui. Indécis, il prit une bonne dizaine de minutes, si ce n'est plus, pour choisir le chemin de gauche. Mauvaise idée. Cette partie de la grotte était sombre comme les ténèbres, et plusieurs fois, Turik dérapa sur des rochers glissants, en se cognant la tête contre les parois. Il marchait comme il le pouvait, et il sentit plusieurs fois des choses bouger à côté de lui. Inquiet, il ne savait pas à quoi s'attendre, à cause du noir total qui régnait. Simple chauve-souris, ou gros démon pas très beau ? Les bras plein d'écorchures, avec un mal de tête atroce, Turik continuait d'avancer, suivant toujours le chemin. Les roches où il posait les mains étaient brûlantes, et la chaleur oppressante dans un endroit confiné comme celui-ci jouait avec les nerfs du jeune archer. Il finit par atteindre la sortie du tunnel, sans rien rencontrer d'hostile, au bout d'une petite heure.
-Quoi ?? Mais je suis à mon point de départ ! C'est quoi ce bordel ?!
En effet, il était revenu à l'injonction précédente, par le tunnel du milieu. Rageant contre la grotte, contre Mélodie et contre lui-même, il prit le dernier chemin restant, celui de droite.
A l'inverse de l'autre, celui-ci n'était pas totalement obscur. Il apercevait même de la lumière tout au fond. Quand il arriva à la source, il fut ébloui par le rouge écarlate qui lui transperçait les yeux. Partout autour de lui, des cratères de lave en fusion bouillonnaient, laissant échapper des bulles qui éclater à la surface. Une atroce odeur de souffre lui éclatait les narines, et il fût obligé de se couvrir le nez d'un mouchoir tellement l'odeur était insupportable. Il continua à avancer, plus lentement encore, en faisant attention de ne pas tomber dans la lave en fusion, qui sautait parfois hors des cratères en aspergent les étroits chemins. La grotte était un vrai labyrinthe, et surtout, un piège mortel: le malheureux qui se retrouvait dans un cul de sac au moment d'un jet de lave était cuit...dans les deux sens. L'archer progressait lentement, un pas devant l'autre, près a toute éventualité...sauf celle de sauter dans les gouffres brûlants.
Arrivée à environ la moitié de la caverne, selon ses propres repères, il croisa le chemin d'une créature très étrange...Il ressemblait à une grosse tortue, d'un mètre soixante environ. Cette créature possédait trois paires de pattes griffues, et portait une grosse carapace faites, apparemment, de roches brûlantes. De part cette carapace, des trous laissaient quelques zones de l'animal sans protection. Ces trous, en forme de cratères, dégageaient de la fumée noire, et parfois, quelques flammes aventureuses. Le reste de son corps était recouvert d'épaisses écailles, apparemment solides et compactes. Sa tête était ornée de grandes cornes, formant une collerette. Autour de l'animal, l'air lui même semblait brûler. En voyant l'homme apparaître, il ouvrit grand sa gueule, et poussa un grave rugissement, qui fît trembler la caverne entière. Il recommença plusieurs fois de suite, espérant peut-être faire fuir le nouvel arrivant.
-Ta gueule...tu vas finir par faire s'effondrer la grotte...
Comme s'il comprenait, l'animal rugit de plus belle. De petits cailloux commençaient à tomber du plafond.
Plus loin, d'autres rugissements se firent entendre, derrière un gros rocher. L'animal se retourna lentement, et s'en alla d'un pas lourds rejoindre ses congénères.
Turik poursuivit quelques secondes son chemin lorsqu'il entendit un autre cri, mais différent. Celui-là, c'était le cri d'une fille, jeune apparemment. Elle hurlait comme si elle souffrait énormément. Affolé, Turik fît demi-tour précipitamment, et se dirigea vers le groupe d'animaux récemment quittés, d'où provenaient ces cris. En contournant le gros rocher, il aperçu une douzaine de tortues de feu, encerclant une petite fille complètement terrifiée. Elle sanglotait, collée contre la pierre, les mains devant le visage. A côté d'elle gisait un bâton de soin, un Vitalis pour être exact. Cette petite était donc une clerc...Les reptiles rugissaient tous à la fois, provoquant un vacarme énorme. Il tapait des pattes, et les cratères sur leur dos déversaient de la lave en fusion, qui coulait lentement, mais sûrement, vers la petite.
Sans réfléchir, Turik sortit son arc et décocha rapidement une flèche vers la bête la plus proche. La flèche percuta la carapace du monstre et se brisa sous le choc. Apercevant enfin e jeune homme, la horde se retourna lentement vers lui. La fille s'affala sur le sol, à moitié évanouit, tandis que la lave continuait sa course. Turik décocha plusieurs flèches, mais partout où il visait, la flèche se brisait. Les bêtes apparemment énervées formèrent lentement un cercle, emprisonnant Turik. La lave s'arrêta de couler vers la fille, changeant de direction. Elle se mouvait maintenant, très lentement, vers le mercenaire désemparé.
-Il faut que vous vous placiez au dessus d'eux pour toucher leur dos, là ou il n'y a pas de carapace !!
La fille avait crié ses indications, toujours assise à terre, les yeux fermés.
Les tortues, ayant sûrement compris ses paroles, dégagèrent une chaleur extrême au dessus d'elles. L'air était irrespirable. Turik, cherchant un moyen de les atteindre sans cramer vif, décocha une flèche une dizaine de mètres au dessus du groupe. La flèche ne traversa même pas le mur de chaleur, fondant en un instant.
-MAIS C'EST QUOI CES TRUCS ???
-Des éruptiles ! Ils sont censés être pacifiques pourtant, quand on ne les effraye pas !
-Et pourquoi t'ont-ils attaqué ?!
-J'ai...voulu prendre la...la carapace d'un petit... Mais il était mort !
Turik n'avait pas le temps de débattre de la situation. Il devait trouver un moyen de les battre, et vite. Une boule envoyée par la tortue la plus proche brûla l'archer à la jambe gauche.
-AAH! Merde, c'est chaud !
Turik réfléchissait. S'il touchait un éruptile dans le dos avec une flèche, celle-ci fondrait instantanément, encore faut-il qu'il parvienne à se placer au dessus d'elles. Elles étaient sans doute insensible au feu...comment faire ? Il regarda autour de lui, quand il aperçu des pics pointues de roches, au plafond. S'il arrivait à les détacher, il pourrait les faire tomber, et avec un peu de chance, toucher le dos des bestioles. Vu que c'était la seule option, il tenta le tout pour le tout, et décocha une flèche sur un rocher. La flèche se heurta avec force au pic, qui se détacha lentement du reste de la grotte. Il tomba sur un des animaux situé le plus à gauche, et lui transperça la tête.
-C'est pas tout à fait ce que je voulais mais...ça fera l'affaire je suppose.
Il enchaîna les coups, faisant pleuvoir d'innombrables blocs de roches du plafond, apparemment pas très solide. Une dizaine de bêtes moururent, soit transpercées, soit ensevelies. Les deux dernières, effrayées, s'enfuirent, aussi vite qu'elles le purent, tombant dans le cratère de lave. Là elles nagèrent, beaucoup plus vite que Turik l'aurait cru, et elles finirent par s'immerger complètement.
Une fois le combat fini, la fille retrouva très vite, presque instantanément, ses esprits.
-WHAOUU ! Tu es mercenaire ? C'est classe ce que tu as fait, je suis impressionnée ! Pourquoi je t'es jamais vu avant, t'es du coin ?
-Attend, attend...Tu me rappelle quelqu'un toi...Non, laisse tomber, je m'en souviens plus.
-Viens, viens ! Je vais t'accompagner chez mon père. Enfin, mon beau-père.
Elle s'en alla en gambadant, prenant un petit chemin que Turik n'avait pas remarqué.
-Et tes carapaces, tu n'en veux plus ?
-Ah si ! J'avais oublié, merci !
Au bout d'une demi-heure d'efforts, Turik et la petite avait ramassée pas moins de sept carapaces. La gamine avait également arraché quelques cornes d'éruptiles, le tout empilé dans un grand sac de toile trop lourd pour la petite.
-Cornes d'éruptiles ? Ca me rappelle un roman que j'ai lu...
-Je l'ai lu aussi. Non, ça n'a rien à voir avec Barry Chopper, le célèbre Archimage du roman. Elles servent à fabriquer des armes. Seul mon beau-père les utilise puisque personne d'autre n'en connaît l'existence.
Turik, portant le sac de la petite, sentait sa jambe le lancer douloureusement, mais la gamine ne semblait pas s'en soucier. Rapidement, ils arrivèrent au bout de la grotte, ou la jeune fille cacha son bâton de soin dans un recoin sombre.
-Pourquoi le cache-tu ici ?
-Euh parce-que...je n'ai pas le droit de l'utiliser.
-Ton père te l'interdit ?
-Non...je suis....je suis une Laguz.
-QUOI ??
-Une Laguz dragon, en réalité.
-SERIEUX ??
La jeune fille, soudain triste, écarta une mèche de ses cheveux blonds, laissant apercevoir une oreille pointue.
-Ma mère et mon père sont des Laguz. Mais ma mère...s'est remariée après la mort de mon père. Avec un Beorc. Je suis une demi-marquée, et j'ai un demi-frère marqué.
-Oh...je suis...je suis désolé.
-Il a été banni de Goldoa, dont la frontière se trouve juste sous nos pieds. Et moi je...je dois me cacher pour faire de la magie.
-Et ton demi-père ?
-Il est forgeron, mais doit se cacher aussi pour exercer, même si c'est un Beorc. Le roi lui a exceptionnellement permis de rester à Goldoa avec ma mère, personne ne sait pourquoi. Bon, bref, suis moi, ma maison n'est pas très loin de l'entrée de la grotte.
-Au fait c'est quoi ton nom ?
-Jhiska.
-Moi c'est Turik.
Arrivée chez la petite Laguz, Turik fût reçu comme un héros par sa mère et son beau-père, morts d'inquiétude. La femme l'obligea à rester se reposer, et elle soigna sa brûlure rapidement. Au moment de repartir, l'homme prit Turik à part.
Il avança d'un pas claudicant vers le jeune archer, un sac sur le dos.
-Voici pour vous, cher mercenaire. Pour avoir sauvé ma fille. Vous m'avez ramené une trop grande quantité de carapaces, alors je vous fais ce cadeau.
-Euh...bien...Merci !
Il regarda dans le sac, découvrant ébahi trois épées, trois lances, trois haches et trois couteaux en acier.
-Mais, je sais pas m'en servir ! Que voulez vous que je fasse avec ça ?
-Ce que vous voulez, mais je vous les donne. Prenez soin de vous. Ah, et si vous voyez mon fils un jour, dites lui que je l'aime.
-Comment s'appelle votre fils ?
-Il s'appelle Fredrik. C'est un gentil garçon mais...un peu excité.
-Ah.
Turik reparti donc, avec le sac sur le dos, en pensant au garçon qu'il avait sauvé quelques jours auparavant, et aussi en se demandant quoi faire des armes acquises.
-Bof, je les donnerais à Kratos, il pourra les vendre dans son nouveau commerce...
Fin de mission =)
PS: Si vous voulez, voici l'image d'un éruptile: http://i44.servimg.com/u/u/f44/13/74/93/74/39668410.jpg
PPS: les armes reçues sont pour mettre en vente dans le magasin de Viktoo, alias Kratos.
PPPS: Justement, en parlant du magasin...C'est marqué (exemple) 9 épées fer: 80 écus.
Le 9, c'est le stock dispo ou le nombre d'épées achetées avec 80 écus ? O_O
Enfin, désolé du double-post, mais pour les armes reçues, c'est seulement si Ike et Viktoo le veulent bien =)
Et oui luigi, je penses que tu peux encore t'inscrire, à voir également avec Ike.
DL Le 9 est justement pour la quantité en stock. Et je n'ai rien contre le fait que tu supportes ainsi Viktoo pour son magasin Et si tu veux, essaies de gagner de l'argent du même coup
Et pour tout le monde, je suis présentement surchargé, mais je vais essayer de vous lire ce soir
"essaie de gagner de l'argent"...
N'oubliez pas que je suis fauché !
Oui, 9 stocks et 80 ecus prix pièce.
Dsl pour l'abrege et les accents, mais je suis sur 3DS et c'pas évident du tout .
M'enfin c'est mieux que rien.
Non non, pas besoin d'argent je lui offre de bon cœur !
Par contre, si c'est possible, je voudrais bien garder une des épées acier pour plus tard, au lieu de lui donner les trois.
Mais si c'est impossible, je l’achèterais comme tout le monde le moment venu.
Garde-la donc, va, après tout c'est toi qui les as eu et j'ai bien piqué un tome Feu dans mes réserves, donc...
Pardon pour le retard Viktoo, mais je suis dans l'impossibilité de te lire et te donner ton reste
Donc... donne-toi la mission que tu viens :S Désolé.
En gros je récupère le fric, c'est ca ?
Sinon tu nous intronises quand, Adam et moi
J'ai une super idée de mission a 3
On bosse toujours sur notre mission co Exca et moi
Mais apres on pourra faire un trio Kratos, Adam, Vilks
Ravness (épéiste), froide ex-chômeuse.
20 écus, épée en fer.
Mission 2 : Ma foi, drôle de finale ça, digne d’une pièce de théâtre! Maintenant, va rendre visite aux gens de Nevassa à Daein. Là-bas, des brigands sèment la pagaille en Basse-Ville. Élémine-les… et rapportes-moi un souvenir mignon stp! Récompense : 25 écus.
Mission II
- « Un… souvenir mignon ? répéta Ravness surprise. On parle bien de la même Nevassa, la capitale la plus glauque de tout Tellius avec le plus grand nombre d’assassins au kilomètre carré ?
- Mais que tu es négative, Nevassa est une ville charmante avec une grande diversité sociale, culturelle et professionnelle. Tu trouveras bien quelque chose, n’est ce pas ?
- J’ai comme l’impression que je n’ai pas vraiment le choix en même temps… »
Avant de partir en mission, Ravness se rendit chez Kratos afin de discuter de son offre à propos des tomes qui lui permettrait de lancer son affaire.
- « Bon sang mais c’est quoi ce charabia ! Kratos lança un livre à travers la pièce et Ravness dû se baisser pour l’éviter.
- Charmante façon d’accueillir les gens chez soi !
- Désolé, je ne t’avais pas vue. Qu’est ce que tu veux ?
- C’est par rapport à tes tomes de magie, je t’achète deux tomes de feu et ton tome de lumière. Pour le paiement, soit je te donne 10% du prix comme convenu soit je t’offre une séance d’entrainement à l’épée, ca te permettra de ressembler un peu plus à un épéiste. Je te laisse le temps de la réflexion, tu me diras ton choix à mon retour de mission. »
Nevassa n’étant pas la porte à coté, Ravness décida de se rendre à Frangere pour voir si elle ne pouvait pas trouver un moyen de transport plus rapide que la marche à pied. Une fois sur place, elle se rendit dans la taverne du coin pour se renseigner. La taverne pleine à craquer d’alcooliques notoires et un étrange mélange de bière, sueur et vomi embaumait la pièce. Dans le fond, une bande de loubards jouaient aux cartes et un ménestrel jouait du luth à poil sur une table. Du grand classique en somme .
- « Excusez moi mais vous ne sauriez pas où je pourrais trouver un moyen de transport pour Nevassa dans le coin ?
- Si, allez voir Gégène le marchand ambulant il a besoin d’une escorte. Il doit être dans le coin en train de faire une connerie comme d’habitude.
- Hein, c’est le mec à poil en train de faire du flamenco avec un balai?!
- Non, c’est le type qui est en train de se faire étrangler là bas. »
Ravness se retourna et vit qu’une bagarre avait éclaté entre les joueurs de cartes et qu’un pauvre type essayait tant bien que mal d’échapper à l’emprise d’un colosse qui le tenait fermement.
- « Hey toi, si tu m’emmène à Nevassa je te file un coup de main, on est d’accord ? Gégène se mit à gigoter plus rapidement à mesure que son teint virait vers le violet.
- Je vais prendre ça pour un oui. »
Après une bonne bagarre générale, des objets divers fracassés joyeusement sur les têtes des pochetrons locaux et un concours de lancer ce ménestrel nudiste, Ravness et Gégène sortirent de la taverne en courant vers le convoi du marchand à l’entrée de la ville, puis partirent sans demander leur reste.
- « Merci pour le coup de main là bas, ces gens n’ont aucun sens de l’humour. Elle est pourtant drôle la blague du manchot qui triche aux cartes…
- Ouais, surtout quand on est en train de jouer aux cartes avec des bandits et que l’on est manchot.
- Parce qu’il était manchot ce charmant monsieur ?
- J’ai l’impression que ce voyage va être long ... »
Le voyages se déroula sans encombres si l’on fait abstraction de l’irresistible envie de frapper Gégène de la part de Ravness à cause du comportement…. disons improbable de ce dernier .
- « On est presque arrivés ? demanda Gégène
- Non.
- On est presque arrivés ?
- Non !
- On est presque arrivés ?
- Oui !
- C’est vrai ?!
- NON !!! Je te jure que si tu ne la ferme pas tu regretteras d’être encore vivant !
- On est..*PAF !*.. arrivés….
- Oups… Tu l’avais cherché en même temps. »
C’est donc une Ravness calmée et un Gégène amoché qui arrivèrent dans la charmante, bien qu’inhospitalière, capitale de Daein. Bâtie sur une colline, Nevassa appliquait le principe de la pyramide des classes à la lettre : les pauvres en bas dans la Basse-Ville, le quartier marchand à mi-hauteur, les appartements des riches en hauteur et le château au sommet. Ils se séparèrent à l’entrée de la ville et se donnèrent rendez-vous le lendemain matin à l’aube.
Ravness commença son travail de recherche dans la Basse-Ville, une bande de bandits est facile à repérer après tout. Un attroupement de personnes non loin attira son attention.
- « Mesdames et messieurs, afin que ce pillage se passe dans les meilleures conditions possibles, je vous encourage à donner tous vos objets de valeurs à mes camarades. Nous vous remercions de votre coopération. Si toutefois vous décidez de faire la forte tête, sachez que nous pouvons tout à fait utiliser des méthodes plus fermes ; telles que le lynchage, la lapidation et la torture. »
Les bandits n’avaient pas encore remarqués Ravness, et elle en profita pour les prendre en embuscade. Les bandits étaient au nombre de cinq, le crieur public et les quatre autres qui collectaient "les dons" dans la foule, qui s’était organisé en file indienne devant chaque bandits formant ainsi quatre colonnes.
Ravness passa à l’attaque et tua le premier bandit d’un coup d’épée en plein cœur avant même qu’il n’ait eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait. Continuant dans sa lancée, elle trancha en deux le bandit suivant au niveau du ventre, le forçant à se tenir les tripes pour qu’elles ne tombent pas. Les autres bandits avaient eu le temps de sortir leurs armes et se tenaient prêt, elle décida donc de changer de stratégie et se mit en garde, le bras tendu et la lame à l’horizontale, prête a contre attaquer ou à esquiver. Les trois bandits restants lui foncèrent dessus, hurlant comme des bêtes sauvages, la hache levée vers le ciel. Au dernier moment, elle esquiva et les bandits et donna un coup circulaire sur le bandit le plus proche qui tomba au sol et fit trébucher les autres bandits, l’épéiste en profita pour les achever pendant qu’ils étaient sans défense.
- « Tu sais te défendre pour une donzelle, quelle vitesse rugit une voix derrière Ravness »
Elle se retourna et vit une dizaine de bandits, avec au milieu ce qui ressemblait à leur chef. On aurait dit l’archétype du berserker, un homme qui devait bien faire ses deux mètres de haut et cent kilos de muscles, une hache en acier qui faisait la moitié de sa taille, une tenue faite de morceaux d’armures et de peaux de bêtes prises ici et là. A l’exception près que ce dernier portait sur son épaule droite une peluche attachée par une corde qui ressemblait à une boule de poils noire, avec de grandes oreilles et deux yeux globuleux.
- « Tu dois être le chef de ces vauriens je suppose. Et qu’est ce que c’est que ce truc sur ton épaule, une peluche ? Comme c’est mignon !
- Fait gaffe à ce que tu dis !! C’est Furby, mon meilleur ami, et si tu dis du mal de lui je te fais bouffe tes tripes !!
- Quoi, tu veux dire ce truc immonde là, qui ressemble à un chat galeux ?
- Je vais te faire la peau grognasse !! Vous autres vous n’intervenez pas !! »
Sans plus de cérémonie, le berserker chargea et dégaina sa hache démesurée. Bien que lourd, il était étonnamment rapide pour son gabarit et ses attaques étaient d’une puissance inouïe, forçant l’épéiste à battre en retraite. Ne pouvant attaquer, Ravness était dans une position délicate et elle ne pouvait pas esquiver ses assauts indéfiniment, il lui fallait trouver une solution et vite.
Pendant qu’elle réfléchissait elle se retrouva acculée et fut obligée de parer une de ces attaques monstrueuses. Le choc fut rude mais elle tenue bon, et le barbare commençait à fatiguer, ses muscles était crispés et il ne pouvait intensifier la force de son coup. Ravness en profita pour l’observer et vit le Furby. *C’est tout ou rien pensa t’elle*. Dans un ultime élan, elle renvoya la hache du bandit, fit une roulade sur le coté, trancha les liens de Furby, le récupéra et pointa son épée sur sa tête.
- « Toi ou tes potes, vous bougez un cil et je lui coupe la tête !
- Mon… MON FURBY !!!! Laisse le s’il te plait, il est innocent, je t’en prie ! »
Un des bandits voulu en profiter pour éliminer l’épéiste mais le berserker lui éclata là tête.
- « Vous en voulez à mon Furby vous aussi hein !!!
JE VAIS TOUS VOUS TUER, BANDE DE SALOPARDS!!!! »
Il fit preuve d’une remarquable efficacité et extermina tous les bandits restants en moins de temps qu’il n’en faut pour dire Furby , le tout dans un festival de décapitations, éviscérations et autres joyeusetés . Une fois le massacre terminée, le barbare retourna vers Ravness, lâcha son arme et se mit à genoux.
- « S’il vous plait, rendez-moi Furby, c’est mon seul ami…
- T’as l’air de vraiment y tenir… Si on m’aurait qu’un tueur sans foi ni loi serait autant attaché à une peluche je ne l’aurais pas cru.
- C’est ma seule famille, c’est tout ce qui me reste de mes parents et de mon village.
- Désolé mais je ne peux pas te laisser en vie, mon job est de tuer ton groupe de bandits. En plus, ma boss veut que je lui ramène un truc mignon et elle fait vraiment peur quand elle est contrariée… »
Sans plus de cérémonie, Ravness trancha la tête du bandit au cœur tendre et s’en alla rejoindre Gégène. Ils s’en allèrent le lendemain matin et pour éviter tout incident, Ravness ligota et bâillonna le marchand, pour sa sécurité évidemment . Le voyage jusqu’a Frangère se déroula dans la paix et la sérénité, le temps était doux, les oiseaux gassouillaient, Gégène ne faisait pas de bruit car il était assommé . Une fois arrivé, Ravness libéra Gégène, qui s’empressa… de partir ?
- « Heu… Qu’est ce que tu me fait là ? Tu pars sans ta marchandise?!
- J’ai décidé de mener une nouvelle vie en tant qu’artiste ambulant, vous pouvez garder la charrette et les marchandises.
- Artiste ambulant ?! C’est ta vie après tout…
- Oui, j’ai réfléchi à un numéro de triangle et de claquettes, je vais faire un carton !
- J’ai comme l’impression que tu vas vivre dedans surtout… Enfin bref, salut ! »
Ravness retourna à la forteresse avec l’attelage et ouvrit le chargement de Gégène. A sa grande surprise elle trouva 2 bâtons de soin, 1 cure, 6 potions, 2 antitodes, 2 tomes de foudre, 2 tomes de vent, 1 inferno, 1 lumière et 1 flux. *Voilà de quoi démarrer une boutique !*. Ravness se servit de la charrette comme stand, pas très luxueux mais on fera avec. Il ne manquait plus que le nom. Quelque chose qui à rapport à la magie… Le Temple des Arcanes ? Adjugé, vendu !
Il ne lui restait plus qu’à faire son rapport auprès de Melodie… qui n’était pas là. Elle déposa son rapport de mission sur le bureau, ainsi que Furby avec un petit mot : «Un souvenir de la part d’un berserker sentimental »
Mission II terminée
Voilà, mon magasin est crée
Je pense que les prix sont justes mais c'est à vous de me le dire (surtout Ike en fait ).
Voici le lien: http://sir-ike.forumjv.com/1-12883-13795-1-0-1-0-le-temple-de-arcanes.htm