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Assassin's Creed III

Sujet : [Fic] La main de Dieu
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_destroyers_
Niveau 10
23 mai 2012 à 17:21:59

Bien mon bide? :hap:

_destroyers_
Niveau 10
26 mai 2012 à 14:03:39

Ca vous a plu? :hap:

Alors on continu :noel:

http://www.youtube.com/watch?v=Z519s_Q-W18&feature=related

Je courrai à travers les arbres, repoussai les branches qui tentaient de happer mon visage. Je les entendais, ils étaient encore à ma poursuite...
La forêt prit enfin fin. J'émergeai des bois pour observer où je me trouvai, la nuit ne m'aidant pas. J'avais l'air de me situer sur une falaise en aplomb d'une autre foret qui s'étendait à perte de vue...
C'était mauvais ça. Il fallait que je rebrousse chemin avant que...

«Nous te tenons!» s'exclama un homme.

«Il est fait!» renchérit un autre.

Au final, neuf de mes onze poursuivants sortirent des bois.

-Alors, on fait moins le malin, Assassin? Ou devrais-je dire, futur décapité? Lança le chef de groupe, fier de lui.
-Tsss, cause toujours...
-Fait le mariole... Rends toi et on t'exécutera proprement, m'annonça ma cible.

J'eus un instant de réflexion. Je regardai le vide derrière moi. Aucune chance de survivre à une telle chute. Je commençai à faire rouler mes bombes vers eux, qu'ils ramassèrent.

-On m'avait prévenu qu'un Assassin expérimenté allait venir me tuer, je doute que c'est toi vu comment tu as foncé tête baissé? Me dit il en guise de provocation.
-Sait tu ce qu'on appel un saut de la foi?
-Tu veut parler de vos sauts dans des tas de foin? Et alors? Rétorqua-t-il avec lassitude.
-Je n'appelle pas ça un saut de la foi. On saute et on sait que l'on ne s'écrasera pas. Tout le monde pense que c'est une chose difficile à réaliser juste parce que c'est le rituel d'admission d'une recrue. Tout le monde s'exalte parce qu'il l'a réussi, mais c'est cruellement facile.
-Et tu es cruellement intéressant... donne donc le reste de tes armes.

Je l'observai avec pitié.

-Quel est ton grade, Templier? L'interrogeai-je.
-Je suis chef templier! affirma-t-il en bombant le torse.
-Impossible.
-Quoi?
-Quelqu'un de si stupide ne peut prétendre posséder ce rang. On a du acheter ta place, je ne vois pas d'autres alternative.

Ses sous fifres rigolèrent et ma provocation marcha. Il dégaina son glaive et me dit d'un ton qu'il voulut cassant:

-Raclure, tu vas crever de ma lame!

Il fonça sur moi et voulu m'asséner un coup horizontal. Sa naïveté était pathétique. Je me baissai et lui donnai un coup de poing sous le menton pour qu'il recule. Il était lent et inexpérimenté.

-Pauvre idiot..., lâchai-je.

Il ne compris que tardivement ma manœuvre et beugla un ordre aussitôt:

-Rattrapez le!

Je basculai en arrière et souris. Les gardes obéirent et se précipitèrent en vain pour me rattraper. Ils étaient tous au bord de la falaise. Je crois que c'était là que j'avais posé une bombe de proximité lors de mon esquive. L'explosion retentit, couronné par des cris. J'ai du oublié de les prévenir, mince alors, d'autant plus que l'endroit où ils se trouvaient n'était pas stable... D'autres détonation se firent entendre. Ils avaient dus garder les explosifs que je leur avais donné. Que c'est dommage... Ils chutèrent également de la falaise, ma cible également.

Voilà se que j'appelle un saut de la foi. Je remets ma vie à Dieu, comme je l'ai souvent fait. Voyons si il veut la reprendre. Je fermai les yeux, et attendis de savoir si, lorsque je rouvrirai mes paupières, je verrai ce bas monde ou le visage de notre créateur...

***

L'écriture changea. Elle avait l'air d'être écrite par un enfant, mais des corrections étaient visible partout.

***

http://www.youtube.com/watch?v=7KLk7ewUntA&feature=relmfu

Je pouvais pas bouger. Le monsieur en blanc me faisait trop peur. Je voyais pas sa tête et il voulait pas me laisser passer. Et avec mes neuf ans, je pouvais rien faire. Il disait que je devais venir avec lui, mais je voulais rester avec papy prêtre. Il m'a pris sur son épaule, vola mon sac de pommes et m'emmena. Le méchant!
Il m'emmena dans une maison et tout le monde étaient blanc. Un gros monsieur arrêtait pas de me regarder, ils disaient des mots que je ne comprenais pas. Je crois qu'ils voulaient être mes amis, mais je leur ai dit que le papy prêtre voulait que je rentre, alors un homme m'a rendue mes pommes, mais il en a mangé une! Je l'ai vu! Le voleur!

***

http://www.youtube.com/watch?v=QCkfKjKLqtU&feature=relmfu

Il me semble que ma vie avait défilée à ce moment, ce passage était le seul dont je me rappelais distinctement. On me trainait, c'était la seule chose dont j'étais conscient. Les anges du paradis amenaient peut être ainsi les morts. Peu à peu, je m'éveillai. Je n'étais pas habillé à mon habitude. Un tenue spéciale au paradis? J'étais proche d'être nu. On me trainai par sous les bras, ma tête retombait mollement sur mon torse. Je glissai sur des dalles irrégulières et froides, mes genoux endoloris accéléraient mon éveil. Moi qui pensais que les nuages étaient doux. Je devais avoir pas mal d'égratignures ici et là. J'avais un horrible mal de dos. Je ne pense pas être tombé en enfer, et à mon avis, on ne traite pas les nouveaux ainsi au paradis. J'étais donc...

Un grincement de porte retentit et je fus projeté sur du sable.

… malheureusement, sur Terre...

J'entendais des cris. On dirait... une foule qui hurle?
Je tentai d'activer mes muscles. Mon dos douloureux et des genoux éraflés, un mal de crâne provoqué par les piaillements de ces gens, un bras gauche dénué de force, une épaule droite en mauvaise état, des spasmes irréguliers de faiblesse, du sang sec et des plaies ouvertes, je ne pense pas avoir connu pire, mais à part une petite faiblesse, je n'allai pas trop mal.

La porte derrière moi était en fer rouillé et se trouvait fermé. Elle devait mesurer une vingtaine de pied et n'offrait aucune prises. Le mur de pierre sale qui partait d'elle était tout aussi grand, tout aussi moche et tout aussi impraticable pour une éventuelle escalade. A mieux y regarder, les murs se rejoignaient jusqu'en face, à une autre porte de même beauté. D'ailleurs, en observant mieux, j'étais dans un cercle... Une arène?

Tout paraissais clair à présent. J'étais leur spectacle. Dans un magnifique accoutrement et armé jusqu'au dents, cela promettait d'être un moment fabuleux!
Je m'avançai en observant la masse informe que faisaient les gens. Tous avaient une bouteille à la main, leurs habits en lambeaux... révélateurs. Je me faisais éblouir par la blancheur de leurs dents. Ils hurlaient des choses, lançaient leur bouteille vide maladroitement, tombaient ivre-mort aux premiers rang...

Pendant que j'ironisai intérieurement, un homme sortit de la porte d'en face. Je vis tout de suite à quelle injustice j'étais confronté. Il possédait des pièces d'armures assez rouillées et sommaires au cou, aux épaules, devant ses parties génitales, aux bras, jambes et aux tibias, mais il n'avait rien sur le torse. Très imprudent de sa part. Il empoignai une lance dans sa main droite et un casque à visière dans la gauche. Il se dirigeait vers moi, et lorsqu'il fut à porté de voix, il me dit d'un ton moqueur:

-Et bien, tu ne sais pas où tu es? Paniques pas, toute ces questions seront inutiles là ou je vais t'envoyer.

Encore un imbécile, c'était peut être une coutume dans la région... Je le regardai avec pitié. Il enfila son casque et tenta de m'embrocher en raillant:

-Ta mort sera douce.

Qu'il était lent. J'esquivai son attaque sans problème malgré mon mal-être croissant.

-Monsieur est un expert? Pas de problème, j'aime transpercer les teigneux, me lança- avec un sourire hideux.

Il essaya de me faire chuter en exécutant un moulinet de sa lance. J'avais deviné sa manœuvre, c'est ce que font les débutants du maniement de la lance en début d'apprentissage. En calculant sa vitesse de frappe, je sautai de sorte à me retrouver avec la plante de mon pied sur le manche de sa lance. Je la brisai en m'appuyant dessus, tout simplement, il n'avait pas eut le reflexe de la retirer. Normal de la par d'un apprenti. Je pris le morceau avec la partie tranchante, tirai vers moi mon opposant avec le reste de son arme et l'embrochai avec la mienne.

-Que...

Il s'effondra. Je retirai me métal de son ventre, ne voulant que son sang m'éclabousse, j'en avait assez.

-Pardon, tu ne m'as pas laissé le choix.

J'enlevai son casque. Quelle misère ce monde, même si il était arrogant il s'était retrouvé la par malchance, il n'avait pas souhaité être ici, pas souhaité tuer. Je me fis une raison, il ne sert pas de pleurer sur les morts, il faut les accepter. Je fermai ses yeux.

-Repose en paix, âme égaré, que Dieu puisse te pardonner et te montrer la lumière.

Je prix le bâton de fer quand des gardes sortirent de la porte ou j'étais rentré.

-Viens sans faire d'histoire petit, lança l'un d'eux.

Ils étaient quatre. L'un d'eux portait une lance. Ça tombait bien, la mienne était cassée. Je feignis de me résigner. Je lâchai mon bâton de fer au sol, puis levai les main en signe de résiliation. Deux venaient pour m'immobiliser les mains, un autre se baissa pour prendre le bout de fer.

http://www.youtube.com/watch?v=Lg8Dd0vGl14

Tout ce passa très vite. Avec mon pied je lançai mon débris d'arme à ma hauteur, je l'empoignai avec deux mains, puis frappai les deux gardes les plus proche de moi avec. Je roulai sur le dos de la personne encore baissée, lui donnai un coup de pied pour le faire basculer, pris à l'arraché son sabre qui était au fourreau pour le lancer sur le lancier. Il dévia la lame de peu, mais je lançai mon bout de fer sur son casque et l'étourdis. Je rattrapai mon arme d'hast encore en l'air après avoir sprinté la distance qui nous séparait et l'utilisai pour lui faire un croc en jambe, puis je lui donnai un coup de pied sur la nuque pour l'assommer lorsqu'il fut à terre. Je lançai mon débris sur le premier qui c'était relevé, mon projectile l'atteignit en plein dans le ventre. Il chuta et se retrouva sur le chemin du deuxième et le fit tomber. Je ramassai la lance, pris le glaive que j'avais jeté, et m'enfonçais dans le couloir par lequel on m'avait amené.

_destroyers_
Niveau 10
26 mai 2012 à 14:03:55

Il était interminable. J'avais pris un virage à gauche, et depuis, c'était tout droit. Il fallait que j'arrive à sortir d'ici, si des gardes arrivaient je me ferai pincer à coup sur, ma condition physique m'empêchant de me battre, déjà que le petit affrontement avait drainé la plupart de mes forces.

«Dépêchez vous, on a une chance de le coincer! Plus vite bande de mollusque!».

Je ne pouvais pas revenir en arrière. Il ne me restait plus qu'une solution, foncer. Cet endroit était un vrai labyrinthe, il y avait des bifurcations partout, c'était pas possible. Je courrai toujours tout droit, sauf quand je rencontrai des gardes, je changeais de direction.

-Pssst, viens dans ma cellule.

Je fis volte-face à cet homme qui m'interpelait. Des cheveux bruns trempés de sueurs lui cachaient son visage et il portait la barbe. Il était mieux habillé que moi. J'hésitai. Il se pouvait que l'on me pince plus facilement ainsi. Mais en même temps, je ne savais pas combien de temps j'allai m'épuiser dans ces couloirs sans fin, et je n'allai pas pouvoir tenir face à toute la garnison...

-Grouille toi! M'interpella-t-il

Je brisai la serrure avec mon sabre, rentrai à la hâte en prenant soin de fermer la grille sans trop de bruit. Je me jetai à l'endroit où il était. Il me prit mes armes pour les camoufler avec le coin du mur et me fit assoir derrière lui pour que je me fonde avec le décore. On attendit quelques instants avant que des gardes ne passent. Il attendit encore un petit peu de temps pour engager la discussion:

http://www.youtube.com/watch?v=--PV5y_5J9s&feature=relmfu

-Met le glaive là

Il ouvrit une dalle et je m'exécutai. J'en profitai pour regarder dedans. Il y avait beaucoup de débris de lames, quelques pièces d'armures et un écu assez usagé.

-Bien. Si tu as un plan d'action quelconque, je te conseil d'attendre la nuit et de feindre que tu meurt de faim jusque là.
-Merci pour ton aide. Mais je n'y arriverai pas si je ne connais pas les lieux.

Il ne répondit rien. Je me mis à l'autre bout de la cellule et m'accroupis. Il réfléchissait. J'en profitai pour mieux décrire ses traits. Il était musclé, et sa pilosité était... spéciale. Il portait une barbe et un moustache remplis de nœuds. Je ne peut pas dire si ses cheveux étaient bouclés ou si il étaient entremêlés.

Je parlai de ses habits: je n'avais qu'un bout de tissu qui faisait pensé vaguement à un pantalon dont on l'aurait coupé au niveau des cuisses. Lui en avait un en tissu marron qui descendait jusqu'aux chevilles, et un débardeur blanc, mais les deux étaient sales. Ils étaient baignés par la sueur, ce qui permettait de voir à travers. Il avait également des sandales en lambeaux contrairement à moi qui était pieds nues.

Sont odeur était forte, mais pas plus que certaines cellules que j'avais aperçue. Il devait avoir la quarantaine, voir la cinquantaine. Ses abdos ressortaient bien. Il portait un grande cicatrice allant de son épaule droite à jusqu'en dessous de son téton gauche. Sa virilité n'en était que plus affirmé. Ses yeux bruns étaient dans le vague, pensif. Il n'y avait aucune fenêtre, ce qui empêchait de déterminer l'heure qu'il était. Aussi su-je que la nuit tombait parce qu'on ne voyait rien du tout à plus de deux pieds de soi.

http://www.youtube.com/watch?v=6cK7ZX73jCw&feature=relmfu

J'aperçus une lumière dans le couloir. Un garde s'approchait. Il devait faire la ronde. Mais étrangement, il s'arrêta devant notre bout de prison. Mon cœur s'accéléra, mais je feignis de dormir profondément. Plus étrange encore, le garde s'adressa à mon partenaire de cellule avec un accent britannique:

-Je t'apporte les nouvelles
-...
-Une patrouille a découvert un cadavre qui dérivait du ruisseau de la foret. D'après ses blessures, on a estimé qu'il avait chuté de la falaise, impensable! De plus, il s'est avéré qu'il était encore vivant, dingue non? Bien sur, la meilleur idée qu'il fut a été de le dépouiller pour ensuite le jeter dans une cellule afin qu'il combatte. Il avait tellement d'objets que l'affaire c'est ébruité jusqu'au oreille de tous le monde. Même le commandant est venue voir ce qui se passait! Finalement, il a pris une lame splendide et laissé le reste à ses officiers.
-Ah.
-Et attends, c'est pas fini! Renchérit il. Ce même mec a été jeté dans l'arène pour se qu'on se débarrasse de lui. D'ailleurs, c'était pas un novice face à lui, un lancier qui totalisait plus de vingt victoires. Et le gars là, il s'est débarrassé de lui sans problème. On a donc voulu le ramener à sa cellule, et au final on décompte un mort et quatre blessés. Il a embarqué une lance et une épée. Il s'est enfuit et a disparu. Dingue nan?
-Pas mal, dit il en regardant le vide, même si je savais qu'il dirigeait ses pensées sur moi.
-Tu veut lui venir en aide?
-C'est à quoi je réfléchissais depuis ce midi.
-Quoi? On t'a tenu au courant avant moi? T'aurai pus le dire que tu le savais déjà.
-Je n'avais pas les détails.
-Et alors?
-Je pense qu'on a des chances de s'en sortir.
-Encore faudrait il le retrouver

Cette fois, il me regarda.

-Tiens, je ne savais pas que l'on avait mis quelqu'un d'autre dans ton trou. C'est pourtant pas les places qui manquent.
-Imbécile, lança-t-il.
-Et bien quoi? Demanda-t-il naïvement.

Je le regardai. Je crois que la manière dont il écarquilla les yeux signifiai qu'il avait compris.

-Je vais t'aider, lâcha finalement mon hôte. Il t'a dit que tout tes effets appartenaient aux officiers. Fais une croix dessus.
-Il y a deux objets que je tiens à récupérer. Et on sait malheureusement ou se trouve l'un d'eux.
-Ton épée..., soupira-t-il. Et l'autre?
-Une chaîne en argent unique.
-Tu veut parler de celle là? s'enquit l'informateur.

Il laissai pendre un chaîne qui se reflétait même dans l'obscurité, à laquelle pendait une boule en argent massive un peu moins grande que le poing. Ma chaîne.

-J'avais le droit de prendre un objet, et elle était classe.

Je tendis la main pour l'attraper. Il soupira:

-Pour une fois que j'avais l'occasion d'avoir une arme exotique...
-Bien, je vais concocter un plan pour que tu puisse t'échapper et récupérer ta lame. John, reviens me voir demain, je te donnerai mes directives.
-Yes.

Il se leva et s'apprêta à s'en aller, lorsque je lui adressai un dernière requête:

-Sais-tu ce qu'est devenue ma tunique?

John resta silencieux un moment, puis lâcha:

-Elle est dans le bureau du commandant.

Puis il s'en alla. Nous ne dîmes plus rien et nous endormîmes. Le sol dur ne me facilita pas la tache, d'autant qu'il était froid, et dans ma tenue j'étais horriblement gelé. Mais je ne dis rien, cet homme a due endurer bien pire, cela aurait été un manque de respect

_destroyers_
Niveau 10
26 mai 2012 à 23:08:08

Upioupiou

[Laflamme]
Niveau 10
27 mai 2012 à 00:10:49

J'ai fini de lire et finalement j'aime bien, c'est assez bien écrit, bien déecrit au niveau des combats, des infiltrations en gros des choses qu'il l'entoure
Les musiques je les trouve vraiment bien, elle colle bien au passage
Bon biensur il y a des fautes surtout de frappes et de conjugaison mais c'est pas mal
Il y a aussi des moments avec Ray où cela ne respecte pas vraiment l'époque où il se trouve, on dirait qu'il se trouve à notre époque
Il y aussi au niveau des combats, les deux premiers étaient assez long et éprouvant pour Jace mais les deux derniers a mon goût on vite était expédié surtout pour le troisième où je m'attendais comme aux autres combats où les deux combattant se battent jusqu'aux bout et qu'elle montre ses neuf techniques avant de mourrir :noel:
Bon bah t'as un nouveau lecteur qui attend la suite :ok:
Et je vais essayer de te faire de la pub car elle bide un peu beaucoup enfaite :pf:

[Laflamme]
Niveau 10
27 mai 2012 à 00:15:08

PS: Bizarrement ton perso me fait un peu penser à Gerald de Riv :noel:
Tu t'en serais pas un peu inspiré par hasard? :noel:

_destroyers_
Niveau 10
28 mai 2012 à 16:52:16

J'ai négligé la fic sur ACIII :noel:

Et bien merci, déjà d'avoir eus la volonté de tout lire, mais aussi de cette critique :oui:

"qu'elle montre ses neuf techniques avant de mourrir :noel: "
On fait pas toujours ce qu'on veut dans la vie :noel:

Ensuite merci pour la pub, ça ne me ferai effectivement pas de mal :hap:

Et tu penses vraiment que je peut faire une fic avec un personnage froid et balèze sans être influencé par le comportement du personnage principale de mon jeux favoris qui a le même caractère? :noel:

[linkc]
Niveau 10
28 mai 2012 à 17:10:27

Tu sais Dest, je copie toute les fics qui m'ont l'air interressante sur Open Office. :pf:
J'ai tapé "[Fic]" dans la barre de recherche du forum ASSASSIN'S CREED III. J'en suis arrivé à la tienne. Une fois tous les chapitres que j'ai en retard copié, j'ai repenser au mp que tu m'avais fait. Il mettait la liste des chapitres de ta fic sur le forum REVELATION . Et j'ai remarqué un truc, c'est qu'il y a un chapitre de plus que sur ta fic du forum AC III. En gros, tu as oublié un chapitre sur ce topic. Ce qui fait que Flamme à surment raté un chapitre :noel:

_destroyers_
Niveau 10
28 mai 2012 à 17:12:13

Hola, merde :peur:

_destroyers_
Niveau 10
28 mai 2012 à 17:13:05

Effectivement, je corrige ça (mon dieu, le boulet... :noel: )

-Darkgunner
Niveau 10
28 mai 2012 à 17:15:35

Je plussoie :hap:

Non je plaisante :noel:

BobLeDezingueur
Niveau 10
28 mai 2012 à 17:15:39

Venez sur le fofo d'ACR, c'est mieux, puis y'a Toutankarton :noel:

Dest' a plus de post sur ACR que sur AC3 :hap:

[linkc]
Niveau 10
28 mai 2012 à 17:19:44

Je sais Bob :oui:
Le chap que t'as oublié c'est celui d'après le 2au carré où tu dis, voggle, ça existait :hap: ( en parlant du thé) je crois :pf:

_destroyers_
Niveau 10
30 mai 2012 à 14:14:33

Je laisse couler cette fic sur ce forum

_destroyers_
Niveau 10
02 juin 2012 à 13:02:45

Bon, je vais quand même continuer à poster ici, donc j'ai sauté un chapitre (honte à moi :noel: )

Je le met ici et demain je met la suite :ok:

_destroyers_
Niveau 10
02 juin 2012 à 13:06:15

Chapitre 11

http://www.youtube.com/watch?v=uQRSsXfAOJs (relancer la le nombre de fois nécessaire)

Elle courue vers moi. J'avais beau retourner la situation dans tout les sens, le face à face tournait au désavantage et à la défaite .Faire durer le combat ne me serai pas positif, aussi devais-je en finir rapidement. J'optai pour la fuite et sautais du toit. Elle poussa des jurons destinés à me faire revenir, mais je n'y prêtais pas attention. Je pouvais avancer en ligne droite car elle n'avais pas de projectiles. Ceci dit elle sprintait bien. Je n'avais que quelques rares cheminées à lui proposer en guise d'obstacles et je m'épuisai plus vite qu'elle. Il fallait trouver un moyen. En fait non, je l'avais trouvé et je me dirigeai vers mon but, mais il fallait que je la ralentisse pour y arriver.

Elle n'était plus qu'à une dizaine de pieds de moi, j'improvisai. Ma chaine me sauva. Je bifurquai à droite, vers le vide, et sautai. Je ne voulais pas me risquer à un toit devant moi, ce monstre aurait été capable de sauter d'un toit à l'autre sans problèmes. Je lançai ma chaîne pour l'accrocher à une cheminée du toit opposé. Elle s'enroula, je ne sais comment, et je me réceptionnai. Je me mis ensuite à escalader la façade du bâtiment.

-Tu pense m'échapper?! Cria-t-elle, et bien c'est raté!

Mon opposante pris de l'élan, beaucoup d'élan, pour faire ce que je craignais. Les toits où nous nous trouvions étaient à la même hauteur mais un personne normale ne pouvais franchir cette distance en un seul bond. Bien sûr, elle si. Mais c'est ce que j'attendais. Je me hissai à ma chaine le plus vite possible, j'étais à deux pieds du rebord lorsque elle se propulsa du de son point d'appel. Je ne perdis pas de temps. Je tirai à l'arbalète que j'avais pris soin de recharger pendant ma fuite. Elle n'eut pas le loisir de contrôler son vol et d'intercepter mon tir. Je me hissai ensuite à la corniche.

Elle avait atteint sa destination, mais elle avait un bout de bois fiché à son épaule gauche. De ma position, je dégainai ma dague pour lui faire un croc en jambe étant donné qu'elle était à un pied de moi. Elle tomba à genoux et je me redressai en dégainant mon sabre. Je lui assénai une pluie de coup avec. Elle peinait à les stopper de la même manière qu'avant, elle choisit de sauter du toit plutôt que de continuer à ce faire déchiqueter.

Mon adversaire se réceptionna tant bien que mal par terre. Quelle endurance. Je lui lançai deux couteaux et repris la route vers mon objectif: le marché. Je n'étais plus très loin. Daï-jobuh me poursuivait depuis le sol en bousculant tout le monde. Quand ma destination s'offrit à moi, je sautai sur des poutres de bois qui descendaient pour enfin atterrir près de la foule. Ma cible me rattrapa et s'arrêta.

-Tu veut que tout le monde assiste à ta mort?
-Tu n'es pas obligée de me suivre.
-Si je ne me débarrasse pas de toi, je vais le regretter.
-Bonne chance alors.

Et je m'enfonçais dans la foule, me faisant engloutir par la masse. Elle s'en aperçue un peu tard. Elle bousculait tout le monde pour me retrouver, mais c'était inutile: la dissimulation était un de mes meilleurs atouts. Il me fus facile de me retrouver derrière ma cible tandis qu'elle ne savait plus où j'étais, elle paniquait. Ma lame mit fin à ses tourments. Je pris soin de transpercer une artère, il ne lui restait plus longtemps à vivre. Je l'accompagnais à terre.

-Alors c'est la fin? Hoqueta-t-elle.
-Pour toi oui.
-Comment?...
-Ton stoïcisme envers mes coups avaient pour but de m'apeurer, et cela marchait. Mais en tournant la balance, tu n'as rien pus faire.
-Ma mort importe peut, vous êtes déjà finis, c'est la fin de votre ordre, nous l'avons...
-Confesse toi.
-Jamais!

Elle m'étrangla. Ce fut si vif que mes réflexes ne m'avaient pas sauvés. Sa poigne était terrifiante, je sentais mes os céder sous sa force. Elle allait m'avoir. J'étouffai, de l'air... Ma vue se troublait, je...

Je rouvris les yeux. Ma victime gisait là, sur le sol, une mine affreuse au visage. J'avais gagné. Mon cou m'élançait, quelques secondes de plus et c'était la fin. Son visage avait encore un rictus mauvais. Je fermai ses yeux, recommandai son âme a Dieu et partis, un petit cercle commençant à se former autour de nous.

http://www.youtube.com/watch?v=d_jizNCiInw&feature=relmfu

La quatrième et dernière bougie s'éteignit. Le lecteur reposa le journal sur sa table de nuit et s'endormit. Il n'avait que français le Jeudi, il pouvais se permettre de s'endormir tard, et c'est ce qu'il fit.

Jeudi 26 Janvier

Le jour se leva et c'est en maugréant que l'étudiant alla en cours. En plus c'était Mr.Binaux² qui le dirigeait, la misère pour tout ceux qui n'avaient pas le niveau, donc pour lui aussi.

11h, en classe de Français.

Les élèves copiaient. Une homme de la cinquantaine avec une barbe blanche, des cheveux gris peignés sur le coté les surveillaient. Il avait un ventre assez généreux et des lunettes, preuves d'un statut social assez élevé.

Les étudiants devaient analyser un texte. Pas n'importe lequel, un essai de Ronsard, «prince des poètes» d'après Henri II. Le professeur balayait son regard sur toute la salle, la mine impassible. Pourtant Ray ne comprenait pas pourquoi tout ceci lui arrivait. Et ce texte... Cela ne pouvait être une coïncidence:

Blanche est la personne qui se mouvait dans l'ombre
Le simple garde surveille et fait sa ronde
Dans le murmure de la nuit, un chien gronde
Et dans un soupir, la victime s'effondre

C'est sous les ombres myrteux qu'il prend son repos²²
De pourpre est la lame, de noire est la conscience
Il se teint en blanc pour faire pencher la balance
Mais l'enfer est bien plus proche de lui que sa peau.

Tant d'enfreints justifiés par liberté justice
et paix. Pourquoi ne simplement faire l'armistice?
Soyez alarmés, le blanc n'est pas pureté d'âme.

Je vous le dit, la capuche cache trop de chose
Nuit et jour sa famille a blâmé ce drame
Montre toi mon chère Assassin si tu l'ose!

On attendait quelque chose de lui, mais pourquoi? Ray rédigea quand même la réponse organisée à faire pour répondre à la question: «Que blâme le poète dans ce récit?»

A midi, il sortit du bâtiment, n'ayant rien mangé puisqu'il n'avait pas apporté sont déjeuner et qu'il avait oublié son argent chez lui. Il dut se résoudre de rentrer et d'aller faire les courses. Il y avait beaucoup de monde au marché pour un jeudi, mais qu'importe. Il acheta Du jambon, une vingtaine de pomme, de la salade, des tomates, bref de quoi se faire ses «sandwichs» pour une semaine. Il passa à la boulangerie pour prendre du pain et quelques œufs. Il alla aussi chez le cordonnier pour récupérer ses anciens souliers comme neuf. Il voulut également acheter un livre, mais son porte monnaie avait déjà trop souffert. Il attendrai dimanche pour le faire, il reçoit de l'argent de ses parents.

Il rentra chez lui vers l'heure du casse-dalle comme on l'appelait communément. Il rangea ses affaires, mais lorsqu'il tira ses salades, il remarqua un papier dans son sac. Il le déplia et vit une sorte de triangle. En faisant attention on pouvait remarquer que cela représentait un homme à capuche. Le papier glissa de sa main, la salade aussi. Il se dépêcha de monter à l'étage. Sa précipitation soudaine provoqua des bruits suspects en haut. Il se dépêcha d'arriver dans sa chambre, mais il n'y vit personne et rien ne pouvait aider à se camoufler. Avait il rêver?

-La fenêtre!

Elle était ouverte et il ne perdit pas une seconde pour voir ce qui se passai dans la rue. Rien, juste une charrette transportant du foin s'éloignait du domicile. Il referma les carreaux. Mais que se passait il? Il devenait paranoïaque avec toute ces histoires. Il devait se calmer. Il ne lirai pas aujourd'hui.

-Ey mais... où est mon livre?

Le journal n'était pas à sa place. Il fouilla sa chambre sans le voir, il alla voir ailleurs, mais sans succès. Il allait commencer à paniquer quand il le retrouva enfin par terre dans un coin des toilettes. Bon sang, la frayeur! Mais que faisait il là? Il examina la source de ses craintes. Des pages avaient été déchirées! C'était les dernières. Un homme était donc bien venu chez lui. Oubliant sa résolution, il se posa sur un fauteuil pour une personne, déchiré de part et d'autre, mais cependant confortable et il se replongea dans son récit.

_destroyers_
Niveau 10
02 juin 2012 à 13:06:27

http://www.youtube.com/watch?v=9a-DmxpXhQE&feature=relmfu

J'étais arrivé à destination de ma quatrième cible. Je n'ai même pas eus besoin de contacter l'Assassin que j'avais chargé de me donner des informations sur lui, mon contrat était déjà là. Il bousculait tout ceux qui se mettait sur son chemin, lui et son escorte. A vue d'œil je dirai qu'ils étaient un dizaine. Il croquait dans une pomme qu'il venait de dérober. Navrant... Il devait avoir la vingtaine, pas plus. Impétueux se croyant malin, cruel, je n'aurai aucun remords à le tuer. Et il se proclame maitre-Templier? Peuh!

Son escorte elle était une autre paire de manche. Manifestement ce n'était pas du grouillot, plutôt des lieutenants je dirai. Ils sont coriace en un contre un, je n'imagine même pas si ils sont dix. Je les laissais passer et écoutai les dires des passants:

-Non mais quel culot! Vivement qu'il crève dans un trou! Nom de Dieu! S'écria une femme du peuple.
-Je vous jure, ses parents devaient êtres un bon ramassis de chiffes moles, renchérit une autre dame.
-Sans sa garde on l'aurait envoyer à la potence depuis longtemps, maugréa un homme.

Le peuple et moi avions un ennemi commun, c'est bon à savoir... J'escaladai un mur et m'installai sur un toit pour réfléchir. J'avais laissé en vie ma cible, elle était donc aller donner des informations sur moi. Vous l'aurez peut être remarqué, mais j'ai un style assez spécial. Le crédo m'indique d'être dans l'ombre, mais en réalité, je ne suis pas vraiment Assassin. Je n'ai jamais passé la cérémonie pour l'être. Tout cela, je le dois à notre mentor. Il m'a recueilli, en échange je fais ce qu'il me demande. Le hic, c'est que si je ne suis pas Assassin, je doit au moins faire comme tel.

J'opterai cette fois ci pour une approche plus discrète, car je ne pensai pas pouvoir m'en sortir si facilement en fonçant dans le tas, même si c'était ma tactique favorite. Je pris soin de me reposer et d'étudier les habitudes de ma cible. Je devais cependant me dépêcher, il me restait moins de deux semaines avant le retour de mon mentor et ma prochaine cible était à trois jours de marche.

Il faisait la même chose à chaque fois: saccager le marché le matin, voler leurs étalages au passage, faisait un pot de vin avec la milice locale l'après midi et s'entrainait au combat à main nue contre les résistant. Je ne l'avais pas observé plus de deux jours. Il était très facile de l'avoir, en revanche survivre contre sa garde était plus problématique. Ils étaient en réalité dix-sept et se relayaient. Pourquoi une tel garde? Le petit avait de l'importance, c'était sur, je devais le garder vivant.

Durant mon séjour, j'avais également appris qu'un mouvement se préparait contre «le tyran». Ils n'étaient pas su tout organisés, c'était juste un ramassis de paysan se révoltant. Les Templiers n'en feraient qu'une bouché, je devais agir avant qu'un bain de sang ne se provoque. Le soir du troisième jour, je décidai de passer à l'action. Leur quartier se situait chez le maire de la ville. Je savais que ma cible avait deux gardes qui ne le lâchaient pas d'une semelle, le reste protégeant la planque.

Un chariot arriva vers la maison du maire. Il transportait des tonneaux bien gros, un homme aurait put s'y cacher dedans. Le cocher regarda son stock un peu inquiet et balbutia quelque chose, puis il s'arrêta devant la maison tant détesté. C'était la «bibine du patron», le tavernier en fournissait cinq tonneaux toute les semaines en échange de garder son établissement intact. Les gardes postés à l'entré embarquèrent les tonneaux en les faisant rouler sur le sol vers la cave qui se situait au même étage.

-T'ain, ils sont lourds ceux là!
-Normal, quand on tranche que du pecnot, on finit par se rouiller. Aller, magne toi.

Au bout de quelques minutes, les cinq coffres à vin furent rangés dans l'entrepôt Parmi les autres.

***

http://www.youtube.com/watch?v=a8oSMTTcB3o

Vingt-et-un heure

Un des Templiers ouvris la port de la cave pour emmener un tonneaux de vin.

-A sept on peut facilement ce le vider, pas besoin d'attendre les autres, dit il pour lui même en sélectionnant une des barriques.

Il en ouvrit une et regarda le liquide rouge avec convoitise. Il se pencha pour en prendre avec sa main, mais c'est son corps tout entier qui plongea dans le vin. Le sang que sa gorge laissait s'échapper se mêla à l'objet de sa mort. Je le plaçai de sorte à ce qu'il ne dépasse pas et que je puisse refermer le couvercle.

-Infiltration réussi.

Je pris un tonneaux plein et le fit rouler en direction de la porte. La porte du hall était fermé, tout les gardes s'étant réunis dans la pièce opposé à la mienne.
http://www.google.fr/imgres?q=grande+hall+chateau+lustre&start=188&um=1&hl=fr&client=firefox-a&rls=org.mozilla:fr:official&biw=1680&bih=956&tbm=isch&tbnid=RF69ulfXAEOvcM:&imgrefurl=http://noiretblancunstyle.blogspot.com/2011_04_01_archive.html&docid=9y_ogIZ-jGsUuM&imgurl=http://4.bp.blogspot.com/-reLmA-KIOms/T6pI3qrTgjI/AAAAAAAAOUU/itgulWRXYok/s640/baccar.jpg&w=640&h=480&ei=cSG5T_n-G5Tx8QPt1N3ACg&zoom=1&iact=rc&dur=326&sig=109778798873803838649&page=5&tbnh=144&tbnw=193&ndsp=48&ved=1t:429,r:6,s:188,i:17&tx=86&ty=42

Je l'amenai vers la porte. Elle était à moitié entrouverte et je dénombrai six gardes au total. D'un coup de pied je fis partir le tonneaux dans la pièce. J'empoignai mes couteaux et les lançais sur les Templiers les plus excentrés de la trajectoire de mon projectile exotique.

Mes lames firent mouches, et le temps que les autres réagissent, mon barils éclata sur trois des autres. Je dégainai mon sabre et m'élançai vers le dernier homme intacte. Quelques coups au corps à corps eurent raison de lui, je le désarmai assez vite et l'embrochai. Je bifurquais ensuite pour terminer mon travail et mes lames secrètes tuèrent deux des empotés à terre. Le dernier eut malheureusement le temps de crier:

-ALERTE!!!

Mes lames firent éclater ses globes oculaires. Je me mis ensuite en route de l'escalier. Les gardes de la porte rentrèrent au même moment où je sautai les marches. Trois autre arrivèrent de l'escalier de gauche, je tournai donc à droite, mais deux autres me prenaient à contre sens. Je sautai donc sur la rampe de l'escalier au moment ou on tentait de me trancher. Je glissai dessus, et je dus sauter pour éviter un coup d'opportunité. Je me retrouvai donc avec sept adversaires sur le dos. Avec les sept autre que j'avais tuer et les deux gardes du corps, il en manquait un.

Je le vis en train de me viser à l'arbalète. Je pris un détour au même moment ou il décocha, puis j'empoignai la mienne pour lui tirer dessus. Il l'évitai mais je pus m'enfoncer dans les couloirs. Ils se séparèrent pour mieux me coincer. Je devais trouver ma cible, mais ce fut elle qui me trouva, accompagnée de ses gardes.

-Ne le laissez pas s'échapper! Attrapez le!

J'évitai la lance de l'un, paraît la lame de l'autre et m'élançais sur le prétentieux. Mais un carreau se ficha dans mon épaule et m'empêcha de le tuer. Je fit une roulade, et quand je me retournai, ils étaient en train de m'encercler, me trouvant dans un croisement. Je fonçai vers le seule couloir qui comportait une fenêtre.

Deux gardes voulurent m'en empêcher. Je jetai une de mes rares bombes fumigène, esquivai leur coups et lançai un couteau vers la fenêtre ; elle se brisa et je sautai par l'ouverture créée. J'atterris durement par terre. Voyant que l'on descendait de la fenêtre avec une corde, je m'enfonçais dans la ville pour finalement rentrer dans une forêt. Ils étaient toujours à mes trousses, tant pis, je m'enfonçai dedans.

² = Inspiré du vécu
²² = Vers présent dans son poème Sonnet pour Hélène

_destroyers_
Niveau 10
03 juin 2012 à 11:26:46

Flaaame, je l'ai mit pour toi :noel:

_destroyers_
Niveau 10
17 juillet 2012 à 17:34:57

Je up pour ceux qui veulent encore la lire :noel:

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Sujet : [Fic] La main de Dieu
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