Salut à tous, aujourd'hui j'ai decidé de poster la fic que j'écris actuellement sur le forum d'assassin's creed revelations ici alors là voilà en esperant que vous aimerez :
Prologue
Masyaf, février 1187
Le village de Masyaf était un petit village en apparence banale si ce n’est qu’il était surplombé par une citadelle imposante se dressant au somment d’une haute colline. Cette citadelle était depuis des années occupée par les assassins, un ordre qui oeuvrait pour la paix et qui luttait depuis sa création contre les templiers. C’est donc dans ce petit village et plus précisément sur sa place principale ou se dressait le marché que cette histoire débute.
Les villageois était désormais habitué à voir des assassins descendre dans le village et cela ne les étonna guère de voir débarquer sur le marché une troupe d’assassins. Altaïr, un jeune homme de 21 ans se trouvait parmi eux, fier de porter la tunique blanche des assassins. Tandis qu’il se promenait entre les étalages, un homme accourut vers lui et, tout essoufflé lui dit en portant le poing à son cœur en signe de fraternité :
« Paix et sérénité Altaïr, Al mualim désire te voir.
-T’a-t-il donné plus de précisions ?demanda le jeune assassin.
-Non, mais je te conseille de ne pas le faire attendre, tu sais comme moi que le maître a horreur de patienter.
-Bien merci de m’avoir informé. »lui répondit Altaïr en regardant vers le sommet de la colline, vers la tour du maître. Il savait qu’en ce moment, Al mualim, le chef des assassins, le regardait du haut de sa tour. Le jeune assassin se dépêcha de gravir la pente menant à l’imposante citadelle, passa les hautes portes, traversa la cour où s’entraînait les jeunes apprentis et pénétra dans la tour du maître. Il monta les escaliers et arriva devant le bureau d’Al mualim. Celui-ci se tourna vers son apprenti et lui dit :
« Altaïr, cela fait maintenant 11 ans que je t’ais pris sous mon aile et tu est clairement le meilleur de mes assassins mais j’hésite encore à t’élever au rang de maître assassin.
-Ce serait pour moi un si grand honneur maître. répondit Altaïr
-C’est pourquoi j’ai décidé de te faire passer une sorte de test. Les templiers ont pris dernièrement le contrôle de la Grèce. Ils y ont envoyé un de leur général et celui-ci s’est établit à Athènes. Ta mission consistera à le trouver et le tuer.
Altaïr ne put s’empêcher de sourire. Assassiner un homme, il apprenait ça depuis 10 ans. Rien de plus facile pour lui.
-Mais la tâche est plus dure qu’elle n’en a l’air, reprit Al mualim, Ce général est entouré de trois capitaines templiers installés à Athènes pour les deux premiers et à Sparte pour le dernier. Je veux que tu les élimines un par un avant le général. Tu m’as bien compris ? J’ai envoyé un pigeon au chef du repaire des assassins d’Athènes pour l’informer de ton arrivée. Tu pars demain à l’aube pour Acre où un bateau t’attend pour Athènes. Ne faillit pas à ta mission Altaïr.
-Je ne vous décevrait pas maître.
-Prends ton équipement et va te reposer, un long voyage t’attend. » lui dit Al mualim en désignant les armes sur le bureau devant lui. Altaïr prit le bracelet de fer et sa lame secrète puis s’empara des couteaux de lancer qu’il rangea dans sa ceinture et à son épaule. Il prit son épée, la rangea dans son fourreau, sa dague qu’il rengaina dans son dos et s’aperçut qu’une arbalète se trouvait sur la table. Il la prit avec étonnement, la sangla dans son dos, salua le maître et partit dans ses quartiers se reposer. Demain dès l’aube, il ferrait route vers le port d’Acre avant de partir vers la Grèce.
Personne ?
J'aime bien
C'est bien!
Voilà la suite:
Chapitre 1: Acre
Masyaf, février 1187
Le soleil ne se lèverait que quelques heures plus tard et la plupart des citoyens dormaient encore à cette heure matinale. Pourtant dans la citadelle de Masyaf, les assassins étaient déjà debout et tous saluaient le départ d'Altaïr. Le jeune homme s'apprêtait à passer les lourdes portes quand Al mualim, son mentor, sortit de sa tour et s'approcha de lui. Il lui dit:
"Que la chance guide ta lame Altaïr, reviens nous en vainqueur.
-Je ne vous décevrait pas mentor.lui répondit l'assassin.
-Je n'en doute pas. Maintenant va et surtout souvient toi que rien est vrai...
-...tout est permis" termina Altaïr en tournant les talons. Il descendit la pente jusqu'au village puis se diriga vers les portes de la ville. Un assassin lui tendit les rênes de son cheval et Altaïr partit au galop vers Acre. Il galopa dans la nuit pendant près de trois heures et arriva en vue de la cité à l'aube. Il laissa son cheval à l'entrée de la ville et se préparait à rentrer lorsque quatres gardes lui barrèrent la route. Il n'y avait encore pas âme qui vive à cette heure et Altaïr dit aux soldats:
"Messieurs, laissez moi passer je vous prie.
-Et pourquoi on ferait ça hein ?lui répondit le premier garde.
-Passe ton chemin si tu ne veux pas finir empaler sur ma lame.lança le deuxième.
-Laissez moi passer et rien ne se passera. Je garderait cet incident pour moi.dit Altaïr en tentant de maitriser sa colère.
-Une dernière fois, déguerpis.répondit le troisième garde en dégainant son épée.
-Je vous aurai pourtant avertit"lacha l'assassin en activant le mécanisme à son poignet. Une lame d'une trentaine de centimètre jaillit à la place de l'annulaire d'Altaïr. Le jeune homme se jeta sur le premier garde en lui enfonçant sa lame dans le coup. Les trois soldats sortirent leurs armes mais Altaïr fût plus rapide, désarma le deuxième et lui logea la lame dans la tête. Le troisième soldat tenta de frapper l'assassin mais il s'empala sur la lame rétractable. Le dernier garde partit en courant mais il fût stoppé dans sa course par un couteau fiché dans son dos. Altaïr cacha les cadavres dans un tas de foin à proximité et pénétra dans Acre. C'était une cité plutôt grande et le clocher de son église semblait déchirer le ciel. Le jeune assassin se rendit au port de la ville et chercha le capitaine de son navire. Un homme vint vers lui et Altaïr lui demanda:
"Savez vous lequel de ces bateaux est celui qui part pour Athènes ?
-Oui c'est celui-ci.lui répondit l'homme en désignant un navire derrière lui. Il part dans une demi-heure.
-Merci"
Altaïr décida de se promener dans la cité. Les habitants commençaient à se lever et à vaquer à leurs occupations. Il marcha au hasard des rues pendant un bout de temps quand il aperçut une patrouille de garde qui criait:
"Citoyens d'Acre, des cadavres ont été retrouvé près des portes de la ville. Un assassin est ici, restez sur vos gardes !"
Altaïr fit vivement demi-tour et c'est à ce moment que quelqu'un l'interpella. L'assassin tourna la tête et vit les soldats qui venaient vers lui. Un rapide coup d'oeil au clocher lui fit savoir que son bateau allait partir. Altaïr, qui marchait jusqu'à maintenant, renversa un étalage de fruits et partit en sprintant à travers la foule en direction du port. Les soldats le pourchassèrent en évitant les étalage que le fugitif faisait tomber et les passants. L'assassin grimpa sur un toit et sauta dans la rue adjacente. Il fonça vers le port et une fois sur place se précipita sur le bateau que lui avait indiqué l'homme. Le navire était en train de larguer les amarres et, lorsque la patrouille arriva sur le port, ils virent l'assassin déjà loin sur la mer qui les saluaient. Altaïr s'assit sur le pont en reprenant sa respiration tandis qu'il faisait désormais route vers le port d'Athènes.
Personne pour commenter ?
La suite devrait arriver cet après midi. Sinon comment trouvez-vous le début ?
pas mal
Et voilà la suite.
Chapitre 2 : Athènes
Port d’Athènes, mars 1187
Depuis maintenant plus d’une semaine, Altaïr avait embarqué sur un bateau en partance pour Athènes et l’assassin croyait qu’il n’arriverait jamais lorsque la vigie cria du haut de son mât :
« Terre en vue ! »
Altaïr se précipita pour admirer la beauté de la ville dans le soleil levant. Il distingua une colline au loin, l’Acropole. Le navire accosta et l’assassin mit pied à terre. Il remarqua immédiatement une tour et décida de l’escalader pour avoir une vue d’ensemble de la ville. Il repéra rapidement les prises et commença à grimper. Il arriva au sommet à peine essoufflé et admira Athènes. Il regarda au pied de la tour et vit un chariot contenant une bonne quantité de foin. Altaïr fit le vide, respira un bon coup et s’élança en écartant les bras. Il atterrit tout en douceur dans le foin. L’assassin se mit en route pour chercher le repaire des assassins d’Athènes. Il se rendit vite compte que la ville était énorme et qu’il en aurait pour des heures à chercher. Heureusement au bout d’une demi-heure de marche, il repéra un drapeau, discret certes, où le symbole de sa confrérie était représenté. L’assassin escalada la façade après s’être assuré de ne pas être vu. Comme il le pensait, l’entrée se trouvait sur le toit de l’édifice. Il pénétra à l’intérieur et un homme accouru aussitôt vers lui. Il était grand et portait une tunique d’assassin. Altaïr remarqua qu’elle était différente de la sienne. Il portait une masse d’arme et une dague à la ceinture et des couteaux de lancer dépassaient d’un étui situé sur son épaule. Il rabattit sa capuche laissant voir ses cheveux bruns et ses yeux d’un vert profond. Il prit Altaïr dans ses bras et lui dit :
« Altaïr, mon ami, comment vas-tu ? As-tu fait bon voyage ? Je suis Antïos, chef de la confrérie des assassins grecs.
-Paix et sérénité Antïos, j’ai fait bon voyage même si le bateau ne me réussit pas. Athènes est une très belle ville et j’ai hâte de la découvrir. Mais d’abord parle de moi de mes cibles. Plus vite je règle cette mission, plus vite je pourrais retourner au près de mes frères à Masyaf.
-Justement, il faut que je te parle à ce sujet. J’ai reçu le message d’Al mualim qui m’informait de la présence de capitaines templiers dans la ville. Cela m’étonne car il n’y a jamais eu de capitaines templiers ici. Et crois moi s’il y en avait je le saurais. Il y a bien un chef mais ce n’est en rien un général. Al mualim a dû se tromper. De toute façon nous contions l’éliminer.
-C’est étrange en effet, Al mualim avait pourtant l’air sûr de lui. Dans ce cas, il faut tuer ce chef dont tu m’as parlé, ce doit être lui le général que je dois éliminer.
-Nous avons tout prévu, nous agirons demain matin, le templier se promène tous les matins au marché couvert de la ville. Son escorte ne se compose que de deux gardes. Il sera facile à tuer. En attendant, que dirais-tu de visiter un peu la ville ?
-Excellente idée Antïos » répondit Altaïr
Les deux assassins sortirent de la cache et le Grec fit visiter Athènes à Altaïr. Il montra au jeune homme différents monuments de la ville notamment le marché couvert. Au moment de rentrer, ils aperçurent une jeune femme qui se faisait harceler par un groupe de soldat. Antïos dit à Altaïr :
« Je vais te montrer comment les assassins grecs travaillent. Observe et apprend »
Antïos s’approcha discrètement du groupe. Il se composait de quatre soldats. Il enfonça sa lame secrète dans le ventre du premier, dégainat sa masse et assena un violent coup qui tua le second. Il frappa le troisième au ventre puis lui planta la lame dans le crâne. Le dernier soldat se prit un coup si rude à la tête qu’il mourut avant de s’écrouler. La femme s’enfuit et les deux assassins quittèrent rapidement les lieux avant de disparaître dans la foule.
La suite devrait arriver ce week-end.
Personne ne commente ?
continue comme ça .
une petite remarque , ou est elle passé la grande discrétion d Altair ?
Il n'est encore qu'un apprenti. Cela se passe avant assassin's creed 1
Chapitre 3 : La mort du général
Athènes, mars 1187
Dans le repaire des assassins d’Athènes, Altaïr se réveilla tôt et s’aperçu qu’Antïos dormait encore. La tenue du Grec reposait sur un mannequin à côté de lui. Altaïr l’observa attentivement car il là trouvait vraiment différente de celle qu’il connaissait. Les manches étaient jaune pâle ainsi qu’une bande sur le torse. La capuche était blanche mais là aussi une bande jaune pâle partait du coup et allait jusqu’à la pointe. Antïos se réveilla à ce moment là et dit au jeune homme :
« Tu es déjà debout, c’est bien. Equipons-nous et préparons-nous.
-Quand est ce que nous partirons ?
-Le général se promène au marché couvert aux alentours de dix heures du matin, on a le temps de se préparer. »
A neuf heures et demi, deux individus encapuchonnés se frayaient discrètement un passage parmi la foule qui se pressait dans les rues de la cité. Antïos et Altaïr tournèrent dans une rue étroite et déserte. L’assassin Grec dit à Altaïr :
« Bien, mon frère, dans une heure, le général sera mort. Si jamais nous nous faisons poursuivre, ce qui arrivera sûrement, retrouvons-nous devant les marches de l’acropole ce soir à six heures. Il ne faut surtout pas retourner au repaire et éviter de se croiser. Une fois les gardes semés, il faudra rester caché et se faire oublier des passants. Prends ça, ça pourrait t’être utile.
Il donna un petit objet sphérique à son ami et poursuivit :
-C’est une bombe de fumée. Quand elle explose, elle dégage une épaisse fumée qui te permettra de semer tes poursuivants.
-Je te remercie Antïos et puisse la mort accompagner ta lame lorsque tu faucheras la vie de ce templier.
-En fait, ce n’est pas moi qui le tuerais, répondit Antïos, c’est toi Altaïr. Je m’occuperais de la garde du général. Maintenant allons-y, il va être temps. Je me posterais sur un toit adjacent à la sortie du marché et toi, tu te mettras dans une ruelle en face. Bonne chance à toi.
-Bonne chance à toi aussi mon frère. »
Les deux assassins se séparèrent et firent route vers leurs lieu d’observation respectifs. Altaïr se posta dans une ruelle donnant sur la place juste devant la sortie du marché et aperçut Antïos sur le toit d’en face. Ce dernier vit également son acolyte et lui fit un signe de tête. Peu de temps après, le général arrive entouré non pas de deux mais de cinq gardes armés de lance et d’épées. Le templier dépassa les portes du marché et sortit à l’air libre. Lorsque Antïos le vit, la tuerie commença. Il s’élança de son perchoir en sortant sa lame rétractable. Il s’abattit sur le garde le plus à droite en le tuant se sa lame. Le général recula vivement et chercha à s’enfuir par une ruelle proche mais un autre assassin lui barra la route. Altaïr marcha vers le templier et dégaina son épée. Le général, comprenant qu’il était coincé sortit sa lourde épée de son fourreau et tenta de frapper Altaïr mais ce dernier esquiva le coup de justesse. De son côté, Antïos dégaina sa masse d’arme et l’abattit sur un garde. Le coup n’eut pas l’effet escompté car le garde se déporta au dernier moment. Sa jambe reçu le coup et le malheureux s’effondra en se tordant de douleur. L’assassin se jeta sur un deuxième garde et lui enfonça sa lame dans la tempe. Il ne restait plus que deux soldats. L’un attaqua Antïos par la droite et l’autre par la gauche. L’assassin contra l’attaque de droite et envoya sa masse dans le visage son ennemi mais son bras gauche se fit toucher par le second coup. Un couteau de lancer eut raison du dernier garde. Pendant ce temps, Altaïr parait tant bien que mal les attaques répétées de son assaillant. Au bout du sixième coup, son bras commençait à se faire lourd. Le templier sentant son ennemi faiblir leva son épée au dessus de sa tête et se prépara à l’abattre sur l’assassin mais Altaïr fût plus rapide. Voyant là une ouverture dans la défense de son adversaire, il enfonça son épée dans la poitrine du chevalier. Ce dernier voyant son sang couler lâcha son arme et tomba à genoux en se tenant le ventre. AltaÏr le plaqua au sol, la lame sous le nez et lui dit :
« Avant de te tuer, j’aimerais te poser une question.
-Ah ah, vous les assassins ne savez que tuer, ricana le général
-Tais-toi et réponds moi, pourquoi ai-je été envoyé ici pour tuer un général et ses capitaines et arrivé ici j’apprends qu’il n’y a jamais eu de capitaines ? Pourquoi ?
-Eh eh, il n’y a jamais eu de général non plus d’ailleurs…
-Quoi ? Quelle est cette histoire ? Parle !
-Je ne suis qu’un soldat engagé pour jouer le rôle d’un général pour attirer votre attention, assassins. Mais je t’en ai déjà trop dit. Si tu veux des réponses, il te faudra les trouver toi-même.
-Non ! Continus, pourquoi vouliez-vous attirer notre attention ?cria Altaïr au templier.
-Tes réponses se trouvent à Sparte assassin, c’est tout ce que je peux te dire » répondit le chevalier en saisissant le bras d’Altaïr et en s’enfonçant la lame dans son cou. L’assassin retira la lame et ferma les yeux de son ennemi. IL releva la tête et vit Antïos partir en courant en lui criant :
« Cours Altaïr ! »
http://www.youtube.com/watch?v=in3ttlxFXF4
(Mettez cette musique jusqu'à la fin du chapitre)
Le jeune homme vit des dizaines de gardes arriver des différentes rues et il jugea bon de s’enfuir. Il escalada le mur derrière lui et sauta dans la rue de l’autre côté. Il bouscula les passants et renversa des étalages. IL fit tomber un échafaudage au sol mais les gardes le poursuivaient toujours. Altaïr tourna dans une rue plus étroite et attendit que ses poursuivants arrivent pour lâcher sa bombe de fumée au sol. Une épaisse fumée noire envahit la ruelle et lorsqu’elle se dissipa, les gardes avaient définitivement perdu la trace du fuyard. AltaÏr se dissimula dans un groupe d’érudits. Pendant ce temps de l’autre côté de la ville, Antïos avaient quand à lui plus de mal à semer ses poursuivants et commençait à regretter d’avoir donne sa seule bombe fumigène à Altaïr. L’assassin avait beau renverser des étalages, des échafaudages, ses poursuivants ne le quittaient pas d’une semelle. En plus, sa profonde coupure au bras lui faisait de plus en plus mal. Il aperçut alors un vendeur d’huile quelques mètres plus loin. En passant devant, il donna un violent coup de pied à la table qui s’effondra et l’huile se répandit sur le sol. L’assassin grimpa au mur et libéra sa lame secrète. Il saisi une torche et la jeta sur le sol. L’huile s’enflamma instantanément et les soldats périrent brûlés ou, pour les survivants, ne purent passer ce mur de feu qui bloquait la rue. Antïos courut se cacher dans un chariot de foin. Il attendrait ici quelques heures avant de se mettre en route vers l’Acropole.
Voilà la suite et désolé du retard.
Bonne lecture
Petite question, est ce que vous aimez ?J'ai l'impression que personne ne lit ma fic.
personne ?
Double
Bon je crois que je vais stopper la fic ici car je n'ai plus de lecteur.
je peut te dire que sait altair qui a reformer l'ordre avant les assassin siegais qu'a masyaf