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Assassin's Creed III

Sujet : [FIC] La lame bouddhiste
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Dadadadada
Niveau 10
30 avril 2012 à 13:26:51

Chapitre 46 : Sagesse, Courage.

Lee parle à son confrère.
« Il dit, Dit le premier moine, que votre arme est impressionnante car nul autre arme n’a pu la détruire. Faite attention à son pouvoir, il pourrait bien vous nuire.
-On verra bien, je réponds solennellement. »

http://www.youtube.com/watch?v=xRdAejRzLTE

Nous franchissons la deuxième porte. Lorenzo et Kotka pouffe de rire derrière moi.
« Qu’avez-vous donc ? Je demande.
- C’est juste, répond Kotka en reprenant son souffle. Tu fais le fier en disant « On verra bien » puis tu en faite tu t’es fait défoncer du début jusqu’à la fin. Tu as juste bien placé tes trois premiers et derniers coups.
-Il ne m’en a fallu que trois pour le mettre K.O et pouvoir le paralys… MERDE !!! J’ai oublié de le dé paralyser !! »
J’accours vers mon adversaire, je lève sa tête et je tape sur son front au dessus de l’œil gauche. Il reprend son souffle et se lève. Il s’incline devant moi et pars. Je rejoins Lorenzo, Kotka, et le Moine. Un long couloir s’impose de lui-même. Le couloir est parsemé d’inscription sur les murs et le plafond rouge sang. Sûrement des incantations ou des proverbes. Nous regagnons enfin, dans la troisième salle, une ambiance chaleureuse. Dans cette salle, il n’y a rien du tout. Mais vraiment rien. Une salle blanche de partout.

(couper la musique et mettez celle là http://www.youtube.com/watch?v=DxzXPe0BwAw )

Un troisième moine s’avance vers nous, c’est le moine qui nous a accueillies à l’entrée du temple.

« Voici la troisième épreuves, dit il. L’épreuve de la Sagesse.
-Je ne vois rien qui ressemble à une épreuve ici, lance Kotka.
-C’est que vous n’êtes pas suffisamment sage.
-Je ne suis sage qu’avec mon chéri !! Réplique-t-elle.
- Pas tout le temps, je marmonne.
Elle me lance un regard noir.
- Bien, reprend-il en toussotant. L’épreuve de la sagesse consiste à trouver comment ouvrir la salle. Bonne chance. »

Il en a des bonnes celui là me dis-je. Trouver un interrupteur. Cela serait trop facile me dis-je. Ma vision de l’aigle ne m’aide toujours pas. Je ne vois rien dans cette salle qui ressemblerait à un levier où à un bouton. Kotka et Lorenzo commence leurs fouilles sur les murs et le sol.

Soudain Lorenzo dit :

« Cela veux dire quoi ? Ce mot là ? Celui qui est écrit sur le sol dans le coin.
-Il veut dire Harmonie.
-Regarde dans les autres coins, dit Kotka.
Mais aucun autre mot n’est dans un des coins. Harmonie ? Avec soi ? C’est ça ? Qu’entendent-ils par là ? Est-ce que si j’arrive à communiquer avec le fameux dieu qui se présente à chaque fois j’arriverai enfin à être « sage ». Je prends mon sabre en main. Si je me souviens bien les deux seuls fois où j’ai pu communiquer avec lui, je me suis fait projeter par un portail magique et que cela m’a assommé. Je suis aussi rentré en communication lorsque j’ai failli mourir aux temples. Il faut que je sois en inconscience.

« Kotka !! Je crie.
-Oui ?
- Frappe-moi !!
-QUOI ?!!!
-De toute tes forces !!
-Mais qu…
-Fais ce que je te dis.
BAF !!

Elle m’envoie valser plus loin mais j’ai plus mal qu’autre chose.
-T’as rien dans les tripes ou quoi ? Je lui lance.
Elle s’énerve. S’approche de moi et me fou un uppercut. OUCH !! Quel droi….

-Je ne comprends pas pourquoi il voulait que je le frappe. Dit-elle en me regardant tomber par terre, inanimé.

…(faite pause et lancer celle là)
http://www.youtube.com/watch?v=Edv9DP-ZCn8 (attendez que la musique se lance bien)

«Héhé, je comprends mieux maintenant. Dis-je»

Je me retrouve dans la même salle mais, complètement différentes. Avant elle était blanche, totalement, maintenant elle est bleu, vire au rouge en passant par le vert, le jaune, le violet et j’en passe. Je me vois par terre, un filet de sang s’échappe de ma bouche. La vache, elle y est allée fort. Kotka, Lorenzo, le premier moine marche au ralenti sauf, le vieux moine. Il me regarde. Je ne rêve pas ! Il me regarde moi. Il peut me voir ? Décidément ils sont bizarres ces thaïlandais.

Un long dédale de poutre, de plateforme volante, de mur qu’on peut grimper à la main, des cordes et j’en passe, s’est matérialisé.

Je prends appuie sur la plateforme de départ pour grimper un mur sur plusieurs mètres. Des encoches dans les murs me permettent de monter. Lorsque je ne peux plus monter, Je peux prendre une corde qui me fait balancer jusqu’à une poutre volante, et plusieurs qui suivent jusqu’à une autre corde qui me fait tourne à gauche. Je n’ai pas pris assez d’élan !! Je m’accroche de justesse à une barre accroché au mur. Je fais une pirouette et me voilà juste au dessus. Je lève les yeux. Le plafond s’agrandis. Il monte, monte et monte encore. Je ne comprends plus rien.

Après une longue ascension je me retrouve à plus d’une centaine de mètre au dessus du sol. Je regarde ce dernier et comprend. Sur le sol est dessinée une croix. Je vais devoir sauter jusqu’en bas… JUSQU’EN BAS ?!! Dans ce corps, est ce que je vais avoir mal ? Tant pis, je ne suis pas là pour abandonner. Je saute dans le vide. La chute est longue et je sens vibrer mes tympans à cause du vent qui sifflent à mes oreilles. Le sol s’approche dangereusement, je ne tombe plus, je me fais aspirer.

(Couper et remettez l’autre)

« AAAAAAAAAAARGH !!! J’hurle en me réveillant.
-Ah bah enfin ! Lance Kotka.
BRRRRRRRRRRRRR !!!
Couper e
La porte s’ouvre.
-Que… ? Dit Lorenzo, abasourdi.
-Faut être fou pour faire ça ! Dis-je en regardant le moine qui sourit.
- Normalement, vous auriez dû rentrer en harmonie autrement mon cher. Je suis stupéfait que vous ayez choisi la manière forte, au détriment de votre mâchoire.
Il pointe mon visage. Je saigne, et soudain la douleur refait surface. J’ai tellement mal que j’en pleure.
-T’aurais pu frapper moins fort !! Sale brute
-BRUTE ?? !!!T’aurais pas été en « Harmonie sinon !!! »

Nous passons la troisième porte.

La salle du courage est grise. Vert par endroit, avec une légère fumée. Le quatrième moine, le plus jeune, s’avance et dit.

« Bienvenue à la salle du courage. L’épreuve que vous allez passer et une façon d’exprimer votre chance et votre esprit. Vous pouvez voir derrière moi, trente verres. Vous êtes obligé d’en boire un pour passer la porte.
-Le hic c’est quoi ? Demande Kotka.
-Seul un des verres n’est pas empoisonné.
-Génial… Dit Lorenzo, désabusé.
-C’est quoi comme poison ? Je demande. Un genre tu meurs vite ? Ou le contraire ?
-Plutôt le contraire. Répond-il avec un sourire.
-Cela m’aurait étonné, dis-je.
-Vous avez le Saint Graal. Sans lui vous ne pourriez pas passer ce test»

Trente verres. Un seul potable. Aucun indice. Il y en a plein. De chaque couleur différente. Certains plus transparents que d’autre. Rien ne peut me faire pencher sur un verre ou sur un autre. Il y en a qui ressemble à de l’eau mais à mon avis ce n’est pas ce qu’il laisse paraître.

Au bout de dix minutes d’observation je décide d’en prendre un aux hasards. Le vert clair.
« Attend !! Crie Kotka. Et si ce n’était pas le bon ?
Les larmes aux yeux, elle me regarde. Elle ne veut pas que je prenne le risque de mourir. Je la comprends. Moi non plus je ne veux pas mourir. Mais mon instinct me dit que cela cache quelque chose. Je regarde le verre. Je regarde le moine. Le verre. Le moine. Le verre. Le moine, je bois.
J’attends.


..Rien
« En faite, aucun des verres n’est empoisonnés c’est ça ? Je demande.
- Ils le sont tous en faite, mais le Saint Graal annule les effets du poison, c’est pour cela que je vous ai dit que sans le Graal, vous ne pourriez passez le te …SLASH. »

Une flèche lui transperce la tête. Je me retourne et vois arriver deux personnes que, finalement, j’attendais.

Mère et Kyo.

Dadadadada
Niveau 10
03 mai 2012 à 18:38:07

Chapitre 47 : La dernière salle

http://www.youtube.com/watch?v=lpjTJGEjedM
On entend le flot de sang qui s’échappe de la tête du moine, encore accroché au mur par la puissante flèche qui l’a fauchée. Les yeux révulsés et dirigés vers le haut, comme s’il pouvait voir à cause de quoi il est mort. Ma mère, plus menaçante que jamais, dans un costume de ninja noir avec une cape argentée qui vole derrière elle. Une longue épée attachée à son fourreau et un morceau d’une lance. Cette lance appartient à Lee Rûu. Elle l’a donc tuée.
Et un Kyo, différent, la colère se dessinant sur son visage, comme si la haine qu’il avait cumulée ressortait d’un coup. Il porte un costume de templier. Une longue tunique grisâtre, des jambières lourdement renforcés qui descendent du genou à la cheville. Il porte une capuche, un style d’assassin. Une grande croix avec un shuriken en pleine poitrine est représentée. Il n’a en arme que deux grosse dagues. Ils sont suivis par, au moins, une vingtaine de garde. Mais pas n’importe quel garde. C’est l’élite des templiers. Ils ont sortis le grand jeu. Ils sont habillés comme le ninja qu’on a tué a Bassorah. Lorenzo se tient prêt à tirer. Kotka aux aguets. Moi, je les regarde et je prends la parole.

« Je commençais à me dire que vous ne viendriez jamais.
-Je me doute bien que tu savais notre venu, répond ma mère. Mais je suis quand même étonnée.
-Taka ? Demande Kotka. Tu le savais et tu ne m’a rien dis ? Comment le savais-tu déjà ?
-Une vision, je réponds. Grâce au sabre. Dois-je en conclure que vous êtes venu nous tuer ?
-Il n’y a que le prophète qui peut prendre la lame. Comme ce n’est pas nous, nous avons décidé de tuer quiconque s’en approcherais.
-Je ne comprends vraiment pas, mère. Pourquoi ?
-Parce que ce n’est pas ta mère ?!!! Crie un homme derrière les gardes. »

Trois gardes se rues sur la personne, mais ce font tué par une autre par des flèches.

« Stop !! Crie la femme qui ne s’avère pas être ma mère. »

Les gardes s’arrêtent et se poussent. Plus loin, la silhouette d’un homme et d’une femme s’approchent. Il est vêtu d’une cape marron. Les bottes poussiéreuses et le visage miné par le voyage.

« Volpe ? Crie-je. Que fais-tu ici ?
-T’avertir que cette femme, répond-il. N’est pas ta mère. Mais sa sœur jumelle. Ta vrai mère est…
-Là. Dit la femme qui s’avance, vêtu d’une tenu d’assassin bleu ciel, le visage triste mais décidé à en finir avec celle qui l’a enfermée..
-Comm…
-C’est simple Taka. Sa sœur Matsumo, l’a fait prisonnière et enfermé en France. J’ai croisé cette personne, dit-il en pointant du doigt Matsumo, au palais du roi Louis XII pour élaborer un plan pour vous tuer avant que n’atteigniez la lame. J’ai fait délivrer ta mère un peu après que cette putana ne parte. On la suivit jusqu’ici. Et nous voilà Prêt à en découdre.
-Il est temps pour vous tous, dit Matsumo, de mourir »
(couper la musique)

http://www.youtube.com/watch?v=gIN5kWOubWo

Elle donne l’ordre aux gardes de tuer La volpe et ma mère. Tandis que Kyo et Matsumo s’avancent vers nous, lance et dague en main. Nous nous préparons à nous battre. Mais Lorenzo dit :
« Allez-y !! Courrez prendre la lame. »
Les deux moines restant se mettent face aux ennemis le vieux me dit :
« Oui allez-y. Nous sommes ici pour protéger les élus. Nous nous battrons jusqu’à la mort. »

C’est à contrecœur que Kotka et moi nous franchissons la dernière porte. Un couloir de dix kilomètres nous attend. Nous courrons et je jette un dernier regard derrière moi, le vieux moine se jette sur ma mère, tandis que Lorenzo et Le moine plus jeune se mettent en gardes devant un Kyo survolté. La Volpe et ma mère font des exécutions parfaites sur les gardes qui commencent à diminuer en nombre.

Nous courrons pendant au moins une bonne dizaine de minutes et nous arrivons enfin en bas des marches de la dernière salle. Nous montons. Une fois en haut nous ouvrons la porte dorée de marbre. Une salle circulaire avec en son centre une stèle avec un cercle creux en son centre en bronze. Sur les murs, à quatre endroit différent, quatre petit pilier d’un mètre de haut. Une flamme bleue s’échappe sur les quatre piliers aux quatre coins.

« Je sais ce que c’est, dis je, convaincu. Ce sont les flammes des quatre prérogatives pour faire apparaître la lame.
-Tu a vu ton père mourir. Dit Kotka en énumérant. Tu n’es pas revenu d’entre les morts. Tu n’a pas tué la personne que tu hais le plus, et tu n’a pas encore fait la différence entre le bien et le mal.
-Tu penses que c’est moi ? Je demande.
-J’en suis sur. Certaine.
-Mais alors, ça veut dire qu’il va falloir que je revienne quand j’aurais tout fait ?!!!
-Tu n’auras pas à revenir, dit une voix de femme derrière nous. »

Matsumo ! Elle se tient devant nous, sans aucune égratignure. Suivi de près par Kyo, un peu plus amoché.

« Cela n’a fait que retarder un peu l’échéance mon grand. »

Je me mets en garde avec mon sabre. Kotka fait de même en sortant sa dague et son épée. Je me jette sur Matsumo. Kotka sur Kyo. Nos lames s’entrechoquent. Non de dieu !! Elle a une force phénoménale. Elle riposte et charge sur moi. Chaque coup qu’elle donne je le pare, mais aux prix de quel effort. Je frappe de côté son épée ce qui la fait partir sur la gauche. Une ouverture. Je n’aurais pas été plus rapide avec mon épée alors je lui donne un grand coup de pied dans son flanc. Elle coupe horizontalement. Je m’allonge au sol sur le dos pour esquiver et lui frappe ses deux genoux avec mes deux pieds. Pas assez fort pour les lui péter mais suffisamment pour qu’elle recule pour examiner ses blessures. Je reprends mon souffle.

Kotka fonce sur Kyo. Elle lance deux couteaux de lancer. Qu’il esquive, mais c’était sans compter l’incroyable vitesse de Kotka. Elle saute en l’air et lui met un très puissant coup de pied dans la tête qui le fait valser beaucoup plus loin. Elle court à nouveau sur lui, mais c’est à son tour de lancer des couteaux. Couteaux qui, en esquivant, passe très prêt de la tête de Taka. Kyo, sors ses deux dagues et cours sur Kotka et lui assènent dix coup en cinq secondes, tête, flanc, jambes, bras, tout y passe, mais tout est paré. Il fait un 360° et abat ses deux dagues horizontalement, qui sont paré, mais Kotka fut projeter et se atterris contre la stèle. Elle crache le sang. Kyo sourit et lance à nouveaux des couteaux.

Je vois Kotka, accroché contre la stèle. Kyo se rue sur elle, je décide de paré avec ma lame secrète le coup de Kyo et avec mon épée la frappe de Matsumo. Je les enchaine tout les deux, tandis que Kotka se détache et vient compléter mon assaut. Les lames fusent de toutes parts. Nous controns, ripostons, parons, et soudain nous nous séparons pour reprendre un adversaire chacun. Matsumo continue de me donner des coups d’épées.

(coupez la musique)

http://www.youtube.com/watch?v=sw6cJCNXxHg

La Volpe et Orihime ne sont plus que contre trois gardes. Les plus coriaces. Lorenzo se relève et vise un des gardes et un des carreaux vient se ficher dans la tête du plus grand des trois. Orihime esquive un coup vertical, puis horizontal. Le coup qui suit, elle le bloqua mais son arme vole. Le garde abat à nouveau son épée. Mais au moment de l’impact, elle le coince entre ses mains, les deux plats de sa main on dévier la lame, si bien que l’homme fut contraint de lâche son épée sous peine d’avoir les poignets tordu. Elle retourne l’épée, fait un 360° pour gagner en puissance puis la tête de l’ennemi se scinde en deux partis distincts. Le morceau du haut comprenant le cerveau s’affaisse au sol.

La Volpe, quant à lui, profite que le garde regarde autour de lui et qu’il se rend compte qu’il n’est plus que tout seul debout dans cette salle hormis ses assaillants, pour lui trancher la gorge avec sa lame secrète. L’homme tombe. Il a payé pour avoir détourné le regard sur son adversaire.

« Comment tu vas ? Demande Orihime à Lorenzo.
-Je pourrais allez mieux, dit-il en examinant sa blessure à la jambe. Il n’y a rien de grave. Mais je ne peux pas courir.
-Pourquoi ne t’a-t-il pas tué ? Demande La Volpe.
-Je pense qu’il ne voulait pas perdre de temps. Il a tué le moine, mais une fois qu’il m’a mis à terre il a rejoint Matsumo.
-Je vois … répond Orihime.
-Allez-y !! Courrez les rejoindre !! »

La Volpe et Orihime cours dans le long couloir. Ils sont décidés à arrivé à temps pour sauver Taka et Kotka.

« Pourvu qu’on arrive pas trop tard, dit Orihime. »

Elle est trop forte. Matsumo est décidemment une grande guerrière. Je fatigue et elle prend l’avantage, ce qui n’est pas le cas de Kyo, qui se fait malmener par son adversaire.

« Tu vas vite comprendre, dit mon ennemi, que les assassins est une faction révolu à la dissolution. Vous ne faîtes pas le poids contre notre ordre.

Elle parle en même temps qu’elle m’acène des coups d’épée.

-On est peut être moins nombreux mais on est plus fort, plus courageux, et plus intelligent que vous. La quantité ne fait pas tout.

-Plus intelligent ? Réplique-t-elle. Je ne crois pas.
-Et à quoi tu t’en tien pour affirmer de telle propos ? Je lance en brisant sa garde et en lui faisant une entaille sur son épaule.
-Pendant toutes ces années, dit-elle en ripostant de plus belle, tu n’as pas compris que dans tes rangs ils y avaient des espions.
-Oui peut être mais on a très bien solutionné l’affaire.
-Je n’en suis pas si sûr ! »

Ils courent encore, et encore, plus vite et plus loin, ils ne leurs restent plus qu’un seul kilomètre. Les escaliers sont dans leurs champs de vision.

« Explique-toi !! Je crie, en abatant ma lame sur la sienne.
-Tu n’es pas au courant donc. Je pense que tu la soupçonnais déjà en faite. »
Je saute pour esquiver sa lame et j’étends mon pied qui le frappe à la tête. Elle amortit le coup, prend ma jambe et me la brise. J’hurle :
« AAARGH !! »

La Volpe et Ma mère arrivent en haut des escaliers pour assister à la scène.

-Une dénommée Aurora Borgia te trahit depuis le début !!
-Qui est t’elle ?!! Je lance, en rampant et en me relevant tant bien que mal.

Nos lames s’entrechoquent et elle me brise ma garde.
Elle m’enfonce sa lame dans ma poitrine. Elle s’avance jusqu’à mon oreille et me murmure.

« Elle n’est d’autre que Kotka Spiriva …

Drawyks
Niveau 10
07 mai 2012 à 23:02:25

Ce jeu va gérer. :bave:

Dadadadada
Niveau 10
08 mai 2012 à 12:12:23

up

Dadadadada
Niveau 10
09 mai 2012 à 19:18:22

up

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