Introduction:
Paris, France année 2053
Cela faisait dix minutes que je marchais ici dans le but de me repérer. L'odeur était tellement forte qu'elle me piquait les narines. Elle se dégageait du long fleuve verdatre qui coulait à ma gauche.Il se trouve que j'avais eu l'excellente idée de m'infiltrer par les égout, mais si j'avais sus, j'aurai au moins prit une7 pince à linge. Il faisait sombre, pourtant, j'avais rabatu ma capuche sur mon visage. Il était bien possible que des gardes s'y trouve. L'endroit fourmillait de rat, qui s'éloignaient à chacuns de mes pas effrayés par la lueur de ma torche. Oui, j'ai bien dit une torche car un champs de force était dressé autour de la base détectant tout signal éléctrique. Bref j'avai été condamné à abandonner mon talkie-walkie et mon signal radar à l'entrée de la bouche d'égout, et je n'avais de toute façon pas eu le loisir d'y réfléchir car les autres c'étaient démenés pour me laisser cette breche. Plus je progressais, plus je réfléchissais et je me posais sans cesse la même question: pourquoi l'endroit était-il desert? C'était trop facile...
Puis, petit à petit mes pensées dévièrent vers elle...cette fille était tout pour moi, je l'aimai et peut-être m'avait elle aimée. Mais plus j'y songeai et moins je comprenai, pourquoi? Pourquoi? POURQUOI?
Je me rendis compte que je m'étais brutalement mis a crier, bonjour la discrètion...
Je décidai de me concentrer uniquement sur ma mission, et je fis une halte pour planifier mentalement la suite. C'était le mentor qui m'avait dit autrefois que la simulation mentale influençait directement sur le taux de réussite de la mission. Puis je fit l'inventaire de mon équipement, j'avais mes deux lames cachés, mes trois grenades fumigènes, et un pistolet petit calibre contenant tout au plus une vingtaine de balles... Vive les missions mal planifiées, mais comme dit assez souvent le mentor: " Parfois, il faut savoir y aller avec sa bite et son couteau"...mouai, je n'est jamais vraiment été convaincu même si je respecte parfaitement les méthode employé par le maître assassin.
Bon, revenons à notre égout. Où je m'étais dailleur égaré en réfléchissant. Mais tout n'était pas perdu car j'entendait au loin un bruit d'eau brassé et décidait de m'y diriger.
Et comme je le pensai, au bout de quelques minutes de marche, j'aperçus le tuyau d'où se deversait l'eau provenant directement...des chiottes!!
-"Rah j'ai vraiment pas de bol! Dis-je à voix haute. Et dire que je vais devoir rentrer à l'intèrieur pour remonter à la source, après tout il y a un début a tout, je vais peut-être y prendre goût. me rassurais-je."
Je mis quand même un foulard sur ma bouche pour ne pas m'étouffer dans les commissions de mes très cher ennemies, ça aurait été le comble. J'imagine bien les Assassin me faisant un hommage:
-" Une minute de silence en hommage à notre compatriotes mort dans la puanteur et la souffrance."
À ce moment je me suis dit qu'il fallait vraiment que j'arrète de penser à nimporte quoi même si la situation était plutôt cocasse, je devais bien le reconnaître.
Je commençai ma douloureuse acenssion à l'intèrieur de ce tuyau qui se trouvait être moins large que je l'escomptait. je me retrouvai très rapidement a une bifurcation, où je décida de continuer a l'horizontal, car je sentais un air frais venant de cette direction. Le tuyau s'élargissait au fur et à mesure de ma progression pour devenir un petit tunnel plus agréable à parcourir. Le courant d'air s'intensifiait et je sus que je n'était plus très loin du but.
J'arriva bientôt devant une grille, et comme je n'avais pas de matériel de découpe et que je n'était pas élastique, je démonta une de mes fumigènes pour récupérer la poudre. Je la plaçai sur le coin en bas à droite, à l'abri de l'humidité. Puis je frottai mes deux lames qui avait été conçues pour divers fonctions... J'allumai très rapidement un feu et sprintai à l'opposé de la grille le plus rapidement possible, malheureusement, je n'eus guère plus de quelques secondes. Pourtant, l'explosion ne fut pas aussi puissante que je l'avais immaginé. Mais elle suffit amplement à...déchiqueter une partit de celui-là que je dus à contrecœur finir à coup de pied...Heureusement que le grillage était encore assez chaud pour se tordre. Je continuai ma route, et arrivai bien vite à la sortie qui était bouchée par une autre grille qui par chance, n'avait rien a voir niveau solidité avec la première. Un simple coup suffit pour la déboiter.
Je m'assurai de sécuriser le périmètre, ce qui fut très rapidement fait étant donné la petite taille de la salle. Cela devait être une chaufferie à la vue des machines qui l'a composait. Il y avait une porte au fond, simple,terne. C'était la seule issue, donc je n'avais pas tellement le choix...Je m'en approcha, fis lentement pivoter la poignée et l'ouvrit doucement, non sans jeter un coup d'œuil par la serrure auparavant. Elle donnait sur un couloir qui se terminait par un escalier,je gravis les marches furtivement et arrivé à un angle, je biffurqua pour me retrouver devant une majestueuse porte.
-"Très bien placée à côté de la chaufferie...blaguais-je intèrieurement"
Je m'en approchai et sans réfléchir poussai les deux battants.
IL était là, au fond de la salle assit sur un trône, il me regardait avec un air sarcastique. Il était en présence d'une dizaine de gardes seulement. Instinctivement, je sortit mes lames secrtètes et me jetai sur lui.
-"Enfoiré!!!"
( je ne parle pas de ta fic 
)
j'ai pas encore la réponse à capuche...