Chapitre 3: Espoir
Paris, France Mai 2041
Personnage: Angel.
La trompette avait retenti trois fois, trois longues fois... C'était le signal que toute la population du quartier devait se réunir sur la grande place. Les envahisseurs étaient généralement placés sur une estrade d'où ils nous surplombaient.
La trompette sonnait pour diverses raisons, généralement pour des annonces, ou des nouvelles règles. Mais parfois, ils avaient capturés un "criminel d'État", c'est à dire un opposants, où un rebelle. Et là ils se faisaient un plaisir de le pendre publiquement. Pourquoi le pendre alors que nous avons une multitude d'autres moyens plus rapide de tuer? Tout simplement pour le plaisir de les voir souffrir. Donc ils les pendaient à l'ancienne. Devant des centaines d'hommes, de femmes et d'enfants. Personnes ne s'en réjouissait jamais car tout le monde savait qu'un homme ou une femme se battant pour leur libertée venait de mourrir.
J'eus à peu près le temps de penser à tout ça avant que la trompette finisse de sonner. Nous étions obligés de nous y rendre. Toute personne n'y allant pas serait fouettée et emprisonner. Je me souviens, une fois une grand-mère ne pouvant pas marcher avait été fait fouetter juste pour ça. Ils ne faisaient vraiment pas de quartiers.
Son beau regard vert se posa sur moi et elle me dit:
-"Bon, pourvu que ce ne soit pas ça..."
Il y avait de la terreur dans sa voix si bien que ses levres en tremblaient.
-"Ne t'inquiète pas. Lui dis-je pour la rassurer. C'est surement une annonce.
-Oui surement...
-Allez vient, il faut y aller."
j'avais peur moi aussi, mais je ne devais pas lui montrer, il ne fallait pas qu'elle panique.
Nous entamâmes silencieusement le chemin de la place, des attroupements de gens se déplaçaient en gardant la même quiétude que nous. J'aurais voulu ne jamais arriver, mais cela était impossible et malheureusement, notre destination fut atteinte relativement vite. Je regardai autour de moi, il y avait déja énormément de monde, et l'estrade était vide, c'était mauvais signe. Sa petite main se contractait de plus en plus aussi je resserai la mienne pour lui montrer qu'elle n'était pas seule. Elle me regarda un instant, et baissa les yeux sur ses pieds.
Au bout de quelques minutes, un haut gradé entouré de soldats impassibles fit son apparition. Il tenait une lourde corde, dont l'autre extrémité était attaché au cou d'un homme. Cela ne lui suffisait pas de les pendre, en plus de ça il les humiliait. Je serai les poings, mes jointures devenaient blanches. Elle se serra contre mon épaule, ce qui me calma légèrement. Personne ne parlait. Le boureau installait l'homme concerné puis une fois l'éxécution prête, mit la main sur le levier et attendit. Le commandant à l'air sadique s'approcha du micro et annonça:
-"Cher peuple, très cher peuple de la France! Aujourd'hui est un jour spécial, nous avons capturé un des commanditaires du lâche meurte de nos vaillants soldats! Celui-là vas payer pour son vil larcin!..."
"Très cher peuple de la France!" Soit ce mec est un crétin, soit il nous prend pour des crétins... Je choisis de valider la première option. Je jetai un coup d'œil, au condamné et l'éxaminai. Il avait l'air fatigué et il était maigre. Surement l'avaient-ils privé de sommeil et de nourriture pendant plusieurs jours. Pendant ma déduction, le soldat finissait son discours et dit enfin ce que tout le monde redoutait:
-"Boureau, faites appliquer la sentence et rendez justice!"
Le boureau abaissa le levier, cependant, à peine eut-il finit son geste qu'un couteau fila et se planta dans sa gorge, suivit d'un deuxième qui coupa la corde. Le "gracié" ce réceptionna, tandis que le bourreau s'effondra. Quelques hommes et femmes encapuchonnés apparurent et tirèrent sur les gardes qui ripostèrent aussitôt. Les soldats étaient supèrieur en nombres, et les pertes commençaient à se faire lourdes du côté des guerriers immaculés.
Tout à coup, je vis mon amie se baisser, ramasser une pierre et la jeter en direction des envahisseurs, bientôt imitée par des centaines de gens. Les rebelles profitèrent de la diversion improvisée du peuple pour décimer les rangs ennemies malgrès quelques làche qui s'enfuirent. Le commandant tenta une retraite mais fut stopé par des couteaux qui vinrent se ficher dans ses jambes. Un des rebelle coupa les liens qui retenaient prisonnier le comdamné et lui donna une sorte de bracelet qu'il enfila aussitôt à son poignet gauche. Puis il s'approcha de l'homme qui avait fait mettre en œuvre son éxécution.
-"Pitié Assassin! Épargne-moi!
-Tu m'as jeté en prison, torturé, tu as tenté de me pendre. Mais ton plus grand crime est d'être un Templier."
À ces mots, une lame sortit de son poignet et il la planta dans le cœur du commandant qui n'eut certainement pas eut le temps de soufrir. Puis il se redressa, se tourna vers le peuple et annonça:
-"Peuple de la France! Votre liberté vous à été volé! Mais nous allons vous la rendre!!"
Le public lui répondit par une exclamation. Il était entouré de ses camarades, tous habillés de blanc. La couleur de la pureté. Je les regardai avec admiration, ainsi que des centaines de personnes. J'entendis sangloter à ma droite. Elle ne pleurait plus de tristesse, mais de joie. Moi aussi, j'étais heureux, mais j'étais loin de m'immaginer que ce n'était que le commencement...
), c'est pas plus mal mais ça risque de couler 
WTF?
faut qu'il continu sa FIC ( par contre, les héros passe soudain de gamins a adulte 
Comment insérer les assassins, c'est beau 
