Tiens au fait Lenski la suite de mon chapitre.
Aléanna était assis sur ce banc près de ce lampadaire dans cette magnifique robe noire de soirée qui cachait à merveille une dague près de la cuisse et une lame secrète dans sa manche parsemé de petites perles nacrées.
Elle arrangea sa robe et sa coiffure et vis enfin la silhouette de James arriver en trottinant . Arrivée près d’elle , il s’appuya contre le lampadaire près d’eux et respira rapidement.
- Excusez….moi….j’étais….avec….Lexie. S’excusa-t-il en reprenant son souffle.
Il s’assit par sur le banc qui se trouvait à deux mètres de là. Il portait un étincelant costume noir , sobre, discret mais magnifique. Il avait osé rasé son habituelle barbe de trois jours. Aléanna découvrit un visage plus jeune , moins tiraillé par la dureté de notre devoir. Aléanna s’assit près de James éssouflé.
- Ets-elle au courant ? Demanda-t-elle anxieuse.
Les passant marchèrent calmement dans la rue s’en prêter grande attention à ces personnes assis sur ce banc et que l’une des personnes qu’ils connaissent risquait de mourir.
- Non, je ne lui ai rien dis comme tu me l’a demandé. Mais…
- Mais quoi ?
- Pourquoi lui cacher.
- Je ne ….Je ne veux plus de Lexie dans la tête. Si elle était au courant, elle aurait voulu venir . Elle à mieux à faire.
- C’est tout autant son devoir que le tien que d’éliminer Alec. Mais elle a compris que dans certaine situation , la prudence est de mise…Ce qu’elle a dit tout à l’heure n’avait pas le but de te sentir coupable mais de te faire comprendre qu’Alec peut très bien attendre…
James essayait de raisonné Aléanna. Elle baissa la tête et garda le silence. Alec n’attendra pas. Le meurtre de Mary Ann a surement un rapport avec les templiers et ce soir pourrais permettre d’en apprendre sur l’objet de leur désir. Arthur arriva enfin , un livre à la main.
- Excusez mon retard .
Il rangea le petit livre dans une de ses poches.
Il faudra après la soirée que je vous parle d’autre chose par rapport à ce livre. Dit-il un sourire aux lèvres.
Aléanna, James et Arthur marchaient dans la grande rue du quartier. Un quartier réservé à la haute société de Londres, où il n’y avait aucune trace de prostitué ou de mendiant tout les cents mètres. Les femmes dégageaient des parfums qu’Aléanna n’avait encore jamais sentis. Des parfums couteux qui enivrait les esprits…L’arme parfaite pour détourné, manipuler l’humain. Aléanna cessa de penser à ces nouvelles odeurs qui accouraient à son nez.
Elle remarqua aussi que pendant cette traversé, personne ne la dévisageait. Elle ou James et Arthur. Était-ce peut-être le fait qu’elle portait une magnifique robe noire, perlée sur les manches, peut-être le fait qu’elle portait un petit collier de perle que lui avait offert Lexie pour son vingtième anniversaire. Ou encore grâce à son chignon parfait qui retenait ses imposantes boucles brunes.
Ils arrivèrent enfin devant une porte en bois noire…discrète, sans décorations qui pourrait laisser penser que derrière se déroulait une fête.
« Fête ».
Aléanna eu un petit rire pour ce mot. Elle entreprit de toquer à la vielle porte quand soudain elle s’ouvrit violemment , laissant sortir une furie . La porte se referma derrière elle.
Cette furie était rousse et n’étais certainement pas habillé pour une soirée. Aléanna s’écarta à temps pour éviter une collision et dévisagea la demoiselle .
- Alexie ? Alexie c’est toi ? Demanda Arthur , surpris et amusé.
La jeune femme rousse s’arrêta à l’écoute de son prénom. Elle sourit , souffla et sauta aux bras d’Arthur, heureuse de voir un visage familier dans son excès de colère.
Aléanna et James s’écartèrent, surpris de cette réaction quelque peu déplacé…
Les secondes passèrent et Aléanna s’impatienta. Elle toussota pour marquer sa présence ainsi que celle de James. Alexie se mit à rire et salua Aléanna et James d’un bref singe de la tête.
- Excusez mon attitude , mais cela fais tellement longtemps que je ne l’avais pas vus .
S’excusa-t-elle en lançant un regard bref à Arthur.
Alexie rougit ainsi qu’Arthur , quelque peu troublé par cette rencontre inopinée.
- Alexie est une vielle amie. S’est une bibliothécaire. Ella m’a aidé pour mes début dans l’écriture. Elle connaît chaque ouvrage qui existe dans le monde. Dit-il d’un ton admiratif.
Aléanna se fichait du niveau de culture ou des capacités de cette jeune femme, ni de sa relation amicale avec Arthur…non…Tous ce qu’elle voulait savoir c’Est-ce que foutait cette Alexie ici ? Elle n’avait pas l’air dangereuse ou du moins suspecte mais sa sortie « foudroyante » avait attiré l’attention d’Aléanna.
- Que faîte-vous ici ? Demanda-t-elle d’un ton froid.
- Aléanna ! Grommela Arthur.
- Vous êtes Aléanna ? Demanda Alexie calmement sans remarquer ou plutôt en ne faisant pas attention au ton utilisé par Aléanna.
Arthur m’a si souvent parlé de vous. Je ne comprend pas pourquoi aucun assassin ne vous vient en aide. Mais….savent-ils au moins que vous existé ?
Aléanna jeta un regard noir à Arthur. Alexie avait très bien remarquer le ton employé par Aléanna…..elle se vengea en une réplique.
Arthur se tortilla et attira l’attention d’Alexie.
- Umm…Alexie, toujours aussi curieuse.
Il rigola d’un rire nerveux et faux et il repris.
- Mais Aléanna a raison. Que fais-tu donc ici ?
- Et bien c’est simple. Ces foutus templiers ont fais appelle à mes services. J’ai bien sûr refusé au vue de ce que tu m’a dis d’eux. Ils m’ont menacé mais j’ai continué à refuser leur proposition.
- De quoi vous-ont-ils parler ? Demanda Aléanna inquiète.
- Ils m’ont parlé d’un homme, ils m’on demandé si j’avais des informations sur lui et ses inspirations . Mais surtout si il avait vraiment existé.
- Qui ? S’empressa de demandé James.
- Chrétiens de Troyes. Répondit Alexie , pensant donné une information sans réelle importance.
Je n’es rien dis mais je devrais rentré à ma boutique avant eux. Mettre « certains » documents à l’abris. finis Alexie en lançant un clin d’œil à Aléanna.
L’intéressée haussa les sourcils…Elle n’appréciait pas le comportement d’Alexie mais bon ce n’es pas ce qui la mettait hors d’elle c’était de se rendre compte qu’à chaque fois qu’elle avait une légère avance sur les templiers, ils l’a rattrapaient à chaque fois.
La nuit se rafraîchissait et Aléanna décida qu’il était temps d’aller rendre visite à Alec.
- Alexie…pourriez-vous nous… commença Aléanna.
- Vous aider ? Mais avec plaisir. Surtout que j’ai surement quelque information qui devrais vous intéressée. Coupa Alexie.
- Je devrais mieux vous accompagnés jusqu’à votre boutique. Proposa Arthur.
- Bonne idée, je ne pense pas que les templiers la laisseront partir comme ça. Approuva James.
Aléanna aussi était favorable à cette proposition. Au vue de l’intérêt des templiers pour cette demoiselle, il serait préférable de la garder à l’œil.
Alexie et Arthur s’en allèrent alors, laissant James et Aléanna devant cette porte noire.
- Me croirais-tu si je te disais que cette porte me fais froid dans le dos. Dis James.
Il toqua à celle-ci et après quelque secondes d’attente qui parurent des heures, la porte fut ouverte par une personne qui n’attendais que la mort.
- Bonsoir . Dit-Aléanna poliment.
Ce qu’elle trouvait étrange n’étais pas l’affreux accoutrement moisi du vieillard mais la politesse d’Aléanna. James aussi avait l’air surpris par ce ton et par la formule employé. Aléanna repris.
- Je suis…
- Entrez. Monsieur est dans son bureau. Je vais lui faire part de votre arrivée. Veuillez attendre dans le grand salon. Coupa le vieille homme.
Aléanna, légèrement frustrée, entra en compagnie de James. Face à eux, un long couloir obscur qui ne leur présentais qu’une porte, au fond.
Ils traversèrent le long et froid couloir. La porte était aussi sommaire que la précédente. Mais cette fois-ci James l’ouvris seul. Ils virent alors une salle bondée de richissime personnes noyés dans le luxe en dansant, mangeant, buvant à volonté. Les couleurs étaient imposantes avec ses imposantes tapisseries rouge vifs qui mettait mal à l’aise Aléanna. Le sol était si lisse et propre qu’elle pouvait admirer son reflet.
Un bar se situait à leurs droite , au fond de la salle, où les serveuses ne faisaient que des allers-retours du bar a d’immenses sofas en velours rouge. James se dirigea automatiquement là-bas mais Aléanna l’attrapa par le bras.
