Assassin's Creed III

Supercarlu 400 pièces d'or et 1.5 points Il y a moins de fautes mais il y en a encore surtout les conjugaisons

Bilbo 2300 pièces d'or et 7 points

Sayanel 500 pièces d'or et 1.5 points

Okay, maintenant je vais parler avec smiley moi-aussi

Merci LaFlamme

Avec ces 7 points on ne me courra plus sur le haricot pour les 5 points du dragon

Oui mais il a fait plus de texte et de meilleur qualités

C'est le principe

WTF 7 points ? Ok la y a de quoi criser les mecs vous péters les plombs.

C'quoi les 5 points du dragon ? + Pavés en approche

Allez ludo \ /

Je vais pas lui mettre 1 points par textes alors que ça vaut plus et encore j'ai pas été plus haut que 1.5 points
Et puis les seuls qui ont gueulé c'est Ludo et Actimel

Anecdote : La Tulipe (partie 1) :

Les deux assassins continuèrent à marcher dans les rues. Il faisait beau donc autant en profiter. Mais leur conversation sur le paradoxe de la liberté avait troublé Shan.
Si au final, les Assassins attaquaient des hommes libres, étaient-ils des Templiers ?
Quelles étaient les bonnes valeurs ?
Le père de Shan lui avait toujours dit de suivre son instinct. « Et quand ton instinct est perturbé et ne suffit pas, alors une pièce serait ta meilleure ami. »
Shan sortit machinalement une pièce de sa poche.
« Je vais jouer ma vie sur la décision d’une pièce, pensa-t-il. Pile : Les Assassins ont raisons. Face : Les Templiers ont raisons. »
Shan la lança en l’air.
« C’est le hasard qui décide tout en ce bas monde, disait le père de Shan. La pièce est un juge. Remets-en à elle si tu es perdu. »
La pièce commença à retomber.
« Alors ? Qui a raison ? pensa Shan, de plus en plus impatient de savoir quelle serait la décision du hasard. »
-Eh regarde, fit Lirand en secouant Shan.
L’assassin reporta son attention vers l’endroit que montrait son ami. Derrière lui, la pièce retomba, rebondit et fut ramassé par un mendiant.
Shan leva un sourcil.
Une troupe de personnes était amassée autours de quelque chose. Des gardes tentaient de les repousser. Les deux assassins s’approchèrent.
Au milieu de la rue était étendue une jeune femme nue. Son corps était lacéré et sa cage thoracique totalement ouverte. Elle baignait dans une mare de sang. Un hachoir à viande était encore planté dans le cœur de la victime.
-La Tulipe, cracha Lirand d’un ton sombre.
-La Tulipe ? répéta Shan.
-Un tueur qui sévit à New-York depuis quelques mois. Il ne s’attaque qu’à des jeunes femmes. Il les coince dans un coin désert et s’acharne sur elles à coups de couteau de boucher. Un vrai malade. Personne ne sait qui il est.
-Personne n’a tenté de savoir.
-Vrai. Même les autorités ont peur de lui. La sauvagerie de ses crimes est abominable. Et un jour, une équipe de gardes ont faillis le coincer. On les a tous retrouvés dans le même état que cette fille. Depuis, plus personnes ne veut être sur le coup. On se contente de retrouver les cadavres et de les enterrer sans rien tenter.
-Et la Confrérie ?
-Quoi ?
-Que fait-elle ? Tu ne vas pas me sortir que c’est homme est libre de tuer et qu’on ne doit pas s’attaquer à lui ?
Lirand secoua la tête avant d’aspirer une bouffée de sa pipe et de se remettre en marche. Les deux hommes s’éloignèrent du lieu du crime.
-La Confrérie est mal en point. Au cas où tu l’aurais oublié, c’est la guerre. Les Etats-Unis face aux Anglais. Les Français nous apportent leur soutien mais ça ne suffit pas. Mais cette guerre est surtout : Les Templiers face aux Assassins.
-Comme toutes les guerres.
-Oui. Et au final on peut se demander si le destin du monde ne se joue pas sur une guerre entre Templiers et Assassins. Mais bref, comme je te le disais, c’est la guerre. La plupart des Assassins sont actuellement sur le champ de bataille et ceux qui restent ne sont que des informateurs comme moi ou des nouvelles recrues sans expérience chargées de surveiller le Q.G.
-Il n’y a pas que des informateurs et des nouvelles recrues.
-Ah oui ? Et il y a qui d’autre ?
-Il y a moi.
Lirand ricana. Il s’arrêta devant un étal de fruit et de légume.
-Toi, tu rejoindras bientôt les autres Assassins en guerre. C’est justement pour ça que tu es là.
Lirand donna une pièce au vendeur et prit une pomme dans l’étalage avant de se remettre en marche.
-Dans combien de temps vais-je aller en guerre ?
-Dès que la Confrérie te contactera, c'est-à-dire dans très peu de temps.
-Très bien, dans ce cas je me charge d’arrêter la Tulipe avant que la Confrérie ne me contacte.
Lirand lança un coup d’œil sceptique à Shan.
-Par très peu de temps, j’entends une semaine, grand maximum. Donc vraiment très peu de temps.
-Une semaine c’est largement assez.
-Si tu le dis…
Lirand croqua dans sa pomme.

La Tulipe (partie 2) :

Le mendiant porta la bouteille à ses lèvres. Il but trois longues gorgées avant de lâcher un rot et de reposer sa bouteille en reniflant. Un homme se posta devant lui. Entièrement vêtu de blanc et portant une capuche.
Il jeta une pièce que le mendiant récupéra instantanément.
-Que puis-je pour vous messire ?
Le mendiant savait qui était cet homme. Un Assassin. Les Assassin avaient de bons rapports avec les mendiants et leur demandaient souvent des informations, et ce depuis la nuit des temps.
-Que sais-tu sur la Tulipe ? demanda Shan.
-La Tulipe ? Vous voulez parler du grand psychopathe qui tue une jeune femme tous les deux jours ?
-Oui.
-Ouhla, je sais pas si je peux en parler…
Une autre pièce tomba.
-Pas avec moi.
Le mendiant sourit.
-La Tulipe ? M’ouais, j’crois l’avoir aperçu un soir, dans une ruelle. Il était voûté et portait un long manteau et un chapeau haut-de-forme. De petite taille. Une démarche bizarre, comme s’il était ivre ou qu’il boitait des deux jambes… Drôle de gars, ça ouais.
Une autre pièce rebondit aux pieds du mendiant.
-Continue.
-Ah, j’crois qu’la mémoire me revient mais c’est encore un p’tit peu flou, si vous voyez c’que j’veux dire…
Shan sortit une bourse de sa ceinture et la jeta par terre.
-Ah, s’exclama le mendiant, pour ce prix là j’vous dis même son nom au gars ! Et son adresse !
-Parle.
-Ulric McRooney, la cinquantaine… On le connait tous. Il a passé trois ans à la rue. C’était un drôle de type. Il déblatérait des conneries sur la République, la guerre et Dieu. Il bégayait un peu, j’me souviens, et il empestait la pourriture à trente mètres !
-Il ne vit plus dans la rue ?
-Nan ! Ce veinard va ! Un jour, un autre drôle de type avec une croix autours du cou est v’nu lui parler et lui a donné des pièces. Deux jours plus tard, j’ai revu Ulric dans une rue, habillé comme un bourgeois, au bras de l’autre drôle de type. Une histoire bien louche si vous voulez mon avis, messire.
-Il avait une croix autours du cou ?
-Ouais, comme j’vous l’dit. Une croix dorée ! Et il avait l’air d’être riche le gars.
-Tu m’as dit que tu connaissais l’adresse de la Tulipe. Dis la moi.
-Ah, j’sais pas si on peut vraiment appeler ça une adresse… Il vit hors de la ville, à sept kilomètres au Nord, dans une vieille bicoque dans la forêt, au bord d’un chemin. J’m’y risquerais pour rien au monde, ça c’est sûr, messire !
Mais l’assassin avait déjà disparu.

Shan regarda le manoir abandonné en face de lui, éclairé par la lumière de la Lune. Il faisait nuit noire et pas une lumière n’échappait du lieu.
Ulric ne devait pas être là.
Shan s’approcha de la porte et mit un genou à terre. Il crocheta facilement la serrure et pénétra dans la demeure.
L’obscurité était plus que total. On ne pouvait que deviner, dans le noir, la forme d’escaliers au fond du salon et de quelques fauteuils.
Shan referma la porte derrière lui.
Le silence régnait. Juste le bruit du vent, dehors, qui agitait les feuilles d’un arbre. Si Shan n’avait pas suivit un entraînement psychique intensif pour étouffer sa peur, garder la tête froide et réguler les battements de son cœur, nul doute qu’il se serait enfuit rien qu’en voyant l’extérieur de la maison.
L’assassin sortit de sa ceinture une allumette qu’il gratta. Une faible lueur éclaira les alentours.
Effectivement, c’était le salon. Le plafond était parsemé de toiles d’araignées. Et le parquet grinçait à chaque pas de Shan.
La lumière vacillante de l’allumette faisait bouger les ombres des objets, leur donnant un aspect vivant… et dangereux.
Shan s’aperçut que la petite flamme s’éteignait doucement. Il se dépêcha de gratter une deuxième allumette et se mit en marche.
L’assassin, dans le silence le plus total, grimpa les marches menant à l’étage supérieur.
Il arriva dans une sorte de salle à manger lugubre avec en son centre une table et quelques tabourets. Shan s’aperçut qu’il avait la main sur le manche de sa faux. Il tourna sur lui-même et la petite lumière de l’allumette révélé de multiples tableaux au mur.
La plupart représentaient un homme célèbre.
Vlad Teppes, l’Empaleur.
La Tulipe avait des goûts pour le moins étranges.
Shan continua son exploration. Il arriva devant une échelle menant à une trappe dans le plafond. Le grenier. L’assassin alluma une autre allumette et gravit l’échelle.
Le grenier était totalement vide, excepté une caisse, au fond.
Shan se préparait à redescendre quand il entendit un bruit, deux étages plus bas.
La porte grinçait !
Shan éteignit son allumette à toute vitesse et, d’une roulade, alla se cacher derrière la caisse, tout en faisant jaillir sa lame secrète, prêt à se défendre. Il se rendit compte que son cœur battait à une vitesse incroyable et qu’il dégoulinait de sueur.
En bas, une voix s’éleva.
-Il y a quelqu’un ?
La voix était nasillarde, chevrotante. Mais vicieuse.
Un autre bruit. Celui d’un homme qui monte des escaliers.

La Tulipe (partie 3) :

Shan attendit. La Tulipe montait vraisemblablement les escaliers menant au premier étage. Sa voix s’éleva de nouveau.
-Gentil, gentil petit Assassin… C’est moi que tu viens voir ?
Les soupçons de Shan se confirmaient. Si la Tulipe connaissait l’existence des Assassins, c’était que quelqu’un lui en avait parlé. De toute évidence, l’homme à la croix autours du cou… qui n’était autre qu’un Templier.
Les Templiers étaient donc assez fous pour s’allier à des malades comme la Tulipe ?
Ce dernier était arrivé dans la salle à manger.
D’un pas lent, il explorait chaque pièce à la recherche de l’Assassin.
Par un petit trou dans le plancher, Shan voyait une lueur. Ulric s’éclairait avec une torche qu’il portait à bout de bras. Shan pouvait voir le haut de son crâne. Il était parsemé de touffes de cheveux gris ou jaunes.
Le tueur en série ressortit de la salle.
-Humm, fit-il, qu’est-ce que je vais manger ce soir ? Une fille ? Non, un Assassin !
Il se mit à chantonner en allant explorer une autre pièce.
Shan respirait calmement. Caché dans le grenier obscur d’un tueur en série psychopathe par une nuit de pleine lune sans personne pour lui venir en aide… Bah, il avait vécu des situations autrement plus délicates.
La Tulipe continua à marcher. Cette fois, il s’arrêta devant l’échelle menant au grenier.
-Ah ? Peut-être ici, dit-il d’une voix guilleret.
Il commença à monter. Shan dégaina sa faux d’un geste sec. Il jeta un œil derrière la caisse et vit la Tulipe.
C’était effectivement un petit homme voûté, avec une jambe plus petite que l’autre, un crâne quasiment chauve… Il était édenté et son œil gauche était complètement blanc.
Les rides lui mangeaient le visage.
Il devait être malformé de naissance.
Mais le plus inquiétant c’était la hache qu’il traînait derrière lui, dans sa main gauche.
-Petit, petit, petit, fit-il en s’avançant vers le fond du grenier.
Shan bondit de sa cachette. La Tulipe, légèrement surprise, sursauta. L’assassin fit tournoyer sa faux et l’abattit.
La Tulipe, avec des réflexes étonnant, para le coup avec sa hache. Sa torche alla rouler à l’autre bout du grenier.
-Sale Assassin ! hurla-t-il.
Shan esquiva deux coups de hache qui l’auraient fendus en deux et répliqua. Le tueur dévia le coup et envoya son poing dans le ventre de Shan.
Le jeune homme recula et se cogna contre le mur du fond.
La Tulipe avait une force impressionnante pour sa taille.
Ce dernier s’élança en hurlant et envoya un coup de hache en avant. Shan se baissa et l’épaisse lame s’enfonça dans le mur avec un craquement. Shan fit jaillir sa lame secrète et l’enfonça dans le ventre du tueur.
La Tulipe recula, un filet de sang dégoulinant de sa bouche, sa hache toujours en main.
-Rest in Peace, fit Shan.
Mais le tueur hurla de nouveau et fonça sur son ennemi. Là, il envoya une série de coups. Shan, surprit que son adversaire vive encore, ne les évita que de justesse.
D’un coup de taille, il enfonça la lame de sa faux dans les côtes de la Tulipe, fit une roulade vers l’avant, passa derrière son adversaire et tira son arme d’un coup sec. La lame remonta le long des côtes du tueur, et ressortit par sa nuque.
Sa tête roula au sol.
Le corps resta un instant debout avant de tomber à la renverse.
Shan, haletant, ne remarqua que trop tard que la torche avait mis le feu au grenier. Il courut vers la sortie et bondit par une fenêtre alors que la maison s’emplissait de fumée et commençait à trembler, beaucoup trop vieille pour résister à un incendie.
Shan retomba dans un buisson et vit du coin de l’œil de hautes flammes s’élever au-dessus du toit, et des débris enflammés tomber sur le chemin.
Le cadavre de la Tulipe brûlerait dans sa demeure et redeviendrait cendre.
Voila une affaire rondement menée.

Trois heures plus tard…

Lirand, plongé dans sa lecture, ne leva même pas la tête quand Shan rentra.
-Où tu vas ?
-Dormir.
-Bonne nuit.
-Merci.

Voila

Force : 2,5/10 + 0,5 = 3/10
Résistance: 2,5/10 +0,5 = 3/10
Déviation : 3/10
Vitesse : 3/10
Escalade : 3/10
Discrétion : 3/10 + 0,5 = 3,5/10
ouïe fine : 3,5/10
1700 pièces d'or + 400 = 2100
crochet/2épées/12couteau de lancer

tenue : sois: http://fc03.deviantart.net/fs71/f/2011/099/8/4/assassins_creed_iii_by_blues_design-d3dkg23.jpg
sois : http://th05.deviantart.net/fs71/PRE/i/2010/340/e/9/assassins_creed__feudal_japan_by_melciah1791-d34cp5g.jpg sans le masque
laquelle est la mieux ???

épée : http://www.couteaux-center.com/boutique/images_produits/CS88HNH.jpg

couteaux de lancer : http://lames.et.couteaux.free.fr/dotclear/images/new251.jpg

j'achète Le pistolet à un coup--------2000f(Max 6 munition pour plus allez chez "tailleur")
2100-2000=100

pistolet : http://www.atelierdugn.com/media/catalog/product/cache/1/image/9df78eab33525d08d6e5fb8d27136e95/1/0/1013g.jpg

Moi j'ai beaucoup d'or mais je sais pas quoi acheter

N'achètes rien

1300 pièces d'or et 3 points
T'écris vite

Il fait des pavé de fou, ce type

Heureusement qu'il écrit bien

J'ai de l'entraînement, vous demanderez à Lenski