Voila! Ça donne ça:
Anecdote 1
« -Alors, on roupille encore ? Quand on a dit qu’on te prenait, c’était pas pour que tu fasse la sieste.
Olivier ouvrit les yeux et regarda Daniel, le chef des assassins de Montpellier. Il était petit, avec des bras anormalement longs, et devait avoir la trentaine.
-C’est bon, dit l’intéressé en se levant.
-Descend à la cave, Benoît va t’évaluer. Et fais gaffes, tu fais une seule conneries, je te jure que t’auras des problèmes avec moi !
-Y a pas de problèmes. »
Daniel continua à le fixer d’ un air mauvais, puis partis à pas rapides.
«- Je crois qu’il ne m’aime pas beaucoup, concéda Olivier à Franck.
-Nan … Tu crois ? lui répondit celui-ci d’un ton railleur. En tout cas, vaux mieux que tu traîne pas trop ici. »
Olivier sortit du dortoir commun où il était seul à cette heure-ci, traversa une salle tout aussi vide, longea un couloir puis descendit les marches en pierre d’un court escalier.
Il se retrouva dans une salle longue de vingt pieds(cinq mètres), où un colosse à barbe brune attendait sur un tabouret de bois.
«- Et bien ! T’es pas très ponctuel, toi ! rugit-il gaiement.
-J’ai eu quelques petits…
-Oh ! J’ai pas besoin de savoir ça. Ce que je veux savoir, c’est qu’est-ce que tu sais manier ?
-La bêche et la charrue, répondit bêtement l’ancien fermier.
-T’as réfléchi pour la sortir celle-là ?, se moqua Franck.
-Heu… Je pense pas que ça te sera utile ici… Je repose ma question différemment :Quelles armes sait-tu manier ?
-…
-Tu t’es déjà battu ? demanda Benoît de plus en plus sceptique.
-Euh… non mais je suis là pour apprendre, non ?
-Admirable réponse !Mugis celui-ci
-Quel enthousiasme, remarqua Franck
-Moi il m’a l’air sympa, dit Olivier à voix haute.
-Je te demande pardon ?
-Je parlais à… avec moi même, mentit-il
-Mouais, répondit Benoît, pas très convaincu. Enfin, le mieux, c’est de passer à la pratique.
-Tu devrais faire plus attention. Si on venait à savoir que tu est fou, on sera dans de beaux draps. »
Olivier ne répondit pas au reproche de Franck et suivis Benoît
Le géant l’emmena devant un râtelier d’armes émoussées spécialement pour l’entraînement, lui fit choisir la lame qui lui convenait le mieux et commença à lui apprendre les bases. Benoît y allait en douceur mais il récoltât quand même quelques bleus.
« -Bon, y a du boulot, mais avec de l’entraînement quotidien, on arrivera peut-être à faire quelques chose de toi …
-Toute la nuance est dans le ‘‘peut être’’…
-Tait-toi j’écoute.
-donc maintenant je te propose d’aller voir Jeanne, notre couturière. Elle prendra tes mesures pour te confectionner un habit d’assassin.
-Donc ça y est, je suis un assassin ? demanda le jeune homme.
-Tu va trop vite en besogne, gamin. Non tu est juste une recrue potentielle. Tu feras tes premières missions quand tu sera apte à survire en milieu hostile. Bon j’ ai du travail à finir, je t’emmène à son atelier, au deuxième étage. »
Il avança d’un pas vif et l’ex-coursier eu du mal à garder l’allure.
« -Son atelier ? demanda-t-il, En plein milieu du quartier général ?
-Tout les ateliers sont au deuxième étage. Tout ce qui est ici est fait par des assassins. Moi je suis forgeron. »
Soudain il s’arrêta de marcher et lui demandât :
« -Et toi, tu peux faire quoi pour la guilde ? Je veux dire, quoi comme métier ?
-Ne t’inquiète pas, tu sait manier la bêche et la charrue…railla Franck
-Avant, j’étais coursier. Ça pourrait être utile à la confrérie ?
-Peut être. Il parut réfléchir, puis continua à marcher. »
Il s’arrêta devant une porte, dit qu’il travailler ici, et lui indiqua l’atelier de Jeanne et lui dit au revoir.
« -Bon, maintenant, les vêtements. Dit Olivier en s’avançant vers l’avant dernière porte de gauche.
Franck soupira, puis dit :
-Quand tu me parle, t’es pas obligé de t’exprimer à voix haute … »
La recrue toqua puis entra lorsqu’une voix féminine l’invitât.
Pour ce qui est des Wildeinstern,je sais pas du tous ce que c'est 
Pour la musique, si c'est celle se simple plan, Ouais j'aime bien aussi 
