Bah moi je serai bien comme Jet mais parmi ceux qu'il faut cramé y a mon maitre, alors...
Viens link, rejoin nous, viens...
Pourquoi nous, t'es tout seul?
'Fin Bon, je suis bien tout seul
Nous sommes schizophrène viens!
Jet tu fais un choix ou tu ferme ta gueule m'okay
MP suplémentaire, merci d’aller TOUS le lire, et si possible TOUS donnez votre avis :D
Je l'aurai pas dit comme ça mais Ludo n'a pas tort
Non, je plaisante Jet
Influence des Templiers sur Genève : 95%
Compétence:
Force: 2.5
Vitesse: 2
Déviation: 2
Résistance: 1.5
escalade: 2
Discrétion: 3.5
Argent: 2200 Pièces d'or
Judo, je passe une boîtes de cookies pour toi et ton peuple en gage de non agression.
Et moi on me passe rien
Me rejoins tu?
« La libération de Prague »
Partie 3 : « Précepteur »
Hiver 1799,
Les campagnes étaient pauvres, délabrées. L’hiver n’avait pas épargné les exploitations des paysans, et l’économie du pays était affaiblie.
De pauvres bergers peinaient à faire entrer leur bête dans les enclos adaptés.
Un pauvre paysans retournait la terre, morte, avec les outils adéquats, quant un homme, bien vêtu, tenant une liste et une plume dans sa main droite vînt s’approcher de lui. Il était entouré de deux gardes, l’un armé d’une épée, l’autre, plus costaud, d’une hallebarde. Le paysans, releva la tête, et balbutia qu’il n’avait pas « de quoi payer ». Le vieil homme, dont la barbe bien taillé et les parures d’or ornaient son coup, était le templier que je cherchais. Il se mit à claquer des doigts, et un de ses soldats s’approcha, menaçant, vers le laboureur. Il le saisit par les cheveux, le regarda d’un air noir, et le jeta au sol, en lui hurlant dessus. Le percepteur d’impôt lui dît alors, le regardant, méprisant cet être plus faible :
- Je pense que tu as maintenant compris l’utilité de nous payer. Rassemble l’argent à la fin de la semaine, ou tes bêtes trouveront la mort. Puis viendra celle de ta famille, et la tienne.
Les trois hommes s’éloignèrent, pour aller collecter d’autres taxes. Je m’approchais du travailleur, désorienté, qui cherchait se bèche pour se relever. Je lui tendis la main, pour l’aider, et lui posa une question :
-Pourquoi ces hommes vous embêtaient ?
-Ils veulent que je paye leurs fichus impôts …
-Pourquoi devriez-vous payer ?
-Parce qu’ils nous protègent, et favorisent l’exportation de nos produits en « surveillant » et en « construisant » des routes. Pourtant, je ne vois pas la couleur de l’argent que cela devrait nous rapporter. Ils nous prennent pour des idiots…
-Je ne les laisserais pas continuer d’extorquer le peu d’argent que vous possédez. Je vais vous apprendre à vous défendre.
Ainsi, pendant le semaine qui suivait, j’entrainais les fermiers de la campagne alentour à Prague, lors de grands rassemblement. Je faisais se battre les hommes, et demandais aux adolescents d’observer. Je donnais quelques leçons de combats, apprenant les rudiments du combat tel que les parades, les coups de hanches, ou les coups d’estocs. Cependant, les paysans étaient démunis, et se battre avec des fourches ou des gourdins allait rendre la tâche bien plus ardue.
-En avant, sur les côté. Maintenant, tourne, puis attaque sur le flanc ! Là, voila, il y a une ouverture dans sa défense. Profites-en !
Les travailleurs, abasourdis, essayaient tant bien que mal d’écouter mes conseils pour progresser. Ils se battaient avec des bâtons et des épées en bois, seuls armes qu’ils possédaient. J’espérais que la prochaine collecte n’allait pas finir en effusions de sang.
-Tu es robuste, sers-toi de ta résistance, et fonces, et frappe le au sol ! Bon. L’entrainement est terminé, ré-habillez vous.
A l’horizon, des bruits de cloches et des silhouettes se distinguaient de la brume matinale. Le percepteur était revenu avec beaucoup plus de soldats.
-L’heure est venue de montrer ce que vous savez faire. Epuisez vous pieux en bois, et frappez de toutes vos forces. .Le but n’est pas de tuer, mais de faire comprendre à ses vaux-rien que vous n’êtes pas d’accord avec ce qu’ils vous imposent.
Ramassant une bèche qui trainait sur le sol, je marchais, d’un pas vif, vers ma cible. Quand le templier me vît, accompagné de mes nouveaux camarades, il recula d’un pas, et nous fixa dans les yeux, avec un sourire dérangé qui dessinait son visage.
-Oh là ! Les paysans font la grève ? Retournez travaillez, et préparez l’argent que nous viendront chercher.
-Ils ne sont pas sous vos ordres, répondis-je.
-Que baragouines-tu, misérable.
Je m’approchais de lui, rapidement, et balançais mon bras vers son visage. La bèche lui fendit la mâchoire. Il se retrouva un genou, et fut achevé par deux coups similaires sur le haut du crâne. Un de ses gardes, impressionnés, partis en courant. Les autres n’eurent pas le temps de dégainer leurs armes, que la foulée de paysans se rua sur eux, s’acharnant à coup de bâton en bois, et d’armes de fortunes. Une lettre, contenant une adresse, indiquait l’emplacement de l’argent détroussé aux laboureurs de champs. Tel une ombre, je retournais au quartier général informer de la réussite de ma mission, et envoyer un assassin chercher le trésor pour le remettre aux paysans.
La libération de Prague avait réellement commencée.
Jet J'ai mes réservé de pims tu ne peux rien contre moi. Ezio si tu veux te refaire les dents t'as qu'a co Homm.
Aïe, toutes les fautes de frappes et d'orthographe... Je suis fatigué, excusez-moi.
Sinon pour "coups de hanche", c'est voulu, sa signifie "coup sur les flancs". Je dis ca pour pas que vous confondiez avec "coup de hache".
Désolé du retard, j'était au resto personelement je prefere
Donc je pense être
vous avez compris
Vive les pfistes
Gloire à nous
Et les autres aller vous brosser
Desolé AS
La neutralité c'est bien, mais l'anti-pfiste, c'est mieux.
T-redead pour cette trahison, je ne payrais plus les 50 prochain textes que tu fera
Je soutiens As, hérétique de T!