Assassin's Creed III

Ah bah oui, j'ai même pas pensé à Wikipedia...

okok, en plus les moghols ça m'as pas fait tilter

Pour ta défense ils ont été jusqu'en Inde , en Chine/mongolie , en Russie ....

Salut

Salut

flamme c'est la vie

jet tu peux me passer le lien de la vidéo stp

lens merci pour les vues

s'il vous plait les gars venait voir ma chaine ( je sais c'est de la pub mais vu qu'on s'emmerde

http://www.youtube.com/watch?v=zfxMXPw5YEQ&feature=plcp

dsl du dp mais je voulais dire que j'avais un entorse à la main droite donc écrire c'est pas pour tout de suite

Pauvre petit choupinon de Ludo
Moi je post bientot mon anecdote

Ludo j attend de voit t es video sur assassins creed j ai mis un pouce tu vera lequel.

Je voulais m aboner mais j ai pas trouver la touche sur mon ptin de portable

En parlant de You Tube, ce matin en français la prof nous a montrer des vidéos de l'Avare et il y avait à droite une morceau du Gameplay d'AC3

Mensonge (partie 1) :

Andrey Slotzvorsf regarda par sa fenêtre. Le vent soufflait avec une force impressionnante, digne d’une véritable tempête. La neige sifflait et les flocons volaient si vite qu’ils formaient une sorte de blizzard empêchant de voir à plus de cinq mètres.
Le vieil homme gratta sa barbe. Personne ne se risquerait à aller dehors par ce temps là. Aucun être humain ne pouvait survivre à ça. Même les animaux de la forêt devaient s’être cachés dans leurs tanières le temps que cela se calme.
Dans une autre pièce, Andrey entendit sa femme Irina pester contre la tempête qui l’empêchait d’aller au marché du village voisin.
Andrey sourit. Soudain, quelqu’un frappa à la porte.
Les coups étaient rapprochés et puissants, signe que la personne, dehors, était pressée.
Andrey se précipita vers la porte et l’entrouvrit pour voir un jeune homme à la peau mâte portant une femme dans ses bras. Le jeune Indien, car c’en était un, était couvert de givre et de sang séché. Il avait vraisemblablement laissé sa tunique à la jeune femme car lui était presque torse-nu.
Andrey n’en croyait pas ses yeux. Mais ce qui le stupéfia vraiment, ce fut le regard déterminé du jeune homme.
Le vieux Slave le laissa entrer sans un mot. L’Indien pénétra dans la maison.
Andrey referma rapidement la porte pour empêcher le froid de rentrer. L’Indien, sans lâcher la jeune femme, qui semblait évanouie, porta son regard sur le vieil homme.
-Les habitants du village d’à côté m’ont dit que vous étiez médecin, dit le jeune homme en Anglais. C’est vrai ?
Il n’y avait ni colère ni panique dans sa voix. Elle était calme et déterminée.
Andrey hocha la tête en déglutissant. Il savait parler Anglais depuis tout petit mais il avait du mal à croire ce qu’il avait entendu. Le village d’à côté… Le plus proche village où le couple allait faire ses courses, chaque mois, se trouvait à quinze kilomètres au Sud. Autrement dit, le jeune homme avait marché sur quinze kilomètres, dans la tempête, en portant la jeune femme dans ses bras.
-Soignez-là, fit l’Indien en montrant la jeune femme d’un geste de la tête.
-P… Posez-là sur la table, je dois l’examiner.
-Chéri ? lança Irina en entrant dans le salon.
Elle se tut en voyant l’inconnu. Andrey ne lui accorda même pas un regard. Il s’approcha de la jeune femme évanouie et se pencha vers elle. Il pâlit d’un seul coup.
-Irina, apporte-moi un bac d’eau chaude, du tissu et mes instruments. Vite !
L’Indien ne broncha pas quand la vieille femme aux cheveux grisonnants passa devant lui en courant pour se diriger vers la pièce voisine. Il ne réagit pas non plus quand elle rapporta à son mari tout ce qu’il lui avait demandé.
Il croisait les bras et observait la scène avec un calme olympien mais un regard grave.
Andrey prit un petit couteau et déchira la tunique de la jeune femme au niveau de l’épaule. Il prit un chiffon qu’il trempa dans l’eau chaude et l’appliqua sur la peau de la femme.
-Elle est blessée à l’épaule.
-Je sais, répondit l’Indien.
-C’est très grave. La plaie s’est infectée.
-Je sais.
-J’ai peu de moyens ici, je…
-Je sais. Faites-ce que vous pouvez.
Andrey hocha la tête. Il désinfecta la blessure avec de l’alcool et prit la jeune femme dans ses bras.
-Prenez les instruments, je l’emmènes dans ma chambre.
L’Indien suivit le vieil homme jusqu’à sa chambre. Andrey déposa la femme sur son lit et se pencha vers elle.
-Sortez, fit-il avec l’autorité d’un médecin en pleine opération. J’ai besoin de calme et de concentration.
Le jeune homme obéit et sortit de la pièce. Il attendit une dizaine de minute avant qu’Andrey ne sorte.
-Alors ?
-J’ai recousu la plaie comme j’ai pu. Elle est très profonde et a touché l’articulation. Il se peut que cette femme ne puisse plus jamais se servir de son bras.
Le vieux Slave vit l’Indien serrer les dents.
-Et ? continua le jeune homme.
-Elle a une très forte fièvre. Je n’ai jamais vu ça. Une personne ordinaire serait morte depuis longtemps.
Andrey avait deviné qu’elle n’était pas ordinaire.
-Il lui faut du repos et de la chaleur. J’ai des plantes et des produits qui calmeront sa douleur et sa fièvre mais son sort est entre les mains de Dieu. Elle devrait tout de même s’en tirer. Cela dit, elle a faillis mourir. Vraiment.
L’Indien ne répondit pas.
-Comment s’appelles-t-elle ?
-Eva.
-Et vous ?
-Leeve.

Le soleil commençait à se coucher. Irina avait allumée des bougies dans la pièce. Son mari, Leeve et elle était assis autours de la table du salon et buvait de la soupe fumante.
-Vous ne voulez toujours pas me raconter comme elle s’est faite une telle blessure et comment vous êtes arrivés là ? demanda Andrey.
-Désolé mais non, répondit Leeve.
-Mais qu’est-ce qui vous a pris de…
-Laisses-le enfin, fit Irina. Tu ne vois pas qu’il est fatigué ? Vous allez dormir ici monsieur ?
-Oui, répondit Leeve. Votre mari a proposé de m’héberger jusqu’à ce qu’Eva soit guérie.
Andrey porta son bol de soupe à ses lèvres et le finit avant de se lever. Leeve l’imita. Les deux hommes sortirent de la pièce.
-Quand se réveillera-t-elle ? demanda Leeve d’une voix sombre.
-Je ne sais pas. En vérité, il est probable qu’elle ne se réveille jamais.
-Vous avez dit qu’elle s’en sortirait.
-Elle peut s’en sortir. Théoriquement, c’est possible. Mais tout dépend de sa volonté et de ce qu’elle souhaite.
-Ce qu’elle… Souhaite ?
-Vous, vous voulez qu’elle se réveille et vive. Mais elle, le veut-elle ?
-Vous voulez dire que…
-La guérison, vous savez, dépend entièrement du patient. Le médecin ne guérit pas, il donne simplement un coup de pouce. C’est la volonté du malade qui fait le principal. J’ai déjà vu des patients atteint d’une maladie ou d’une blessure normalement mortelle, s’en sortir car ils voulaient vivre par-dessus tout et des gens lâches ou peu déterminés, morts à cause d’une maladie bégine.
Andrey tapota sa tempe avec son index.
-Tout est là, dans la tête. Si vous voulez vivre, alors vous vivrez. Rien ne pourra vous tuer.
-Eva n’est pas comme ça… Même si son père est… Elle veut vivre, je le sais.
-Son père est mort ?
-Une longue histoire.
-Vous me la raconterez un jour ?
-Je ne sais pas. Pour votre bien, il vaudrait mieux que je ne vous la raconte jamais.
-Si c’est ce que vous voulez… Cependant, sachez que je suis là si vous avez besoin de parler. Maintenant allez dormir. Je vous préviendrais si elle se réveille mais ne vous attendez pas à ce que cela arrive tout de suite. Elle devrait rester dans le coma pendant une bonne semaine.
-Merci docteur.
-Andrey, juste Andrey.

Link rigole mais quand ton index fais la taille de ton gros doigt de pied tu rigole pas beaucoup.

t mici pour la touche je peux pas t'aider je vais jamais sur youtube par portable. Pour nous c'est au dessus de la vidéo une touche avec marqué s'abonner.

Bilbo J'hésite à te noter enfaite car comme t'es au maximum niveaux compétences et que tu dépenses pas ton argent cela sert pas à grand chose

Ludo Au la vache, je n'avais jamais remarqué

_________________________

Anecdote 8: Le Solitaire.
2 Avril 1783, 10 heures
Foret au Nord de Rio.

Mes yeux s’ouvrirent lentement. Je pensai être mort après m’être enfoncé le couteau dans le ventre, mais l’endroit où je me trouvai semblé prouver le contraire. J’étais dans une cabane en bois faisant dans les 5 mètres carrés. Elle ne contenait qu’une bassine remplit de fruits exotiques ainsi qu’un lit.
« Vous vous réveillez enfin. »
Je tournai ma tête vers la droite et vis un homme habillé avec une tenue blanche, ressemblant à quelques détailles près à celle des assassins. Cette tenue avait l’air d’avoir était cousu par lui-même. Il avait des yeux bleus ainsi que des cheveux longs. Il possédait aussi une petite barbe et devait avoir une trentaine d‘année.
« Qui êtes-vous?
- Votre sauveur. Sans moi, vous seriez actuellement au Paradis. Ou en enfer selon ce que vous avez fais.
- Pourquoi avez-vous « enfin »?
- Et bien cela fait trois jours que vous dormez.
- Trois jours ! Et où suis-je?
- Dans ma maison. C’est une cabane que j’ai construite. C’est une vilaine blessure que vous avez sur votre hanche, on peut dire que vous ne vous êtes pas raté. »
Je regardai mon foie et vis une cicatrice. Je repensai à ce que j’avais fais puis répondis.
« Mon but n’était pas de me rater.
- J’en ai conscience. D’ailleurs, pourquoi avez-vous voulu mettre fin à votre vie?
- Ce sont des choses personnelles, ça ne vous regarde pas. Ce sont des choses qui vous dépasse.
- Crois-moi, cela me regarde en tout point.
- Vous êtes un assassin?
- En effet. Un assassin solitaire pour être précis.
- « Solitaire »?
- Il y à dix ans, je suis rentré dans la guilde de Rio. Au fur et à mesure du temps, je me suis rendu compte que les membres n’étaient qu’une bande d’incapables, et que je ne faisais pas partie de leurs catégorie. Je voulais en même temps progresser en matière de combat, mais avec ces types, je ne pouvais pas. Je suis donc parti en solitaire.
- Quel orgueil.
- Je ne dirai pas ça.
- Je vous remercie de votre hospitalité, mais je dois partir retrouver mes assassins dans la forteresse templière.
- Vous allez avoir du mal à les trouver car il n’y a plus d’assassins dedans.
- Comment le savez-vous??
- Je suis peut-être solitaire, mais je suis toujours un assassin. Je dois donc effectuer mon travail qui est de protéger Rio des templiers. Tous les jours, je pars dans la foret proche de la forteresse. Je grimpe au plus haut arbre et regarde si il y a du changement. Et hier, lorsque j’y suis allé, elle était en feu.
- Ce sont surement mes assassins. Ils ont dû cramé l’endroit.
- Je voulez-vous poser une question. J’ai pu remarquer que vous êtes français. Mais que faites-vous en Amérique Latine.
- Je n’ai pas pour habitude de raconter ma vie à des inconnus. Prouvez moi que vous êtes vraiment un assassin et je vous le direz. »
Il sortit de ses manches deux lames secrètes. Je n’étais toujours pas convaincu, il aurait pu les avoir volé. Il me montra son majeur, qui possédait une brulure. Cela prouvé qu’il avait fait la cérémonie d‘admission. Après tout, il m’avait sauvé, je ne pouvez que lui dire la vérité.
« Convaincu? Me demanda-t-il.
- Oui. Pour commencer, j’ai traversé l’Europe pour trouver neufs Codex écrient par les grands assassins du XV et XVIème siècles. Ils indiquaient un temple en Birmanie. Lorsque je le trouva, celui-ci nous indiqua quatre temples éparpillé dans ce continent.
- Et c’est pour ça que vous êtes là?
- Pas complètement, je suis venu aussi sauvé un ami. Dis-je tristement.
- Qu’est devenu cet ami?
- Je n’ai pas envie de parler de ça.
- Je comprend…Enfin non je ne comprend pas.
- Je dois quand même y aller.
- Au temple?
- Oui, celui du Brésil.
- Laissez moi vous accompagner.
- Non. Il en est hors de question !
- Vous ne connaissez pas le Brésil. Les templiers sont nombreux comme vous avez pu le voir à Rio, et je connais bien le pays. Vous ne pouvez pas y aller seul. En plus, le temple se trouve à Rio.»
Je réfléchi puis accepta. J’ouvris la porte d’entrée et tombai. Je me rattrapai de justesse au rebord de la cabane. J’étais à une dizaine de mètres d’altitude. En tombant, je risquai de me casser les jambes.
« Mais qu’est-ce que c’est que ce chantier?? Dis-je paniqué.
- La cabane est construite sur un arbre.
- J’avais remarqué ! Et comment on descend?
- En s’accrochant aux branches de l’arbre. »
J’essayai d’attraper une branche. Je l’attrapai puis me balança vers une autre. Cinq minutes plus tard, je mis les pieds à terre. L’assassin solitaire me rejoins sans aucun problème.
« Au fait, vous ne m’avez toujours pas dis comment vous vous appelez?
- Appellez moi « El Solitario ».
- D’accord, va pour « El Solitario ». Mais vous n’avez pas un vrai prénom?
- A quoi sa servirai que je vous le dise puisque vous devez m’appelez « El Solitario ». 
Nous marchâmes alors dans la foret en direction de Rio. Nous voulions acheter de la nourriture ainsi que de l’eau pour la route. Une demi-heure plus tard, nous arrivâmes à destination. La ville avait toujours la même allure. Les marchands hurlaient pour vendre leurs produits, des charrettes traversaient la ville, des enfants jouaient…
Je décidai de revoir la charmante demoiselle qui vendait des gourdes, cela allé nous permettre d’en acheter.
« Bonjour Isabella.
- Nous nous connaissons?
- Non, je vous ai juste acheter de l’eau il y a trois jours. D’ailleurs, pouvez-vous m’en vendre deux? Dis-je en pointant du doigt les gourdes.
- Tenez. Cela fera six pièces d’ors.
- Ca à augmenter par rapport à la dernière fois. C’est la crise?
- Il faut bien que je gagne ma vie.
- Je suis d’accord. »
Je pris les gourdes, en donna une au solitaire puis parti. Le soleil nous tapé le visage, j’en profitai pour rabattre ma capuche.
« Attend, je repense à une chose.
-Quoi donc?
- Si mes assassins ne sont pas morts, ils sont probablement retournés sur notre navire.
- Allons-y alors. »
Nous courûmes jusqu’à la plage. Arrivé, je vis le navire qui était intact. Je grimpai dedans avec mon acolyte puis marchais vers la porte de la salle à manger. J’ouvris cette dernière. Il y avait une dizaine de mes assassins, couverts de blessures. Parmi eux se trouvait Clément.
« Thomas? C’est toi? Tu es vivant?
- Oui, c’est moi.
- On te croyait mort.
- Et bien je ne le suis pas.
- Et Mozart? Tu l’a retrouvé? »
Je baissai les yeux puis répondis.
« Il est mort. Je n’ai rien pus faire. »
Un long silence s’installa dans la pièce. Il fut brisai par Clément.
« Qui est cet homme? Me demanda-t-il en pointant « El Solitario » tout en ayant un air triste.
- C’est un assassin solitaire. Il s’appelle « El Solitario ».
- Je vois.
- Maintenant que nous sommes assez nombreux, partons à la recherche des temples. »

Linkc 600 pièces d'or et 1.5 points
Assez amusant "El Solitario", tu as bien montré le personnage, par contre plusieurs points négatif d'abord Thomas qui survit à sa tentative de suicide mais on dirait qu'il a oublié qu'il l'a fait car il a l'air plutôt bien niveau mental et si tu ne le dis pas on ne se serait jamais douté qu'il a fait une tentative de suicide, on aurait plutôt dit qu'il aurait été blessé dans une bataille que les Assassins auraient gagné.
De plus il est dans une cabane mais il n’y a pas de fenêtre pour voir qu'il est dans les arbres? De plus normalement il y a une espèce de pallier devant l'entrée d'une cabane dans les arbres pour justement éviter de tomber et "El Solitario" comment il a fait pour monter Thomas dans sa cabane?
Dernière chose le passage avec la nana et ses gourdes n'était vraiment pas nécessaire car il achète seulement les gourdes et rien de plus surtout qu’il ne part pas à l'aventure direct et va avant à son bateau.

C'est vrai, tu as raison sur tout les points
Je ferai plus attention la prochaine fois, mais là ta critique vaut le coup

Prénom: Thomas
Nom: Maure
Age: 19 ans ( Né le 28 Mai 1764 )
Nationalité: Yémen (Parle Français, Anglais, Espagnol, Italien et Arabe)
Description Physique puis moral: Thomas mesure 1m79 pour 67 kilos. Il à les cheveux bruns frisé.

Histoire: Fils unique d’une famille d’explorateur au Yémen, il commença à s’attaquer aux livres d’Histoires et aux cartes maritimes à l’âge de 16 ans. Un jour, il mit la main sur un parchemin nommé « Liste des assassins de la famille Maure ». Et à sa grande surprise, il vit son nom tout en bas de la liste. Intrigué, il se mit à chercher des livres sur les « Assassins » et appris qu’ils étaient en guerre contre des templiers. Un jour, il trouva une carte indiquant tous les quartiers généraux et comprit que c’était son destin. Il partit en direction de Paris pour rejoindre la confrérie.

Tenue: Tenue d’assassin du Yémen.

Force:8,5
Resistance:8,5
Déviation:8,5
Vitesse:8,5
Escalade:8
Discrétion:8

Francs:8200

Armes: Deux lames secrètes, un sabre, 5 couteaux à lancer, un arc, une dague, un pistolet.

sinon, que pensez-vous des quelques derniers chaps ? (parce qu'en fait j'ai essayé de faire des chaps qui se concentrent sur la vie et les pensées des persos, sans trop d'action, et j'aimerais savoir ce que vous en pensez.)

bilbo : une indication de lieux et de date en début de chap serait bien
Sinon il n'y a rien à redire , tu maîtrise bien l'histoire et les personnages
et toi , que penses-tu de mon dernier chap ?

On voit bien que Marcus a la rage d'avoir perdu Jack et ça lui a permis d'être meilleur après j'ai hâte de voir la prochaine confrontation Marcus VS As de Pique, pour Leeve et Eva bah il passe pas grand chose à part qu'il s'aime pas trop, à part Leeve qui aurait peut-être un petit faible pour Eva mais ça va pas plus loin pour l'instant car je voie pas trop où ça va mener mais à toi maintenant de nous le montrer

Lenski pour ton anecdote tu comptes faire un retour en arrière pour montrer comment les Lenski sont venu en Russie?

flamme : bah techniquement on peut dire que la Russie est venu à eux
L'idée est plutôt de montrer comment ils ont pu passer de Donov à Alexander
D'ailleurs comment tu les décrirais tous les deux , que je me fasse une idée vu que bon de mon côté je vois parfaitement ce qu'ils sont mais pas ce qu'ils semblent être