Je viens de trouver un chapitre perdu de Dimitri
à une époque , j'avais écrit plusieurs ébauches de scénario pour les faire coïncider mais je m'attendais pas à ce qu'ils puissent servir comme ça
Enfin je vais pas la poster
Meuh non
En fait si
Pauvre Lenski
Tu veux un ccokie ?
Oui je remplace Jet pour un mi-temps
Hey salut tout le monde c'est T
Salut T
Sa bide Grave en ce moment
Ouai sa dois etre a cause de jet qui est parti en vac
[Pondichéry , 1783]
-Et voilà , maintenant les français sont de retour ….
Adesh observa quelques soldats français . Ils venaient tout juste de débarquer et , apparement , venaient de combattre contre les anglais , obtenant une victoire dîte « historique »
-Je me demande qui peut bien être le général …. bah ! Quelle importance ! Les français ne sont pas encore assez puissants pour s'en prendre aux anglais ou a nous .
Dans la caserne française .
Un mousquet reposait fièrement sur le bureau du plus haut gradé de la caserne . Celui-ci observa un moment l'arme avant de la désosser pour pouvoir l'observer sous tous ses angles .
-C'est armes sont décidément trop peu précises . Notre façon de nous battre souffre beaucoup trop de la forme du terrain ….
-Monsieur , désirez-vous quelque chose ? Demanda un soldat .
-Non ….
Il se leva et alla devant la fenêtre .
-Il faut que je me dépêche d'organiser tout ça avant de retourner en Russie …. L'Inde ne concerne pas mes projets .
Il se retourna et observa le livre posé devant lui . Dimitri se passa une main dans le cheveux avant de retourner à son bureau .
-Nos fusils sont efficaces … en ligne …. trois voire quatre ou même cinq coups pour les meilleurs soldats ….
Il observa une carabine posée sur une table .
-Les américains les ont utilisé pour éliminer les gradés . Augmenter leur cadence de tir est sans doute la meilleure chose à faire … Ajouter des rainures augmente la précision alors il faudrait en ajouter autant que possible mais c'est difficile ….
Il observa de nouveau les projectiles ainsi que les rapports de bataille et les illustrations représentant les mouvements des différents corps d'armée .
-Il faudrait également augmenter le rythme de tir . Peut être que …. Un fusil très précis et un autre à tir rapide . Le tir roulant serait ainsi conservé , demandant trois voire quatre lignes ….. Non …
Il regarda rapidement une carte du relief de la région .
-Il n'y a pas assez de plat . Un talus ou un creux et c'est toute la ligne qui s'effondre . Une rivière ou un marécage à traverser et c'est la fin d'une armée si elle y est prise …..
Il prit une illustration de cavalier et la mit dans son livre .
-Les voltigeurs ! Rapides à déployer , ils agissent de la même façon que les dragons mais … leur fragilité au corps doit être compensée …. Non ! Il faut repenser la façon d'utiliser les soldats ! Les cuirassiers , s'ils devaient être opposés à des tireurs d'élite tels que ceux des américains doivent se concentrer sur leurs charges . Un voltigeur devrait ainsi se déplacer sur la croupe d'un cuirassier , celui-ci lui offrant un léger apport de feu , le temps que les voltigeurs se mettent en place avant de lancer une charge sur les lignes déjà déstabilisées par les tirs des-dits voltigeurs ...
Dimitri entendit du bruit avant de voir un indien lui apporter du thé .
-Demandez à ce que l'on ne me dérange sous aucun prétexte .
-Bien , monsieur .
Dimitri observa alors une illustration représentant un officier marchant devant ses soldats .
-Ces lignes …. Trop difficilement manœuvrables il faudrait les remplacer par quelque chose …. Peut être de petits groupes très mobiles chargés de désorganiser les lignes , à la façon des tirailleurs…
Il observa une illustration de soldat russe .
-Un mortier à main … Il faudrait que la quatrième ligne , celle qui ne tire pas , tire ne serait-ce qu'un coup une fois que la troisième ligne se serait baissée . La ligne ennemie serait perturbée suffisamment longtemps pour reprendre la manœuvre de feu roulant ! C'est ça ! Il ne suffirait donc que de deux salves , voire peut être trois , désorganiser les lignes ennemis avant de charger !
Il termina de prendre ses dernières notes avant de quitter la caserne et de se diriger vers le port .
-Où en est le débarquement des troupes ?
-Bientôt terminé , monsieur .
-Mon navire ?
-Nous terminons de charger les ….
-Parfait ! Je vais chercher mon équipages et nous quittons ce trou pourri !
-Heu mais … l'organisation de l'armée ….
-Je suis ambassadeur de France en Russie alors croyez que j'ai mieux à faire !
Dimitri rangea son livre dans sa cabine de capitaine avant de se diriger vers une taverne . Il repéra rapidement où était son équipage et s'approcha .
-Allez bande de poivrots ! Tout le monde debout et on lève l'ancre !
-Mais heu capitaine …. et le rhum ?!
-Quoi ?
-Il a raison , ajouta un autre marin . On peut pas abandonner les bouteilles à moitié pleine ….
-Bande de …. vous mériteriez que …. très bien , on ne les abandonnera pas vide !
Dimitri prit une première bouteille et la vida .
-Vous êtes tous punis !
Il prit une deuxième bouteille et fit de même .
-Une fois que ce sera terminé ! On rentre tous au navire !
Huit bouteilles plus tard .
-Bois ! Bois ! Bois ! Bois ! Bois ! Bois !
Dimitri termina la bouteille et la lança contre le mur .
-C'est du bon ! Cria-t-il avec une langue engourdie .
Il prit une bouteille , constata qu'elle était vide et la lança contre le sol .
-Patron ! C'est ma tournée !
[Désynchronisation]
-Et c'est tout ?
-C'est déjà beaucoup ! Avec une seule goutte de sang de ….
-Professeur Mahoney …. Avec tout le respect que je vous dois , les Lenski ne nous intéressent plus !
-Mais ….
-Nous voulions savoir ce qui était arrivé à la pomme qu'ils avaient volé avant la révolution française, c'est fait ! Nous voulions savoir où était leur pomme personnelle , selon le dernier de leur lignée , elle a été détruite dans un temple en Inde en se liquéfiant ! Ils ne nous sont plus d'aucune utilité ! Nous avons gaspillé trop d'argent et de temps avec eux !
-Mais …. Ce sang que j'ai utilisé ! Il reste un de leur descendant en vie ! Et pas des moindres ! Un descendant de ….
-Ils n'ont plus aucun intérêt !
-Et si je vous apprenait que le fragment n'a pas été détruit mais a juste changé de forme .
-Quoi ?
-J'ai utilisé un peu de sang pour vous montrer cette mémoire . J'ai reçu cet échantillon grâce à une simple analyse sanguine d'un citoyen presque normal . Une alerte m'a indiqué qu'il possédait un nombre très élevé de gènes de ceux qui étaient là avant .
-Ça je m'en doutais . Qui est-il ?
-Un allemand .
-Et comment savez-vous ce qui est arrivé au fragment ?
-Par pure hasard . Je voulais juste voir les souvenirs contenus dans ce sang et je suis tombé par chance sur la transformation de cette pomme d'eden en un masque . Malheureusement , il faut un sujet conscient pour visiter plus de souvenirs .
-Très bien …. Vous avez carte blanche mais l'échec vous est interdit !
Je rêve où j'ai vu Mahoney ?
Dans mon prochain chap je vais faire intervenir l'Archer pour tuer cette ordure ( je dec' )
C'est le même que dans l'autre RP où juste un clin d'oeil en reprenant le nom ?
Le Chardon Pourpre (partie 4) :
1809, Paris, Q.G des Assassins Français…
Autours de la grande table ronde étaient réunis les Assassins Français les plus influents. Six hommes pour être précis. Le nouveau mentor de France, un homme d’une quarantaine d’année ayant des liens puissants avec les Malroy, ainsi que cinq autres personnes.
Tous des maîtres Assassins renommés. Parmi eux, Leeve, le meneur de la confrérie du Chardon Pourpre.
Pour l’occasion, il avait enfilé son uniforme d’Assassin Français mais y avait cousu l’emblème de sa guilde.
Trois jours avaient passés depuis la visite de Marcus. Leeve s’était empressé de prendre un cheval, des hommes, et de se diriger vers Paris pour informer ses collègues de l’évènement qui allait arriver. Napoléon, l’As de Pique et le grand chef des Templiers Français ainsi que ses généraux seraient réunis au même endroit, dans moins de deux semaines.
Il fallait agir et vite. Ne pas laisser passer cette chance.
Leeve se leva. Les maîtres Assassins le regardèrent d’un mauvais œil. Leeve savait ce qu’ils pensaient tous.
« Il est jeune et arrogant. De quel droit se permet-il de fonder sa propre confrérie sans notre accord ? De quel droit se permet-il de nous convoquer tous au Q.G de Paris pour s’entretenir avec nous ? »
Personne ne le respectait ici. Leeve n’en avait que faire.
-Messieurs, merci d’être tous venus, et d’aussi loin. Sire Lawrence, je crois que vous vous trouviez en Norvège, il y a quelques jours. Je vous remercie tout particulièrement de vous être déplacé.
Le dénommé Sire Lawrence émit un grognement. Il fit signe à Leeve de continuer.
-Comme je vous l’ai dit dans les lettres que je vous ai tous envoyé, les hommes les plus recherchés de la confrérie se réuniront dans peu de temps. Il faut frapper. Nous ne pouvons pas laisser passer cette chance de les éliminer tous.
-Et comment le savez-vous, qu’ils seront rassemblés ?
-J’ai des agents partout. Des agents compétents. C’est pour pouvoir avoir des agents comme eux que j’ai créé ma confrérie. De plus, ces informations m’ont été confirmées il y a trois jours.
-Et par qui ?
-Marcus Edmond.
Il y eut des murmures stupéfaits autours de la table. Marcus Edmond ? Le Templier renommé qui était mort il y a dix ans ? Celui qui avait tué un maître Assassin à l’âge de douze ans en combat singulier ?
-Marcus Edmond est mort.
-Non, répondit Leeve. Il est actuellement au camp du Chardon Pourpre en train de se faire soigner. Il a un but commun avec nous : Eliminer le chef des Templiers. En fait, il veut prendre la tête de l’ordre des Templiers mais pour ça, il faut faire tomber le chef. Et il a besoin d’alliés puissants pour cela.
-Et ensuite ? Si nous l’aidons, il fondera un nouvel ordre Templier. Ca n’aura rien changé.
-Nous l’éliminerons dès que le chef Templier sera mort, fit Leeve. C’est une évidence.
-Et où se réunira tout ce beau monde ?
-Dans dix jours exactement, au fort Sainte Laurentia, à la frontière Espagnole. Napoléon va négocier avec les généraux Templiers pour renforcer son armée et mener de nouvelles campagnes. Il est roi d’Espagne depuis peu, ce qui fait qu’il a pris le quasi-contrôle des Templiers Espagnols mais il veut aussi l’appui des Français.
-Et pourquoi l’As de Pique serait-il présent ?
-Napoléon et lui ont signés un accord, il y a peu. Napoléon a donné de l’argent et des hommes à l’As de Pique en échange de sa protection. Il lui a aussi donné du pouvoir.
-Qu’importe, l’armée de Napoléon sera sûrement présente. Je n’enverrais pas mes hommes se faire massacrer.
-Combien avez-vous d’homme messire Durand ?
-80, environs.
-Et vous, Sire Lawrence ?
-Un peu plus de 50.
-Je suppose que vous avez à peu près tous le même nombre d’homme, ce qui fait 200 Assassins. Mentor, vous disposez d’un effectif d’environs 400 Assassins, en majorité des maîtres. Cela fait déjà 600 soldats. Quant à ma confrérie, elle compte aussi 400 hommes. Nous arrivons donc au nombre de 1000 Assassins, dont deux tiers sont des maîtres Assassins. 700 maîtres et 300 jeunes recrues. Une armée. Les hommes de Napoléon ne feront pas le poids. Il faut compter dix soldats Napoléoniens pour égaler un Assassin.
-Il n’y aura sans doute pas que les hommes de Bonaparte, lâcha le mentor, silencieux depuis le début. J’ai moi aussi des agents, à mon service, qui m’ont informé que l’As de Pique disposait de 500 hommes. Des tueurs d’Assassins, habitués au combat, très expérimentés. Ils sont très forts. Si l’As de Pique sera là, ses hommes aussi.
-J’imagines que Napoléon aura environs 300 soldats à ses côtés, autours et dans le Fort. Avec les 500 de l’As de Pique, cela fait un total de 800 adversaires. Nous serons 1000. Ils sont en infériorité numérique.
-Mais ils ont une forteresse, des remparts, des murs solides et des canons.
-Nous aussi.
-Nous n’allons pas débarquer avec plusieurs dizaines de canons.
-Et pourquoi pas ?
-Notre seul espoir pour attaquer le fort c’est d’être discret et de le prendre par surprise sans quoi Napoléon aura le temps de s’enfuir. C’est déjà difficile d’être discret avec une armée de 1000 hommes mais avec des canons… Sans compter les charrettes et les carrioles qu’il nous faudra pour transporter notre armement, les chevaux, etc…
-Vous savez très bien que nous pouvons réussir un tour de ce genre. Nous l’avons déjà fait. Non, ce n’est pas ça qui vous freine.
Leeve frappa la table avec son poing.
-Vous avez peur ! Peur des Templiers et de Napoléon ! Vous n’avez pas envie de vous bouger pour faire changer les choses ! Vous êtes tous trop faibles et paresseux ! Vous avez oubliés les valeurs des Assassins depuis longtemps ! Les valeurs du grand Altaïr, sa lutte contre les Templiers, vous avez oublié tout ça ! Depuis la nuit des temps, nos prédécesseurs affrontent les Templiers, sans merci ! Ils n’ont jamais reculés ! Vous, vous êtes faibles et vous avez peur, alors vous préférez restez passifs, plutôt que d’agir !
Leeve se redressa et leur adressa un regard méprisant.
-Vous me faites honte. J’ai honte d’appartenir au même ordre que vous…
-S’en est assez ! hurla Sire Lawrence en se levant brutalement, la main sur la poignée de son épée. Cet homme nous insulte ! Je ne laisserais pas passer ça ! Cela se réglera à l’épée !
-Taisez-vous donc, le stoppa Leeve. Nous ne sommes pas au moyen-âge où chaque conflit se réglait par un duel. Et un vrai Assassin ne prévient pas avant de frapper. Il attaque, c’est tout. Encore une preuve que vous êtes faible. Même pas le cran de me tuer.
Leeve croisa les bras et fit face à Sire Lawrence. Il le fixa.
-Allez-y, frappez-moi de votre lame. A la gorge, au cœur, n’importe où, mais tuez-moi. Au moins, vous prouverez que vous avez un reste de valeur Assassin. Mais si vous n’avez pas le cran d’assumer vos paroles, alors rasseyez-vous et fermez-là.
Sire Lawrence hésitait. Une goutte de sueur coula sur sa tempe. Les quatre maîtres Assassins à la table le fixaient.
Finalement, il baissa les yeux et se rassit. Leeve secoua la tête avec un air déçu.
-Voila donc le fameux Sire Lawrence, le « Lion Impitoyable », comme on vous surnomme. Vous ne m’avez pas l’air d’un lion mais plutôt d’un lapin. Passons.
Leeve fit face aux autres maîtres Assassins.
-Si vous ne me suivez pas, j’irais seul. J’aurais au moins la fierté de m’être battu pour ma cause. Et tous mes hommes sont d’accord avec moi. J’espère que vous avez honte.
-Assez, lâcha le mentor de France. Ce n’est pas en nous insultant et se moquant de nous que vous achèterez notre aide.
-Je n’ai pas besoin de votre aide. Je m’en vais. C’était une erreur que de demander à vous réunir. Je vous ai fait perdre assez de temps comme ça, mes seigneurs. Je vous laisse retourner à vos nobles occupations. Pendant que moi je serais sur le champ de bataille, j’espère que vous mangerez des mets délicieux, bien au chaud dans votre Q.G, et que vous partagerez votre lit avec des prostituées de qualité. Sur ce, bonne journée. C’était un plaisir, adieu.
-Restez-ici.
Leeve fit volte-face et se dirigea vers la porte. Le mentor de France frappa la table.
-Restez-ici, c’est un ordre !
-Je ne reçois d’ordre de personne.
Le mentor grogna.
-Très bien, je vais vous soutenir dans votre combat.
Les maîtres Assassins écarquillèrent les yeux et se tournèrent vers le mentor. Celui-ci avait l’air ennuyé.
-Si vos paroles n’étaient pas aussi semblables à celles que prononçaient Lucien Malroy, je vous aurais laissé à votre projet insensé mais vous me rappelez mon meilleur ami. Je vais croire en vos « valeurs » comme vous dites. Je vais préparer mes hommes.
-Mais, mentor, c’est une blague ? fit Sire Lawrence.
Leeve se retourna.
-Dans ce cas, je vous remercie.
Les maîtres Assassins se regardèrent, honteux. Finalement, les uns après les autres, ils acceptèrent d’aider Leeve dans ses campagnes. L’Indien se tourna vers Lawrence, le dernier à ne pas se prononcer.
-S’il vous reste un peu de valeur Assassin en vous, fit Leeve, suivez-nous.
Lawrence grogna et se leva.
-Très bien, je suis avec vous.
le même
j'imagine 1000 mecs se ramener tranquille vers un chateau
Lenski : Je vais sûrement abréger ce passage et me concentrer sur l'affrontement
+En même temps, Shan Magerlan est le vrai ancêtre du père de Jack Magerlan ( vu que celui-ci est un orphelin ). Go mettre des porteurs dans l'histoire, des PR et des PS
jay un nouvayl ancaytre
+ kom les royalistes sont pas représentés
kom dimitry est oubliay dans la rayunion
+ t'as lu mon dernier texte ?
( au passage , le tien est bien , comme toujours )
Je pense bientôt inclure un dialogue entre l'as de pique et Dimitri
En fait les Lenski et les as de pique sont presque aussi mauvais l'un que l'autre ( même si ça n'a pas toujours été le cas ) mais ils ne le sont pas de la même façon
Lenski : Oui, j'ai lu ton texte
+Les As de Pique ne sont pas tous aussi mauvais que le dernier mais dans leur majorité, ils sont bien dérangés
Mais il a existé certains As de Pique assez sympas qui ont entretenu avec les Magerlan une relation d'amitié/rivalité plutôt qu'une relation d'ennemi héréditaire
Mais au final, 95% des Magerlan se sont quand même pris la lame des As de Pique en travers de la gorge
Quelle belle amitié
Remarque les Lenski les plus dérangés ont été montrés
les autres sont à peu prés normaux
'Fin bon, faut retenir que les As de Pique, même s'ils sont souvent cruels et sadiques à la base, mais ils se battent quand même pour leurs idéaux.