Mission 5-Courrier :
Janvier 1781
Une forêt remplie de bandits qui se préparent à piller un village reculée. Il faut les prévenir et, de ce fait, traverser la forêt sans se faire repérer.
« J’en peut plus, il faut qu’on sorte ! Criait Asgardien.
_Calme toi, cela fais à peine deux jours que nous sommes ici, et grâce à mon rang tu à le droit à une suite de noble. Jérôme essayait de calmer Asgardien.
_Sais-tu ce qui s’est passé la dernière fois que je suis monté sur un bateau ?
_Ne t’inquiète pas mon ami, nous sommes presque arrivé. »
Les deux hommes prirent leurs affaires et montèrent sur le pont. Asgardien manqua de tomber deux trois foi dans les couloirs, décidément, il n’avait pas le pied marin. Jérôme avait changé de tenu sur le bateau. Il avait remplacé sa tenue noble mais légère contre tenue noble mais épaisse. L’atmosphère de Athènes est beaucoup plus chaud, même en hiver que le l’Italie du nord. Les deux assassins sortirent sur le pont, le vent failli les emporter. Le bateau arrivait près d’un port. Asgardien resta abasourdi devant la beauté de cette ville, il ne la lâchait plus des yeux.
« Magnifique, n’est-ce pas ? Dit Jérôme en tapotant l’épaule de son ami.
_Je n’ai jamais vu pareil beauté, toutes les villes de France sont-elle comme cela ? Jérôme éclata de rire.
_Ce n’est pas la France mon ami, nous sommes en Italie, et tu as en face de toi la belle Venise. Aller vient, il va falloir te trouver des vêtements plus chaud je crois. Les deux hommes marchèrent sur le pont en direction de la passerelle.
_Comment se fait-il que j’ai si froid ?
_Nous ne sommes plus en Grèce, nous somme en Italie du nord, et il y fait froid en hiver. Mais ne t’inquiète pas, ce n’est rien par rapport à la France. »
Les deux assassins prirent quelques heures pour se rendre dans un magasin aisé de la ville. Asgardien regardait partout autour de lui, il n’en revenait pas. Venise lui était étrangère, la Grèce, mise appart Athènes n’était pas très fortuné, 90% de sa population était des paysans et les 10% restaient cloitrés chez eux avec leur domestique. Asgardien respira a grande bouffé les odeurs qui circulaient dans l’air, Ce qui était principalement l’odeur des femmes fortuné de la ville. Jamais il n’avait senti de si bon chose, cela le déstabilisa. Le tailleur lui fit donna un costume en cadeau au moment même où il vit Jérôme. Une foi changé Asgardien se senti tout de suite mieux, enfin de la chaleur. Les deux hommes prirent la route pour les Alpes au gallo. Asgardien se sentait très bien dans sa nouvelle tenue, ça tenait toujours plus chaud que sa tenue de Grèce. Les deux hommes traversèrent une partie de l’Italie du nord à cheval. A la tombée de la nuit, ils entrèrent dans une forêt au pied des montagnes. Il y faisait très sombre, et l’aire c’était nettement rafraichi. Asgardien entendit d’un coup des rires euphorique. Il n’y prêta pas attention, mais ces rires reprirent et ils n’avaient pas l’air bien veillant.
« Jérôme, je crois que nous devrions aller voir ce qu’il se passe.
_Quoi ? Ce n’est qu’une bande de paysans qui font la fête, aller vient.
_Je préfère aller vérifier.
_D’accord, je serai 10 km plus loin. Vas voir ce qu’il se passe, et si jamais c’est de vilains monstre qui veulent faire du mal, fais ce que tu dois faire. Jérôme éclata de rire et parti dans la peine ombre de la forêt. »
Asgardien descendit de son cheval, et l’attacha à un arbre le long du chemin. Il suivit les voies et les rires. La Forêt était très sombre, ça en était effrayant. Il vit enfin une lumière en direction des rires. Il s’approcha avec méfiance. Un grand feu de camp brulait au milieu de la forêt. Il vit d’abord cinq bandits qui se racontaient des blagues arrosées à l’humour noir. Il se dit que problème il pouvait les métrisé seul sans souci, mais il révisa ses pensées quand il vit le groupe d’au moins quarante bandit arrivés. Les cinq des dix bandits s’installèrent sur une énorme racine qui leurs servait de table.
« Bon, ces putains de paysans sont ici, dans leur villages de l’autre côté de la rivière. Ils ne nous ont pas payé depuis deux mois ! Ces chiens vont crever si ils n’ont pas de quoi payé. »
Asgardien ne pouvait rien faire face à quarante hommes armés jusqu’aux dents. Il réfléchissait cacher derrière son arbre, comment pouvait-il empêcher cela ? Il ne pouvait pas les attaqué, il n’allait surement pas essayer leurs parler pour les raisonner. Il tenta de se déplacer pour mieux les voir, mais une branche craqua sous son pied. Aussitôt, le chef des bandits regarda dans sa direction. Il ordonna à un de ses meilleurs hommes d’aller voir. L’homme en question était étonnamment grand, et son visage était rempli de cicatrice. Il avança en direction de l’arbre, brandit sa hache. Il se lança derrière l’arbre pour voir qui si cachait, mais personne. Asgardien avais réussi a grimpé cinq mètres au-dessus. Mais pas sans difficulté puisqu’il était accroché d’une main a une branche, et se servait de l’autre pour retenir sa dague qui avait glissé. La tâche était d’autant plus difficile qu’il l’avait rattrapé par la lame et non la poignée. Le Bandit était juste sous lui, il finit par partir en faisant signe qu’il n’y avait rien. Asgardien remis sa dague a la ceinture, et monta un peu plus haut. Il se passa d’arbre en arbre en essayant de faire le moins de bruit possible, ce qui n’était pas gagner, mais les bandits riaient tellement de leur prochaine prise qu’ils ne firent pas attention. Une foi descendu, Asgardien fonça jusqu’à la rivière pour trouver le village. Il se dit qu’il y serait allé plus vite avec un cheval mais finit par arriver. Il entra dans le village essoufflé et demanda à tout le monde qui en était le chef. Un grand monsieur à barbe grise finit par sortir de sa maison l’aire méfiant.
« Il faut absolument que vous quittiez le village, des bandit arrive pour tous vous prendre. Asgardien était essoufflé.
_Des bandits ? Mais qui êtes-vous exactement ?
_Le temps presse, nous n’avons pas le temps pour les présentations !
_A bon ? Et qui me dit que ce n’est pas un piège ? D’où viens-tu ?
_Mais voyons je viens vous aidez !
_Nous aidez, sa certainement pas. La dernière fois que j’ai vu une personne portant ce symbole que vous avez sur cette dague j’ai perdu deux de mes doigts ! Le chef dégaina son épée, et tous les paysans brandirent leurs fourches.
_Ecoutez je suis là pour vous aider…
Nous t’écouterons pas déballé tes mensonges chien d’assassin. Vas-t-en ou tu mourras maintenant. »
Asgardien ne comprenait pas la rage qui enflammait ces gens. Il regarda avec tristesse les villageois puis se retira. Il dut laisser le village à son triste sort. Le jeune homme remonta doucement la forêt pour arriver jusqu’à son cheval. Quand il fut monté il entendit les voix des femmes qui hurlaient, il baissa la tête et continua sa route. Jérôme avait établi un petit camp pour la nuit, Il avait préparé de la nourriture qu’il proposa a Asgardien à son arrivé. Celui-ci refusa, il s’assit sur son « lit » et fixa le feu de camp. Intrigué Jérôme le questionna.
« Alors ta chasse au vilains monstres ?
_Ça n’a rien donné, il n’y avait personne.
_Ok »
Cette nuit-là, Asgardien ne dormit pas, il n’y arrivait pas.
les attaquer : pense à "prendre" ou "pris" 
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And you where dou you come from (sorry j'ai un contrôle d'anglais demain faut que je m'exerce 
je vais te faire l'habituel blabla que tu fait de très bon texte mais essaye juste de relire ton texte plus attentivement: ton problèmes sont les fautes d'orthographe. 
) 
