Assassin's Creed III

Et huitante, tiens. Celui-là c'est cadeau

Euh... j'ai cherché sur internet vos nonante, septante et huitante. Ce sont des chiffres d'origine belge et suisse eux même tiré du latin...

Vous pouvez m'expliqué ?

Dan Peek, mon Assassin, est à Genève

salut tout le monde!

[Laflamme]: Je ne pense pas, c’est que tu ne parles pas aux bonne personne (et c’est un peu normale car c’est des personnes du troisième âge ).

SaphirDuSud : Tu es un gars du sud-est, c’est bizarre je suis au sud-est pendant les vacances il me reste deux jours en Camargue et sa fais une semaine que je suis là-bas et une seule question me trotte à la tête : comment vous arrivez à vivre avec une chaleur pareille ?! je viens du sud-ouest et c’est vrai il fait chaud chez nous, mais chez vous il fait chaud à en crevait et il y’a de tas de moustique je me suis fait bouffé de part tous .
Désolée de t’avoir fait penser ça. J’ai jute mi sa comme sa c’est tous je n’ai pas eu de seconde pensée , moi-même j’habite en campagne et je n’aimerais pas qu’on critique ma région aussi, alors tu peux être sûr que je ne dirais sur le sud-est.

Jet_lag : Désolée je ne fais pas attention aux fautes , et ce n’est pas Vasseaux c’est Vasseaud mais bon sa on s’en fous, pour la rapidité ben je c’était déjà comme ça dans ma tête, j’essayerais de faire plus long la prochaine fois , je ne comprends pas ce que tu veux dire par les templiers ne sont pas des mangeurs d'enfants obèse violeurs de chiens
300 pièces c’est pas mal et j’aurais une question suis-je le seul Assassin français

Maintenant un peu de culture :
Avant chaque zone (je pense) avait son patois, avant sa se transmettez de génération en génération, il faut savoir que c’était des familles de classes ouvrière et pour les autorités c’était une langue rustique, grossier. Mais bon dans certaine zone ça n'existe plus, mais il y’en a qui sont étaient populaires par exemple le ch'ti en 2008 tout le monde disaient ch’ti biloute sa me faisait ch*** sérieux quoi sa faisais pitié et il y’en a d’autre qui ressuscite comme l’alsacien .

J'ai soufflé du nez à "tu es un gars"

Flamme J'ai fait des recherches sur les quartiers de Genève de l'époque de Dan et j'en ai trouvé sept en comptant des "quartiers" en dehors des murs de la ville, mais qui font partie du canton (ou comté pour cette époque) de Genève et en divisant un quartier de la ville même en deux

Donc pour la première mission, j'ai pas précisé, mais on va dire que c'était les Rues-Basses (même si ça t'aiderait pas)

Bah tiens, je vais essayer de faire une carte!

Désolé vasseaud d'avoir écorché ton pseudo

par "les templiers ne sont pas des mangeurs d'enfants obèse violeurs de chiens", c'est tout simplement que nombre de texte glorifie les assassins comme étant les gentils, tout beaux protégeant la veuve et l'orphelin, et montrant les templiers comme des brutes assoiffées des sang, mu par la haine de leur prochain, torturant par plaisir et n'ayant aucun but, sinon d'être méchants. Celui que tu tue est plus profond, ça nous donne un point de vue moins manichéens

Bah c'est parfait alors
Le septième quartiers est l'endroit où se trouve la caserne donc le générale s'occupe de ce quartier

Exactement!

Ce sera le centre-ville, qui a déjà perdu beaucoup d'influence grâce aux agissements des Assassins!

La carte arrive bientôt et je m'excuse déjà de la mauvaise qualité

Voilà la carte:

J'espère que ça se voit bien
C'est très approximatif, mais on comprend assez. Aussi, je rajouterai la map dans la description de mon perso'. Je ferai aussi des zones hachurée pour voir les prises des Assassins/Templiers.

Ah et le point pour le repaire est plutôt gros, on pourrait croire que la ville est petite, mais il se verrait pas sinon

Avec moi assassins et templiers ne sont pas meilleurs l'un que l'autre

J'ai toujours aimé les assassins et les templier de Lenskonch

Captain, peut être que si tu zoomais, ça serais mieux

Mieux?

Mieux

Et je continue d'absorber l'Histoire de Genève

Mais la partie historique de l'histoire de Dan vient plus tard

Bon, ben je vais poster mon chap moi

Apprentissage (partie 1) :

John Magerlan, assis dans un fauteuil, regardait son mentor. Cela faisait trois mois qu’il était au Q.G et Peter s’était bien occupé de lui. Il avait transformé son corps d’alcoolique, mou, en corps d’athlète taillé à la serpe.
L’entraînement avait été éprouvant – et c’était un euphémisme – mais il avait payé. Mais jusque là, John n’avait quasiment jamais été convoqué chez son mentor.
Celui-ci était installé à son bureau et consultait des documents. Il ne disait pas un mot, comme s’il n’avait pas remarqué John depuis qu’il était entré dans la pièce. Finalement, le nouvel Assassin se racla la gorge.
-Mentor ?
-Hum… Oui ?
-Vous m’avez convoqué ?
John avait encore du mal à se plier au langage respectueux de rigueur ici. Dans son ancienne vie, il aurait tutoyé n’importe qui mais il était maintenant obligé de vouvoyer tous ses supérieurs, même les simples maîtres Assassins, sous peine d’une sévère sanction.
Un jour, il avait parlé insolemment à un haut-gradé du Q.G qui rentrait d’une mission visiblement difficile, vue son humeur et ses dents serrées.
En un instant, John avait vu le plafond et la terre s’inverser avant d’être violemment plaqué au sol, un genou enfoncé entre ses omoplates, une main fermement agrippée à sa veste et un petit couteau posé contre sa gorge.
-Manque-moi encore une fois de respect, avait dit l’Assassin.
Puis, sans prendre le temps de continuer sa phrase, il s’était relevé et était parti. John était allé raconter l’anecdote à Peter et celui-ci avait rit avant de balayer brutalement son disciple et lui frapper la nuque d’un atémis puissant, le faisant presque s’évanouir.
Peter l’avait regardé avec un grand sourire.
-La prochaine fois que tu me fais honte, je te tue, c’est clair ? Ici on ne plaisante pas avec la discipline, comme tu l’as remarqué. N’oublie pas ta place. Nous n’avons rien à foutre que tu sois un Magerlan ou quoi que ce soit. Si tu commences à oublier les règles essentielles du Q.G, des gens moins gentils que moi, ou que celui qui t’a flanqué une correction, tâcheront de t’apprendre la vie. A la dure. Tu étais peut-être un caïd dans les bordels que tu fréquentais avant, mais ici tu n’es strictement rien. Compris ?
John avait retenu la leçon et, maintenant, il baissait les yeux quand il croisant un Assassin très haut-gradé et vouvoyait tous les maîtres Assassins.
Le mentor écarta les documents et leva la tête.
-Oui, je t’ai convoqué. Depuis combien de temps es-tu ici ?
-Trois mois, mentor.
-Il est plus que temps de te confier ta première mission.
John déglutit.
-Ma première…
-Mission, oui. Ne t’en fais pas, tu seras accompagné. Peter ira avec toi.
-Et en quoi consiste la mission, mentor ?
-Je pense qu’il est temps pour toi de faire l’expérience du terrain.

Quelque part, en France…

Franz se servit un verre de vin. Vêtu d’un peignoir luxueux, il claquait des doigts au rythme de la musique qui emplissait la pièce, tirée de sa radio. C’était une chanson américaine, du jazz. Franz appréciait ce style de musique, il ne s’en lassait pas.
Il entama quelques pas de danse rapides sur son tapis en fourrure d’ours. Dans sa cheminée, un feu réchauffait la pièce.
L’homme assit nonchalamment dans son canapé en cuir rouge le regardait en silence. Il portait un costume-cravate très serré et des petites lunettes. Ses cheveux étaient plaqués en arrière.
Franz tourna sur lui-même avant d’exécuter quelques pas de danse tout en sirotant son vin.
L’homme commença à s’impatienter.
-Franz Malroy.
-Oui ? Vous n’aimez pas la musique ?
-Si, si, c’est que… Vous n’avez pas oublié pourquoi je suis là ?
-Oui, c’est votre maître qui vous envois. D’ailleurs, comment m’a-t-il trouvé ? Je me croyais bien caché dans ma petite résidence secondaire.
Franz eut un petit rire. Il but une gorgée de vin et se jeta sur un fauteuil avant de croiser les jambes, poser son verre sur un des bras du fauteuil et s’allumer un cigare. Un nuage de fumée jaillit de ses narines et de ses lèvres. Il sourit.
-Bon, qu’est-ce qu’il me veut, l’As de Trèfle ?
-L’As de Pique, monsieur.
-Ah, j’aurais juré que c’était l’As de Trèfle. Enfin bon, qu’est-ce qu’il veut ?
-Il ne vous l’a pas dit ?
-Si, il a du m’envoyer plusieurs lettres mais je n’en ai lu aucune.
Franz gloussa comme une jeune fille et remplit son verre de vin à moitié vide. Il avait l’air très heureux.
-Mon employeur voudrait que vous collaboriez tous les deux sur un projet un peu… nouveau.
Franz fit signe à l’homme de continuer. Il ne le regardait pas et avait les yeux tournés vers sa cheminée. Il inspira une bouffée de son cigare et recracha la fumée sous forme d’une suite de petits cercles.
-Il voudrait que votre famille et la sienne s’alliez.
Franz écrasa le bout du cigare sur le bras du fauteuil.
-Père ne sera pas d’accord, répondit le Malroy.
-L’As de Pique souhaiterait s’entretenir avec vous, seul à seul. Son projet lui tient à cœur. Il tient vraiment à construire des liens solides et durables avec la lignée des Malroy. Vous savez que les As de Pique ne vont pas très bien depuis…
-Abrège.
-Un appui de votre famille, c’est tout ce qu’il veut. Son seul but est de tuer le dernier Magerlan. Si vous l’y aidiez, il pourrait vous… Vous renvoyer l’ascenseur.
Franz bailla bruyamment.
-De quelle façon ?
-Il a promis de vous aider activement à chercher le Livre des Magerlan.
Franz eut un sourire. Il vida son verre de vin d’un trait et jeta son cigare encore allumé par sa fenêtre ouverte. Enfin, il se leva et s’étira.
-Je vais me coucher, annonça-t-il.
-Vous acceptez d’y réfléchir ? Pour rencontrer l’As de Pique et discuter avec lui ?
-Je verrais. Cependant, tu en sais trop. Tu dois mourir.
Avec une vivacité exceptionnelle, telle que même l’homme en face de lui, pourtant entraîné, n’eut pas le temps de faire un geste, Franz sortit un petit pistolet de son peignoir et le pointa vers la tête de son interlocuteur.
Il appuya sur la gâchette.
L’homme sursauta en voyant un nuage de confettis jaillir du canon. Franz éclata de rire et se tapa la cuisse en sautillant.
-Ah mon dieu, ça marche toujours !
L’homme se leva et écarta le col de sa veste, dégoulinant de sueur. Il avait vu sa vie défiler devant ses yeux. Son employeur l’avait pourtant prévenu que Franz Malroy était imprévisible et qu’il pouvait tuer n’importe qui, juste sur une envie, sans aucune raison. Le pistolet aurait pu être chargé de vraies balles.
Franz tendit la main à l’homme avec un grand sourire.
-Allez, au revoir.
-Vous… Vous accepterez de…
-Oui, oui, on verra. Là je suis fatigué.
Franz raccompagna son invité jusqu’à sa porte et le poussa dehors, d’une claque dans le dos. Enfin, il referma sa porte et alla s’asseoir tranquillement dans son fauteuil, au coin du feu. Il se resservit un verre de vin, terminant la bouteille, et sourit en regardant son reflet dans le liquide rouge.
L’aider à retrouver le Livre des Magerlan.
L’As de Pique n’aurait pas pu lui faire une meilleure offre.

Petit chapitre de transition Il faut bien lancer l'histoire à un moment où à un autre

J'ai ri, le mentor du QG que tu décris demande une discipline plus qu'exemplaire, alors que de mon côté, le mentor s'en fout un peu

Bon texte, et je suis content, il y a un peu moins de dialogues

C'est la proche rentrée qui vous empêche de poster?