Désolé pour le double post, voici ma mission :
http://www.youtube.com/watch?v=qkdsOWfSXME
Chapitre 112
Un homme que je connaissais...
26 mars 1514, Venise.
Je me réveillais après avoir passé une nuit affreuse. Je me levais, les yeux rouges de colère. N'ayant plus le contrôle, je donnais un grand coup de poing dans ma fenêtre, ouvrant les volets d'un grand coup.
Du sang se mit à couler de mon index droit, je m'arrachais un petit morceau de tissu et m'en fit un pansement. Je partis de chez moi, emportant une pomme que je mangeais gentiment. J'arrivais enfin devant le QG des assassins. J'ouvris la porte. Gino et Flore discutaient. Je m'approchais de la table et reprit enfin le contrôle.
"Il y a un problème ? Demandais-je.
_ Oui, répondit Gino. Nous avons reçu une lettre de Dante, tu te souviens ?
_ Dante Core ? Fis-je.
_ Exact, approuva-t-il. C'est le "cerveau" des assassins à Venise. Il étudie les textes anciens, déchiffre les lettres codés des Templiers, ect... Or, Dante a découvert quelque chose qui a énervé les Templiers, ces derniers vont l'attaquer et faire disparaître son corps et ses découvertes. Il faut que tu le protèges !
_ D'accord, vous venez avec moi ? Proposais-je.
_ Non, refusa Flore, tous nos agents sont sur le terrain ; les Templiers ont attaqué plusieurs groupes d'assassins, résultat on est trop éparpillé pour s'occuper de ça. Et il faut que quelqu'un protège le repère..."
Gino hocha la tête. Je repartis après que Flore m'ait indiqué l'endroit où habitait Dante. Je me dirigeais vers la maison, tout en observant les lieux pour calculer nos chances de fuite. Il n'y avait pas beaucoup de gardes, mais ces derniers restaient à des endroits précis, comme s'ils attendaient des ordres...
- Plus tard.*
J'arrivais enfin devant la maison ; Elle était plus grande que ma maison, mais elle n'avait pas d'accès direct sur les canaux. La porte de la maison était enfoncée, ce qui, sur le coup, m'inquiéta. Je passait la porte en courant, puis entendis un bruit à l'étage. Je montais et vis deux gardes affronter Dante, deux autres corps gisait non loin de là. Je m'avançais et assassinais l'un des gardes. Dante profita alors de cette occasion pour tuer le survivant avec son épée.
"Ca va ? Tu n'es pas blessé ? Fis-je.
_ Humm... Grogna Dante. Non, juste des égratignures, mais ils m'ont fichu une sacrée frousse...
_ Ecoutes, déclarais-je : Gino m'a envoyé t'aider pour échapper aux gardes qui t'attaque. Il paraîtrait que tu as découvert quelque chose qui ne leur a pas plu...
_ Oui ! Confirma la jeune assassin. Carmine, tu connais les crochets, ceux que nos frères Turcs et Chinois utilisent ?
_ Evidemment !
_ Et bien, poursuivit-il, j'ai découvert les plans pour fabriquer ces crochets, ce qui nous éviterais de perdre les cargaisons !! Carmine, sur 42 cargaisons de crochets qui nous ont étés envoyés d'Inde, aucune n'est parvenue à destination ! Ce qui est bien avec ces plans, c'est qu'on pourrais éviter de perdre toutes les cargaisons ! Imagines le tournant que prendrais les choses avec l..."
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase ; nous entendîmes un énorme bruit au rez-de-chaussée. Deux gardes grimpèrent les escaliers et nous firent face. J'en attaquais un, il para mon coup. L'autre soldat attaqua mon compagnon, mais ce dernier esquiva son coup, repoussa le garde puis lui trancha le bras. Le garde n'était pas mort mais ne pouvait plus rien faire. Mon agresseur m'attaqua, je me baissais puis l'éventrais.
Nous descendîmes rapidement les escaliers, un garde avec une masse nous bouchais le passage. Je l'assassinais puis sortis du bâtiment. Néanmoins, lorsque je vis une demi-douzaine de fusiliers nous viser, je pliais puis repartais à l'intérieur de la maison, prévenant mon camarade au passage. Il sortit un pistolet.
"J'ai une idée, signala Dante. Accroches-toi !"
Tout en disant cela, il tira sur l'un des fusils de nos ennemis. Le fusil explosa, touché en plein dans la réserve de poudre, et tua deux gardes, ainsi que son porteur. Un autre garde fut blessé, mais pas tué. Je fonçais sur l'avant-dernier homme et le tuait. Son ami me visa, mais se prit une lame secrète dans la tête.
Nous décidâmes de trouver une gondole et de faire partir Dante. Encore fallait-il trouver cette gondole...
Trois autres gardes arrivèrent. L'un d'eux était armé d'une hallebarde, ce qui compliquait un peu la chose...
Ce dernier m'attaqua. J'esquivais le coup, mais un autre garde me projeta avec sa masse. J'eus le temps de voir Dante aligner un garde avec son pistolet. Le garde avec la hallebarde m'attaqua, mais je retint son arme. Nous poussions tous les deux en tentant désespérément l'un et l'autre de tuer celui qui nous faisait face. Le dernier garde tenta de me tuer, mais il fut décapité par Dante. Le hallebardier se détourna.
Je pris le bâton et forçais un grand coup. Le bout de l'arme (sans la hache au bout) traversa l'estomac de l'homme.
"Espèce... D'enfoiré ! Hurlais-je en plantant ma la me secrète dans la gorge de mon adversaire."
Néanmoins, l'arme tomba dessus. J'eus le temps de la retenir, mais elle m'entailla le ventre. J'écartais le corps.
"On continue. Lança Dante."
Nous traversâmes une rue avant de déboucher sur le Canal, là où une gondole flottait. Comme par hasard, deux gardes s'y trouvaient. Pas n'importe quel garde. "Le casqué".
"Dante. Enfuis-toi. Ordonnais-je.
_ Mais... Protesta ce dernier.
_ Tout de suite. Grommelais-je."
Mon ami s'écarta et partit.
Le chef des gardes s'approcha. Il me fixa d'un air sévère, puis d'un air étrange, comme s'il hésitait à me tuer.
"A l'attaque ! Cria-t-il."
Son homme de main se jeta sur moi. Il m'attaqua mais il me suffit juste de l'empaler. Je jetais le corps. "Le casqué" m'attaqua. Il m'entailla l'épaule, mais je lui donnais un coup de coude dans le menton. Il me donna un coup de pied dans le ventre. Je me courbais et il me donna un coup de genou dans le nez. Je lui plantais mon épée dans la jambe. Puis, je lui plantais ma lame secrète dans l'épaule. Il recula en me donnant un coup d'épée. La lame m'entailla le bras. Je le projetais au sol.
"Meurs, connard !"
Tout en disant cela, je lui plantais ma lame dans la poitrine. Une douleur infinie me rongea soudain ; je portais mes mains à mon ventre ; une dague y était plantée...
Il était temps d'en finir. Je pris le casque du garde et l'enlevais.
Voilà :
Force : 3
Résistance : 3
Déviation : 2
Vitesse : 3
Escalade : 2
Discrétion : 3
Folie meurtrière ( Augmente la schizophrénie d'Alec et le transforme en vraie bête sauvage ) : 3
Argent: 3 200
Note : Oui, ma mission est finie, je ne la fais pas en deux parties. La mission suivante débutera au moment où Alec découvre l'identité du garde.