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Assassin's Creed III

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
[Laflamme]
Niveau 10
06 décembre 2012 à 21:13:05
  • Bute le chat*

Sale chat :pf:

[rock_n_troll]
Niveau 10
06 décembre 2012 à 21:16:10

Jet go MP :hap:

ReyGunners
Niveau 10
06 décembre 2012 à 21:26:42

Me revoici. :pf:

J'ai enfin fini de manger, je finis la fiche de mon perso. :hap:

Jet_lag
Niveau 10
06 décembre 2012 à 22:50:17

Yo alca :noel:

ReyGunners
Niveau 10
06 décembre 2012 à 22:51:32

Chose promise, chose dû, voici la fiche de mon personnage. :oui:

+ J'attends la futur mission. :oui:                                        

  :mac:  • Fiche de personnage • :mac:

• Nom de l’Assassin : O’Connor

• Prénom de l’Assassin : Randy

• L’âge de l’Assassin : 24 ans

• Pays de l’Assassin : O’Connor est né d’un père Anglais et d’une mère Américaine, c’est plutôt rare, voir incroyable. Dès que la révolution Américaine éclata, son père retourna en Angleterre avec son fils, sans prévenir sa mère. Il vit en Angleterre désormais. On peut se demander si il a des origines irlandaise, au vue de son nom.

• Sexe : Autre :hap: Non, sérieusement, c’est un homme ( Vive Captain Obvious :pf: / ).

• Description physique de l’Assassin : De son père, il a hérité de ses courts, et doux, cheveux châtains. De sa mère, il a hérité de ses yeux bleus, tellement bleus qu’on confondrait même leurs couleurs à celles de la mer. Sinon, il possède deux tenues d’Assassin, une entièrement blanche, une autre entièrement noire, qu’il n’utilise que très rarement. Il veut surtout qu’elle garde l’odeur de son précédent utilisateur…….son père. Au vue de son niveau actuel, il ne possède encore qu’une lame secrète, une sorte de brassard en cuir, qui porte le logo des Assassins, et qui possède une lame ”cachée”, actionnable grâce à un mécanisme. Désormais, il est possible d’y fixer plusieurs objets, tel un pistolet, des fléchettes empoisonnées, ou autre, grâce au grand mentor, mort plusieurs centaines d’années auparavant, Altaïr Ibn La’Ahad.
Pour en revenir à sa tenue, un long tissu de soie rouge enroulé autour de son corps lui sert de ceinture, avec un logo des assassins en acier gravé dessus. Le fourreau de son épée était faite d’acier, d’anciennes écritures étaient mêmes inscrites dessus. Son épée était faite d’acier, et était complètement simple, voir même rudimentaire. Son épée pendait à sa ceinture, relié à elle par plusieurs longues ficelles noire. Parlons du dos, au niveau de son épaule droite, il y a une pochette où il range ses couteaux (j’achèterai des pochettes supplémentaires chez le tailleur ). Au niveau de son épaule gauche, un emplacement était réservé à sa dague. Il possédait aussi des gants en cuir, des bottes en cuir eux aussi, et un pantalon blanc, bien que sa tenue d’Assassin lui descendait jusqu’aux genoux.

• Description morale de l’Assassin : Pour vous résumer le caractère de Randy, imaginez-vous, perdre votre père jeune, et être entrainé par des personnes se prétendant être ses amis ( ce qui s’avéra être vrai, heureusement pour lui ) dans une quête qui vous dépasse. Dans les dessins animés, mangas, ou autre chose de nos jours, les héros arrivent à surmonter cela avec une facilité déconcertante, à rester gentil, naïf, ou autre. Randy ne fait pas du tout partit de ce genre de personne là, il est froid, posé et réfléchit, et préfère rester à l’écart des autres. Il n’est pas du tout sociable, et prêtant que cela est une ”qualité”, ”étant donné que l’on ne doit trop s’attacher aux choses que l’ont ne veux pas perdre”. Vous trouverez ses propos trop pessimistes, mais il y a de quoi avec ce qu’il a vécu.

• Langues parlées : Anglais, Français, et maitrise quelque peu l’Italien. Il a les bases pour l’Espagnol.

• Histoire du personnage : Comme dis plus tôt, Randy vivait une vie heureuse avec ses parents, mais cela, c’était avant la révolution américaine. Ce qu’il appelle ”le moment le plus affreux” de sa vie, a séparé sa mère de son père. Ce dernier, commentant l’acte qu’il qualifie comme le plus triste dans sa vie, sans la prévenir de son départ avec son enfant. En tout cas, c’est ce que Randy lut sur son journal après sa mort. Environ 5 années après cela, alors que Randy vivait heureux avec son père à Londres, un évènement qui le marquera toute sa vie eut lieu. Alors qu’il avait mit du temps à parler avec son meilleur ami, il eut vent qu’un énorme incendie s’était produit il y a quelques instants. Il discuta durant quelques minutes avec son meilleur ami avant de retourner chez lui, ou du moins, ce qui reste de sa maison enflammée. Il se précipita et passa sous les poutres qui bloquaient la porte d’entrée. Toute la maison était en feu, un vrai spectacle digne des films d’horreurs. Il monta au premier étage et vit plusieurs cadavres, puis suivit des traces de sang. En suivant les traces de sang, il vit son père, adossé à un mur, agonisant, à moitié mort. Randy voulut le sauver, mais son père lui dit d’arrêter, que sa ”quête” prit fin, mais pas comme il le voulait. Il transmit ses dernière volontés à son fils, celui de reprendre son ”œuvre”, de reprendre là où il avait échoué. Evidemment, Randy ne comprit pas un traitre mot de ce qu’il dit, mais son père lui dit de partir, tout simplement.
Voyant que son fils ne voulait pas partir sans lui, son père sortit son pistolet à pierre de sa poche et tira au dessus de lui. Moins de trente secondes après, un homme en tenue blanche fit son apparition dans la maison, surgissant de je-ne-sais-où. Le père du jeune enfant fit un clin d’œil au mystérieux homme, qui acquiesça d’un signe de la tête. Il s’approcha de Randy et l’assoma. Ensuite, il fit sortir l’enfant de la maison tandis que son père lâchait un ”merci”.
L’homme encapuchonnée de la dernière fois devint la nouvelle figure paternelle d’O’Connor, il l’hébergea sous son toit, lui donna à manger, et s’occupait de lui. Un soir, il dit à O’Connor de le suivre. Ils arrivèrent dans un coin égaré, où les attendait une dizaine d’hommes encapuchonnés, tous en tenues blanches. Ces hommes là allèrent droit au but, et lui demandèrent de les rejoindre, chose que Randy refusa. Après plusieurs tentatives de Randy de les faire joindre à leur ordre, les Assassins décidèrent de tout lui révéler, son père, son œuvre, les Templiers, les Assassins, les Pommes d’Eden. O’Connor se demanda tout d’abord si il était fous, mais après avoir vu des preuves concrètes de ce qu’ils avançaient, il décida de les rejoindre, pour l’unique raison de poursuivre l’œuvre de son père, et non pas pour la liberté prôné par l’Ordre des Assassins à cette époque, vu que cette même liberté conduit l’Amérique à la Révolution Américaine, qui conduit Randy à ce qu’il connut quand il était jeune, se séparé de sa mère. Aujourd’hui, il fait partit de l’ordre des Assassins, et a finit l’entrainement donné aux jeunes recrues, il est prêt à servir l’ordre……..ou plutôt poursuivre l’œuvre de son père.

ReyGunners
Niveau 10
06 décembre 2012 à 22:56:34

Tiens Jet, tant que t'es là, corrige moi ça + ma futur mission please. :hap:

Alcahe
Niveau 10
06 décembre 2012 à 23:47:27

Jet_lag :d) Je prépare un chap pour bientôt. Sinon, ça vous intéresse une anecdote sur David ou sur quelqu'un d'autre ? :(

Jet_lag
Niveau 10
07 décembre 2012 à 00:22:53

Je lirais ce qui a été écrit demain, bonne nuit :hap: /

Lenski
Niveau 10
07 décembre 2012 à 08:14:48

Quel faignant :noel: /

virgin2
Niveau 10
07 décembre 2012 à 13:35:53

merci pour ta critique laflamme
compétence de Gaius :
Force
Résistance 1.5
Déviation 2
Vitesse 2
Escalade
Discrétion 1.5

or : 650
sinon pour l'or y a une boutique ?

virgin2
Niveau 10
07 décembre 2012 à 13:53:34

désolé du double post

ReyGunners : les mission sont ici :
http://l-ere-des-assassins.forumjv.com/1-90243-1688-2-0-1-0-le-tableau-des-missions.htm

Jet_lag
Niveau 10
07 décembre 2012 à 17:53:46

Virgin, la boutique, c'est à partir du numéro 4 :ok:

http://l-ere-des-assassins.forumjv.com/1-90243-1681-1-0-1-0-regles-du-jeu.htm

Spitfire-XII
Niveau 6
07 décembre 2012 à 18:20:54

:mac: Boston – Washington :mac:

:d) « Nourrice » ; 1804

David était paré à partir pour Washington. Il partait avec seulement deux sacs et son équipement. Il avait un peu de peine à quitter Boston car ils quittait ses amis et Élisabeth. Il vérifia une dernière fois ses bagages, rien ne manquer. On frappa à sa porte.

« Entrez » dit-il

La porte s'ouvrit et sa bien aimée entra dans la pièce. Élisabeth observa son Roméo. David se retourna et découvrit le regard plein d'admiration de sa Juliette. Il avait de quoi être fier. Il portait ses nouveaux habits de maître assassin sur lui. Beaucoup plus élégant que ses anciens habits, la nouvelle tenue lui avait été offerte par Jack, le grand maître de Boston.

« Magnifique n'est ce pas ? »
« A n'en pas douter. »

Élisabeth s'approcha de David et effleura légèrement le tissu propre. David s'approcha de son visage et ils s'embrassèrent. Après quelques minutes de tendresse, David reprit la parole :

« Je t'aime Élisabeth. Pour rien au monde je ne voudrais de quitter mais les affaires m'appellent. »

Il se dégagea de copine. Il marcha vers son lit et attrapa un arc d'une toute beauté.

« Regarde ce que Jack m'a aussi offert. »

Élisabeth s'était assise sur une chaise le regard triste. David reposa l'arc sachant que ce n'était pas le moment de se vanter. Il se rapprocha de nouveau et prit Élisabeth par les épaules.

« Allons ma chérie, ne soit pas triste. Je ne part pas non plus au bout du monde. Washington n'est pas loin. »
« Je sais très bien cela. Mais sa me fait quand même de la peine que tu parte. Et si tu ne revenais jamais ? »
« Ne soit pas stupide, je t'aime et je tient à toi. Je te jure de revenir le plus vite possible... Et puis n'oublie pas que je peut t'écrire. Je te donnerais de mes nouvelles à chaque fois que j'en aurais le temps. Allez ne pleure pas. »

David essuya une larme sur la joue douce et chaude d’Élisabeth. David ne descendit qu'une heure plus tard pour équiper le cheval qu'on lui avait donné. Pour rejoindre la capitale de l'Union, il lui faudrait deux bonne journée environ. Il allait partir quand un homme qu'il connaissait de vue vint le voir.

« Tu est David Maxwell ? » demanda l'étranger en habit d'assassin
« Oui, pourquoi ? »
« Maître Jack voudrait que tu t'occupes d'une petite mission durant ton voyage vers la capitale. Il souhaite que tu escorte la fille d'un de nos allié ainsi que son précepteur vers un lieu situé sur ton chemin. »

David n'avait pas besoin de ça maintenant. Cette mission allait sans doute le ralentir.

« Bien sur. Ou dois-je rencontrer la fille et le précepteur ? »
« A la sortie de la ville. La fille s'appelle Mathilde et le précepteur Paul. Je pense que tu les trouvera facilement. »

L'homme lui souhaita bon voyage et David grimpa sur sa monture. Il vérifia encore une fois qu'il n'oubliait rien. Chacun de ses sacs pendaient sur les flancs de son cheval. Il avait son arc dans le dos et le carquois de dix flèches accrochés près de sa jambe droite. Sa dague était bien rangé dans son étui à la ceinture. Quand à ses couteaux de lancés, ils étaient bien rangés dans l'un des sacs.
David tira les rênes du cheval et s’élança au petit pas dans les rues de Boston.

Arrivé en dehors de la ville, David s’arrêta et regarda autour de lui. Il repéra sans mal la fillette et son professeur prêt d'un chariot. Il s'approcha et descendit de son cheval.

« Excusez moi ?
« Oui ? »
« Bonjour, vous devez être Paul, non ? »
« En effet, je suppose que vous êtes la personne qui doit nous escorter.
« Oui, je me nomme David. »
« Enchanté, je suis Paul, le précepteur de la petite Mathilde que vous pouvez voir ici. Mathilde dit bonjour au monsieur. »
« Bonjour. »

David regarda la fillette, celle-ci était assez grande pour son âge et portait des vêtements assez riche. Sans doute venait-elle d'une famille de marchand. Le père devait sans conteste aider la confrérie financièrement.

« Vous êtes prêt ? »
« Oui, nous pouvons partir. Allez Mathilde, dépêche toi. »

David remonta en selle et attendit que ses deux protégés grimpent dans leur chariot. Ils se mirent en route. David alla se positionner près de Paul. Il engagea la discussion et Paul lui donna enfin leur destination : un couvent dans une ville proche de New-York. Le voyage allait être plus long que prévue.

La première journée de voyage fut longue. Pourtant, David prenait plaisir à pouvoir profiter d'un peu d'air frais avant de se lancer dans son enquête à Washington. La nature n'était pourtant pas habiller de sa plus belle robe. Le froid était plus fort de jour en jour et les arbres sans feuille n'offraient qu'un paysage vide. Ils ne croisèrent pas grand monde sur leur chemin mis à part quelques paysans et marchands. Pas de quoi s'inquiéter. La fillette avait été d'un calme effrayant. David n'imaginait pas que l'on puisse être ainsi à un âge aussi petit. Ils se reposèrent dans une auberge sous contrôle assassin. Ils repartirent au petit matin après un petit-déjeuner copieux.

La deuxième journée fut aussi riche en exploit que la première. David commençait vraiment à saturer. Heureusement, Paul s'était avéré être une personne très agréable. Leurs discussions étaient le peu de distraction que pouvait s'octroyer David.
Il apprit ainsi que le père de Mathilde était Stephen Girad. Riche armateur de la côte Est, David n'aurait jamais réalisé qu'un homme comme lui serait un allié des Assassins. En effet, Girad était connu pour être l'un des hommes les plus riches du moment en Amérique. Il avaient des dizaines de navires commerçants avec les Antilles, l'Europe et même la Chine. Possédait un tel allié devait avoir des avantages que même David ne pouvait s'imaginer.
Ils finirent la journée à une demi-journée de leur lieu de rendez-vous.

Le lendemain, le ciel était gris et menaçait de crever. Peut-être allait-il neiger se dit-il. Ils se remirent en chemin et atteignirent enfin le couvent dans un lieu isolé et entouré d'une épaisse forêt. Paul lui avait expliqué que les autres membres de la famille de Mathilde devaient se rejoindre ici. Le père devait venir de Philadelphie avec le frère de Mathilde. Quand à la mère, elle devait venir de New-York.

David attacha son cheval à côté de la porte du couvent. Paul et Mathilde le rejoignirent et David frappa à la porte. Une voix lui répondit derrière la lourde porte en bois.

« Qui êtes vous étranger ? »
« Excusez moi, je suis bien au couvent des Augustines ? »
« Oui mon fils. »
« Bien. J'ai ici avec moi deux personnes qui ont rendez-vous ici. Pouvez vous ouvrir s'il vous plaît ? »
« Il va d’abord me donnait le mot de passe. »

David hallucina. Quelle mot de passe ?

« Paul, on me demande un mot de passe, vous le connaissez bien entendu ? »
« Pardon ! »

Paul s'avança pour rejoindre David. Ils étaient tous les deux en train d'expliquer à la personne derrière la porte qu'ils n'avaient pas reçu de mot de passe ou de code.

« C'est complètement fou ça. Je vous dit que je suis Paul Malrow, le précepteur de la petite Mathilde Girad. Nous avions rendez-vous ici car Monsieur Girard avait des problèmes et qu'il ne souhaitait pas mettre en danger sa famille. »
« Je connais tout cela. » lui répondit-on calmement
« Mais on ne m'a jamais donné de mot de passe.Faites un effort. » lança Paul à la porte.

C'est alors qu'une petite voix se fit entendre.

« Moi je connais le mot de passe. »

David et Paul se retournèrent au même moment. La petite Mathilde était là depuis le début mais ni l'assassin, ni le professeur n'avait eu l'idée de l’interroger.

« C'est Pharaon le mot de passe. C'est le prochain navire de mon père. »

Pharaon lança aussi tôt David.

« Merci petite. » lança David accompagné d'un sourire

Pour la première fois, Mathilde fit part de ses émotions. Un visage illuminé avait remplacé le visage de cire de Mathilde. La porte s'ouvrit alors lentement laissa sortir la chaleur du couvent. Une nonne d'un âge avancé se tenait dans le hall. Elle les invita à entrer et referma derrière aux.

« Vous êtes les premiers. Je vous en prie suivait moi. »

Ils marchèrent alors vers la droite du bâtiment et entrèrent dans une salle éclairé et chaude. Un feu de cheminée grondait dans le fond, faisant craquer ses bûches. Le petit groupe prit place autour d'une table et la nonne s'en alla. Plusieurs heures se passèrent avant que le groupe suivant arrive. Ce fut la mère de Mathilde, elle fut très heureuse de retrouver sa fille. David était ressortie dans le froid, pou venir voir son cheval. L'assassin qui avait escorté la mère de Mathilde le rejoignit et ils firent connaissance.

L'autre assassin était plus vieux que David, proche de la quarantaine sans conteste. Ce dernier fut impressionné de savoir que David était maître assassin. Il faut dire qu'à 22 ans, cela est plutôt rare. Quand David lui expliqua comment il était devenu ainsi un officier de la Confrérie, l'homme lui répondit que la situation l'exigé comme lui avait dit Jack. La confrérie manquait d'officier de talent et les templier prenaient de plus en plus de poids en Amérique menaçant la toute jeunesse de cette nation. David ne lui fit pas part de son voyage pour Washington et des motifs qui le poussaient à y aller.

« J’entends un cheval qui approche. » lança David
« En effet, là-bas. »

Un cavalier lançait à toute allure approchait au galop d'eux. Ni David, ni l'assassin ne pouvait dire si il s'agissait d'un allié ou d'un ennemi. Par précaution, nos deux assassins se préparent mentalement.

« Au secours !!! Aidez moi!!! »

Le cavalier ralentit sa monture. Il arrivait à peine à tenir sur sa monture et David dut le rattraper lorsque celui-ci en descendit. David remarqua alors du sang sur sa main. Il allongea le malheureux.

« Vite, il faut aider Stephen. Je suis un de ces hommes.... » il toussa, « nous avons été pris dans une embuscade à l’orée de la forêt. Vos frères se battent avec courage mais ne tiendrons pas longtemps. Vite. »

David souleva le cavalier et l'emmena à l'intérieure du couvent. Il le confia à Paul et repartit aussi tôt. En sortant, l'assassin tenait son cheval par la bride prêt à partir. David monta sur le cheval et détacha ses deux sacs qu'il confia à l'homme.

« Reste ici. Si nous n'arrivons pas à les repousser, tu devra défendre cette endroit seul. »
« Ne perd pas de temps, je serais me débrouiller. Allez ! »

David lançait comme un projectile filait à toute à l'heure dans la direction du combat. Il lui fallut pourtant cinq bonnes minutes pour y arriver. Les assassins étaient encerclés autour du chariot de Girard. Ce dernier était invisible. David descendit de cheval et alla se cacher derrière un arbre. Il grimpa rapidement dans les branches. Il avait prit soit de récupérer son carquois de flèches avant de grimper. Il se stabilisa et banda son arc.

La première flèche vint se planter dans le dos d'un des templiers. Il continua ainsi, enchaînant les ennemis jusqu'à ce qu'ils remarquent que quelqu'un les prenaient pour cible. David bondit de sa branche et se mit à courir vers le plus proche ennemi.

« Attention, il y en un dans notre dos ! » lança un ennemis

Trop tard, David avait déjà égorger deux ennemis. Les templiers étaient encore au moins une vingtaine. Les tirs avaient faiblis sur le chariot et les assassins acculés commençait à reprendre confiance. David slalomait entre les arbres, évitant les tirs de fusils de justesse. David serra fort sa dague et sa lança comme un tigre vers au moins trois templiers. Ceux-ci lâchèrent arrêtèrent de recharger leurs armes et foncèrent baillonette au canon.

David sentit alors l'étrange sensation revenir et laissa son corps faire. Esquive à gauche, coup de dague à la gorge. Esquive à gauche, roulade et coup de dague dans le dos. Bloqué le coup du dernier ennemi, coup de coude dans le thorax, retournez le fusil et transpercer le templier. Tout c'était déroulé en moins d'une minute. David reprit ses esprits et se plaqua contre un arbre.

« Repliez vous, replie ! » lança l'officier des templiers.

Les templiers qui n'étaient plus que huit détalèrent dans les bois. On ne pouvait pas les rattraper. David rejoignit le groupe d'assassin. Ces derniers le félicitèrent et il rencontra enfin Stephen Girard.

« Un grand merci à vous jeune homme. » puis regardant le groupe, « Ainsi qu'à vous aussi, j'ai une dette envers vous. »

Ils se remirent en route rapidement. David récupéra ses flèches et rejoignit son cheval. Celui-ci le regarda comme ci rien ne s'était passer.

« Allez en route mon vieux. »

David rejoignit le convoi et ils atteignirent le couvent tous ensemble. Paul sortit le premier et serra la main de son patron. Ce fut ensuite le tour de sa femme et de sa fille. La joie était à son comble mais quelqu'un manqué : le fils. Girad rassura sa famille en leur disant que son fils était resté à Philadelphie sous bonne surveillance et qu'il ne fallait pas s'inquiéter.

Le soir, ils fêtèrent tous la victoire de la journée autour d'un bon repas préparaient par les nonnes. Malgré l'hiver, le couvent regorgeait de ressources alimentaires. C'est avec la panse bien plaine que David alla se coucher. Washington était son prochain objectif.

¤ Stephen Girard: http://fr.wikipedia.org/wiki/Stephen_Girard

Bilbo1997__
Niveau 10
07 décembre 2012 à 18:46:46

Moi j'attend le chap de Lenski pour continuer les miens, afin de savoir si les Lenski acceptent de se rendre au sommet :noel:

Lenski
Niveau 10
07 décembre 2012 à 18:51:16

Attends , je m'y met :noel:

Jet_lag
Niveau 10
07 décembre 2012 à 19:08:46

Yo tout le monde :-)

Virgin :d)

trois jours s’était écoulait > s’étaient écoulés

petit blond l’air réfléchi [...] vins me voir > petit blond l’air réfléchi [...] vint me voir (il)

n’étant pas armer > n’étant pas armé

s’y cachait > s’y cacher

une fois la villa réparer > une fois la villa réparée

Comme l'a dit flamme, oubli pas les tirets aux prise de paroles, ça manque vraiment :-(

après, je suis aussi pour le style assez scolaire, où l'émotion est quasiment inexistante...

Je lis les autres textes :ok:

ReyGunners
Niveau 10
07 décembre 2012 à 19:30:38

Ah oui, j'ai oublié la compétence spéciale de mon perso. :hap:

La voici. :d)

• Compétence spéciale : Sixième sens : Les sens de Randy sont acrues. Ainsi, tout ses 5 sens sont "boostés" grâce à cela. Aussi utile en discrétion qu'en combat. Cependant, ce sixième sens fatigue O'Connor à un point fou pour une "simple" technique.

Voilà. :hap: /

Jet :d) Pour les missions, c'est où ? :question:

C'est toi qui les donne ? :hap:

virgin2
Niveau 10
07 décembre 2012 à 19:32:55

ok pour les tirets
j'essayerai de mettre plus d’émotion la prochaine fois (je ferai un nouveau texte la semaine prochaine,je suis fatigué en ce moment)

Lenski
Niveau 10
07 décembre 2012 à 19:37:18

[France , 1769]
-Vladimir !
Igor serra la main de Vladimir avec une force qui aurait broyé la main de n'importe quel autre homme. Le français se contenta de grimacer avant de mettre une main sur l'épaule de son vis à vis et de lui indiquer un fauteuil.
-Pietrchko est là aussi...
Les deux Lenski laissèrent l'assassin s'asseoir avant de prendre tous un verre de vin et de se regarder.
-Alors, que faisons-nous ? Demanda Vladimir. Je suppose que nous allons tous participer à ce rassemblement.
-On extermine les templiers, répondit Igor.
-On va se faire les templiers, répondit Pietrchko.
-Que voilà un vaste programme, commenta Vladimir.
Il termina son verre avant de se lever et d'aller regarder par la fenêtre la plus proche.
-Il y a fort à parier qu'il y aura un ennemi puissant à combattre. Ce genre de rassemblements ne se fait pas sans raison. Il risque d'y avoir beaucoup de combats et je pense que nos dons ne seront pas de trop.... Nous risquons également d'avoir à investir de l'argent pour armer des équipes ou pour...
-Hors de question, répondit Igor. La Russie a besoin d'argent pour se construire. Si je donne de l'argent aux assassins, je diminue la puissance de mon propre pays. Il est facile de parler d'argent dans un pays riche et développé mais il ne faut pas oublier que la nation russe a du retard sur ses voisins.
-Tant qu'il y a quelque chose à combattre, répondit Pietrchko.
-De plus je n'ai pas d'hommes à offrir aux autres confréries, reprit Igor. Mes assassins sont dispersés à travers toute la Russie. Nous n'avons jamais été si proche de la victoire contre les templiers !
-Je comprend......
Vladimir regarda les nuages passer dans le ciel avant de se tourner vers ses compagnons.
-Igor représentera à la fois la famille Lenski et la confrérie russe. Son avis devrait, ainsi, peser bien plus que si je me présentai également et cela évitera les protestations sur la présence de deux membre de notre famille.
-Je ne reculerai pas sur mes opinions, tu t'en rends compte n'est-ce pas ?
-Et moi ? Demanda Pietrchko.
-Je pense que tu pourras te charger de la part de travail de Lenski. Cela devrait te plaire.
L'assassin se mit à ricaner avant de porter son verre à ses lèvres.
-Ça me va parfaitement !
-J'ai laissé Bezhoukov au contrôle de la confrérie, continua Igor. Je peux bien m’absenter quelques semaines mais il vaut mieux que je revienne vite. Cette femme a un courage très grand.... Inversement proportionnelle à sa capacité à diriger ou à comploter.
-Et le mentor de Suéde ? Demanda Pietrchko.
-Par principe, il s'opposera à moi, répondit Igor. C'est vraiment un abruti dont la famille n'a jamais accepté Poltava.

Un peu plus loin.
-Pas mal, commenta Alexander.
Dimitri tendit la pointe de son épée vers Alexander qui portait des vêtements nettement plus steppiques que le jeune français. Les deux se regardèrent un moment avant de faire un pas l'un vers l'autre. Alexander attaqua le premier, son attaque parvenant à déséquilibrer Dimitri, avant de le saisir par le visage, de le soulever et de le plaquer au sol. Le français se massa l'arrière du crane avant de se relever.
-C'est …. Douloureux.
-La guerre est douloureuse, répondit simplement Alexander. Je dois cependant admettre que pour un futur noble de cour tu te défends plutôt bien.
-Et toi, pour un soldat, ton style n'est pas aussi brutale que l'on pourrait s'y attendre.
Ils se serrèrent la main tout en affichant un léger sourire amicale.

[Début 1872, Turkistan]
Dietrich referma le livre avant de regarder Aleskei. Ce russe était un homme si faible qu'il était difficile de le croire héritier d'une lignée si combattante. Incapable de faire des choix militaires ou même de les assumer, il était tout juste bon à faire construire des ponts primaires ou des cabanes pour stocker les munitions. Ce n'était pas un soldat mais une sorte d'administrateur de la guerre. Il est vrai qu'il pouvait être très utile en cas de siège mais il était difficile d'assiéger quoi que ce soit dans la plaine où ils se trouvaient.
-Alors ? Demanda Daithe en s'asseyant à côté de Dietrich.
-Aleskei est un mou. Ses hommes sont trop peu nombreux, mal armés et mal entraînés. La discipline est là mais sans autorité à respecter ou sans entraînement, ils fuiront dés la première attaque en force des kazakhs.
-Que comptes-tu faire ?
-Je vais devoir former à ma façon tous les soldats ici présents, à commencer par leur chef.

Bilbo1997__
Niveau 10
07 décembre 2012 à 20:01:25

Donc Igor représenteras les Lenski lors du sommet ? Il vient seul ( avec des hommes de main ) ou avec des membres de la famille ?

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
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