C'est bien mais va à la ligne à chaque fois qu'il y a quelqu'un qui parle , ça fera moins pavé 
Sujet :
[JEU] L'ère des Assassins
Pseudo supprimé
Niveau 7
23 janvier 2012 à 22:44:47
D'accord merci du conseil bon j'y vais bonne nuit tout le monde 
!
Bonne nuit 
et j'ouvre cette journée (un peu comme les deux dernière)
Enfin le point commun entre les deux personnages de Lenski c'est qui font flipper surtout 
ha bon ?
En quoi ? 
Wow c'est mort ce soir !! 
asgardien : attendez de voir celui des temps modernes 
Il y a quelqu'un qui a la flemme d'écrire la suite de sa mission aujourd'hui. 
Ouai bein faut pas que celui là devienne comme ça !!!! je l'aime trop ce forum !!!!
Bon je suis pas sur que ce soit bien mais bon 
Anecdote 3-Un passé étrange
Russie 2012
Lloyd réfléchissait à ce que lui avait dit l’homme en tenue de militaire, comment cela pouvait-il être possible. S’il donnait à ses gens ce qu’il voulait, il trahirait tous ce qu’il avait jurés de servir. Mais s’il ne leur donnait pas, ils allaient tuer sa femme et sa fille. Et pourtant ça ne préoccupait pas Lloyd, pourquoi. Il s’efforçait de ce rappeler de ce qu’il c’était passé, comment il avait atterri ici. Il se souvint d’une soirée, des gens qui danse dans une grande salle de fête. Il danse avec sa femme pendant que sa fille s’amuse avec d’autres enfants. Sa femme, il la trouvait splendide dans sa robe bleu azure, ses cheveux blond attaché par une broche couvert de diamants. Ils dansaient un slow sur une musique faite par un orchestre symphonique. L’odeur des parfums mis spécialement pour l’occasion. Les lustres étincelant illuminaient les colliers de perles. Tout le monde dansait, les gens étaient heureux. Quand tout à coup, les lumières furent coupés, les gens paniquaient. Lloyd se souvint enfin de ce qu’il c’était passé. L’homme étrange rentra dans la salle.
« Alors allez-vous nous aider ?
_Non ! Le visage de l’homme s’était crispé. Je me souviens de ce qu’il s’est passé. Nous étions a une fêtes ma femme et moi, tous se passait bien jusqu’à ce que vos hommes arrivent, vous avez tué tout le monde, y compris ma femme. Une larme coula sur sa joue. Après quoi vous m’avez assommé. Vous avez détruit tous ce qui comptait pour moi, vous voulez cet objet, alors chercher vous-même, mais je peux vous assurer que je vais vous opposer une résistance d’acier.
_Je vois que vous avez recouvert la mémoire, tant mieux. Pour les prochaines tortures cela sera beaucoup plus utile. »
Il frappa Lloyd deux fois, une foi a l’arcade gauche, et un coup de poing dans le ventre. Lloyd cracha du sang. L’homme étrange se dirigea vers l’animus doucement. Il fixait l’assassin dans les yeux. Il voulait le faire craquer, pour que Lloyd leur disent ou se trouvait ce qu’ils convoitaient. Mais même lui ne le savait pas. Tous ce qu’il savait, c’était que plusieurs de ses ancêtres ont été en leurs possessions.
Cela faisait trois jours que le templier cherchait à extraire des réponses, mais il ne l’avait posé sur l’animus que une heure ou deux. L’esprit de Lloyd faisait tous ce qu’il pouvait pour lutter. Ce jour-là après trois heures de tortures, Lloyd ne pouvait plus résisté. Il se laissa porter jusqu’à l’animus. L’assistante dit.
« Bon la dernière fois nous étions dans les mémoires de Pellée. Mais il a seulement trouvé la boîte, il ne l’a pas caché. Cependant voilà, quand je cherche dans les registres d’Abstergo je trouve le Comte Mailly en 1761. Je ne suis pas sûr mais je crois que … Elle parla à voix basse au templier.
_Quoi ? ! Tu es sur ?
_Non pas à 100% mais si on entre son nom dans les mémoires de Lloyd on verra tout de suite. »
Ils attachèrent Lloyd sur l’animus, et l’assistante lança la mémoire.
[Synchronisation]
Paris
Mai 1760
Augustin, qui préparait son coup depuis des semaines courait dans la rue vers la cathédrale Notre Dame. Il salivait d’avance a l’idée de capturé celle qu’il traque depuis des mois, et surtout il va enfin avoir des réponses. Il était Comte de Mailli, et seigneur de Varennes. Il arriva enfin à la cathédrale, il entra et s’assis sur un banc, cinquième banc dixième rangée en partant du fond. En entrant il avait fait un signe a un groupe de gens, il avait fait le chiffre deux avec sa main. Cela indiquait le temps qu’il fallait attendre. Une femme vint aussitôt s’assoir a cotée de lui. Elle était habillé tout en blanc, et une capuche sur sa tête ne laissait rien voir de son visage.
« Vous avez la carte dit-elle à Augustin ?
_Non, j’ai beaucoup mieux que ça. »
Il fit un geste de la main, dans la seconde tous les gens dans les alentours dégainèrent leurs armes. La femme bien que surprise, resta étonnamment calme. Elle fit un petit sourire à Augustin, et une bombe fumigène éclata. Elle tua cinq des dix gardes. Mais Augustin l’avait rattrapé et la tenait par le cou. « Nous avons quelques petites questions à vous poser très cher. »
[1 jour plus tard]
L’assassine se trouvait dans un endroit très humide. Augustin rentra dans la pièce.
« J’ai eu beaucoup de mal à vous trouver, Helene.
_Comment connaissez-vous mon nom ?
_Je connais tous de vous. Je sais que vous venez de Grèce, je sais aussi à quel groupuscule vous appartenez. Et j’ai même ouï dire que vous étiez a la recherche d’un… artéfact.
_Vous devez faires erreur. Je ne suis qu’une femme Grecque en plein pèlerinage.
_Voyons un pèlerinage, dans ces vêtement ? Et si je ne me trompe pas, Paris n’est pas vraiment sur le tracé Athènes-St Jaque de Compostelle. Je veux tous les documents que vous avez sur la boîte de pandore. Il caressa ses cheveux. Et si vous ne déniez pas me les donner je vais devoir souiller votre douce odeur de la mienne, et tous mes hommes feront de même.
_Vous êtes une ordure ! Sac à vin !
_Oui on le sait tous, les templiers sont des monstre selon votre point de vue. Mais nous avons le même but, nos méthode diverges voilà tous. Réfléchissez un peu à tout ça. Emmener-la dans ma chambre dans deux heures.
[2 jours plus tard]
De la buée sur les fenêtres de la chambre d’Augustin, dans une de ces résidences secondaire. Helene était dans les bras d’Augustin, elle paraissait heureuse. La nuit qu’ils venaient de passer devait être mouvementé. Ils étaient bien, malgré la haine que leurs clans respectifs se portaient.
« Et si ils l’apprenaient ? dit-elle en regardant amoureusement le blanc des yeux de Jérôme.
_Je les tuerai tous si ils assaillaient de te faire du mal, malgré la cause qui nous sépare, tu es la plus belle chose qui me soit arrivé. »
Les deux amoureux s’enlacèrent sans savoir de quoi sera fait demain.
[8 mois plus tard]
Augustin rentra brusquement dans sa résidence. Il courut dans la chambre d’Helene. Elle était dans son lit, en sueur. Un bébé dans ses bras elle regarda Augustin avec un grand sourire. Lui n’en avait aucun sur son visage. Il demanda a un de ses sujets de préparé une calèche pour le centre-ville. Il était tard, très tard. Il prit le bébé et le confia a une servante, sans même le regardé. La servante avait pour ordre de les suivre. Il attrapa le bras d’Helene et la tira du lit. Elle ne comprenait pas ce qui se passait, pire elle avait peur. Elle criait dans le couloir pour savoir où ils allaient, mais il ne répondait pas. Ils montèrent dans la calèche, qui partit tous de suite. Helene se débattu pour reprendre son fils avec elle. Elle questionna Auguste pendant de longues minutes, sans réponses. Ils arrivèrent enfin dans une rue reculée de paris. Auguste ouvrit la porte de la calèche et dit :
« Helene, c’est très grave, mes supérieurs on appris pour l’enfant. Je dois te cacher, mais pour les empêcher de te faire du mal il me faut la boîte, dit mois ou sont les indices s’il te plaît.
_Mais, je …
_Nous avons pas le temps, dit mois où sont les indices, ta survie en dépend.
_Ils sont à Lyon, sous la cathédrale st Jean. Où vais-je aller ?
_Nulle part… »
Il prit son pistolet et tira une balle en pleine tête à Helene. Elle chuta hors de la calèche avec son enfant. Ce dernier perturbé par le bruit se mis à pleurer. Auguste de peur d’être repéré pointa son arme sur le bébé. Il hésita, comment pouvait-on tué un si jeune enfant. Il rangea son arme et ferma la porte. La servante choquée fixait la tache de sang qu’avait fait l’impact de la balle. La calèche partit.
[Désynchronisation]
Lloyd se réveilla en sursaut, il ne comprenait pas ce qu’il c’était passer dans l’animus. Le templier non-plu, mais qui était Auguste.
« Votre appareille ne fonction pas très bien, comment est-ce possible que je voie les mémoires génétiques d’un templier ? L’assistante regarda Lloyd.
_Et bien enfaite c’était une de vos mémoires… Dit-elle. Certain de vos ancêtre était, des templiers. »
Je dit 2 point et 400 ducats
2 point car c'est très bien décrit on attache au personnage et tu mani très bien le décalage entre Lloyd et Auguste. 400 parceque si vous passez tous du côté obscure ke vais finir tous seul ton personnage m'as fait presque autant peur que celui de Lenski
J'ai pas vu l'endroit qui te faisait peur
attension Asgardien et lloyd ne sont pas des templiers, c'est leur encêtre nuance ^^ merci
l'histoire du bébé ne te rapelle pas quelqu'un ?
Nom : *
Prénom : Asgardien
Nationalité : Grecque
Langue : Grecque et français
Age : 20 ans
Sexe : Homme
Physique : Mesure 1m83 pour 68kg, asse fin et musclé. Les cheveux noir mi- long et épais, les yeux bleu persans.
Morale : Il a été trouvé dans une rue de France par des Rome, puis revendu a des esclavagistes en Grèce. Il a sauvé un enfant du fouet puis c’est enfui a 12 ans, et a juré de toujours faire primer la justice avant tous. Jeune homme toujours a la recherche de sensation forte, il aime beaucoup l’escalade et le lancer de lame.
Histoire : Après c’être enfuit de ce centre d’esclavage où il a passé son enfance dans la souffrance et l’épuisement, il vécut dans la rue pendant deux mois, et fut récupérer par un assassin qui entrepris de le former. Personne ne connaissait cependant son prénom et lui-même ne le savait pas, il ne connaissait que l’esclavage. Les enfants des rues l’ont donc surnommé Asgardien, pour avoir sauvé cet enfant. A 17 ans Asgardien rencontra Carline, une espagnole venue en pour l’occasion. Au fur de leur discutions il tomba amoureux d’elle, mais elle dut repartir et ne la vit plus jamais, mais lui écrivait tous les jours par courrier. Et enfin 18 ans, jusque-là il n’était que élevé pas les assassin mais ne pouvait pas apprendre leurs savoir. Il commença donc son entrainement et il trouva un intérêt particulier aux armes de distance et a l’escalade. Quand il s’agissait de corps à corps il préférait la lame ou les couteaux il ne prenait jamais l’épée, il n’appréciait pas. Il est donc aujourd’hui un assassin, et compte bien faire honneur à son crédo
Force : 3/10
Résistance : 4/10
Déviation : 5/10
Vitesse : 4/10
Escalade : 5/10
Discrétion : 2/10
Fils d’Athéna : 2/10 (Réussi a élaboré une stratégie quasiment imparable)
Armes : dague, lame secrète.
+4 400 f
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