Euh...
"deux hommes, mais pas mes agresseurs"
Alors pourquoi tu les tue?! 
Essaye d'insérer une ambiance, met de la description en plus de l'action. Ne néglige pas les pensées du pp, et essayé d'expliquer un peu la mission. La ça fait dans le genre "et paf! Ça fait des chocapic..."
Et fait un texte plus long, sinon je suis d'avis qu'il sera refusé.
0,5 et 75
J'espère que tu tiendras parole 
Ok, par contre je vois pas où est le problème que ce soit que de l'action. 
Force : 1
Résistance : 1
Déviation : 1
Vitesse : 1
Escalade : 1
Discrétion : 1
Classe 
: 2,5
Argent : 375
Je m'achète un fusil d'assaut et je demande une mission ! 
Argent - 350. 
L'action c'est pas du tout un problème. Le problème c'est le manque des autres éléments
Le fusil d'assaut... 
Mais un fusil d'assaut qui coûte 350, ça choque personne ?
Effectivement 
Désolé de m'être barré, je faisais un DM de maths. 
Je part trois jours et j'ais loupé 10 pages
Sinon pour mon nouveau perso, j'ais bien l'intention de refaire le texte. 
Sérieux Spit ?
Oui
Avidité
Partie 2…
Birmingham, 1798…
La nuit était tombée, les rues étaient désertes, aucun son n’était perceptible, le silence absolue. C’était mon domaine, ce que j’aimais, le silence, l’absence de sons, j’adorais cela, pour moi, cela signifiait la paisibilité. Enfin, je n’avais pas le temps de parler de mes goûts, il fallait que j’agisse. J’étais en équilibre sur un câble en corde relient la résidence du maire à une maison. Seul un archer était posté sur le toit, et par miracle, il me tournait le dos. Je marchais alors sur le câble relient les deux maisons, à genoux pour ne pas émettre de bruits, ainsi que les bras écartés afin de tenir en équilibre plus facilement.
Je réussis à atteindre le toit de la résidence du maire sans encombre, rester en équilibre et marcher sur un câble faisait partit de l’entrainement des Assassins. Je me mis alors à genoux, tout en me déplaçant vers la position de l’Archer. Une fois derrière lui, je me levai puis mis ma main droite (main sur laquelle il y a la lame secrète) derrière son cou. J’actionnai alors le mécanisme de ma lame qui produisit un petit son métallique qui fut un « Schling ». Ma lame secrète pénétra ( ) dans sa chair et transperça sa pomme d’Adam, ressortant de l’autre côté. Le cadavre sans vie de l’Archer retomba sur moi, et je le laissai sur le toit. D’où il était posté, il avait une vue imprenable sur le jardin. Quand je vis le maire en dessous de moi, les mains derrière le dos, j’esquissai un sourire.
Je me laissai tomber jusqu’en bas, me réceptionnant en roulade. Le maire se retourna alors, affolé, mais avant même qu’il puisse faire la moindre chose, j’étais déjà devant lui. Je le soulevai alors par le col,de la main gauche, et puis, je le regardai battre des jambes vu que je le soulevai du sol, ce qui eut pour résultat de m’amuser. Il voulut crier, mais je pris d’abord la parole en esquissant un sourire :
- Tu crois vraiment que je me serais présenté devant toi comme cela, sans n’avoir rien prévu ?
- ……
- Si tu veux crier, crie, plus personne ne viendra te sauver maintenant. Dis-je en lui montrant le sang recouvrant mon brassard sur la main droite.
- Qu’est ce que…qu’est ce…qu’est ce que vous me voulez ? balbuat-il.
- Oh…moi rien, c’est le peuple qui veut quelque chose.
Il comprit directement ce que je lui dis. Heureusement, j’espérais ne pas être confronté à un imbécile, et ce n’est heureusement pas le cas….enfin je pense.
- Vous…vous voulez que je baisse les impôts ? Vous…vous êtes fou ? dit-il en haussant le ton.
- Tu le penses vraiment ? dis-je en lui montrant ma lame secrète.
- Ce n’est…pas possible, vous ne…ne pouvez pas…me tuer ! On me vengera !
- Quel homme naïf es-tu, tu crois vraiment que tu es intouchable ? Que la société souffrira de ta mort ? Qu’on cherchera à te venger ? Que quelqu’un pleurera ta mort ? Quel imbécile, tu n’es qu’un pion, rien d’autre, un pion qui, lorsqu’il mourra, sera remplacé comme tu les autre avant lui. Tu n’es rien, un simple pion, tu seras remplacé comme tu les autres avant toi et comme tout les autres après toi, car tel est la société et la nature humaine, on n’y peut rien. De plus, tu ne sais rien de ce monde, de ses fondements, de ses conflits, des vérités déformés, tu ne sais rien !
- …..
Il resta muet.
- Alors, avant que je mette un terme à ta misérable vie si tu ne te décides pas, réfléchie bien.
- Bien…ok ok, c’est bon. Dit-il alors que les mots peinaient à sortir de sa gorge, je ferais ce que vous voulez. Mais…promettez moi de…de ne rien me faire…
- Marché conclu. Dis-je avant de le mettre inconscient d’un énorme coup de coude.
C’était une mesure de précaution, rien de plus. Je m’enfuis alors, quittant la résidence. Après cela, je partis acheter un cheval avec la bourse que le maitre avait prévu pour cela. Je le chevauchai, puis tirai sur les rênes, lui communiquant l’ordre d’accélérer. Je décidai de quitter la ville maintenant, et de retourner à Londres, j’avais l’intuition d’avoir réussi, et ça serait très risqué de sa part de me faire revenir ici, car je n’aurai pas la moindre envie de le ménager.
C’est sur ces pensées que je quittai la ville, et pris la direction de Londres…
Pavay posté ! /
Que quelqu'un me corrige ça et me file une nouvelle mission please. 
Fichier secondaire n°1
« Mauvaise graine », Guadalcanal, 19 août 1942
Oliver Maxwell se dirigeait vers le bâtiment de commandement en logeant sur sa gauche la piste de l'aérodrome. Ce dernier avait été nommé Henderson Field en l'honneur du premier pilote allié mort lors de la bataille de Midway. Un P-38 venait tout juste d'arriver et le personnel au sol s'activait déjà autour de l'appareil. Oliver remarqua alors que s'était la première fois qu'un avion se posait sur cette base. Il faut dire que les japonnais ne se privaient pas pour bombarder la position américaine.
Oliver enleva son casque et essuya son front. Pas une once de brise ne venait rafraîchir l'air chaud du Pacifique. C'est alors qu'il l'entendit, le bruit caractéristique d'un obus qui tombe. Il se mit alors à courir vers un poste de DCA et sauta derrière les sacs de sable. L'explosion eut lieu au bout de la piste et ne tua personne. Oliver se remit en chemin et atteignit enfin le bâtiment de commandement.
Celui-ci était constitué d'un bâtiment semblable à une maison et d'une partie bétonnée. C'est dans ce bunker que le commandant Alexander Vandegrift, avait installé son PC. Une fois à l'intérieure, Oliver fut content de voir qu'il y avait un peu de fraîcheur. Il s'engouffra dans le bunker dont la porte en acier était ouverte.
La salle de commandement était sobre et une large table prenait la majorité de la place. Des instruments de radio et des cartes complétaient l'endroit. Assis dans un coin, un soldat était occupé à mettre à jour une carte. Oliver l'ignora et marcha vers un bureau adjacent. Il frappa et entra sans même recevoir une quelconque objection.
« Salut Alex, alors du nouveau ? »
« Pas vraiment. Les choses commencent sérieusement à se gâter. »
« Explique ? »
« Les Japs se ramènent pour nous déloger. Ils ont débarqué hier et s'approchent de nos positions du côté de la rivière Tenaru. Je ne sait pas encore quand ils vont attaquer mais ce ne sera sans doute pas le dernier. »
« Je voit. », fit Oliver avec une moue de dédain, « Cela va sérieusement nous ralentir, et moi qui croyait que serait plus facile que prévue. »
« Surtout que l'on a pas encore localisé le temple. »
Oliver jeta un regard derrière lui. La porte était bien fermée.
« Nous ne sommes pas pressés Alex ; les choses se dérouleront comme prévue. Nous sommes en position de force face à nos ennemis. »
« Oui, mais on n'est pas à l'abri. Même ici Oliver. »
Alexander se leva et se dirigea vers un casier en fer. Il l'ouvrit et en sortit une boîte en bois. Il la posa sur le bureau et l'ouvrit. Cette dernière contenait des papier divers et Alexander en sortit un parchemin jaunit par le temps qu'il étala sur son bureau. Les deux hommes de penchèrent dessus.
Le parchemin était en fait une carte du 19ème siècle. Représentant l'île de Guadalcanal, elle était d'une précision sommaire. Oliver pointa du doigt un endroit spécifique et repris la parole :
« D'après nos calculs, le temple devrait se situer ici. »
« En pleine jungle. Comme si avec les Japs ont avaient pas déjà assez, il faut que dame nature soit de la partie. »
« Je sait bien. Vas dire ça à la première civilisation. »
« Très drôle. Mais bon, quand nos frères arriveront, la chose deviendra plus aisée. »
On frappa.
« Deux secondes. » lança Alexander
Oliver ramassa la carte et la rangea dans la boîte en bois. Il laissa ensuite Alexander la remettre dans son casier en fer. Oliver alla ouvrir la porte.
L'homme qui se tenait dans l'embrasure était pilote. Sans doute celui du P-38.
« Je vais vous laisser chef, à plus tard. »
Oliver laissa donc sa place au pilote et ressortit dehors. Les prochains mois allaient sans doute être décisif pour la bataille du Pacifique et la réussite de sa mission. Oliver ne devait en aucun cas décevoir l'ordre.
« Hesse », Allemagne Nazi, 19 août 1943
Le ciel de Berlin était gris mais on prévoyait des éclaircies pour la journée. Victor Hesse marchait d'un pas lent dans les rues berlinoises. L'atmosphère était pesante et peu de gens se trouvait dehors. Après avoir passé quelques rues, Victor obliqua dans une rue étroite. Après avoir vérifier qu'il n'était pas suivit, il s'engouffra dans un immeuble. Il grimpa au quatrième et se retrouva devant une porte. Il frappa trois fois puis une fois. Il sentit une personne derrière la porte et le verrou tourna.
« Tu n'a pas été suivit ? »
« Non, ne t'inquiète pas Ralph. Je ne suis pas non plus un novice. »
Victor s'avança dans l'appartement tandis que Ralph refermait la porte. L'appartement était sobre, guerre oblige. Ralph et Victor se posèrent autour de la table.
« Je croit que l'on peut être fier de nous. »
« Tu peut le dire Victor. Le bombardement de hier a fait environ six cent morts et mis en pièce l'usine de Peenemünde. »
« C'est aussi un coup dur pour les templiers. Ils viennent aussi de perdre un site important pour la construction de leurs V1 et V2. »
« Oui, mais sa ne les arrêteras pas. »
« Non, mais nous continuerons notre travail. La guerre est à un tournant Ralph, je le sent. Les Alliés ont repris le dessus. »
« Oui mais ce n'est pas en débarquant en Italie que les choses avancerons plus vite. Par contre, j’ai grand espoir concernant les russes. Les nouvelles sont plutôt bonne d'après la confrérie là-bas. »
« Tant mieux. »
C'est alors qu'ils entendirent des bruits derrière la porte d'entrée et des voix. On frappa. Victor et Ralph se regardèrent.
« Tu attend quelqu'un d'autre ? » demanda Victor
« Non, du tout. »
Victor sortit un pistolet de sous sa veste et alla se cacher derrière un mur. Ralph se leva et se dirigea vers la porte.
« Qui est là ? »
« Gestapo ouvrez !!! »
-> Voilà la nouvelle version
jet = mes taisyklé : nous régnons
Hello ! 
Alcahe a posté sa mission ? 
Salut, non il ne l'a pas encore posté je crois.
Ouaip, et avant que j'oublie, lorsque j'aurais posté ma mission, lisez avec ces musiques :
Première partie (infiltration et folie) : http://www.youtube.com/watch?v=dlbHku8EoV4
Seconde partie (combat et folie) : http://www.youtube.com/watch?v=E4aB39NKWbA 
Vous en pensez quoi ?
Bof
Le soundtrack de Far Cry 3...
