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Assassin's Creed III

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
ReyGunners
Niveau 10
18 décembre 2012 à 22:41:57

Spit :d) Ca me semble une bonne idée mais ça me semble légerement familier.... :(

Oh wait... :hap:

Pour faire simple, ma nouvelle parlera d'un vieux, tourmenté ( wesh l fronçé tavu ? :noel: ) par une personne qui est cité comme "ellle" ( car ça fait chelou et il y a du suspens ), c'est un récit enchassé. :oui:

Par contre, je sais toujours pas comment mettre ça en scène, genre comment ça commence et toussa. :hap:

Des idées ? :hap:

L'atmosphère doit être effrayante aussi. :oui:

PS: Oui, je ne sais pas faire le wesh, problem' ? :hap:

Malhakam
Niveau 3
19 décembre 2012 à 00:14:24

Prénom : Malhakam

Nom : Frode

Age : 20 ans

Pays : France, plus précisément Normand

Sexe : Homme

Description : Blond, yeux bleu, taille moyenne de 1m75,
mince, muscle juste dessiné mais la force est la, rapide et agile, malin et réfléchis, polis envers la gente féminine, n'aime pas l'injustice, et peu vite s’emporter si un animal, un homme n'étant pas en mesure de se défendre, un enfant ou une femme ce fait mal traité devant lui.

Histoire : Jeune Normand d'origine scandinave, dont son nom Frode signifiant intelligent et avisé, il perd ses parents a l'age de 10 ans suite a une maladie, son oncle le recueille et l’entraîne dès l'hors pour l’enrôler dans le clan nommé F8X (Renard, le huit représentant les huit personnages principaux de ce clan.), Malhakam s’entraîne durement jusqu'à l'age de 17 ans ou son oncle péris a la suite d'une mission, Malhakam prend donc la tête du clan F8X car son oncle en était le haut chef, le voyage ne lui faisant pas peur, il accepte les missions jusqu'à la ou l'employeur le désirera. Toujours discret, il fera de son mieux avec le plus de malice possible pour mener a bien ses missions. Le combat ne l’apeure pas, et il n'hésitera pas a aller secourir l'un de ses compagnon, et est même apte a mener des missions en compagnie de d'autres assassin se d'autres clan.

Jet_lag
Niveau 10
19 décembre 2012 à 00:16:39

Bon, demain je me motive et je fais tout ce que je devais faire il y a déjà deux jour :pf:

bonne nuit

+ bonjour aux nouveaux :hap:

Pseudo supprimé
Niveau 10
19 décembre 2012 à 06:35:09

Bon :noel:

Il est né le 26 juin 1752, à 11h38, il à 21 ans donc si je ne me trompes pas il est actuellement en 1773 :noel:

Pour ce qui est de la mission : Récoltez des infos sur le réseau de ventes d'esclaves.

Vindrac se prépare toute la journée chez lui, aiguisant sa lame et affinant ses coups, en attendant le soir, ou il pourrait mieux procéder. Il enfiles sa tenue d’assassin, jettes un dernier regard a son beau père et a sa mère, et s’en va en ville, à Paris plus exactement, là ou il y a beaucoup de population.

Une fois arrivé, il était 23 heures, Vindrac avançait prudemment dans les rues et ruelles, à la recherche d’une patrouille qui passerait par là.

Il décida de grimper sur les toits pour avoir une meilleur vue, et il observa une patrouille de 3 hommes qui faisaient, leur ronde, ils semblaient faire le même tour depuis 20 minutes, passant par une place puis dans 2 rues, pour prendre une petite ruelle qui rejoignait une autre rue, pour ensuite revenir à la place, mais il allait devoir les interroger pour récolter peut-être des informations car ce soir-là, leur seule obstination était leur salaire.

Vindrac décidait qu’il frapperait au moment ou ils passeront dans la ruelle.Il se mit en position, juste au dessus de la ruelle sur un toit, sortit son unique lame secrète, et attendit l’arrivée de la patrouille.

Il regardait autour de lui :
Personne, aucun citoyen, c’était très bon signe.

Lorsque le moment arriva, il bondit sur le garde de droite, lui enfoncant dans la glotte sa lame, et profita de l’effet de surprise pour trancher la gorge du deuxième, le troisième, effrayé, sortit son mousquet et le dirigea vers le ciel pour lancer un appel de détresse, mais vindrac parvient à le désarmer avant.

Il prit au col le garde et le plaqua violemment contre le mur, lui disant « Maintenant, ton unique chance de survie est de répondre à ma question, si tu cries je te tues, tu comprends ? »

Le garde aquiesca.

-Bien, des informations circulent de partout sur un réseau de vente d’esclaves, tu ne vas pas me dire que tu n’es au courant de rien quand même ?
-Je ne suis qu’un garde, je ne sais pas grand-chose, ne me tuez pas s’il vous plait !
-Dis-moi tout !
-Il paraît que ce sont les templiers qui soient à l’origine de ce trafic, ils achètent des esclaves pour faire des expériences sur eux, et quand ils ont finis ces éxperiences, ils les revendent pour rembourser leur achat, c’est tout ce que je sais, je le jure ! Ne me tuez pas !

Vindrac regarda les 2 gardes au sol, puis lui dit :

-Tu as beaucoup de chance aujourd’hui

Il relacha le garde et l’assomma d’un violent coup de poing, puis vindrac repartit chez lui, prendre un peu de repos.

Alcahe
Niveau 10
19 décembre 2012 à 08:22:50

Bonjour tout le monde, je vois qu'il y a des nouveaux. Alca', pour vous servir. :noel:

Lenski
Niveau 10
19 décembre 2012 à 10:29:18

Era : c'pas mal du tout :noel:

à part un petit s aprés un il et le fait que les templiers soient connus c'est trés bien :noel:

Disons 1.5 points et 400 d'argent pour commencer :noel:

je serais bien plus sa... dur la prochaine fois, bien sûr :noel:

Suite de ta mission : Les mendiants de Paris se réfugient dans les égoûts. Selon certains, ils seraient victimes de ce traffic d'esclave. Va t'informer à ce sujet là et essaye d'obtenir le lieu de vente des esclaves :noel:

Pseudo supprimé
Niveau 10
19 décembre 2012 à 11:51:05

Merci :)

Je me fais un petit résumé de mes points et argent ^^

Donc argent : 400

Points :

Force : 0
Résistance : 0
Déviation (combat, riposte mortelle) : 0
Vitesse (Aussi bien en combat qu'en course) : 0
Escalade : 0.5
Discrétion : 1
Compétence spéciale : 0

Je travaille sur la prochaine mission :noel:

Pseudo supprimé
Niveau 10
19 décembre 2012 à 12:36:03

Voilà, bonne lecture ^^

Vindrac décida de se reposer 2 jours après sa précédente mission, en sortant juste faire ses courses en ville, mais aucune information intéressante.

Le lendemain, Vindrac enfila sa tenue d’assassin, jeta un dernier regard sur sa mère et son beau-père, puis pris la direction de Paris.

Il avait emmené avec lui un sac, pour chasser un peu si il avait du temps.

Arrivé à Paris vers 11 heures et demi, il décida de trouver un coin tranquille ou il pourrait réfléchir à la situation et à comment il allait procéder. Vindrac se mit sur un toit, contemplant la ville tout en réfléchissant a ses plans.

Il savait seulement que les templiers étaient à l’origine de tout sa, et que leurs esclaves seraient des pauvres mendiants. Mais alors, vu que les templiers les achètent, qui peut bien aller chercher les mendiants dans les égouts ? Les payaient ils en leur faisant croire à une vie meilleure, les forçaient ils ? Il fallait des réponses à ses questions.

Vindrac descendit du toit, et chercha dans les ruelles une bouche d’égout, qu’il emprunta, apparemment, les mendiants fuyaient ici.

Après un petit moment de marche dans les égouts, il tomba sur un groupe de mendiant autour d’un feu. Vindrac décida d’aller les voir pour peut-être en savoir plus.

-Bonjour, excusez-moi, j’ai quelques questions, pourriez-vous m’aider ?
Un des mendiants pris la parole.
-De toute façon, nous n’avons rien d’autre à faire…
-Merci, donc il parait qu’un réseau d’esclaves circulent, en avez-vous entendu parler ?
-Bien sur, c’est pour sa qu’on est ici, nous et beaucoup d’autres… Ces hommes viennent le soir dans les rues de Paris et nous frappent à la limite de la mort, pour ensuite nous mettre dans un convoi et nous emmener.
-Qui sont ces hommes ?
-Nous ne savons pas, ils sont habillés tout en noir, avec un masque et un chapeau melon.
-Et vous, ils ne vous ont jamais attrapés ?
-Non, pas jusqu’à ici, mais desfois nous avons eu très peur quand même…
-Merci infiniment de votre aide, en espérant qu’ils ne vous trouveront pas.

Vindrac repartit à la surface, remonta sur le même toit que plus tôt pour réfléchir à son plan.

Après un moment de réflexion, il décida d’attendre la nuit pour chercher un groupe de mendiants inconscients au courant de rien, pour voir leur capture et ensuite suivre le convoi et découvrir ou ils sont emmenés.

Il regarda le ciel, il n’était qu’en début d’après-midi, il décida donc d’aller en forêt pour chasser un peu avant la nuit.

La journée passa vite, il n’eut malheureusement pas beaucoup de chance car il n’y avait pas beaucoup de gibiers dans la zone ou il avait décidé de chasser, seulement deux pauvres lapins et un castor.

Il positiva en se disant que c’était mieux que rien, mais il l’avait quand même en travers de la gorge, la nuit approchait, il se remit en direction de Paris.

Arrivé à Paris, le soleil c’était couché et il se mit sur les toits pour chercher un groupe de mendiants.
Durant sa recherche, il tomba sur un de ces convois justement, il était gardé par 6 hommes tous vêtus de noir avec un masque et un chapeau melon, mais également un sabre à lame courbe chacun.

En tout cas, il avait eu beaucoup de chance de tomber directement sur eux, plus de chance que pour sa chasse du jour.
Vindrac les suivit pendant un long moment, lorsqu’ils tombèrent sur un groupe de mendiants.

-Suivez nous si vous ne voulez pas souffrir.
-Mais qui êtes-vous ?

Sans même répondre, un des hommes sortit son sabre et sa mit à matraquer le pauvre homme avec le manche, Vindrac dû se retenir de les aider même si sa le tentait beaucoup et il du continuer a assister à la scène.

-D’autres questions ?

Les autres mendiants étaient terrorisés, un essaya de s’enfuir en courant mais il fut vite rattraper et matraquer aussi.

Les 6 hommes mirent tout les mendiants dans le convoi, et continuèrent leur route à la recherche d’autres mendiants.
Après 2 heures de recherche, les hommes avaient trouvés plusieurs groupes avec à chaque fois le même excès de violence.

«On en a assez, on y va. »

Ils quittèrent Paris et Vindrac les suivit, ils se dirigaient vers la forêt, ou justement il était partit chasser plus tôt. Les suivant dans les arbres, Vindrac grimaçait quand il voyait que maintenant, il y avait le sextuple de ce qu’il y avait plus tôt, mais là aussi il dû se retenir pour continuer la filature sans être repéré.
Environ une heure plus tard, ils arrivèrent près d’un lac ou un groupe de 20 hommes les attendaient.

Vindrac se rapprocha pour les identifier, il s’agissait effectivement de templiers, tous la même tenue avec leurs signes.

Il assista à la transaction, 500 francs par mendiant récupérés, ici il y en avait une vingtaine, autant dire qu’il s’agissait d’une belle somme.

Les hommes en noir repartirent et Vindrac décida de continuer un peu pour voir ou les templiers allaient, il était tard et il s’arrêtèrent à un campement une centaine de mètres plus loin, ou apparemment ils allaient passer leur nuit.

Malhakam
Niveau 3
19 décembre 2012 à 12:55:33

Pourrais-je avoir un avis sur mon Assassin? =)

Lenski
Niveau 10
19 décembre 2012 à 13:12:24

Mal : demande à flamme ou jet :noel:
era : on commence avec 1 partout :oui:
+ pavay césar :hap: /

Pseudo supprimé
Niveau 10
19 décembre 2012 à 13:13:10

Comment sa 1 partout ?

Et tu trouves que c'etait trop long ?

Lenski
Niveau 10
19 décembre 2012 à 13:16:56

era : ce n'est jamais trop long :non: :noel:
1 partout : 1 point à chaque compétence dés le début :oui:

Sinon : trop d'espaces :oui:
Un castor dans les environs de paris ? :doute:
Des chiffres à écrire en lettres :noel:
Pas de défaut majeur sinon :noel: Même si j'ai un doute sur l'existence des chapeaux melon à l'époque :hap:

Disons 1.5 points et 300 d'argent \ :noel: /

Pseudo supprimé
Niveau 10
19 décembre 2012 à 13:26:19

D'accord ;)

Donc pour l'argent : 700

Points :

Force : 1
Résistance :
Déviation (combat, riposte mortelle) : 1
Vitesse (Aussi bien en combat qu'en course) : 1
Escalade : 2
Discrétion : 3
Compétence spéciale : 1

J'attends ma prochaine mission :)

Lenski
Niveau 10
19 décembre 2012 à 13:40:31

Donc .... :noel:

Maintenant que tu sais où se déroule le commerce, tu vas y mettre fin :noel:
Libéres les esclaves et profite de leur évasion pour éliminer l'un des templiers ( attention, les templiers sont d'excellents combattants ) :noel:

Alcahe
Niveau 10
19 décembre 2012 à 13:48:04

Re. Bon, ça va les gars où vous attendez le chap' d'Alec du futur ? :noel:

Je veux sortir de ta tête. :pf:

Non non, on inverse les rôles. :noel:

ReyGunners
Niveau 10
19 décembre 2012 à 14:25:50

Coucou. :hap: /

Aujourd'hui, j'ai énormément de travail à faire, alors je ne serai pas présent de l'aprem'. :oui:

Enfin bref, tant que t'es là Lens', peux-tu corriger le pavé que j'ai écris ? :hap:

Please, j'ai envie d'écrire. :hap: /

Lenski
Niveau 10
19 décembre 2012 à 14:26:32

Oui je peux le corriger :noel:

Lenski
Niveau 10
19 décembre 2012 à 14:28:33

[1872, Russie]
Dietrich descendit de son cheval et observa la grande plaine gelée qui semblait s'étendre à l'infini, tout du moins aussi loin que ses yeux pouvaient voir. Il ne connaissait rien de ce pays hormis le fait que son dirigeant s'était rapproché de l'Allemagne malgré l'opposition de certains membres de sa famille. La politique ne l'intéressait guère mais il faisait en sorte de connaître ce qu'il fallait savoir. Un véritable continent à conquérir dans l'ombre grâce à la force, l'intelligence ou la richesse. La force et l'intelligence ne suffiraient certainement pas sans la richesse et en cela Dietrich partait perdant. Il avait bien Aleskei à ses côtés mais il était difficile de compter sur sa richesse qui avait du être saisie par les hommes de Bezhoukov. Autrement dit, la situation allait être compliquée et sa seule chance de reprendre ce qui avait été prit serait non pas de jouer en finesse en se faisant passer pour un membre de la guilde des assassins prussiens mais en s'affichant ouvertement comme un Lenski venant reprendre le contrôle de la confrérie. Pour cela il aurait besoin d'un nombre important de soutiens pour reprendre la confrérie ou même la rebâtir. Aussi triste que cela puisse paraître, le plus triste aux yeux de Dietrich étant le sentiment désagréable engendré, il devrait écarter Aleskei pour lui redonner sa propre confrérie qu'il n'avait pas réussi à conserver. Comment faire ?
-Tu as un plan ? Demanda Aleskei.
-Il faudrait trouver une personne pour nous héberger et que j'en apprenne plus sur l'histoire de notre famille. On dit que les russes ont la mémoire longue....
-Visiblement pas lorsque cela pourrait nous aider....
-Qui pourrait nous aider ?
-Les Khelaziov. L'union de nos deux familles est assez récente.
-Et où pourrais-je en apprendre plus sur... L'arrivée des Lenski et leur histoire ?
-Tu as le livre de Dimitri, non ?
-Oui, répondit Dietrich. Je vais le consulter en attendant.

[1231, Lituanie]
-Meurs hérétiques ! Lança un chevalier lourdement protégé à un homme à terre.
-Ta mère suce des bites en enfer !
L'homme prit son épée et l'enfonça dans le crane du chevalier. Il se releva et regarda autour de lui la mort et la désolation du village encore brûlant où il se trouvait. Il était grand, avait des cheveux bouclés bruns et longs ainsi qu'une barbe naissante. Il portait une simple tunique rouge bardée de petite pièces de métal faisant office d'armure. Bien que paraissant peu fiable, cette sorte de cotte de maille indiquait son statut de seigneur et lui offrait la meilleure protection possible face à des adversaires si lourdement armés.
-Là ! Il en reste un ! Hurla un simple soldat.
-Deginimas sniegas ! Hurla l'homme.
Alors que des hommes d'armes se dirigeaient vers lui il y eut un sifflement et des flèches vinrent les abattre. Des hommes sortaient des ruines du village et se jetaient sur les envahisseurs qui se retrouvèrent désorganisés par l'effet de surprise. Un chevalier se mit à courir vers l'homme qui se contenta de se mettre de côté tandis qu'une hache de lancer passait au-dessus de son épaule et se plantait dans la tête du chevalier. Il se retourna et tandis la hache tandis qu'un colosse barbu arrivait en courant dans sa direction.
-Radeï !
Le jeune noble tendit sa main tandis que son coéquipier lui lançait une hache à deux mains qu'il rattrapa. Les deux hommes se mirent dos à dos tandis que des chevaliers se frayaient un chemin vers eux, les reconnaissant comme des chefs dont la mort les sauverait tous. Les deux hommes se mirent à sourire avant de s'en prendre à leurs adversaires et à s'en défaire avec une facilité déconcertante malgré l'écart de qualité de leurs équipements respectifs.
-Bezhoukov ! Ça ne t'en rappelle pas une autre ?
-Si tu fais référence à la fois à laquelle je pense, saches que j'étais trop ivre pour me souvenir de tous les détails !
Finalement les chevaliers et leurs hommes d'armes finirent par battre en retraite laissant les soldats de Radeï se regrouper avant de quitter les lieux. Ils marchèrent pendant un long moment jusqu'à retrouver d'autres soldats protégeant un groupe de villageois visiblement bien loin de leurs terres. Il régnait une atmosphère inquiétante dans le campement, chacun essayant de retrouver les membres de sa famille revenir les armes à la main. Heureusement pour eux, les pertes avaient été faibles grâce à leur effet de surprise. La situation était devenue catastrophique depuis les débuts de l'invasion des différents ordres de chevaliers. Leurs voisins avaient subi les attaques des chevaliers teutoniques tandis qu'eux avaient encaissé de plein fouet les assauts des chevaliers de l'Ordre livonien. Leur volonté d'évangéliser les terres sous domination orthodoxes ou simplement athées avait engendré des massacres indescriptibles.
-Radeï ! Que faisons-nous maintenant ?
Radeï se caressa un moment la barbe avant d'observer le rassemblement de vagabonds qui lui faisait office de peuple. Il ferma les yeux un moment avant de se retourner et d'aller monter sur son cheval.
-Dirigeons-nous vers Riga puis vers Novgorod.
-Les russes ? Répéta Bezhoukov comme s'il ne comprenait pas.
-Pour l'instant ils n'ont pas été attaqués. Peut être arriveront-nous à piller de quoi nous nourrir.
-Je ne leur fait pas confiance. Les russes finiront bien par nous attaquer et nous piller à leur tour.
-Crois-moi, j'aimerai bien avoir le choix mais si nous restons ici nous allons nous faire exterminer par les teutoniques ou par les livoniens. Mettons d'abord le peuple en sécurité avant de prendre les armes.
-Alors nous fuyons ? Demanda Bezhoukov.
-Crois-moi, je n'ai qu'une envie, celle de leur enfoncer ma hache dans le crane jusqu'à ce qu'elle leur ressorte par les couilles mais pour l'instant il faut s'occuper de nos paysans si nous voulons manger une fois tout cela terminé.

[1872, Russie]
Dietrich referma le livre et alla toquer à la porte du manoir où un laquais vint aussitôt lui ouvrir.
Bien le bonjour, mon maître attend-il votre visite.
-Paix ! Lâcha un vieil homme. Je sais qui sont ces gens....
Dietrich et Aleskei s'approchèrent et le suivirent jusqu'à ce qui semblait être un salon de thé. Ils s'assirent sur des fauteuils et attendirent que leur hôte ne prenne la parole.
-Voyez-vous ça.... Aleskei Lenski, le seigneur déchu, et son servant.... Que venez-vous faire ici ?
-Reprendre ce qui appartient à notre famille, répondit Aleskei.
-Ce qui vous appartient ? Mais vous l'avez perdu ! Et en plus de cela vous venez me mettre en danger en venant vous réfugier ici. J'ai ma propre famille et je ne la mettrai certainement pas en danger en vous hébergeant.
-Je vous rappelle qu'il est de votre famille, lâcha Dietrich. Même si cela doit remonter à votre petite enfance, je vous demande de ne pas oublier que votre famille s'est liée à la sienne et en tant que tel...
-Ils représentaient le pouvoir et la sécurité à l'époque. Aujourd'hui ils ne sont plus que des fugitifs traqués par les hommes qui avaient prêté serment d'allégeance à leur maison. Les Lenski sont finis et plus jamais ils ne dirigeront la confrérie russe et même s'ils devaient la reprendre...
-Il ne redeviendra pas mentor, le coupa Dietrich.
-Ha non ? Alors comment compte-t-il la redonner à sa famille étant donné qu'il est le dernier.
-Je suis Dietrich Von Leinsnitz, héritier de Dimitri Lenski dit « l’apatride » et , par lui, héritier de Donov Lenski, de Radeï Lenia et de la plupart des autres Lenski ayant précédé Donov.
-Vous voulez donc prendre le contrôle d'une confrérie russe, messire le prussien.... La Russie n'a pas besoin des étrangers. Elle n'en a jamais eu besoin.
-Pierre le Grand a bien profité du savoir des étrangers mais je ne viens pas parler histoire. Que pouvez-vous me dire sur la situation ?
-Les assassins sont divisés en deux branches comme à l'époque de Dimitri. Ceux qui désirent rester en paix avec les templiers et ceux qui désirent faire régner le peuple et qui, à mon sens, sont les plus dangereux pour la Russie. La division a eu lieu suite à la prise de pouvoir de Bezhoukov et vous ne reprendrez rien sans calmer au moins l'une des deux.
-Et incarner une troisième voie ?
-Très bonne idée, lui répondit Khelaziov. Il y a environ deux cent assassins à Moscou et une centaine à Saint-Pétersbourg. Avec votre argent et la renommée de vos ancêtres peut-être obtiendrez-vous une centaine d'assassins.... Igor Lenski voulait au moins deux cent assassins par régions et il a réussi à tenir son pari malgré le décès d'un grand nombre d'assassins suite à la guerre de Crimée... Que comptez-vous faire ? Vous ne pourrez reprendre la confrérie avec si peu d'hommes. Soyez un peu trop bruyants et vous serez exterminés. Vous n'avez ni assez de lames ni assez de fusils à votre disposition.
-Et pourquoi pas simplement se contenter de laisser les choses se faire ? Que font les templiers ?
-Les templiers prennent du pouvoir. Assez pour bientôt pouvoir se passer des assassins.
-Il y aura donc quatre camps, résuma Aleskei.

ReyGunners
Niveau 10
19 décembre 2012 à 14:32:03

Tiens LEns', voici la page où j'ai posté mon pavay. :hap:

https://m.jeuxvideo.com/forums/1-28123-531-737-0-1-0-jeu-l-ere-des-assassins.htm

Alcahe
Niveau 10
19 décembre 2012 à 14:44:27
  • Crève dans son coin après qu'Alec du passé ait pris possession de son corps.* :mort:

Je suis enfin seul ! Dans la tête d'un cadavre... Je suis malin, moi... :(

Sujet : [JEU] L'ère des Assassins
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