Assassin's Creed III

Ouf ! Je posterai la partie 2 demain, je pense. /

du pauvre maire*

Fail.

Jet, t'as toujours pas lu les textes ?

Nope

15 000 ème post.

15000ème post, avec un post si...expressif.

Ce 15millieme en bois

Tu dis même pas joyeux noël

Si je l'ai dis.

Bon, je le redis alors : Joyeux Noël. /

Moi, je fête pas noel, mais bon, ça me dérange pas vraiment.

Osef, il fallait le mettre dans le post des 15mille

Ah ok.

Bon, je le redis une dernière fois pour me rattraper : Joyeux Noël.

Joyeux Noël

Lis les textes jet !!!!

Jingle Bells, Jingle Bells, Jingle all the way.

We wish you a merry Christmas, we wish you a erry Christmas, we wish you a merry Christmas and a happy new year.

Chapitre 214
Brown.
19 juin 1514, Venise, QG des assassins.

http://www.youtube.com/watch?v=iZ9iflvCwok

J'étais en train d'aiguiser mon épée, assis à côté de Clark. Ce dernier, ayant perdu son oeil droit, portait un bandeau dessus. Il avait encore un peu de mal à marcher, mais il s'était bien rétabli. Mon cousin avait même décidé de se rallier à notre cause. A ce moment-là, il lisait tranquillement. Tout allait pour le mieux.

Soudain, Flore entra dans la pièce et s'assit en face de moi.

"Oui ? Il y a un problème ? Lançai-je, les yeux rivés sur mon épée.
_ Carmine, tu connais le lieutenant Brown ?
_ Non. Contestai-je.
_ Eh bien, c'est un garde qui a été corrompu par Slane. Il faut qu'on l'interroge, mais il est caché dans un fort, défendu par plusieurs gardes.
_ Très bien. Quels sont les ordres ? Demandai-je.
_ C'est simple, fais diversion puis entre dans le fort pour capturer le lieutenant, ensuite tu t'échappes avec lui. Je vais t'amener au fort, viens. Expliqua Flore."
Je me levai et m'arrêtai devant Clark.
"Ca va, au niveau de l'oeil ?
_ Mouais, bof... Toussota-t-il."

Flore m'entraîna à l'extérieur du QG, où deux chevaux nous attendait. Elle monta sur l'un d'eux, aussitôt imité par moi-même. Nous nous mîmes à chevaucher tout en discutant.

"Ca fait longtemps qu'on a plus chevauchés ensemble !
_ Oui, me répondit-elle. On ne se voit plus beaucoup depuis que tu es revenu chez toi. Ca se passe bien là-bas ?
_ Eh bien... Je ne peux pas dire le contraire. Il n'y a personne d'autre que moi, là-bas, et j'ai commencé à écrire mes mémoires.
_ Ah ?
_ Oui, je ne suis pas immortel. Si ça se trouve, demain matin, je serais en train de me faire torturer par Brown. Fis-je.
_ S'il te tue, vous serez ensemble le lendemain matin ! Plaisanta Flore.
_ Très drôle.
_ Tu es si froid... On dirait un bloc de glace...
_ Parce que je sais qu'à chaque fois qu'on s'attache à une personne, elle meurt. J'ai perdu Jane et mon frère à cause de ce que j'ai dans la tête... Je sais pas où je vais, d'où je viens, qui suis-je vraiment. Suis-je juste Ale... Carmine Armoccio, un assassin normal, ou suis-je juste un connard sui a raté sa vie en tuant des gens ? Je sais pas qui je suis, qui je dois croire... J'en viens à détester tout le monde. Je...
_ Oulàlà, m'interrompit Flore. Si t'es là pour parler de philosophie, retournes voir Thierry, il adore. On est ici pour parler de ta vie personnelle.
_ Il fait beau aujourd'hui. Et j'ai vu Clark lire un livre pour la première fois. Voilà. Question suivante. Ironisai-je.
_ J'arrête de te parler.
_ As you wish, miss. (Comme vous voudrez, madame.)"

Nous continuâmes notre chemin, jusqu'à arriver au fort. Beaucoup de gardes en défendaient l'entrée. Un des chefs était en train de parler à ses soldats, sur les murs. Je me cachais dans un buisson et observai l'homme.

"...Si vous désobéissez à une seule de ces règles, j'vous mets dans un four comme de vulgaires poulets jusqu'à ce que votre peau soit croustillante ! Compris ? Ah, et, au fait, avant que j'oublie. Hum hum... Je vous offre une ville... Pour la tête de Carmine Armoccio !

Etrangement, cette voix m'était familière. Le chef se détourna en boitant et je pus voir son visage. Je reculai d'un pas, étonné. Slane était l'homme qui s'était adressé aux soldats. Cette ordure avait survécu. Je le dévisageait. Il arborait un air heureux mais souffrant. Il s'assit sur une chaise qui traînait sur le mur, prit une longue-vue et regarda dans notre direction.
"Baisses-toi ! Chuchotai-je à Flore en me cachant."
Elle fit de même. Après quelques instants, je jetais un coup d'oeil. Michelo continuait à observer et ne semblait pas nous avoir vu. Il se leva alors et boitilla vers les escaliers. Je ne pus m'empêcher d'avoir de la pitié pour lui. C'était un ex-ami et un compagnon fort, c'était plus qu'idiot d'être passé du côté ennemi. Puis je me souvins que j'avais fait la même chose par le passé, à deux reprises. Ma culpabilité augmenta.

"Quel est le plan ?
_ C'est très simple, commença mon amie. Il faut mettre le feu au fort pour provoquer la panique et disperser les gardes à l'intérieur. Ensuite, tu captures Brown et tu le ramènes ici. Comme la nuit va tomber, les soldats doivent être en train d'allumer des torches. Regardes !"

En effet, un homme était en train d'allumer des torches. Je sortis du buisson, m'assurait qu'il n'y avait personne dans les parages puis avançai furtivement vers le garde. J'entourai son cou de mes deux bras et l'étranglai discrètement. Je ramassai sa torche tout en déposant le corps, puis jetais la torche contre le mur en bois. Le feu commençai à se propager. Le coucher de soleil, associé à la couleur du feu, était très beau. Néanmoins, pendant que j'observai mon environnement, deux gardes accoururent sur le mur pour éteindre le mur. L'un d'eux me repéra alors.

"Hey ! Qu'est-ce que tu fous ici, toi ? Mais... C'est Armoccio !
_ Salaud ! L'insultai-je."

Plusieurs soldats débarquèrent et me menacèrent de leurs épées lorsque, sans crier garde, les murs en bois s'écroulèrent sur nous. Je tentai le tout pour le tout en m'enfuyant tandis qu'un garde se faisait écraser par le bois. Mais je heurtai un autre morceau et m'écroulai. Or, le morceau resta sur moi. Le feu consumait le bois. J'agrippai la poutre pour la faire bouger, mais ne réussis qu'à me brûler les mains. Je criai de douleur et commençai à paniquer. Je poussais alors le morceau de mur avec mes pieds, mais mon manteau s'enflamma. Je l'abandonnai rapidement et regardai autour de moi. Les gardes survivants tentaient de sauver les blessés, mais comme le feu se propageait à une vitesse effrayante, ils n'en sauvaient pas beaucoup. Un trou béant remplaçait le mur qui s'était écroulé. Mais la brèche était envahie par le feu, et à aucun instant l'idée de traverser cet enfer ne me vint à l'esprit.

Tandis que je réfléchissais, j'aperçus dans le fort Slane hurler des ordres à un homme.

"Teuheuh... Teuheuh... Brown, trouvez-moi le responsable de cet incendie et... Teuheuh... Ramenez-le moi !
_ Compris ! Toussa l'homme."

Je savais ou ce trouvait ma cible. Je courus alors vers les portes du fort, zigzaguant au milieu des gardes qui ne firent pas attention à moi, trop occupé à tenter de survivre et à arrêter le feu. Arrivé aux portes, la donne changea ; trois soldats armés d'épées me firent face. Je freinai et sortais mon arme, un peu inquiet.

Le premier m'attaqua alors. Il me coupa à l'épaule mais fus décapiter par mon épée. Cependant, un de ses amis me donna un coup de pied qui me projeta contre le mur. Sonné, je titubais et vis l'épée de mon adversaire fondre sur moi. J'esquivai le coup et assassinai mon agresseur avant de faire face au dernier soldat.

"Au secours ! Un assassin !"

Interpellé par ce cri, d'autres hommes arrivèrent tandis que j'éliminai leur copain. Slane était aussi de la partie.

"Toi, maudit chien ?! Grommela-t-il. Gardes, tuez-l..."

Soudain, un bruit se fit entendre au-dessus de nous. Un des gardes leva la tête et poussa un cri de terreur. Je levais le nez et vit avec horreur que les portes allaient nous tomber dessus. Slane, ayant compris ce qui se passait, me foudroya du regard et se détourna pour repartir avec ses hommes. Les portes s'écroulèrent. Je courus pour échapper aux morceaux qui me tombaient dessus et atterrit par accident... Juste nez à nez avec Brown.

Ce dernier, d'abord étonné, sortit son pistolet et me tira dessus. La balle m'atteignit à l'épaule. Je reculais sous le coup, puis fonçai vers ma cible. Je lui plongeai dessus et le désarmai. Brown me regarda et me donna un coup de poing. Puis il me repoussa d'un vif coup de pied.

"Slane, j'aurai besoin d'un coup de main. Ricana ma cible. A moins que notre cher Armoccio brûle vif ?"

Je sentis alors une étrange sensation. Je me levais, comprenant de quoi il s'agissait. Les flammes me faisaient face, et derrière moi, Michelo et Brown me souriaient, me laissant à mon triste sort. Cependant, le bâtiment principal du fort s'écroula.

"Bordel ! Brown, occupes-toi d'évacuer tout le monde ! Je surveille l'assassin !"

http://www.youtube.com/watch?v=HsGPsqFEFXE (Découvert totalement par hasard. )

Le feu lécha mon dos. Effrayé, je m'éteignis et remarquai qu'il ne restait plus qu'une étroite ouverture dans les flammes. Je courus pour passer et évitais de justesse d'énormes brûlures. Je fonçai vers Michelo qui s'était préparé.

"Comment as-tu survécu ? S'étonna-t-il.
_ A ton avis, gros malin !
_ Tu t'es envolé ? Ironisa ma cible. Et au fait, depuis , notre voyage à Londres, ta fiancée... Hum... Jane, c'est ça ? Bref, elle te manques ? La prochaine fois, espérons que tu ne tues pas Flore. Ce serait ballot.
_ La ferme, enculé !"

Perdant le contrôle, je me jetais sur lui tandis que les flammes se rapprochaient de plus en plus. Incontrôlable, je donnais de rapides coups à mon adversaire. Il les parais à chaque fois, puis soudain, me projeta au sol et planta son épée dans mon épaule déjà blessée par la balle de Brown. Je poussai un grognement de douleur et tentai de m'échapper, mais Slane me regardait. Il me retenait. Soudain, son visage changea. Ce n'était plus Michelo qui se tenait devant moi, mais bel et bien Carmine, mon petit frère. Il était trempé, comme s'il avait échappé à la noyade à Londres, et une expression de haine et de plaisir machiavélique brillait dans ses yeux.

"Comme on se retrouve, Alec. Susurra-t-il.
_ Que... Que fais-tu ici...
_ Tu n'as pas deviné ? Ria mon frère. Je suis venu prendre ma revanche."

Il sortit alors un pistolet et l'appuya contre mon front.

"Pour mère. Pour Jane. Pour Peter. Pour moi."

Je le désarmai et le plaquai au sol.

"Tu vas crever ! Gueulai-je, perdant le contrôle."

Je plantais alors mon épée dans sa poitrine mais lâchai l'arme aussitôt, choqué par ce que je venais de faire. J'étais en train de torturer mon propre frère ! Carmine, comme si de rien n'était, me frappa et me prit par le col.

"T'es si faible ! Soupira-t-il.
_ Oh que non, désolé, petit frère !"

A ces mots, j'attrapai l'épée planté dans son estomac et la détachai violemment. Je lui tranchais ensuite la jambe puis levai mon arme pour l'achever, mais son visage changea. J'allai me tuer moi-même. Ce visage était le mien. Une expression étrange se dessinait sur le visage de mon double et il posa sa main sur sa poitrine. Une étrange douleur me saisit à cet endroit. Mon sosie s'enfonça alors la main dans la poitrine. J'hurlai de douleur, effrayé par ce qui se passait. Mon sosie me regarda en souriant, puis agrippa mon épée et se la planta dans l'estomac. Ma vue se troubla alors, je ressentis une étrange sensation puis fermai les yeux.

Lorsque je les rouvris, tout était revenu à la normale. J'avais planté mon épée dans sa poitrine, lui avais tranché la jambe et l'avais achevé d'un coup dans le ventre. Il était mort. Je l'avais tué durant mon hallucination. Néanmoins, les flammes m'encerclaient, et ma chemise prit alors feu au niveau de mon bras. J'éteignis le feu avec ma main, mais me brûlais au passage. Je regardai autour de moi. Les quelques gardes restants évacuaient, tandis que d'autres venaient demander aux survivants où se trouvait intel ou intel. Les officiers tentaient de calmer la panique générale. Néanmoins, je pus apercevoir que certains gardes malchanceux se faisaient consumer par les flammes. Je fis une grimace de dégoût, puis me relevait pour me trouver une échappatoire. Mon seul moyen d'échapper aux flammes étaient encore de sauter par-dessus. Je prenais de l'élan et sautai. Je me grillai le pied mais atterrit en roulade de l'autre côté des flammes. Je me relevai, examinant mon pied blessé. J'avais mal, mais je pouvais marcher normalement. Il me fallait maintenant trouver Brown.

Un carreau d'arbalète se planta juste devant moi, me faisant sursauter. Je regardai dans la direction d'où venait le tir. Ma cible se tenait à quelques mètres devant moi, mais il prit la fuite. Je me lançais à sa poursuite. Brown passa par une brèche dans les palissades, bousculant deux gardes au passage. Je tuai le premier, blessai le second et continuai ma folle course. Brown se retourna et me tira dessus avec son arbalète. Le carreau me frôla. Je lui bondis dessus, cependant, il parvint à m'esquiver d'une roulade, laissant tomber au passage son arme. Il recommença à courir. Je poussais un soupir lassé puis me remit à le poursuivre, n'oubliant pas de prendre son arbalète et le carreau, au cas où. Finalement, il disparut dans des buissons. L'instant d'après, j'entendis un cri.

"Oh non, non, non ! pensai-je."

J'entrai à mon tour dans les buissons, et tombait nez à nez avec Flore et ma cible. Le lieutenant avait posé un couteau contre la gorge de mon amie.

"Un pas et elle meurt ! Annonça-t-il.
_ Carm... Carmine... A l'ai... aide..."

Je dégainai ma nouvelle arbalète et tirait dans l'épaule de mon ennemi, le faisant tomber. Flore et moi nous jetâmes sur lui et le ligotai grâce à la corde de mon amie, puis nous repartîmes avec notre prisonnier. Je n'osai piper mot, impressionné par ce qui se passait dans mon esprit.

"Qu'est-ce que tu fous, Carmine ? Pensai-je."

Force : 7
Résistance : 7
Déviation : 7
Vitesse : 7
Escalade : 7
Discrétion : 7
Folie meurtrière ( Augmente la schizophrénie d'Alec et le transforme en vraie bête sauvage ) : 7,5
Argent : 11 350

J'espère que ça vous plaira.

Je viens de capter, le 15000eme, c'est pas rey, mais moi avec un petit "nope" tout moisis

Je lis les textes dans la semaine

Dans la semaine, Jet ? Dimanche, tu veux dire.

Coucou de chez mes beaux-parents.

Personne pour ma mission ?

Moi! /
Dans la semaine

Toi tu veux me tuer, c'est ça ?

Pourquoi ça?

Ca fait une semaine que j'écris, et quand je poste... Personne ?! J'vous en veux pas mais sur le coup c'est un peu frustrant.