FDF.
Je voulais mettre une étoile après correction.
correction* *
tout le monde !
La première partie de ma mission viendra demain.
Bien mon post inutile.
T'inquiète Rac à DP juste avant donc on a pas fait gaffe.
Et voila, enfin moins de travail au boulot, je peut enfin écrire
Anecdote 4- Ça se complique.
Part 1
Janvier 2012
Lloyd se réveilla, il venait de passer l’après-midi dans l’animus. Il était quasiment devenu un légume, il tenait à peine sur ses jambes. Il avait passé l’après-midi à essayer de résister à l’animus. Il tuait le plus d’innocents possible, il se jetait du haut des grandes tours. Les deux grands gardes du corps le posèrent sur une chaise, ou plutôt la seul chaise. L’habituel homme en tenue de militaire était devant lui. Il avait l’air inquiet, mais énervé aussi. Il transpirait, mais ce n’était pas de chaleur, il faisait froid. Non c’était de peur qu’il transpirait. Mais de quoi avait-il peur, ça ne pouvait pas être de Lloyd, le cul posé sur sa chaise il ne représentait aucune menace. Et ils se trouvaient dans un bunker au fin fond de la Russie. L’homme saisit Lloyd par la gorge et lui rapprocha la tête.
« Ecoute moi bien petite merde, je n’ai plus le temps de jouer. J’ai promis à mes patrons de te faire parler, et tu nous fais perdre du temps ! Alors dis nous où est la boîte de pandore, ou mes hommes vont te couper les membres un à un.
_Vous avez …. Tué…. Ma famille…
_Oui et j’en tuerais beaucoup d’autres, et ni toi, ni personne ne peut changer ça. Je te le répète pour la dernière fois, où est la boîte !
_D’accord, je vais vous le dire…. Elle est … Dans ma fesse gauche. Le templier lui décrocha une droite, et aussitôt Lloyd éclata de rire.
_Enfoiré d’assassin !
_A non c’est vrai, la droite. Il se prit plusieurs coups, et plus il en recevait plus ses rires devenaient déments. »
Un téléphone sonna, le plus gros des gardes du corps décrocha et marmonna. Lui aussi tout à coup se mettait à transpirer. Il tendit le téléphone au templier. Avant de le saisir il frappa une dernière fois Lloyd, qui cracha du sang.
« allo ? Oui monsieur… Non…. Il ne révèle toujours rien… Je sais mais… Ecoutez, laissez-moi une chance, je vais le faire parler… Très bien. » Il raccrocha.
_Votre supérieur n’a pas l’air très satisfait de vos résultats. Se moqua Lloyd
_Vois-tu assassin, ce serai plus à toi de t’en préoccuper….
_Ce n’est pourtant pas moi qui transpire.
_... Qu’on le remette sur l’animus ! »
L’assistante regardait les dossiers avec la plus grande attention. Elle était très concentrée, mais semblait à la foi distraite par quelque chose. Elle s’adressa au templier.
« Bien alors, nous avons observé Pellée, Asgardien, et Augustin. Pellée est rentré en possession de la boite, mais il ne l’a pas cachée, il ne nous intéresse donc pas. Bien que Lloyd a un ancêtre Templier, tous les autres membres de sa ligné sont des assassin. Mais Augustin n’a jamais mis la main sur la boîte, nous ne verrons plus ses mémoires donc. Je pense que nous devrions nous concentrer sur Asgardien.
_Mais comment être sûr que c’est lui qui l’a caché ?
_Et bien en faite nous n’en savons rien. Dans le registre d’Abstergo, la trace de la boîte s’arrête à décembre 1785. Je ne sais pas, si s’est Asgardien ou un de ses descendants qui l’a dissimulé. Je propose donc la chose suivante. Si vous le calmez assez pour qu’on puisse voir ses mémoires, on pourra accéder directement à cette date. »
Lloyd avait tout entendu, et il ne se sentait pas de taille à affronter l’animus une fois de plus. Il fallait trouver une solution, et il fallait le faire vite. Un téléphone sonna encore une fois, la même couleur blanchâtre apparut sur le visage du templier. Il se leva de sa chaise et prit le téléphone. Lloyd n’avait que quelques minutes pour trouver une solution. Il réfléchissait, mais ne trouvait pas. L’assassin regardait dans tous les coins, il vit enfin sur la table à côté de l’animus un scalpel. Le même scalpel dont le templier s’était servi pendant deux semaines pour le torturer. Il l’avait oublié. Lloyd tendit la main tant bien que mal pour attraper et cacher l’outil. Il entreprit aussitôt de couper les sangles en qui lui attachaient les mains. Il faisait le moins de bruit possible pour ne pas éveiller des soupçons. Lloyd tranchait doucement la sangle droite. Quelques secondes avant que le templier ne se retourne, il réussit enfin à couper. Il prit une grande inspiration, et lança le scalpel du mieux possible dans le cou du templier qui était au téléphone. Les deux gardes du corps, surpris de ce qui venait de se passer, restèrent abasourdis. Cela laissa du temps à Lloyd pour se défaire la deuxième sangle. Il fit un signe à l’assistante pour la dissuader de crier, et se jeta sur les gardes. Il brisa la nuque du premier et se servi de son 9 mm pour neutraliser le deuxième. Il se dirigea vers l’assistante et la braqua.
« Donne-moi la mémoire centrale de cet animus, maintenant !
_Oui… Je… Ne me tuez pas s’il vous plait ? !
_Vous m’avez torturez pendant deux semaines. Pourquoi devras-je te laisser vivre ?
_Tenez la mémoire, vous voyez je vous aide.
_C’est vrai, je ne vais pas te tuer, j’ai mieux pour toi. Il la saisie par les cheveux. Tu seras mon bouclier. »
Il la tenait devant lui, ils entrèrent dans un grand couloir. Il lui demanda ou était stockées les affaires qu’il avait sur lui le jour de son enlèvement. Ils commencèrent à se diriger vers la pièce qu’avait indiquée la jeune femme. Quand il ouvrit la porte, deux hommes armés se tenaient prêts à l’accueillir. L’assistante se fit cribler de balles, Lloyd était resté sur le côté. Quand les deux hommes eurent finis de vider leurs chargeurs, et que la femme tomba à terre, Ils leur collèrent deux balles dans le front. Il ramena le corps de la femme dans la pièce et bloqua la porte avec une chaise. Il vit derrière lui plein de casiers, tous portaient des numéros sur les portes. Il ne savait pas le quel correspondait a ses affaires, mais il en avait besoin pour que ses coéquipiers le retrouvent. Il fit tous les numéros un par un, il mit plusieurs minutes pour trouver le sien. Il retrouva ses couteaux, et son émetteur satellite, directement relié à son équipe. Lloyd prit une grande respiration, il était soulagé. Il allait enfin pourvoir quitter ce trou pourri. Son doigt pressa le petit bouton rouge situé en dessous de l’écran, aussitôt ce dernier indiquait l’emplacement de ses coéquipiers, et lui-même. Il fut surpris voir qu’il se trouvait en Sibérie, et que son équipe était à moins de 100km de lui. Ils devaient surement le chercher. Un énorme sourire apparu sur son visage, et il dit :
« Coucou mes frères ! »
Le "coucou mes frères" est marrant
Je laisse ludo te noter
pourquoi marrant ??
Lenski veut plus me noter
Bien mangé
C'est marrant parce que c'est un peu décalé de l'action
Ca ma fait penser à "coucou mes poto
As : Bon , je m'occupe d'aller te recapturer pendant que ludo te notes
okay je m'y colle. Aufaite Lenski es ce que tu m'autorise à utiliser ta famille dans ma prochaine anecdote. Je résepecterais aux mieux ce que tu as déjà fait bien évidement.
Tu me mp dans le sujet "scéne coupée" pour qu'on en parle sans spoiler les autres
Ok tu peux
As C'est très bon comme toujours. Un poil gore juste ce qui faut et c'est bien décrit. Je te note pas j'attend la 2ème partie
As : Pareil mis à part que j'ai rien vu de gore
Coucou mes frères
As ne m'en veut pas de te voler tes répliques.
Sinon mon texte... n'en est meme pas au quart... pff je suis désespérant
Je ne sais pas pourquoi, mais le "coucou mes frères" m'a fait penser à ça : http://www.youtube.com/watch?v=mQhGnJn8e_Y
La ressemblance est frappante, non ?
a carrement
Salut tout le monde
Ludo, il neige chez toi? a dromel c'est tout blanc
Ouai y neige c'est trop bon
Moi il neige pas