Bon je up ce topic dans l'espoir de lui redonner un souffle de vie.
J'écris en ce moment même le rpochain et je vous réserve une certaine surprise et de nouveaux personnages fondamentaux pour la fiction.
VIncent ?
Nan.
Tiens Lenski.
• • Chapitre 25 : Je m’appelais Gabrielle…
Que devais-je faire ?
Il ne me reste plus beaucoup de temps pour obtenir une réponse à cette question.
Est-ce que je devrais sauté ou bien attendre la fin de ce voyage pour m’enfuir le plus vite possible ? Ou tout simplement la croire et la suivre.
Après tout , elle m’a aidé mais pour quelle raison ? Depuis le début du trajet elle ne m’avait pas adressé la parole , elle restait froide et distante. Sa courte chevelure rousse était secoué par le vent qui entrait sans gêne par sa fenêtre. Ses yeux bleus fixait durement la route qui était plongée dans le noir complet.
Quelle magnifique idiote je fais. Je crois avoir le don pour me mettre dans la merde .
Je me pose trop de question , si je continue ma tête vas explosé. Je sais vraiment plus quoi pensé. Fais le point Ga…
- Comment t’appelle-tu ?
C’était la première que la rousse décida de m’adresser la parole. Bon sans un regard mais c’est mieux que rien. Engagé la conversation et découvrir ce qu’elle me veut ,
c’est-ce que m’aurait conseillé ma psy….ou pas . Je commence déjà à m’embrouillé.
- Gabrielle. Réussissais-je à balbutié dans un souffle
Et vous ?
- Je ne pense pas que tu as besoin de le savoir.
Ma culture cinématograhique , enfin si je peux parler de culture, m’avais fais comprendre que quand une personne ne donne pas son prénom, c’est qu’elle ne compte pas le prononcé.
Ce qui veut dire pour mon cas que ma route vas se séparer de la sienne. Mais comment ?
La peur commença à m’envahir, des frissons me parcourir et cette sensation d’avoir oublier quelque chose dans sa vie. Les regrets , les souvenirs heureux ou encore triste se bousculaient dans ma tête et dans mon cœur. Je n’imagine même pas ma tête mais au vue de celle de la rousse , j’étais pas belle a voir.
- Ton nom.
Elle me fit sursauté sur mon siège . Dans mes pensées je n’avais entendu qu’un bourdonnement provenant de sa bouche.
- Pa…pardon ?
- Ton nom . J’ai besoin de ton nom pour la recherche.
- Euh…une recherche ? Demandais-je les yeux braqués sur ses mains qui tapotaient sur le volant au rythme des battements de mon cœurs.
- Moins tu en sais, mieux ce sera.
Alors dans un excès de peur je , qui commençais a s’accumuler, j’ai dérapé.
- Si vous ne me dites pas tout ce que je veux savoir , je saute !
Criais-je d’une voix déraillé.
Je ne me reconnaissais pas dans ce comportement. J’étais toujours la timide de service. Et si j’essayais de m’imposer, on vas dire que je n’étais pas vraiment prise au sérieux.
Elle fixa ma main tremblante agrippée sur la poignée de ma portière. Elle eu un sourire en coin et reporta son attention sur la route. Une réaction qui ne m’était pas inconnue.
- Faut te mettre dans cet état. Ne t’inquiète pas-tu sauras tout mais plus tard. Mais d’abord quelle est ton nom, c’est important.
Non mais elle me prenais pour qui ? Je ne sais peut-être pas m’imposer ou avoir l’air menaçante mais je ne suis pas une idiote.
- Pas convaincue .
Elle souffla exaspérée .
- Je m’appelle Vicky Evans. Satisfaite ?
- Mais encore ?
- Je suis un Assassin.
Et les ténèbres m’envahirent.
***
Vicky fixa drôlement Gabrielle qui s’était évanouie. Elle sortit alors un portable noir de son sac sur la banquette arrière et tout en conduisant elle composa un numéro à 5 chiffres. Elle souffla un coup et porta le portable à son oreille. Le stress monta d’un cran. Elle espérait de tout son cœur Jim ne se soit pas trompé.
- Allô ? Stef? Fais moi une recherche historique sur une certaine Gabrielle…
Elle s’arrêta et commença à fouillé rapidement les poches de Gabrielle. Vicky priait pour qu’ils aient oublié une carte, un ticket, n’importe quoi qui puisse lui donner son de famille. Soudain elle tomba sur l’étiquette de son écharpe.
« Made in France » et juste en dessous « G.Ness »
- …Ness. Gabrielle Ness. Fais vite.
Et elle raccrocha tout en continuant de rouler toujours plus loin.
***
Comment expliquer le fait qu’une personne sans histoire se retrouve du jour au lendemain au cœur complètement inexpliquable. Je sais tout de suite on se retrouve avec le scénario habituel du mauvais film sans saveur.
J’ai passé ma vie à avoir des questions, à en poser, à m’enfoncer sous toutes ses question, a faire chier le monde avec mes questions !
Mais en ce moment la seule question sur le bout de mes lèvres …Est-ce réelle ?
Je ne comprend plus rien. Je sombre je ne sais où. Je ressent des émotions qui m’étais encore inconnue et je n’ai plus envie de poser de question…simplement pour avoir un espoir de survie.
Enfin…J’émergeais des profondeurs. Un souffle glacial traversa mon dos ce qui me fit des frisson. Arf. J’ai horreur de cette sensation , une sensation de froid et de vide alors que tout autours de toi tout est bien vivant et je ne suis pas vraiment seul.
Se lever du siège de la voiture fut une véritable épreuve. Mon dos me faisait un mal de c….
- Tu as encore mal aux dos. Normale vue ta chute. Me lança soudainement Vicky qui était en face de moi, tenant un téléphone à son oreille.
Inutile de répondre, je voulais absolument oublié ce jour. Vicky avait arrêté la voiture en plein milieu d’une forêt assez…normale. Je devrais mieux allez me dégourdir les jambes, resté assise toute ses heures s’a aide pas.
Mais juste au moment où je commençais a avancer vers un immense chêne, Vicky m’interpella.
- Minute papillon. Tu ne peux pas faire partie de leurs programme !
- Je vous demande pardon ? Répondis-je en faisant Volte-face
De quoi elle me parlait encore cette folle avec sa cigarette.
- Tu n’a aucun ancêtre…
- Vous aussi ! Vous aussi ! Allez au diable ! Allez tous au diable !
Ce n’est pas possible. C’est un véritable cauchemar. Est-ce que tout vas recommencer ? Je comprend maintenant mes frissons. Il faut que je m’éloigne de ces fous furieux…La police…faut que j’aille voir la police !
Mais avant même que je puisse faire un mètre, j’entendis le son d’une arme chargée. En me retournant, j’aperçu Vicky pointé une arme sur moi et toujours au téléphone.
- Tu vas tout me raconté et maintenant.
Une rousse
Elle est ENORME cette fic (je ne parle pas du faite qu'elle soit longue mais bien de l'histoire ) et je me sent bête de ne pas l'avoir lue plus tôt
A quand la suite
Géniale tes fics j'adore
La suite peut-être ce week-end, j'ai plein de projet Yt en cours prioritaire.
En tout cas merci pour ton commentaire, sa fait plaisir.
/